Les charges mentales de la rentrée scolaire pour toutes les mamans…

La rentrée scolaire 2025 arrive ! Etes-vous prêtes ?

Ça y est les mamans, nous y sommes : la rentrée scolaire 2025 ! J’ignore comment vous vivez personnellement ces derniers jours de « vacances » mais je sais que, pour la plupart de mes clientes, la rentrée est vécue avec une sérénité nouvelle (puisque nous y avons travaillé ces jours-ci)… Pour celles qui débutent à peine la sophrologie, il y a encore quelques inconnues au programme : comment trouver la force et la motivation de recommencer son activité professionnelle avec une vision nouvelle tout en accordant suffisamment de temps aux changements qui participent à l’évolution et à l’apprentissage de nos petits ?

Un moment in-con-tour-nable !

Je réagis énormément aux émotions liées à la rentrée des classes… Personnellement j’ai un peu de mal à supporter la vision de ces petits êtres (quelques-uns) qui pleurent en quittant leurs parents à la grille de l’école ou dans la cour de récréation. Mais voilà, on compatit et il nous faut avancer ! Car qu’on l’attende avec impatience ou qu’on la craigne, une certitude : elle se produira tout de même !

La rentrée scolaire n’est pas qu’une affaire de cartables, de fournitures et de plannings. Pour beaucoup de mamans, c’est une période où la charge mentale s’intensifie, parfois jusqu’à l’épuisement. Derrière ce terme aujourd’hui connu, se cache un poids invisible : l’obligation de penser à tout, tout le temps, pour tout le monde.

La charge mentale des mamans salariées

Pour les mamans salariées, la rentrée agit comme un amplificateur. Elles doivent redevenir pleinement efficaces au travail tout en étant présentes pour les enfants. Le mental tourne sans cesse : ne pas oublier la réunion de 9h, anticiper le rendez-vous orthodontiste, prévoir qui récupère le petit mercredi.
Cette double pression professionnelle et familiale nourrit un état d’alerte permanent, parfois proche du stress chronique. Le cerveau ne se repose jamais, même le soir au moment de s’endormir.

La charge mentale des mamans freelances

Nous ne sommes pas épargnées. A mon compte depuis 1999, je sais exactement ce qui tourne dans la tête des mamans freelances. Notre statut paraît enviable mais… Chez les mamans freelances, le paradoxe est celui de la liberté contrainte. Elles travaillent à la maison, ce qui donne l’illusion d’une disponibilité totale. Mais en réalité, elles doivent gérer les interruptions constantes, la tentation de faire tourner une machine entre deux visios, ou de préparer le déjeuner en même temps qu’elles envoient une facture ou reçoivent un client fidèle…
La frontière entre vie pro et vie perso devient poreuse, générant un sentiment de dispersion, parfois de culpabilité : ne jamais être “assez” présente ni pour ses enfants, ni pour son activité.

Personnellement je dois éliminer des petites charges mentales sur la rentrée scolaire : je ne regarde plus les actualités (trop stressant), je fais les courses très tôt le samedi matin et j’en prends assez pour ne pas avoir à me redéplacer dans la semaine, je planifie les menus à l’avance. Je note tous mes rendez-vous mais aussi ceux des enfants dans un grand planning qui reste dans la cuisine à la vue de tous. Je ne réponds pas aux messages qui peuvent attendre au mois de septembre et surtout je ne me lance dans aucun projet qui ne soit pas vital financièrement à cette époque. Enfin, même si la rentrée est là, je termine mes « dossiers » en fonction de leur ordre d’arrivée ce qui signifie qu’en septembre et octobre je ne veux pas entendre parler de « devis urgent » ou de projet nécessitant ma présence immédiate. Je préfère perdre de nouveaux prospects peu fiables que de perdre la main sur mon planning !

La charge mentale des mères au foyer

Les mères au foyer, souvent invisibles dans ces discussions, portent pourtant une charge mentale massive. Responsable à plein temps du foyer, elles doivent penser à tout ce qui ne se voit pas : courses, repas, ménage, linge, mais aussi suivi scolaire des enfants.
Cette vigilance constante peut mener à une fatigue psychique profonde, surtout quand elle n’est pas reconnue ou valorisée. L’impression d’être indispensable mais jamais considérée pèse lourd sur l’équilibre émotionnel. Notons aussi que certains papas considèrent que si la maman est à la maison, la maison doit être « nickel »… Ce point de vue est contestable…

Les charges mentales liées aux enfants

Au-delà du rôle social de chaque maman, la rentrée active aussi des tensions émotionnelles liées aux enfants :

  • L’aîné qui part vivre seul : une étape charnière. Derrière la fierté, se cachent inquiétudes et angoisses : saura-t-il gérer ses repas, son budget, ses études ? Le mental maternel continue de “penser pour lui”, même à distance.
  • Le cadet en primaire : chaque soir, les devoirs rappellent la vigilance parentale. Les oublis, les frustrations, les petits échecs scolaires pèsent autant sur l’enfant que sur la maman, qui porte le rôle de soutien, de contrôle et de réassurance.
  • La cantine : un sujet récurrent de stress. Allergies, repas mal adaptés, refus de l’enfant ou manque de place… la maman se retrouve souvent en première ligne pour “trouver une solution”, parfois dans l’urgence.

Le mécanisme psychique de la charge mentale

La charge mentale n’est pas qu’une question d’organisation. C’est un processus psychique d’hypervigilance : le cerveau reste en alerte, anticipe, planifie, vérifie. Cet état permanent empêche le relâchement et peut mener à l’irritabilité, au surmenage, voire au burn-out parental.

Pistes pour alléger la charge

Quelques leviers existent pour réduire cette surcharge :

  • Partager réellement les responsabilités avec le conjoint ou l’entourage, sans se limiter à “déléguer l’exécution” mais en partageant aussi l’anticipation.
  • Déculpabiliser : accepter que tout ne soit pas parfait, que l’oubli fasse partie de la vie.
  • Poser des limites claires (horaires de travail, moments pour soi, temps déconnectés).
  • Valoriser son rôle : reconnaître soi-même la somme de tâches invisibles accomplies, pour sortir du sentiment d’ingratitude.

En conclusion

La rentrée met en lumière le poids invisible que portent de nombreuses mamans : celui de penser pour elles, mais aussi pour les autres. Comprendre la mécanique de cette charge mentale, c’est déjà un premier pas pour la soulager. Car une maman qui respire, qui s’autorise à lâcher du lest, transmet aussi à ses enfants un modèle d’équilibre et de bienveillance.

Débordée en cette rentrée, avec l’envie de vous créer de l’espace ? N’hésitez pas à me contacter et à découvrir mes forfaits de sophrologie, psychopratique et d’hypnose.

Est-il possible de mieux réaliser ses rêves avec la sophrologie et la Gestion des Emotions ?

Réaliser ses rêves est un chemin semé d’embûches, surtout pour les artistes et les créatifs ! Beaucoup ressentent en eux une vocation forte, un talent à exprimer, mais se heurtent à des blocages qui les empêchent de concrétiser leurs projets. Peur du rejet, doutes intérieurs, pression sociale… autant d’obstacles qui freinent l’élan ! La sophrologie, en tant que discipline alliant relaxation et visualisation, offre des outils précieux pour se libérer de ces entraves et avancer vers ses objectifs avec sérénité.

Etant moi-même thérapeute en cabinet et entreprises, mais aussi auteur-compositeur SACEM ayant produit de nombreux albums et titres, notamment pour des artistes français, américains et allemands, plasticienne exposée et auteure éditée, je peux vous livrer ma propre expérience. Rien n’arrive par hasard ! Rien ne s’effectue non plus par hasard ! Pour obtenir un privilège il faut parfois décrocher son téléphone et se vendre encore et encore et souvent c’est cela que les artistes et les personnes sensibles ont du mal à faire. Pire : certains se sabotent. On leur propose de s’inscrire à la SACEM pour enfin tirer des bénéfices de leurs compositions mais ils préfèrent de loin ne rien toucher en passant par Creative Commons ! Dans le contexte actuelle c’est une aberration !

Prise de conscience

Avant 2006, j’avais du mal à avoir confiance en moi. Heureusement, au fil des années, j’ai écrit des centaines d’articles culturels et spirituels pour des magazines français et suisses, ainsi que pour des journaux nationaux. De plus, je suis dans le coaching depuis 1999. J’ai forgé ma volonté en même temps que celle de mes clients ! Le fait que mes proches me reconnaissent à travers mon travail (« On a vu ton dernier article dans tel magazine » ou « On t’a entendue à la radio ») m’a aidée à prendre conscience de mes capacités.

Lorsqu’on s’exprime à travers la communication ou l’art, on reçoit autant de retours positifs que de critiques. Avec le temps, j’ai compris l’importance de donner plus de place aux encouragements qu’aux jugements. La sophrologie m’a beaucoup aidée à gagner en confiance et à mieux gérer mes émotions. Un jour, j’ai décidé de me concentrer sur le positif, et cela a eu un vrai impact sur ma vie, aussi bien dans mon travail de thérapeute que dans mes activités d’auteur et d’artiste.

Se détacher de l’avis des autres pour conserver son énergie en totalité

Récemment, j’ai encore renforcé ma confiance en moi grâce à la visualisation positive. J’ai enfin osé m’inscrire à une formation en ligne de l’université de Harvard, aux États-Unis. Après six mois d’anglais intensif et de tutorat à distance sur des sujets complexes comme l’accompagnement des personnes autistes (domaine dans lequel j’étais déjà certifiée en France), j’ai obtenu mon certificat avec succès !

C’est une démarche que je n’aurais sans doute pas entreprise si j’avais prêté attention aux remarques décourageantes autour de moi. Quand on se lance dans un projet qui nous tient à cœur, certaines personnes bienveillantes nous soutiennent, tandis que d’autres, par jalousie ou incompréhension, peuvent nous freiner. J’ai d’ailleurs remarqué que cette attitude était plus marquée en France qu’aux États-Unis, en Allemagne, en Angleterre ou en Espagne, où l’encouragement est plus naturel.

Changer le message d’adversité en un message de volonté

En renforçant mon mental, j’ai réalisé il y a une douzaine d’années que non seulement je parvenais à prendre du recul face aux critiques, mais qu’elles devenaient même une source de motivation. J’ai beaucoup travaillé sur moi grâce à l’hypnose, en adoptant un état d’esprit différent : « Plus je suis critiquée, plus mon envie de créer grandit. Plus on essaie de me freiner, plus cela me pousse à avancer. » Et je peux vous assurer que cette approche fonctionne aussi bien pour moi que pour mes clientes ! Une preuve de son efficacité ? Après quelques séances, la plupart finissent par ne plus prêter attention à la personne qui les avait tant affectées, au point d’en oublier jusqu’à son nom.

A l’heure actuelle, il vaut mieux donc pour ceux qui cherchent à me décourager ou à décourager mes clientes, ne rien dire du tout car nous sommes absolument reprogrammées pour mieux réussir lorsqu’on nous témoigne une forme d’adversité ! Vous ne rêvez pas ! Je suis tout à fait transparente et honnête sur les postures mentales qu’il nous est possible de modifier par la sophrologie et l’hypnose !

L’artiste face à ses peurs : l’exemple de l’écrivain

Prenons le cas d’un auteur qui souhaite être publié. Il a terminé son manuscrit, mais il redoute le regard des maisons d’édition. Et si son travail n’était pas à la hauteur ? Et s’il essuyait refus sur refus ? Ce doute peut conduire à l’inaction : au lieu d’envoyer son texte, il le perfectionne indéfiniment, cherche des excuses, et finit parfois par abandonner. J’ai vu cela aussi dans le monde de la peinture : quelqu’un a suivi quelques cours en ligne mais réalise de superbes portraits. Je lui propose d’exposer avec moi. Sa réponse : « Oh non, certainement pas, je ne suis pas prêt car moi je n’ai pas fait de grande école d’art ! » Voici l’expression absolue du sabotage !

La sophrologie l’aidera à mieux gérer ces peurs irrationnelles. En travaillant sur la respiration et la relaxation, il peut calmer son anxiété. Grâce à des exercices de visualisation positive, il apprend à se projeter avec confiance : il imagine le moment où il envoie son manuscrit, où il reçoit une réponse favorable. Peu à peu, cette image devient plus forte que ses craintes, l’incitant à passer à l’action.

Sortir de la peur du jugement

L’un des plus grands freins à la réalisation de soi est la peur du regard des autres. On craint d’être jugé, critiqué, désobéir à certaines attentes familiales ou sociétales. Pourtant, attendre l’approbation extérieure est souvent une impasse. La sophrologie aide à se recentrer sur soi-même, à comprendre que l’opinion des autres ne définit pas notre valeur. En renforçant la confiance en soi et en cultivant une posture d’affirmation, on apprend à avancer sans se laisser freiner par des jugements extérieurs.

D’autres exemples concrets

  • Le peintre qui n’ose pas proposer ses toiles à une galerie peut utiliser la sophrologie pour travailler sur l’affirmation de soi et la prise d’initiative.
  • La couturière qui rêve de lancer sa marque, mais doute de sa légitimité, peut s’entraîner à visualiser ses premières clientes enthousiastes.
  • L’orateur qui veut donner des conférences mais redoute de prendre la parole en public peut utiliser des exercices de respiration et de gestion du stress pour transformer son trac en énergie positive.

Vers une concrétisation plus sereine de ses projets

Se lancer dans un projet artistique ou entrepreneurial n’est pas seulement une question de talent, mais aussi d’état d’esprit. La sophrologie permet d’apaiser les émotions qui paralysent et de cultiver une vision claire et positive de son avenir. En travaillant sur soi, on développe une force intérieure qui facilite le passage à l’action.

Les rêves ne deviennent réalité que si l’on ose leur donner vie. Avec la sophrologie et une meilleure gestion des émotions, chacun peut s’affranchir de ses blocages et avancer vers ce qui le fait vibrer, sans plus être freiné par ses peurs ou les opinions extérieures.

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Pourquoi l’hypnose ericksonienne est si efficace pour le sommeil, le stress et l’anxiété ? A Vichy, dans l’Allier

L’hypnose ericksonienne s’impose aujourd’hui comme une méthode thérapeutique puissante pour traiter des problèmes liés au sommeil, au stress, à l’anxiété, et au lâcher-prise. Mais il est également possible de tenter l’hypnose pour des problèmes d’addictions notamment Cigarette ou Sucre. De plus en plus de personnes à Vichy et dans l’Allier se tournent vers cette forme d’hypnose douce et respectueuse, notamment grâce aux nombreux témoignages de réussite. Mais en quoi l’hypnose ericksonienne diffère-t-elle, et pourquoi est-elle si efficace pour ces problématiques?

Qu’est-ce que l’hypnose ericksonienne?

L’hypnose ericksonienne, développée par le psychiatre américain Milton H. Erickson, repose sur des techniques de suggestion indirecte et d’écoute active. Contrairement à l’hypnose traditionnelle qui peut paraître autoritaire, cette approche accompagne le patient pour qu’il trouve lui-même les ressources nécessaires à son bien-être. La personne reste consciente et peut se détendre en toute sécurité, guidée par le thérapeute dans un état de relaxation profonde.

Les bienfaits pour le sommeil

Les problèmes de sommeil sont souvent liés à des pensées envahissantes, un stress chronique, ou des angoisses nocturnes. En hypnose ericksonienne, le thérapeute aide la personne à s’immerger dans un état de relaxation, où elle peut explorer et transformer ces blocages internes. À Vichy, par exemple, on pourrait imaginer C. , une femme de 45 ans, venant consulter pour des insomnies chroniques. Grâce à quelques séances d’hypnose, Claire apprend à apaiser son esprit, à libérer les tensions accumulées dans la journée, et retrouve ainsi un sommeil réparateur.

Gérer le stress et l’anxiété

Le stress et l’anxiété peuvent se manifester de multiples façons, parfois même sous forme de douleurs physiques. L’hypnose ericksonienne offre un espace sécurisant pour explorer les sources de ces tensions et s’en libérer en douceur. Prenons l’exemple de J., un jeune chef d’entreprise à Vichy, confronté à des épisodes de panique dus à la pression de son travail. En travaillant avec un hypnothérapeute, il parvient à changer sa perception des situations stressantes et à retrouver une paix intérieure. Cela lui permet de mieux gérer son quotidien sans être submergé par l’anxiété.

Le lâcher-prise et l’épanouissement personnel

Apprendre à lâcher-prise est souvent essentiel pour se sentir pleinement libre et heureux. Avec l’hypnose ericksonienne, il devient possible d’éloigner les pensées négatives et les émotions pesantes. À Vichy, on pourrait imaginer S., une mère de famille, qui se sent dépassée par ses responsabilités. En quelques séances, S. découvre comment relâcher ses préoccupations, prendre du recul, et se reconnecter à des sensations de calme et de légèreté.

Hypnose ericksonienne à Vichy et dans l’Allier : une approche humaine et efficace

Pour les habitants de Vichy et des environs, l’hypnose ericksonienne est une solution naturelle et efficace pour le sommeil, la gestion du stress, l’anxiété, et le lâcher-prise. Grâce à des professionnels formés, chaque personne peut trouver des solutions adaptées à ses besoins et à son rythme. Ce processus d’auto-guérison guidé permet de renouer avec soi-même, et d’apporter de véritables changements, positifs et durables.

Aujourd’hui, , je propose un mini-forfait d’hypnose 3 séances, pour 120 euros. La séance dure 40 minutes. N’hésitez pas à me contacter !

Les traces indélébiles de Milton H. Erickson : Un pionnier de l’Hypnose et son héritage Inspirant

Au cœur des contrées sereines du Wisconsin naquit, le 5 décembre 1901, un homme destiné à défier toutes les limites de la psyché humaine. Milton H. Erickson, personnalité marquée par la poliomyélite qui l’avait paralysé dans sa jeunesse, allait transcender son propre destin pour révolutionner l’art de l’hypnose !

Ses premières années, bercées par la lutte contre l’adversité physique, ont forgé la ténacité d’Erickson. Lorsque la polio tenta de le confiner dans l’impuissance, il répondit en développant des techniques d’auto-hypnose, éveillant ainsi une compréhension unique des rouages subtils de l’inconscient ! On devine déjà l’avenir brillant qui l’attendait…

Son parcours académique, marqué par l’obtention d’un diplôme en médecine à l’Université du Wisconsin en 1928, fut le prélude à une carrière prolifique. Spécialisé en psychiatrie et en psychologie clinique, Erickson allait transcender toutes les approches conventionnelles de l’hypnose.

L’Innovation dans les techniques de l’Hypnose

L’essence de l’hypnose ericksonienne résidait dans le départ radical de l’autoritarisme. Erickson a introduit une approche souple et permissive, s’adaptant à la singularité de chaque individu. Ses techniques se sont éloignées du traditionnel « ordre hypnotique » pour embrasser la collaboration et la compréhension profonde.

L’utilisation habile du langage métaphorique a été la pierre angulaire de sa méthode. Erickson a compris que l’inconscient réagit de manière plus profonde aux images symboliques qu’aux injonctions directes. Les histoires métaphoriques, tissées avec une maîtrise inégalée, devenaient les vecteurs d’une communication subtile et puissante avec l’inconscient de ses patients.

L’induction hypnotique ericksonienne était tout sauf conventionnelle. Plutôt que d’imposer une transe, Erickson laissait place à une induction indirecte, souvent camouflée dans des conversations apparemment anodines. Il exploitait les schémas de pensée propres à chaque individu, créant ainsi des expériences hypnotiques uniques et personnalisées. Il savait également « entendre » leurs goûts, passions, hobbies… pour subtilement les évoquer. Il pouvait ainsi évoquer le goût juteux de la tomate à un homme malade aimant le jardinage pour relancer en lui l’envie de manger.

Ses techniques étaient également empreintes d’une approche orientée solution. Erickson se concentrait sur les forces et les ressources internes du patient plutôt que sur les faiblesses, transformant ainsi la séance hypnotique en une exploration positive de l’esprit.

La Force de Caractère d’Erickson

La force de caractère d’Erickson, forgée dans l’enclume de la maladie, se manifesta aussi dans sa capacité à établir des liens empathiques avec ses patients. Sa relation avec eux transcenda les barrières traditionnelles, créant un espace de confiance et de collaboration inégalé.

Aujourd’hui, l’héritage d’Erickson perdure dans les bénéfices tangibles de l’hypnose. Les professionnels utilisent ses techniques pour traiter des maux psychologiques variés, allant du stress et de l’anxiété aux phobies et aux douleurs chroniques. Cette approche individualisée, née de la vision novatrice d’Erickson, continue d’inspirer les praticiens à travers le monde.

En conclusion, la vie de Milton H. Erickson, teintée de défis et de triomphes, demeure un témoignage vivant de la puissance de l’esprit humain. Son héritage, sculpté dans les méandres de l’hypnose, persiste comme une source d’inspiration inaltérable pour ceux qui aspirent à transcender les frontières de la compréhension psychologique.

Surmontez l’autosabotage grâce à l’Hypnose Ericksonienne : La clé pour déprogrammer les schémas cognitifs erronés

L’autosabotage, cette tendance qu’on certains à se mettre des bâtons dans les roues, peut souvent être enraciné dans des schémas cognitifs erronés. Ces derniers gouvernent nos pensées et nos comportements de manière inconsciente. Ces schémas, souvent issus d’expériences passées, peuvent créer des barrières totalement invisibles car inconscientes qui entravent notre croissance personnelle, notre évolution et parfois notre motivation à passer à l’action. C’est là que l’hypnose ericksonienne intervient comme une lumière guidant à travers les méandres de l’inconscient, permettant de contourner ces obstacles auto-imposés. Lisez l’article ci-dessous pour comprendre de quelle façon elle opère.

Comprendre l’autosabotage et les schémas cognitifs erronés :

L’autosabotage est souvent une réaction inconsciente à des expériences passées, où des échecs ou des traumatismes ont laissé une empreinte profonde dans le subconscient. Les schémas cognitifs erronés résultent de ces expériences, formant des croyances limitantes qui dictent nos pensées et nos actions, souvent de manière négative.

Les approches traditionnelles peuvent mettre du temps à démanteler ces schémas, mais l’hypnose ericksonienne propose une méthode plus rapide et plus directe pour atteindre l’inconscient.

De plus, à mon cabinet de Vichy, je propose une démarche préalable qui permet de cibler rapidement, avec votre coopération vos 2 à 3 distorsions cognitives majeures. En connaître 2 est déjà ultra-aidant ! Mais il se peut, parfois, que vous entreteniez 2 distorsions cognitives avec la même amplitude. Il est alors bon de déterminer la troisième, si elle existe, et de discuter avec vous des deux croyances majeures à modifier.

Ce que mes clients apprécient c’est que ce travail relevant des TCC (Thérapies Cognitives Comportementales) peut s’effectuer dès que nous avons fait connaissance donc dès la seconde séance. Ce travail préalable facilite la création d’inductions sur-mesure que je façonne pour vous.

La clé pour accéder à ce qui est inconscient

L’hypnose ericksonienne, basée sur les travaux du psychiatre et psychologue américain Milton H. Erickson, se distingue par son approche souple et indirecte. Plutôt que d’utiliser des suggestions directes, cette méthode favorise des suggestions indirectes, métaphoriques et narratives, s’adaptant ainsi à la manière unique dont chaque individu traite l’information. En état hypnotique, l’esprit critique diminue, permettant un accès plus direct à l’inconscient. C’est à ce niveau que l’hypnose ericksonienne peut agir sur les schémas cognitifs erronés en les reprogrammant avec des suggestions positives et bien plus constructives. Il est ainsi possible d’agir sur un manque de motivation, des peurs ou des phobies, la crainte de ne pas être à la hauteur, une mauvaise gestion des finances, un rapport négatif à l’argent ou à son corps, son physique… Pour les personnes trop perfectionnistes, lorsque cette distorsion vire à l’anxiété par exemple, il est possible de faire passer un message de suffisance (« je suis déjà suffisamment apte et capable comme cela »).

Contourner l’autosabotage :

L’autosabotage trouve souvent ses racines dans des pensées négatives profondément ancrées, telles que le manque de confiance en soi, la peur de l’échec ou le sentiment d’indignité. Souvent on vise le mieux, le plus haut, le plus beau plutôt que d’apprécier à leur juste valeur les belles choses qu’on possède déjà. L’hypnose ericksonienne cible ces schémas, les remplaçant par des suggestions qui renforcent la confiance en soi, l’estime de soi et la capacité à surmonter les défis. Parfois elle aide à rester dans la congruence.

Les suggestions peuvent prendre la forme de métaphores puissantes, créant des images mentales qui contournent les résistances conscientes et parlent directement à l’inconscient. Par exemple, une métaphore de transformation d’une chenille en papillon peut symboliser le processus de croissance personnelle et de changement positif.

Conclusion : Libérez-vous des chaînes de l’autosabotage avec l’hypnose ericksonienne :

L’hypnose ericksonienne offre une approche novatrice pour contourner l’autosabotage en agissant directement sur les schémas cognitifs erronés. En permettant un accès privilégié à l’inconscient, elle offre une voie rapide vers la reprogrammation mentale, permettant ainsi aux individus de surmonter les barrières qui les empêchent d’atteindre leur plein potentiel. Si l’autosabotage est le mur, l’hypnose ericksonienne est la clé qui ouvre la porte vers un changement positif et durable.

A mon cabinet de Vichy, je pratique l’hypnose eriksonienne. N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi, sans attendre que les écueils rencontrés se renforcent.

Il est également possible d’organiser des séances en visio. Je dispose d’une grande amplitude horaire à cet effet : de 19h00 à 23h00 du lundi au samedi.

La puissance transformatrice des Thérapies Cognitives : Comprendre et appliquer

Les Thérapies Cognitives (TCC) représentent un ensemble de techniques psychothérapeutiques visant à identifier et à modifier les schémas de pensée et de comportement qui causent des problèmes émotionnels ou comportementaux chez les individus. Les Thérapies Cognitives (TCC) reposent sur l’idée que nos pensées influencent nos émotions et nos actions, et en modifiant ces schémas de pensée négatifs ou déformés, on peut influencer positivement nos émotions et nos comportements. Les TCC s’appuient sur des protocoles structurés, impliquant souvent des exercices pratiques, des devoirs entre les sessions et une collaboration active entre le thérapeute et le patient.

TCC : Une Approche polyvalente

Les TCC englobent une variété de techniques, y compris la thérapie cognitivo-comportementale traditionnelle, la thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT), la thérapie dialectique comportementale (TDC), et bien d’autres. Elles sont utilisées pour traiter une gamme diversifiée de problèmes tels que l’anxiété, la dépression, les troubles alimentaires, les phobies, les troubles obsessionnels-compulsifs (TOC) et même les troubles de la personnalité.

Différence entre les TCC et la Thérapie Cognitive de Beck

La Thérapie Cognitive de Beck (TCB), développée par le Dr Aaron T. Beck, est une forme spécifique de TCC. Elle met l’accent sur l’identification et la modification des pensées automatiques négatives ou des schémas de pensée dysfonctionnels chez les individus souffrant de troubles émotionnels. Contrairement aux TCC qui englobent diverses approches, la TCB est plus spécifique dans sa méthodologie, se concentrant sur la thérapie centrée sur les pensées.

La Thérapie Cognitive de Beck et ses Associations

Ce qui distingue la Thérapie Cognitive de Beck des autres formes de TCC, c’est son orientation précise vers les schémas de pensée. Cependant, elle peut aussi s’associer à d’autres disciplines pour offrir une approche plus holistique. Par exemple, en combinant la TCB avec la sophrologie, les patients peuvent bénéficier d’une meilleure conscience corporelle et d’une gestion améliorée du stress. De même, l’ajout du coaching peut renforcer l’application pratique des apprentissages cognitifs dans la vie quotidienne, offrant un soutien supplémentaire pour la mise en œuvre des changements comportementaux.

Conclusion

Les Thérapies Cognitives, notamment la Thérapie Cognitive de Beck, offrent des outils efficaces pour aborder une variété de problèmes psychologiques en se concentrant sur les schémas de pensée et les comportements. Leur polyvalence et leur capacité à s’associer à d’autres disciplines comme la sophrologie et le coaching témoignent de leur adaptabilité et de leur volonté d’offrir des approches plus complètes pour le bien-être mental et émotionnel des individus.

Réécrire un évènement passé peut-il sauver notre présent ?

La sophrologie travaille sur le passé, le présent et l’avenir

La sophrologie propose de travailler sur le passé, sur le présent et sur l’avenir. C’est un outil formidable qui permet de se recentrer, de se détendre, de réveiller son potentiel intérieur et bien souvent de revoir son mode de vision des choses.

La visualisation créatrice, en dehors de tout exercice de sophrologie, est très efficace elle aussi si on sait comment la pratiquer, autrement dit comment communiquer avec son cerveau…

Penser positif ; un mode de vie !

La pensée positive, quant à elle, est un mode de vie à part entière qu’il convient d’utiliser à bon escient et d’une manière tout de même réaliste. Elle n’est en rien une méthode miracle d’autant plus que de la pratiquer quelques mois seulement ne suffira pas à se forger un mental de champion… Ce que bon nombre de thérapeutes omettent de vous dire. La pensée positive est un « mode » de pensée continu. Penser positif de temps en temps ne vous apportera pas beaucoup de satisfaction au final. Peut-être même aurez-vous la désagréable sensation de mentir aux autres en agissant comme une personne optimiste alors que vous ne l’êtes pas vraiment. Car la pensée positive occasionnelle agit un peu comme un régime « yoyo ». Il faut changer tout son mode d’alimentation à vie pour mincir et ne pas revenir en arrière. Il en va de même pour cette technique de bien-être…

Réécrire un court passage de sa vie

Il y a un outil que je considère comme très puissant. Il s’agit de la réécriture du scénario de vie. En fait il s’agit très rarement de réécrire toute une vie mais plutôt de détecter les éléments du passé qui font encore mal à l’heure actuelle où qui agissent comme des « bloqueurs » au quotidien.

J’ai commencé à étudier la réécriture du scénario de vie lors de ma formation de Coach en suppression des croyances limitantes. Mais rapidement j’ai constaté que la méthode préconisée renvoyait bien trop le client à son passé. Il y avait une partie du vécu qui était souvent très positive car pleine d’apprentissages. Mais ceci le client en était souvent inconscient. Tout réécrire était un travail énorme voire épuisant dont on ne voyait jamais la fin. Ce travail entraînait aussi une profusion d’opinions et d’avis personnels souvent inutiles et démoralisants et nous perdions beaucoup de temps. Les résultats n’arrivaient pas avant plusieurs semaines et n’étaient pas à la hauteur de l’énergie engagée par le client et le thérapeute, une véritable équipe mais qui a ses limites.

Ce blocage qu’il faut lever

Désormais nous trouvons avec le client, lors de la première anamnèse, le blocage principal qui parfois n’est pas lié à la raison pour laquelle le client consulte. Ensuite nous étudions les possibilités qui auraient pu advenir en mettant de côté l’issue réelle de l’écueil qui parfois date de dizaines d’années. Il ne s’agit pas de refaire l’histoire « avec des si » mais d’évaluer ce qui aurait pu se produire dans une version meilleure, dans une version pire et dans une version neutre.

Un scénario plus positif basé sur une perception différente de l’évènement voit le jour. Il est validé par le client et le thérapeute conjointement. Puis des consignes très précises sont données au client afin qu’il visualise une autre version de l’évènement.

Pourquoi cela agit-t-il positivement ?

Nous sommes des êtres physiques mais pas que. Nous sommes aussi esprit et énergie. Ainsi il nous est possible de booster cette énergie en vivant de belles expériences et en nous reposant physiquement et mentalement ou de lui nuire en ruminant de sombres pensées, en n’effectuant pas assez de sport, en restant inactif etc.

L’évènement demeure mais sa perception change

Lorsqu’on a le courage d’explorer à fond un écueil passé, d’en parler, de le revivre différemment la démarche paraît négative mais elle est en fait constructive. Lorsqu’une expérience est vécue avec nos 5 sens alors le cerveau l’assimile comme une bonne, une mauvaise ou une neutre expérience. Recréer un évènement en restant sur les sens et en répétant encore et encore la visualisation va « changer le message ». Bien-entendu l’évènement qui vous a tant déplu ou blessé demeurera ce qu’il est. Par contre la perception qu’en aura votre cerveau changera. Un déblocage qui entre dans l’ordre des choses pourra alors avoir lieu.

C’est bien l’émotion qu’on répare

Il est bien possible de « réparer » l’émotion liée à une histoire nuisible afin de rejoindre le point d’évolution où on en serait si les choses s’étaient, à l’époque, passées différemment ! Il ne s’agit pas de se mentir mais bien de changer dans le cerveau l’émotion et donc la perception de cet évènement passé.

Cet exercice doit être mené dans certaines conditions invariables et jusqu’à ce que le client ne ressente plus d’animosité par rapport au dit évènement (mettons de côté les deuils et les évènements traumatisants qui ne peuvent en aucun cas entrer dans cette méthode). C’est généralement le stade auquel le client ressentira des changements dans sa vie.

Le scénario pourra alors progresser ou s’arrêter.