« Je n’arrive pas à obtenir mieux ni plus… »

Voici une problématique qui apparait souvent lors de la première séance de sophrologie : des clients affirment « stagner » dans leur vie personnelle, professionnelle ou financière et ressentent qu’ils n’arrivent pas à « passer le cap vers la réussite » ou le bonheur total. Parfois cette problématique s’exprime autrement : « Je sens que j’ai tout pour y arriver mais je n’arrive pas à dépasser ma situation actuelle » ; « J’ai tout pour être heureux mais je n’y arrive pas ».

Dans cette problématique il ne faut pas oublier le rôle des « finances ». Moins on a de soucis d’argent, plus on est rassuré sur sa propre valeur et plus il est facile de travailler efficacement sur soi. Mais l’argent n’est qu’une complexité et ne constitue pas un réel frein à l’évolution personnelle…

Nous connaissons tous des gens très inspirants qui vivent avec très peu et déploient des miracles de créativité pour obtenir tout de même la vie qu’ils désirent… Au-delà d’une résistance psychologique au changement et à obtenir « plus » et en « meilleur », il y a des écueils à surmonter pour se trouver en adéquation avec sa mission de vie et donc évoluer.

Pour exemple :

– Le confort d’une petite vie tranquille et « réduite » peut être difficile à quitter : le client peut avoir envie d’évoluer et rêver en grand et ne pas oser abandonner un mode de vie et de pensée sans risques. Sortir de sa zone de confort c’est aussi prendre des risques (« To act risky » comme disent si bien mes collègues anglosaxons) et aller vers l’inconnu, vers l’Aventure. N’est pas Indiana Jones qui veut… Il y a là un rôle à endosser : celui de la personne décidée, à qui rien ne fait peur, et qui croit toujours en sa bonne étoile…

Or, la vie est une EXPANSION davantage qu’une redondance de faits et d’évènements déjà connus, déjà maintes fois expérimentés..

Il y a cependant des personnalités qui ne rechercheront jamais ni l’aventure ni le changement. Ce n’est ni bien ni mal à partir du moment où ils se ressentent en « congruence ».

Voici d’autre état qui n’aident pas à l’évolution personnelle ou à l’obtention d’une certaine forme d’abondance :

– Ne pas être prêt à lâcher-prise face aux difficultés rencontrées pour compléter son objectif est une complexité certaine. Pour vivre plus et vivre mieux il faut être d’accord avec le fait de se laisser guider par son destin en étant persuadé que les bonnes choses seront au rendez-vous… Avancer dans la peur revient à… reculer !

– Ne pas se concentrer sur une félicité future est un problème qu’il convient de surmonter. La sophrologie aidera à obtenir une vision plus positive de soi, des autres, de l’avenir et du monde qui nous entoure.

Pour résumer afin de vivre plus et mieux et surtout en adéquation avec notre mode de vie idéal, il convient de :

– Se concentrer sur la Félicité plus que sur un passé vécu négativement

– Se forcer à faire chaque jour un pas vers la Joie et la Sérénité intérieure

– Passer à l’action chaque jour pour concrétiser ses rêves : en fait il n’y a pas de petit pas ou de pas qui ne compte pas !

– Être persuadé que le meilleur est à venir tout en appréciant pleinement le présent. Beaucoup pensent que le bonheur arrivera lorsque les enfants seront grands et autonomes… Or, tout est transitoire. La plus belle des heures doit être la présente !

– Viser grand, viser en fonction de vos ressentis personnels tout de même !

– Décider de taper en plein dans l’Abondance surtout si vous n’avez aucune raison actuellement de le faire !

– Se voir comme des humains avec une pensée relevant du divin ! Einstein, Spielberg ou encore Jodie Foster sont des humains avant tout : tout comme vous ! Puisque certains arrivent à faire brillamment avec ce qui leur a été donné, il n’y a pas de raison que vous, humain également, ne le puissiez pas !

– Il y a forcément dans votre chemin vers la réussite et le bonheur des possibilités que vous avez totalement omises ! Des solutions qui fonctionnent bien mieux que celles que vous utilisez actuellement !

En conclusion, chacun doit pouvoir revoir régulièrement sa propre définition du mot Abondance et juger de la relation qu’il entretient avec cette dernière.

L’Abondance vous intéresse, n’hésitez pas à consulter la page Coaching !

Nouvelle vie : Et si on commençait par éliminer nos « limites » ?

Qui attend un changement de vie ?

Ne nous leurrons pas : le « changement de vie » est attendu par beaucoup d’individus qui se sentent déçus par (et de) la vie, qui n’ont pas le poste qu’ils méritent, la relation qu’ils souhaitent ou dont le talent est trop peu reconnu. La vie est un jeu contenant différentes cases : la case Amitié, la case Amour, la case Etudes ou Emploi, la case Loisirs, la case Développement personnel, la case Créativité (particulièrement vrai pour les artistes) et la case Vie de famille. Certaines cases sont parfois pleines lorsque d’autres sont vides. Il est complexe de maintenir toutes les cases pleines et parfois nous ne nous sentons pas responsables du fait qu’une case soit vide (ex: la personne qui a subi une rupture amoureuse alors qu’elle était prête à s’engager etc.) Il est cependant important que certaines cases soient bien pleines pour maintenir l’équilibre (ex: la case Métier est vide mais la case Amitié bien pleine, ce qui aide à surmonter un passage à vide).

Nous possédons tous des croyances limitantes

Nous possédons tous des croyances erronées sur nous-mêmes. Le Coaching en Suppression des Croyances limitantes permet de les cerner, de les connaître, de les remplacer et de les éliminer. C’est une étape nécessaire pour beaucoup de personnes avant d’entreprendre le « vrai changement de vie ».

Notons au passage que lorsque le changement de vie est réussi on ne fait plus qu’ajuster nos positions. On ne cherche pas un nouveau changement de vie… Cela n’aurait aucun sens !

Le cheminement de Sandra

Malgré son nom le grand changement ne peut s’opérer que par stades, étapes et couches. Prenons un exemple. Celle que je nommerai Sandra a 45 ans. C’est la rupture sentimentale qu’elle vient de vivre qui l’a amenée à rêver du grand changement. Elle voudrait « tout changer » ! A commencer par son physique. C’est une fille de taille moyenne un peu forte et brune. Elle arrive en séance avec un cahier rempli de découpages plus ou moins artistiques de femmes de magazines. Elle veut devenir le modèle qu’elle me tend : sur la photo je distingue une jeune fille d’environ 30 ans. Elle parait bien proportionnée mais on voit ses côtes… C’est une « fausse potelée », physique assez dur à obtenir qui combine la minceur avec les formes bien placées. Une maigre « à joues rondes » et à fessier potelé… Je comprends immédiatement que ma cliente rêve d’un physique qui est à l’inverse du sien. Maintenant je ne vois pas d’objection à ce qu’elle souhaite devenir ainsi et qu’elle y arrive, pourquoi pas ? Moi-même j’ai perdu 10 kilos non repris il y a 10 ans. Quand on veut, on peut (plus ou moins et en fonction de ses capacités personnelles). Sandra n’aime plus son job. Elle est standardiste et hôtesse d’accueil physique dans une grande entreprise. Elle a toujours aimé ce métier car plus jeune elle la faisait se sentir « importante » et belle : tenue soignée, chignon parfait, ongles vernis aux frais de la compagnie… Mais son compagnon avant de la quitter lui a fait remarquer un « manque d’ambition ». Du coup rien ne va plus ! La blessure intérieure est grande et génère chez elle cette envie de changement radical. Elle cherche maintenant à se former comme thérapeute car elle pense que ce métier sera un « cocon » pour elle. Je lui fais remarquer que si aller chez le thérapeute est motivant et souvent agréable, être le thérapeute est très différent… Il n’y a pas de cocon de bien-être justement quand on est « derrière le carnet » tout au plus on aime motiver les gens et on en tire une gratification personnelle. Tout est cadré. On ne dit pas ce qu’on veut. On doit éclairer sans influencer… Sandra ne supporte plus sa ville de résidence. Elle veut quitter le nord pour Marseille (je lui fais remarquer qu’elle n’y est jamais allée et que la première étape serait donc d’aller visiter cette ville à chaque saison avant de prendre une importante décision). Au fil des séances de coaching je me rends compte que Sandra répond à 3 injonctions intérieures (ce qu’elle se dit à elle-même : discours intérieur) :

  • Je dois faire … (telle ou telle chose)
  • Et si … (ça ne se passait pas comme je le veux)
  • Mes propres règles veulent que (j’évite telle chose / je fasse telle chose)

Ce discours intérieur lui glisse des restrictions sans cesse…

Le « manifesto » (manifeste)

La séance suivante, Sandra rédige elle-même son « Manifesto » (document qui relate les changements qu’on veut obtenir dans sa vie). Il est trop général et manque de précision mais ce n’est pas grave car en coaching nous le préciserons au fil des premières séances ensemble (en communiquant Sandra évoquera de façon parfois inconscientes des précisions sur ses envies, ses désirs, son objectif principal et tout rentrera dans l’ordre).

  • Je dois tout d’abord changer physiquement et me rapprocher de ma référence physique, le corps de XX. Je souhaite aussi adopter un style vestimentaire et un look aussi chic que le sien. Je veux ensuite trouver ma voie dans un métier qui me convienne mieux et m’apporte de la gratification, plus d’argent et un cadre de travail agréable. Je veux que cet emploi soit à Marseille. Je veux vendre mon appartement et en racheter un là-bas. Je veux être quelqu’un qui ne fait pas pitié mais qui inspire les autres.

En revenant sur le discours de Sandra et ses grandes premières limites (listées ci-dessus), nous pouvons déjà apporter des astuces faciles pour ne plus subir une forme d’autosabotage. Nous décidons de « changer la forme » du discours pour en changer le fond au final :

  • Je dois faire … (telle ou telle chose) –> Je vise telle ou telle chose (il y a une dimension de challenge plus excitante et du positivisme ici)
  • Et si … (ça ne se passait pas comme je le veux) –> Et si ça fonctionnait ! (le négatif est laissé de côté)
  • Mes propres règles veulent que (j’évite telle chose / je fasse telle chose) –> Je dois redéfinir mes règles en fonction de mon objectif.

Épanouie, elle n’a plus besoin de se calquer sur qui que ce soit

Quelques séances plus tard, Sandra a énormément changé. Elle est plus positive et plus sûre d’elle. Elle voit sa rupture comme une « nouvelle ère » dont elle profite pour voyager seule et réaliser certains de ses petits rêves (apprendre à dessiner des vêtements, prendre des cours de stylisme). Elle n’a pas envie de se relancer dans une relation car elle se sent bien ainsi. Elle aime son nouveau mode de vie. Le reste suivra et je noterai que peu à peu elle cherchera à faire émerger physiquement un caractère fort plutôt que de se calquer sur une jeune fille « parfaite » que tout le monde aime.

Nous agissons tous en fonction d’un système de croyances qu’il est bon de connaître de fond en comble. En le connaissant on creuse une brèche dans ce système qui nous limite. Si vous souhaitez en savoir plus sur le coaching (Suppression des Croyances limitantes et Un Sens à ma Vie), n’hésitez pas à visiter la page dédiée sur ce site.

Votre parcours et celui des autres

Nous vivons une période de mouvement et d’évolution permanente. Dans cet univers il faut sans cesse s’adapter, se réadapter, se former, apprendre, pour ne pas être dépassé. Aussi il n’est pas rare de voir des gens se questionner sur la « validité » de leur parcours personnel ou professionnel et d’autres se comparer à leurs voisins, collègues ou relations… C’est un écueil courant en coaching. On vient parfois davantage pour « ressembler à l’autre » que pour « devenir Soi ».

Chaque parcours est unique

Chaque être et chaque parcours est unique et précieux pour la société et le monde qui nous entoure. Personne n’a exactement la même vocation ni le même appel. Même dans des professions comme celle d’avocat, il y a différents buts et objectifs, différentes spécialités (le droit de la famille, celui des affaires ou de l’entreprise etc.) et chaque avocat aborde ses dossiers avec sa vision des choses, son vécu, son expérience.

Différentes nuances

Il en va de même dans la vie quotidienne : nous avons tous des spécialités et des passions différentes. La même passion peut être menée très différemment par deux personnes distinctes. Si je fais de la musique je peux par exemple choisir de composer, mon voisin préférera, lui, écrire ses propres chansons, un autre aimera passer son temps à faire des reprises de chansons connues. Nous sommes tous différents. Le même métier, la même passion sont abordés en fonction de notre caractère dans la nuance.

Le facteur Age

Le facteur Age nous ancre parfois dans un immobilisme. En coaching, je rencontre différentes personnes. Certaines sont prêtes à tout pour atteindre leurs objectifs, d’autres préfèrent se laisser guider, porter. Les jeunes ont une vision extraordinaire : ils voient loin et tout est possible. Au cabinet arrivent parfois de « petites tempêtes » pleines d’énergies qui se voient très bien lancer leur affaire en Australie ou aux USA et qui… y arrivent ou sont en bonne voie ! Et puis il y a ceux que la vie a tranquilisés (trop parfois) et qui n’arrivent plus à se projeter sur 6 mois, 1 an…

Apprécier tout ce qu’on possède déjà

Il y a un point sur lequel chacun peut cependant travailler : apprécier ce qu’il possède à l’heure actuelle plutôt que de regarder dans le jardin du voisin. C’est une étape indispensable. Bien-sûr si rien ne semble nous plaire ou nous convenir dans notre vie, il y a un parcours à réaliser. Il est profond et parfois contraignant mais peut nous amener au Mieux-être.

Apprendre à renoncer au passé

Apprendre à renoncer à ce que nous n’avons pas obtenu à une époque par exemple, est une étape forte, pleine d’enseignements. Sur le papier cela parait simple, mais dans la vraie vie c’est infiniment plus complexe qu’il n’y parait… Les gens qui comparent leur parcours à celui des autres ne sont jamais « à leur place ». Ils ont des regrets. Ils rejettent souvent la faute de la « condition de leur vie » sur les autres. Je me souviens d’une femme dont la société avait fermé suite à la massive grève de La Poste en 1995 et qui, des années plus tard, reportait chaque épreuve de sa vie sur cet événement. La Grève avait plombé toute sa vie !

Repartir à zéro est utopique

Face à des occasions manquées émerge une envie : celle de repartir à zéro. Pourtant la notion de « repartir à zéro » est impossible ! Nous ne sommes pas un ordinateur à qui il suffirait de remplacer la mémoire. Nous nous sommes formés sur nos réussites, nos deuils, nos échecs. On vit avec. Même s’ils ne sont plus aussi vivaces ils composent notre être intérieur, parfois même (c’est le cas pour les accidents) notre être physique.

Et si on se faisait confiance ?

Comment apprécier ce qu’on possède, ce qu’on a fait ? En décidant de se faire confiance et en croyant que chaque étape passée était là sur le chemin pour nous « apprendre » quelque chose d’essentiel ! Le deuil, par exemple, peut nous apprendre que nous sommes capables d’avancer seuls. Perdre son permis de conduire peut nous amener à nous servir davantage de ce corps qui nous a été donné à la naissance, en marchant, en faisant du vélo, en changeant sa vision du monde qui nous entoure. Il ne s’agit pas de faire de la pensée positive à outrance mais plutôt d’apprécier le beau et le bon même dans l’adversité.

C’est l’une des étapes du Coaching « Un Sens à ma Vie ». Si vous souhaitez travailler à devenir la meilleure version de vous-même en conservant votre authenticité, n’hésitez pas à explorer la page Coaching.

Psychopratique : Travailler sur la Mémoire

Nous portons tous en nous notre histoire. Parfois celle de nos ancêtres également. Tout dépend de ce qui nous a été raconté (ou non) lorsque nous étions enfants. Selon ses méandres, ses angles, ses dénouements, cette histoire peut nous aider à donner un sens à notre vie, nous encourager, nous remplir d’orgueil, de joie, de certitudes ou au contraire nous plomber…

Notre histoire nous permet de donner un sens à notre vie

Connaître notre histoire, celle de notre famille également, est donc primordial lorsque nous décidons, à un moment de notre vie, de donner un sens à notre existence. C’est en connaissant notre histoire, en en acceptant ses détours, ses cicatrices, ses moments de gloire ou de déchéance, que nous nous préparons à avancer vers le Sens.

Un être précieux quel que soit son vécu

Une histoire, pour nous être profitable, devrait avoir un début positif. Lorsqu’on sait, par exemple, qu’on a pas été désiré par ses parents, il faudra travailler à comprendre que notre existence est aujourd’hui nécessaire à quelqu’un d’autre. Chaque être est précieux aux yeux de l’univers dans lequel nous évoluons, aux yeux d’un autre. Comprendre à quel point nous pouvons aider et servir, à quel point nous sommes capables de donner de la joie, de la satisfaction ou « d’apporter » aux autres, à une communauté ou à un groupe restreint, est important.

Un socle pour la congruence

Lors des séances de psychopratique, nous abordons le passé non pas comme un « curriculum vitae » mais une frise chronologique dont seuls les événements qui sont importants pour vous comptent (un voyage, une sortie, une rencontre peuvent marquer toute une vie, bien plus qu’un diplôme ou qu’un mariage parfois…) Peu importe que votre mémoire soit tout à fait conforme à la réalité passée. La guérison intérieure veut que cette mémoire nous permette aujourd’hui de nous offrir un socle pour construire et avancer solidement et en congruence.

Les souvenirs appellent le Bonheur

Les souvenirs appellent le Bonheur. Ils ont ce pouvoir, dès qu’ils sont positifs, de démontrer notre courage, nos traits de caractère les plus bénéfiques à nous-mêmes et aux autres. Un simple bon souvenir peut nous aider à surmonter une période de rejet, d’isolation, de maladie, un alitement parfois… D’où l’importance des photos qui « aident » à se souvenir.

Sans passé coloré, vivant, l’avenir peut paraître « fade ». A-t-on envie d’y aller alors ?

Quel mode de lecture de votre passé ?

En séance de psychopratique, nous travaillons sur le mode de « lecture » que vous offrez à votre passé. Les souvenirs douloureux deviennent ainsi plus légers et supportables au quotidien.

Quand consulter ? Si chacun de vos jours est une longue rumination d’échecs ou de souvenirs d’agressions verbales ou mentales. Si vous repensez sans cesse à ce que certains vous ont fait subir lorsque vous étiez enfant et que cela vous met encore « en rage »… Si ces souvenirs douloureux plombent vos projets, votre faculté d’aller de l’avant, il est bon d’en parler.

Hyperactif mais sans Sens

S’il vous semble que vous êtes « en quête de vous-même » mais qu’il manque toujours une pièce au puzzle de votre vie, que vous cherchez à donner du sens en étant hyperactif, en multipliant les activités et les projets sans succès alors vous avez peut-être besoin de l’aide d’un tiers pour avancer…

Savoir pour qui ou pour quoi nous existons peut rendre notre vie intéressante, lui conférer un véritable sens. Certains regardent leurs jours s’écouler sans chercher de « sens » logique à leur existence. Oui il est possible de vivre ainsi même si pour moi, par exemple, cela est inconcevable…

Le Sens n’est pas du luxe !

Trouver un sens a sa vie est souvent perçu comme « un luxe ». J’ai entendu une fois quelqu’un me dire : « l’accouchement de ma femme s’est très mal passé. Elle a failli mourir. Aujourd’hui elle nous enquiquine avec sa Quête de sens. Elle veut voyager, savoir quel est son rôle sur terre »… comme si le Sens ne concernait que certaines élites ou certains « farfelus » ou ceux qui étaient passés par des moments difficiles, qui avaient côtoyé la mort de près…

Pourtant la Quête de sens n’est pas superflue, elle est vitale !

Quand le Sens initial disparaît …

Parfois ce pour quoi on a vécu toute sa vie se délite brutalement. Prenons l’exemple d’un comédien ou d’une comédienne qui a donné toute sa jeunesse à la scène, à la culture théâtrale, qui a joué avec les meilleurs et qui, au détour de la cinquantaine, ne trouve plus aucun rôle. Ou celui d’un peintre qui a vendu ses créations lorsqu’il était jeune mais qui n’obtient plus aucun succès. Là, la perte de son Sujet de toujours peut générer une frustration allant jusqu’à la dépression ou au suicide. La blessure narcissique peut être énorme, insurmontable… Pourtant nul ne promet que la quête de sens qui nous anime aujourd’hui soit immuable ! C’est pourquoi le comédien, la comédienne devrait peut-être penser à écrire ou à passer derrière le rideau, pas comme si c’était une « honte » mais plutôt parce qu’un nouvel « appel » se présente peut-être… Le peintre en mal de clients devrait, peut-être, monter une association, enseigner… sans pour autant se sentir « maudit ». Mais pour cela il faut savoir juger l’état de notre ego, de notre mesure ou, pour certains, de notre « démesure »… Tout le monde mérite de trouver ou de retrouver un Sens à sa vie. Et cela passe parfois par des solutions très simples ! Trouver un sens n’est pas forcément aller « gravir l’Himalaya » comme les médias veulent nous le faire croire…

Si vous souhaitez engager un travail sur le Sens, consultez l’onglet Coaching « Un Sens à ma Vie » !

Confinement et Guérison intérieure (2)

Comme vu dans l’article précédent (Confinement et Guérison intérieure 1), le temps du confinement est propice à la cogitation personnelle, au bilan de vie mais aussi à engager un pas vers la Guérison intérieure. Nous avons défini ce qu’est un « homme guéri » même si cette conception est personnelle à chacun, en fonction de sa vision et de son vécu…

La notion de nouveauté

La guérison intérieure doit entraîner un état d’esprit nouveau par rapport à son vécu, à soi-même, aux autres, au monde qui nous entoure et à l’avenir. Mais la notion de nouveauté ne peut s’appliquer si de grands changements n’ont pas déjà eu lieu. Beaucoup de femmes, par exemple, souhaitent, à un tournant de leur vie, changer de style, changer de « look ». Il n’est pas rare qu’on leur conseille de déjà changer leur routine de santé, d’alimentation, de faire du sport, de perdre quelques kilos et de travailler leur confiance en elles avant de sauter le pas. Nous pouvons dire qu’il en va de même pour le mental. Il serait absolument contre-productif d’appliquer des conseils « bateaux » de changement sur un terrain infertile, inchangé. Sans entrer dans les détails et les tréfonds de notre passé comme l’exigerait une psychanalyse en bonne et due forme, revoir son passé de manière plus positive est une étape intéressante. Une fois le passé accepté, connu et revisité, il est plus simple et plus justifié de repartir sur des nouvelles bases, d’autoriser une véritable nouveauté à entrer dans nos vies.

Croire en la Guérison intérieure

Hélas pour changer et guérir intérieurement il faut CROIRE que la guérison peut se produire chez nous. Savez-vous pourquoi toutes les psychothérapies de la plus classique à la plus innovante, ne porteront pas toujours leurs fruits ? Parce qu’à la base il y a une résistance, résistance qui fait dire au client qu’il lui est possible d’entreprendre une thérapie mais certainement pas de « guérir ». Se plier au changement et à la nouveauté, c’est comme plier un bâton, plus le bâton est souple, plus la mesure est facile. Le relâchement de la bonne volonté à « céder », à plier, à accepter la réalité telle qu’elle est peut se traduire par un grand rejet (le bâton, à l’instar d’un arc, se déplie brutalement, ce rebond est peu contrôlable par celui qui n’en a pas la force). Croire qu’il est possible de changer, de guérir tout simplement parce que « d’autres bien moins souples y sont arrivés » est un bon début mais ne fait pas tout. Chacun est unique… La résonance avec le thérapeute est primordiale.

La peur de l’échec

A la base du manque de confiance de certains clients en la thérapie (sophrologie, psychopratique, coaching) il y a une crainte : la peur de l’échec. Quand on démarre un nouveau projet en se donnant une possibilité d’échouer il y a déjà un dysfonctionnement à la base. Dire « Je peux éventuellement réussir » plutôt que « Je suis la réussite » est révélateur d’une résistance…

Les souvenirs frustrants : ces bombes prêtes à exploser

Dans le coaching, plutôt que de parler de son passé, le client est amené à lister ses souvenirs frustrants, limitants, douloureux. En sophrologie si le client les a abordé naturellement (ou s’ils sont la raison d’une consultation) il est facile de les désamorcer. En coaching comme en psychopratique, le client désamorce ces « petites bombes » du passé seul, bénéficiant d’une guidance légère et d’un cadre sécurisant. Une fois désamorcés ces souvenirs douloureux, ces bombes prêtes à exploser lors d’éventuelles réminiscences ou lors de la reproduction d’événements similaires, sont toujours présentes. Elles existent en tant que pensées et événements passés mais ne sont plus dangereuses. Un terrain bien déminé est propice au changement. Le confinement est l’occasion de songer à soi, à son parcours plus positivement, de déminer. Il est simple durant ce confinement d’être un héros en ne faisant rien d’autre que de rester chez soi et d’essayer de s’améliorer. Pour ceux qui ne savent « accepter » ce confinement, celui-ci générera de nouvelles « bombes ». Dans 1 an, 3 ans, 10 ans on les entendra peut-être évoquer le confinement comme cause de certains de leurs problèmes…

Guérir c’est accepter d’avoir été blessé

Pas de nouveauté sans acceptation de son statut de « blessé par la vie ». Entrer en guérison, c’est toujours accepter d’avoir été blessé. Il y a celui qui sera un éternel blessé (ex: un homme qui rejettera toutes les femmes après une rupture douloureuse) et celui qui admettra qu’il a de la chance d’avoir été guéri. La différence est immense, entre les deux états il y a un monde ! J’ai omis de parler de ceux que la vie a blessé encore et encore mais qui n’ont jamais souhaité s’arrêter sur leurs blessures de guerre et on continué, jour après jour, d’embrasser une vie dynamique, intéressante, positive, qui a du sens… Une forme de résilience. Un challenge dans l’adversité.

La mémoire comme un placard…

La mémoire est un vaste dressing, placard ou grenier qu’il convient de ranger. Posséder un intérieur splendide et bien rangé mais savoir qu’il y a « là-haut » une pièce comparable à un véritable débarras dérange l’esprit. Faire le ménage chez soi et dans l’inconscient est primordial à celui qui veut guérir. Ce confinement se mue chez beaucoup en immense chantier de tri, en un véritable nettoyage de printemps. Libéré de la pression, du regard des autres, il devient plus facile de déterminer ce qui compte et ce qui n’a aucun intérêt pour nous. Chez les asiatiques, posséder peu, c’est posséder mieux. C’est aussi développer un lien spécial à ce « peu » d’affaires personnelles, leur donner une valeur qui se sent et se ressent. Tout est énergie… Les bons objets sont ceux qui nous rappellent des moments heureux, des moments de gloire parfois. Les autres ne sont donc pas utiles. Trier le « début de son histoire » et la ré-ordonner est une bonne chose.

Si vous souhaitez engager votre guérison intérieure, revoir le sens de votre vie, donner un sens à votre vie et rebooster votre personnalité et votre confiance en vous, consultez la page « Coaching : Un Sens à ma Vie ».

 

Personnalité et Congruence : Ces quelques habitudes qui vous desservent …

Certains ont une aisance, une personnalité affirmée, une empathie doublée d’un style… mais quels sont leurs secrets ?

A chaque personnalité ses avantages

Certaines personnes ont une personnalité introvertie. Cela ne les empêche nullement d’être, par exemple, efficaces au travail… D’autres ont une personnalité très extravertie, ce qui peut leur servir notamment dans les métiers de communication ou dans le domaine de la vente… D’autres enfin oscillent entre les deux et se montrent plutôt « adaptables », ce qui est assez recherché à l’heure actuelle par les employeurs mais pas que…

Décrypter les codes

Ce que je constate toujours avec surprise, chez les gens qui réussissent facilement dans la vie et qui sont très épanouis, c’est que – bien souvent – ils n’analysent absolument pas leur personnalité mais connaissent parfaitement leurs comportements et leurs objectifs. Ils « couplent » ces deux critères : le comportement et l’objectif pour obtenir le meilleur des autres et d’eux-mêmes. Et, la plupart du temps, ces gens ont, en plus – de par leur vision élargie de la vie – un véritable Savoir-être ! Je ne dis pas qu’ils ont potassé jour et nuit le fameux et indispensable « Guide des usages et des protocoles » mais plutôt que le fait de s’intéresser à l’Autre et aux autres leur a permis d’assimiler les us et les coutumes, les « codes » de différents milieux…

Un style bien à elles

J’ai cherché pendant mes années de jeunesse à analyser (pour moi-même au début, puis pour mes clients) la personnalité et les comportements de ces personnes à la fois sûres d’elles, empathiques, fermes et décisionnaires le plus souvent… Cerise sur le gâteau elles ont presque toujours, par dessus le marché, un style vestimentaire unique, bien à elles, qui font qu’on les reconnait immédiatement entre mille. Plus que de développer leur propre « marque » de personnalité, elles en infusent tout leur univers. Ce sont donc des personnes « créatrices » (et non des « suiveuses ») qu’on respecte parce que tout en restant souples elles ne perdent absolument ni leur assurance, ni leur personnalité…

Beaucoup de raisons à cette réussite

Quand je côtoie des personnes inspirantes, dans le cadre de mon travail au cabinet ou ailleurs (en voyages de groupe par exemple, c’est passionnant de les observer), je remarque toutes les raisons pour lesquelles elles sont tellement appréciées, toutes les raisons pour lesquelles, oui, elles « réussissent » (leur vie).  Il y en a tant (cela va du développement de personnalité : chacune d’elles a ses secrets. Chacune d’elles s’ouvre l’esprit de façon différente, parfois par la lecture très régulière d’ouvrages spécialisés sur leur domaine, d’autres par la pratique de la méditation ou l’application de routines très exigeantes…), des raisons, qu’il me serait impossible de les citer, de les trier et de les qualifier.

Par contre voici, et j’en ai eu la confirmation par chacune, ces choses que ces personnes ne font JAMAIS !

  1. Avoir une image confuse de leurs objectifs principaux et secondaires

Toutes ces personnes très inspirantes qui réussissent leur vie (attention je ne parle pas forcément de réussite financière, la notion de succès va bien au-delà) ONT UN PLAN. Elles ne se lèvent pas le matin « au petit bonheur la chance » en attendant de voir ce que la vie va leur offrir… Même leurs objectifs secondaires sont planifiés, remis à jour, peaufinés. C’est peut-être pour cela qu’elles organisent leurs vacances aussi bien que leurs conférences ou leurs réunions de travail ! Travailler sur des objectifs CLAIRS, PRÉCIS, DÉFINIS en détail forge aussi la personnalité au fil du temps !

2. Parler avec des mots peu clairs, peu précis ou aborder des notions en utilisant un vocabulaire confus

Les personnes inspirantes et épanouies dans leur rôle et leur statut trouvent les bons mots. Je reçois parfois au cabinet des gens brillants qui, parce qu’ils n’ont pas une totale confiance en eux, parlent à voix basse ou butent sur les mots. Après 3 ou 4 séances de Communication verbale, cette attitude handicapante devient un mauvais souvenir. Les personnes inspirantes et épanouies qui réussissent n’ont pas peur d’aborder tous les sujets qui les intéressent ou les concernent par « l’écoute active » et « réflective ». Elles ont la capacité de résumer rapidement par quelques mots pointus les propos de leur interlocuteur et de faire avancer ainsi la conversation.

3. Se prêter à des « joutes verbales »

Les personnes inspirantes, épanouies, sûres d’elles à qui tout semble réussir ne s’encombrent pas des propos défaitistes ou contraires des autres. Elles fuient les joutes verbales comme la peste… Lorsqu’on les agresse injustement elles arrivent à clore la discussion et à passer immédiatement à autre chose. Elles ont gagné cette aptitude en travaillant leur concentration. Les « joutes verbales » ou « avoir raison » ne les intéresse pas. Elles voient les discussions infructueuses comme une pure perte de temps…

4. Copier les autres, essayer de les imiter ou « faire comme eux »

Les personnes hautement inspirantes qui réussissent ont compris ceci : si leur personnalité pèche ce n’est pas en « captant » des attitudes, des looks, des attributs chez les autres qu’elles l’amélioreront ! Au contraire elles savent que de copier les autres ne leur servira qu’à se sentir encore plus mal ! Leur règle d’or est la suivante : « Lorsqu’on regarde ce que font les autres, on dilue son propre pouvoir ! » (A.Wintour, directrice de Vogue). Leur adage pourrait être le suivant : « Mieux vaut être mal aimé pour ce qu’on est qu’aimé pour ce qu’on est pas… » Réellement avoir sa propre personnalité, son propre style, ses propres techniques (clairement définies) d’action est un booster de confiance en soi.

De nombreux ouvrages existent sur ces personnes qui réussissent (P? Comment ? Quelles sont leurs habitudes ?) mais la meilleure méthode pour se sentir en congruence avec soi-même est encore de travailler tous ces aspects par soi-même en partant d’un vaste brainstorming et de définir une stratégie pour développer efficacement sa personnalité.  C’est un travail long mais passionnant qui ouvre des portes insoupçonnées…

 

Etes-vous en quête de Sens ?

Existence en Sens

Certaines personnes ont des talents et des dons si visibles, si innés, qu’il leur est impossible (et qu’il est impossible aux autres) de passer à côté ! Etre brillant dans un domaine dès l’enfance peut permettre de trouver son appel, sa mission de vie effectivement… Pourtant ce n’est pas parce qu’on excelle dans un domaine que c’est forcément celui dans lequel il faut se lancer à corps perdu et engager son existence…

Talents sous influence(s)

Parce qu’une aptitude n’a rien à voir avec don ou un talent inné, beaucoup de personnes, qui subissent – entre autre – l’influence de leurs parents, de leurs professeurs, de leur cercle d’amis et plus directement des médias et des réseaux sociaux, ne trouveront jamais leur réelle voie…

Un seul objectif peut conférer LE fameux « Sens à sa vie » !

Qu’est-ce que « trouver sa voie » ? Je ne parle pas que de profession, ce serait trop simpliste, je parle de « sens » à donner à sa vie. Ainsi une jeune femme travaillant dans une boutique et n’aimant pas particulièrement son job de vendeuse peut tout à fait avoir une vie pleine de sens si, chaque été, elle se rend, comme elle l’aime, dans un pays méditerranéen pour exercer sa passion : sauver les bébés tortues de mer en voie d’extinction (que les touristes menacent d’écraser de leurs tongs)… Si elle est passionnée par cette sauvegarde organisée par une association internationale et qu’un mois par an elle sent qu’elle a atteint le sommet de son épanouissement grâce à ses vacances participatives alors c’est parfait ! Une vie pleine de sens s’ouvre à elle et elle n’en restera probablement pas là… Peut-être reprendra-t-elle des études en Conservation animale plus tard, peut-être postulera-t-elle pour une autre association internationale de sa connaissance ou intégrera-t-elle celle-là etc.

Répondre à un appel en restant authentique

Mais trouver sa voie et mener une vie pleine de sens n’est pas forcément œuvrer dans le caritatif ou faire des choses extraordinaires ! C’est simplement se sentir en congruence avec ce qu’on est authentiquement ! Découvrir son objectif dans la vie, trouver son rôle, sa place, la plus épanouissante possible, voici ce qu’est mener une vie pleine de sens ! Votre passé (mis à part les croyances qui en découlent) n’a pas grand chose à voir avec cette quête de sens. Vous pouvez vous en affranchir afin d’aller vers la Meilleure version de vous-même ! Vos « grandes lignes » de vie n’impactent donc pas votre vie de demain ! Et c’est plutôt une bonne nouvelle !

Comment vivre une vie pleine de sens et marquer le changement de façon durable ?

Je propose un coaching « Un Sens à ma vie » s’effectuant sur 9 heures.

Ce coaching s’effectue sur 9 heures au total. Il peut s’effectuer en 5 sessions (1 heure de bilan + 4x 2 heures). Il inclut un suivi téléphonique lorsque c’est nécessaire. Vous repartez avec le bilan du coaching et un certificat de participation. Il est géré par une entente signée par le coach et le coaché.

Comment je procède pour aider mes clients à y voir plus clair dans leur « appel » ?

Pour résumer et en quelques mots : ce n’est pas parce que vous êtes bon pour une chose en particulier que cela constitue votre mission de vie, celle qui vous fera vous sentir « complet ».

J’aide mes clients à analyser leur passé à travers : les dons, la personnalité et les « coïncidences » (auxquelles je ne crois nullement…). Même une expérience négative a pu constituer à un moment donné de votre vie un tremplin extraordinaire pour votre « appel » ! Peut-être avez-vous raté ce tremplin car trop absorbé par votre apparent échec (je ne crois pas qu’un échec existe, je crois qu’il n’y a que des expériences de vie) ou parce que vous étiez profondément influencé par des proches, une idée de la vie parfaite ou autre chose…

Quand je travaille avec un client sur sa quête de sens, je lui demande de me parler spontanément de son enfance, de ce qui l’a marqué, peiné, enthousiasmé, de ses passions d’enfant, d’adolescent puis de jeune adulte… De sa personnalité, de ses événements marquants, de ses « dates-charnières » des informations capitales sont extraites… Quelles sont les expériences qui ont changé sa vie en mieux et pourquoi ? Et en pire, pourquoi ? Le client, au fil des séances, est amené à rédiger son « Manifeste pour une vie pleine de Sens » … C’est un programme passionnant qui l’aidera tout au long de sa vie…

En résumé ce Coaching 🏆 « Du Sens à ma Vie » est l’occasion unique pour celui qui y participe de trouver sa voie en restant dans son authenticité naturelle !

Contactez-moi pour en savoir plus !

Changer de vie ? Oui mais l’accompagnement est incontournable !

Se faire accompagner à l’installation, par le Coaching en Suppression des croyances limitantes et le Consulting en leadership entrepreneurial

Notre monde va de plus en plus vite. Il est de plus en plus connecté et les conséquences sont, pour la plupart des salariés ou des demandeurs d’emploi, une déshumanisation galopante… Aussi, l’homme qui ne se sent pas épanoui dans sa vie personnelle ou dans son « statut » rêve de « changer de vie ». Pourtant « changer de vie » n’est pas anodin et le rêve reste du rêve… Tout le monde n’est pas prêt à se confronter à la réalité, et peu de ceux qui décident réellement de « sauter le pas » comprennent pleinement ce que le concept de changement sous-tend à long terme…

… Car « changer de vie » est très différent de changer d’emploi ou de changer de partenaire ou de ville… « Changer de look » de corps ou d’attitude, voir la vie différemment, changer sa vision des choses et des évènements peut initier un « changement de vie ». Pourtant tout chambouler en perdant ses repères, ses racines, son confort et sa sécurité est un concept hautement déstabilisant. Le jeu n’en vaut pas toujours la chandelle et c’est plutôt positif que de l’admettre. Explications.

De salarié à « sans filet » …

Chaque année, des milliers de personnes sautent le pas du changement de vie. Avec plus ou moins de bonheur il faut en convenir… Passant du statut très sécurisé de salarié à celui, par exemple, d’autoentrepreneur, un statut relativement « précaire » surtout dans les domaines ne touchant pas directement au commerce… Certains veulent changer de cap, d’autres expérimenter le retour à Soi ou à la nature. Hélas si ce changement n’est pas préparé avec soin, cette aventure – plutôt désirable et excitante – à la base peut virer au cauchemar… Souvent la faute à un manque de réalisme et de préparation.

Écouter et comprendre les « déçus » du grand changement …

Ainsi au cabinet, je reçois des « déçus » du grand « changement de vie » qui se sentent « leurrés » par un système médiatique qui leur a tant fait croire qu’il était « facile d’entreprendre » (en Auvergne ou ailleurs…) et que la bonne volonté suffisait bien… Pour exemple cette jeune femme pour qui la « mise à son compte » dans un local coûteux en centre-ville n’aura pas excéder 3 mois : le temps de se rendre compte qu’avec quelques ventes journalières d’objets « écolos » elle ne pourrait pas continuer de payer les 1000 euros de loyer mensuels nécessaires à offrir un « pignon sur rue » à son activité… C’est un fait : beaucoup de nouveaux entrepreneurs désireux de bien faire dépensent sans compter pour des sites web qui ne rapportent que peu de trafic et peu de clients, des cartes de visites hors de prix qui ne touchent qu’une personne sur 2000, des formations onéreuses pour « devenir autonome dans son domaine », formations vendues par des entrepreneurs qui eux-mêmes n’arrivent pas à trouver de clients … Cette mise en danger financière est très pesante et génératrice de stress… Oui notre société nous vend des success stories qui « zappent » les phases peu « glamour » du changement : la nécessaire coupure d’avec sa zone de confort, la prospection commerciale vitale, la fidélisation difficile de ses clients etc. Parfois aussi je reçois des gens avec un profil très casanier, qui se sont laissés tenter par des amis entrepreneurs dans l’âme, les prenant comme modèles… Là le projet aurait mérité d’être redéfini. Une thérapie pour gagner en confiance en soi aurait été profitable « avant »…

Aucune expérience n’est similaire …

Hélas aucune expérience d’entrepreneuriat n’est similaire. Il n’existe pas de copié/collé en ce domaine. Nous avons tous eu dans nos classes, enfants ou jeunes adultes, des gens paraissant peu enclins à la réussite ou à l’entrepreneuriat qui ont fait mentir nos prédictions défaitistes à leur égard… Il n’y a pas de loi mais il est tout de même possible de mettre des atouts de son côté lors d’un grand changement professionnel…

Après 20 ans d’entrepreneuriat dans la Communication puis la Thérapie, je suis l’une de celles qui peuvent témoigner de ce qui s’apparente à un mode de vie : on ne se fait jamais, hélas, à l’irrégularité de l’activité même si des mois sortent nettement du lot dans l’année. Il faut plus qu’une envie de « changer de vie » pour non pas « réussir » mais bien pour « durer » car là est le but ! Il n’y a rien de péjoratif dans le fait de durer. Il faut juste au préalable avoir bien défini ses objectifs… Alors le succès peut être au rendez-vous.

Quels sont vos buts premiers ?

En « changeant de vie » et en se mettant à son compte on souhaite souvent obtenir davantage de temps pour soi et pour sa famille ou se délester du poids pesant d’un patron exigeant ou en décalage avec nos valeurs profondes. On recherche de la fraîcheur, l’excitation d’être son seul patron avec la liberté que cela peut induire. Pourtant l’aventure peut tourner court. En étant entrepreneuse depuis 1999, j’ai tout de même toujours compté, en plus de mes clients particuliers, de grosses entreprises parmi ma clientèle. Certaines « sessions » de travail régulières me faisaient presque oublier parfois  que oui j’étais bien à mon compte… Il m’arrivait ainsi de demander l’autorisation à un client majeur de « poser mes congés »… Au fil du temps le stress professionnel peut revenir, se déplaçant à un niveau autre. La pression que les autres nous mettaient hier, nous pouvons très bien nous l’imposer aujourd’hui nous-mêmes !

Une offre de consulting pour se mettre à son compte

C’est pourquoi, après 20 ans d’entrepreneuriat, j’ai monté mon offre de consulting à destination de ceux qui veulent « changer de vie ». Être accompagné, développer sa posture de décideur et de leader sont des étapes plus que nécessaires, même lorsqu’on a occupé un poste à haute responsabilité (ce fut mon cas puisque je gérais des équipes de journalistes et de rédacteurs pour un groupe de presse national après avoir fondé mon agence-conseil en communication à Paris). Le consulting permet d’obtenir un regard bienveillant différent mais aussi « challengeant ».

Sept années pour gagner une expertise complète…

Travailler pour soi est si différent que cela demande, en plus de l’abnégation et du positivisme incontournables, des techniques et des pratiques (notamment de prospection et de fidélisation de la clientèle) bien rodées. Souvent le temps de les acquérir comme expertises est « trop long ». C’est quand on « ferme sa boite » pour raisons financières que cette expertise commençait à peine à poindre… D’où une certaine frustration des nouveaux arrivés en « solo ». Une expertise dans un domaine nouveau, c’est en général 7 ans de pratique intensive quel que soit le domaine, niveau Cadres.

Connaître ses croyances limitantes

C’est pourquoi le Coaching en Suppression des Croyances limitantes mené à son terme (12 séances) est si utile pour apprendre à se connaître, définir ce qui nous freine (qui ne freinera pas forcément un autre). Ce travail incontournable pour se mettre à son compte et aller en confiance et en sérénité ne se fait pas sans « inconfort ». Sortir de sa bulle de confort est nécessaire ainsi que la remise en question de ses pratiques et de ses postures. Parfois un positivisme à toute épreuve ne suffit pas ! Le sujet n’est pas là. Il est ailleurs : par exemple dans l’organisation, la capacité ou non à planifier au moins à 6 mois, la capacité ou non à oser pousser des portes… Celle à apprendre de ses échecs parfois.

Sans cadre la belle initiative tourne au vinaigre…

Comment termine un « changement de vie » non cadré pour des gens qui n’ont pas une pleine confiance en eux, une expertise incomplète de leur activité et peu d’appuis ou de réseau ? Souvent par un « jeté d’éponge » qui sera difficile à surmonter. La belle initiative de liberté et d’indépendance tourne souvent au vinaigre bâtissant de nouvelles croyances limitantes…  Alors comment savoir que vous êtes prêt à passer le cap du grand « changement de vie »  du moins professionnellement parlant ?*

Vous êtes prêt à vous lancer si …

  1. L’expérience acquise dans votre domaine est énorme. Ainsi vous connaissez votre sujet sur le bout des doigts. Il est aisni plus facile de le vendre. Cette expérience peut être acquise sur le terrain par l’expérience ou en formations. Mais les formations doivent toujours mener à une pratique réelle… Car les données sans pratique s’oublient rapidement…
  2. Vous avez suffisamment de ressources financières pour réorienter vos objectifs en cas de manque de clientèle…
  3. Vous êtes capable de définir clairement vos croyances limitantes mais aussi de faire émerger chez vous des croyances aidantes. Comment transformer les croyances portantes en « outils aidant » au grand changement ? Ce processus-ci doit être clair !
  4. Vous êtes capable d’aller vers l’autre, de demander de l’aide, de taper aux portes et si le succès ne suit pas de changer vos techniques. Lorsque quelque chose fonctionne il faut savoir ne rien changer. Par contre lorsqu’une méthode n’a pas fait ses preuves il faut pouvoir la remplacer par une plus efficace même si pour cela il vous faut tenter des pratiques que vous ne connaissez que peu…
  5. Vous êtes capable de calculer immédiatement le gain et la perte que chaque choix va entraîner sur votre activité. Comment arrive-t-on à cela ? En simulant, en comparant, en se trouvant des mentors qui sont déjà passés par là…
  6. Le projet de vie est défini parallèlement au projet professionnel mais aussi financièrement et au niveau du planning (combien d’heures au total pour quel gain?)
  7. Il est très important de définir vos objectifs et ce que signifie pour vous la réussite (survivre, vivre de votre activité, vivre confortablement, ou plutôt préserver votre calme, votre santé, vos dons, votre famille ?) La réussite ne pouvant se résumer à une histoire de chiffres…
  8. Bien entendu il faut être « dans votre  appel » car la passion et la compréhension d’un secteur particulier génèrent toujours une certaine réussite au fil du temps. Attention de ne pas vous laisser influencer par les « appels » des autres, souvent présentés comme des « voies royales » à imiter, notamment par les médias… mais aussi par les principaux intéressés qui font de la « pensée positive » à outrance devant les autres même si, dans la réalité, tout n’est pas si rose… Lorsque vous devez admirer quelqu’un pour son activité professionnelle sachez que la difficulté est deux fois plus difficile qu’il ne le dit et que ses gains sont probablement moins conséquents que ce qu’il n’affiche pour « faire bien »… On le sait il ne fait pas bon dire que son commerce « vivote »…

Vous avez un projet de « changement de vie », de vision ou de cap professionnel ? Vous souhaitez en parler avant de vous lancer ? Vous êtes décidé à vous mettre à votre compte ou à changer de voie ? Découvrez ma formule de Consulting en Leadership entrepreneurial !

Il vous permettra d’asseoir votre position de leader face à vos clients et à vos collaborateurs mais aussi d’entrer dans un process gagnant-gagnant agissant, au fil du temps, comme un cercle vertueux…