Sophrologie : Éveiller ces ressources enfouies en vous

Prendre conscience de son potentiel

Beaucoup de gens envisagent la sophrologie comme un temps de relaxation uniquement. Ce temps de relaxation agirait sur le mental et sur le corps pour générer un bien-être optimal. Or, la sophrologie, de par les exercices sur plusieurs degrés qu’elle propose, vise à l’ouverture de conscience et du potentiel. Prendre conscience de ses capacités en étant guidé par un thérapeute (qui a lui-même une forte conscience de son corps, de sa présence et du lien indissociable corps-esprit) représente un temps de relaxation et d’expression, certes, mais surtout le moyen de constater comment notre cerveau fonctionne en fonction d’un stimuli ou d’un message reçu. Comment je décide d’y répondre émotionnellement, par bon sens, ou en suivant une « intention » donnée.

Changer le message erroné ou obsolète

En sophrologie et en thérapies cognitives il s’agit bien souvent pour le thérapeute de « changer » un message erroné ou de remplacer un message par un autre plus utile. Vous le savez il est impossible de « semer » une graine dans le cerveau et de changer les choses d’un coup de baguette magique. C’est pourquoi répéter de la mauvaise façon ne sert à rien. Ce qu’il faut c’est faire comprendre à la personne stressée ou qui vient avec un objectif que tout est déjà en elle pour « changer le message ». C’est cependant un travail long qui ne peut s’effectuer en quelques séances (bien que les résultats soient parfois étonnants après deux ou trois séances, particulièrement concernant des clients qui n’ont jamais travaillé sur eux-mêmes en guidance même légère).

Une réalité parallèle porteuse d’enseignements

Dès qu’il s’agit de changer le message pour obtenir un comportement plus sain ou plus efficient, plus congruent parfois, il faut définir avec le client le point à changer puis créer une réalité parallèle que ce dernier puisse apprendre à connaître et à apprécier de « fond en comble » si je puis dire. Prenons l’exemple de la visualisation positive : voir et revoir une scène, la préparer afin de se sentir plus confiant avec soi-même, peut devenir une routine agréable. Mais le jour où la visualisation ne procure plus de plaisir sur les sens à son créateur, le jour où elle n’est plus que redondance, on peut considérer qu’elle est assimilée et la ranger aux « affaires classées ».

Une réflexion sur le corps, par les 5 sens

Lors de la séance de sophrologie classique, un dialogue pré-sophronique intervient avant de passer à des exercices de relaxation dynamique pendant lesquels on mettra conjointement en oeuvre la respiration, le corps et le mental. Ces exercices appellent une réflexion sur le corps et les sensations mais aussi sur la façon dont on voit les choses et dont on a donc expérimenté l’exercice. Ainsi le client peut se rendre compte avec surprise que ce qu’il pensait difficile à effectuer est facile et inversement. Il apprend au fil de ces exercices son « mode de fonctionnement » émotionnel mais aussi stratégique.

Le cerveau et sa boite à outils personnelle

Imaginons que je me trouve face à un miroir et que je doive m’observer dans le miroir. La chose peut paraître simple. Pourtant au début il est plus facile pour le cerveau d’aller rechercher l’image qu’on a de soi le matin dans la salle de bain. Le cerveau a sa boite à outils personnelle pour résoudre l’exercice qui lui est demandé. En prendre conscience revient à accepter que nous sommes tous dotés, une fois la pression mentale et la tension physique retombées, de cette boite à outils qui ne saurait fonctionner dans une situation de panique.

Aussi atteindre un niveau de stress acceptable (le stress léger nécessaire à la vigilance personnelle que demande le quotidien) est un défi pour se diriger vers cette « boite à outils » nées de nos expériences mais aussi de la capacité à faire fonctionner correctement notre cerveau.

Cette pensée qui m’appartient et toutes celles qui ne m’appartiennent pas vraiment…

Il devient alors plus facile de comprendre que dans la vie certaines pensées ne sont pas nôtres et ne nous appartiennent pas. Si je suis, par exemple, stressée car une personne de mon entourage m’envie ou me fait des réflexions « malaisantes », en étant relaxée mentalement et physiquement et en questionnant correctement mes sens et en adaptant un exercice de relaxation dynamique à ma situation il devient évident pour moi que cette jalousie et les réflexions qu’elle génère ne m’appartiennent pas. Choisir de ne pas les relever et de continuer mon chemin de paix intérieur sera probablement plus sain pour moi que d’entrer dans une discussion sans fin que rien ne justifie puisque « ceci ne m’appartient pas ».

« Not my circus… »

Dans un milieu professionnel complexe une capacité à comprendre comment naissent les émotions frustrantes et blessantes revient à les désamorcer. Ce qui est fort utile. Si l’émotion générée « sur le coup » est désamorcée, on ne risque pas de stresser pour peu de choses. En séance j’aime résumer ceci par cette petite réflexion anglaise : « Not my circus, not my monkeys !  » littéralement « Pas mon cirque, pas mes singes », autrement dit si je ressens que ceci ne m’appartient pas je ne vais pas perdre du temps et de l’énergie à m’en occuper ! Imaginez une seconde l’énergie qu’il faut pour s’occuper d’un cirque, de singes, de tous les autres animaux sans parler du chapiteau, des camions, du personnel etc… Quand on a conscience de ne pas être le propriétaire légal du cirque on gagne énormément de temps ! Tout ceci est imagé mais fort instructif. S’occuper du cirque alors qu’il ne nous appartient pas c’est courir droit au fameux « burn out »… ce mal de notre temps…

Dégager ses propres schémas mentaux

Lors de la relaxation dynamique, le client est amené à se concentrer sur son ressenti dans le corps et dans l’esprit ce qui lui permettra, par la suite, de repenser à ses propres schémas mentaux, notamment quand une situation le nécessite. Il fera naturellement, au fil du temps, le lien entre la situation vécue et l’exercice appelant des ressentis et une visualisation.

La sophrologie est une méthode infinie qui permet de créer un terrain stable émotionnellement et qui génère une meilleure gestion du stress. N’hésitez pas à me contacter pour en savoir plus si vous vous trouvez sur Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset ou aux alentours.

Ces distorsions cognitives qui limitent votre confiance en vous

Avoir une vision plus optimiste de votre vie

La façon dont on s’envisage, dont on envisage sa vie, son entourage et son avenir est très variable d’un individu à l’autre. Certains présentent des complexes d’infériorité, d’autres de supériorité, certains sont « egoless » quand d’autres affichent un ego démesuré. La façon dont on se voit et la confiance que nous nous accordons à nous-mêmes va influencer les évènements que nous vivons, nous ouvrir ou nous fermer des portes… une bonne connaissance de nos distorsions constitue un pas en avant sur le chemin de notre développement personnel.

Mais savez-vous quelles sont les principales distorsions qui nous affectent ?

Si vous êtes trop catégorique

La distorsion dichotomique, par exemple, consiste à voir les choses de façon ultra-contrastée… Si vous souffrez de ce type de distorsion il se peut que vous trouviez les autres soit absolument géniaux, soit absolument pitoyables… Il peut vous arriver de penser que vous êtes soit extrêmement inclus dans un groupe soit absolument exclus. Les choses sont pour vous toutes noires ou toutes blanches. La sophrologie peut alors vous aider à développer une vision plus modérée des choses en recherchant une certaine « neutralité » dans les évènements qui vous arrivent. Au cabinet de sophrologie nous abordons des visualisations qui valorisent une certaine neutralité des choses : un évènement est ce qu’on décide d’en faire, soit une opportunité d’évoluer et d’apprendre encore, soit un écueil…

Se sentir mal à l’aise face aux autres…

La distorsion « de la voyante » consiste à lire dans les pensées de vos interlocuteurs. Vous vous mettez à tort à la place de l’autre en imaginant ce qu’il peut bien penser de vous. Quatre fois sur cinq l’autre est là pour accomplir une tache ou pour avancer dans sa propre vie et justement ne pense rien de vous ! Mais si vous pensez « Il me trouve certainement trop timide » ou « trop excessif » etc. vous vous mettez dans une situation mentale, dans une « posture » morale peu confortable. La sophrologie peut vous aider à révéler vos ressources cachées pour vous sentir plus confiant. Lorsqu’on a confiance en soi, on ne lit pas dans les pensées de ses interlocuteurs.

Amplifier le détail négatif

La distorsion par « abstraction sélective » va, quant à elle, entraîner une vision négative des choses : au lieu de vous concentrer sur l’aspect positif d’une situation vous allez amplifier le petit détail négatif. Bientôt il prendra toute la place jusqu’à vous gâcher le plaisir d’un travail en majeure partie réussi. En sophrologie un script de visualisation « sur-mesure » vous permettra de dépasser ce goût du détail dérangeant… Par exemple en vous axant sur l’harmonie d’un paysage ou quelques feuilles mortes viennent ajouter une touche de couleur plutôt que de gâcher l’ensemble.

Il existe bien d’autres distorsions qui peuvent affecter un individu. Des tests très simples permettent de les découvrir, de les comprendre et donc de les repérer lorsqu’elles apparaissent dans votre vie. Les repérer c’est déjà les maîtriser et les minorer.

Sophrologie et psychopratique sur Vichy

Si vous souhaitez engager un travail de sophrologie ou de psychopratique (libération par la parole et thérapie cognitive) sur Vichy, Bellerive-sur-Allier ou Cusset, n’hésitez pas à me contacter. Je suis sophrologue mais je travaille aussi dans la communication relationnelle depuis 1999. J’accompagne de nombreux particuliers et chefs d’entreprise mais aussi des artistes dans la gestion des émotions et dans la prise de parole en public. Je suis à votre disposition pour aborder les questions sur la sophrologie, l’hypnothérapie légère, la visualisation créatrice positive, le coaching « Un sens à ma vie » ou le Coaching de vie.

Thérapie cognitive sur Vichy

Pour les chefs d’entreprise ou les futurs chefs d’entreprise un coaching entrepreneurial est également possible incluant de grands principes de thérapie cognitive. Nous vivons une période compliquée où ce sont ceux qui réagissent assez tôt qui arriveront le mieux à atteindre leurs objectifs personnels ou professionnels. En cas de mal-être n’hésitez pas à vous diriger vers votre médecin traitant puis à consulter un thérapeute. La sophrologie et la relaxologie peuvent également vous permettre d’avancer sereinement dans cette période complexe.

Réécrire un évènement passé peut-il sauver notre présent ?

La sophrologie travaille sur le passé, le présent et l’avenir

La sophrologie propose de travailler sur le passé, sur le présent et sur l’avenir. C’est un outil formidable qui permet de se recentrer, de se détendre, de réveiller son potentiel intérieur et bien souvent de revoir son mode de vision des choses.

La visualisation créatrice, en dehors de tout exercice de sophrologie, est très efficace elle aussi si on sait comment la pratiquer, autrement dit comment communiquer avec son cerveau…

Penser positif ; un mode de vie !

La pensée positive, quant à elle, est un mode de vie à part entière qu’il convient d’utiliser à bon escient et d’une manière tout de même réaliste. Elle n’est en rien une méthode miracle d’autant plus que de la pratiquer quelques mois seulement ne suffira pas à se forger un mental de champion… Ce que bon nombre de thérapeutes omettent de vous dire. La pensée positive est un « mode » de pensée continu. Penser positif de temps en temps ne vous apportera pas beaucoup de satisfaction au final. Peut-être même aurez-vous la désagréable sensation de mentir aux autres en agissant comme une personne optimiste alors que vous ne l’êtes pas vraiment. Car la pensée positive occasionnelle agit un peu comme un régime « yoyo ». Il faut changer tout son mode d’alimentation à vie pour mincir et ne pas revenir en arrière. Il en va de même pour cette technique de bien-être…

Réécrire un court passage de sa vie

Il y a un outil que je considère comme très puissant. Il s’agit de la réécriture du scénario de vie. En fait il s’agit très rarement de réécrire toute une vie mais plutôt de détecter les éléments du passé qui font encore mal à l’heure actuelle où qui agissent comme des « bloqueurs » au quotidien.

J’ai commencé à étudier la réécriture du scénario de vie lors de ma formation de Coach en suppression des croyances limitantes. Mais rapidement j’ai constaté que la méthode préconisée renvoyait bien trop le client à son passé. Il y avait une partie du vécu qui était souvent très positive car pleine d’apprentissages. Mais ceci le client en était souvent inconscient. Tout réécrire était un travail énorme voire épuisant dont on ne voyait jamais la fin. Ce travail entraînait aussi une profusion d’opinions et d’avis personnels souvent inutiles et démoralisants et nous perdions beaucoup de temps. Les résultats n’arrivaient pas avant plusieurs semaines et n’étaient pas à la hauteur de l’énergie engagée par le client et le thérapeute, une véritable équipe mais qui a ses limites.

Ce blocage qu’il faut lever

Désormais nous trouvons avec le client, lors de la première anamnèse, le blocage principal qui parfois n’est pas lié à la raison pour laquelle le client consulte. Ensuite nous étudions les possibilités qui auraient pu advenir en mettant de côté l’issue réelle de l’écueil qui parfois date de dizaines d’années. Il ne s’agit pas de refaire l’histoire « avec des si » mais d’évaluer ce qui aurait pu se produire dans une version meilleure, dans une version pire et dans une version neutre.

Un scénario plus positif basé sur une perception différente de l’évènement voit le jour. Il est validé par le client et le thérapeute conjointement. Puis des consignes très précises sont données au client afin qu’il visualise une autre version de l’évènement.

Pourquoi cela agit-t-il positivement ?

Nous sommes des êtres physiques mais pas que. Nous sommes aussi esprit et énergie. Ainsi il nous est possible de booster cette énergie en vivant de belles expériences et en nous reposant physiquement et mentalement ou de lui nuire en ruminant de sombres pensées, en n’effectuant pas assez de sport, en restant inactif etc.

L’évènement demeure mais sa perception change

Lorsqu’on a le courage d’explorer à fond un écueil passé, d’en parler, de le revivre différemment la démarche paraît négative mais elle est en fait constructive. Lorsqu’une expérience est vécue avec nos 5 sens alors le cerveau l’assimile comme une bonne, une mauvaise ou une neutre expérience. Recréer un évènement en restant sur les sens et en répétant encore et encore la visualisation va « changer le message ». Bien-entendu l’évènement qui vous a tant déplu ou blessé demeurera ce qu’il est. Par contre la perception qu’en aura votre cerveau changera. Un déblocage qui entre dans l’ordre des choses pourra alors avoir lieu.

C’est bien l’émotion qu’on répare

Il est bien possible de « réparer » l’émotion liée à une histoire nuisible afin de rejoindre le point d’évolution où on en serait si les choses s’étaient, à l’époque, passées différemment ! Il ne s’agit pas de se mentir mais bien de changer dans le cerveau l’émotion et donc la perception de cet évènement passé.

Cet exercice doit être mené dans certaines conditions invariables et jusqu’à ce que le client ne ressente plus d’animosité par rapport au dit évènement (mettons de côté les deuils et les évènements traumatisants qui ne peuvent en aucun cas entrer dans cette méthode). C’est généralement le stade auquel le client ressentira des changements dans sa vie.

Le scénario pourra alors progresser ou s’arrêter.

Perdre du poids et se sentir bien grâce à la sophrologie

Pendant le confinement, on craint pour son poids …

Voici un article très peu didactique car rédigé spontanément. J’ai eu dernièrement certains de mes clients en ligne et, l’angoisse et le grand chamboulement du confinement passés, un point crucial semble perturber tout le monde (les hommes et les femmes) : le gain de poids !

Comme je l’ai expliqué dans mes précédents articles, le confinement peut être une période propice au travail sur soi. Mais s’il devient le lieu de désordres alimentaires ou d’angoisses supplémentaires sur son physique, il va devenir bien plus contraignant encore…

Pas de régimes mais un vrai changement alimentaire pour toujours …

En 2007 j’ai perdu 10 kilos entre le mois de juin et le mois d’octobre. Je n’étais pas ce qu’on peut appeler « grosse » car je suis assez grande (1m67) mais j’avais accumulé pas mal de rondeurs (visage, hanches, fesses, cuisses et ventre) après ma première grossesse en 2005. A 20 ans j’étais une grande fllle « à formes » ce qui me complexait alors (aujourd’hui quand je revois des photos ça ne me choque pas du tout !) Mon médecin estimait tout de même que de perdre quelques kilos « localisés » ne me ferait que du bien.

Mais voilà j’avais déjà fait plusieurs régimes et à chaque fois ça avait été l’échec, la reprise rapide, très décevant… Je me situais lorsque j’étais jeune dans la comparaison perpétuelle, feuilletant des magazines où les femmes sont de vrais sacs d’os… Heureusement à la trentaine j’ai perdu cette vision réductrice de la femme… vision idéale qu’on nous impose très jeune et qui s’ancre réellement dans l’inconscient…

A l’heure actuelle donc 13 ans plus tard, je n’ai pas repris le poids perdu (parfois 2 kilos l’hiver qui repartent au printemps sans trop d’efforts). Je comprends cependant mes clients qui actuellement se mettent à haïr la balance… ou le jean-témoin…

Le corps mais aussi l’esprit

Avec le recul et l’âge je me souviens de moi comme une jeune fille puis une jeune maman qui ne contrôlait ni son esprit, ni son corps. L’un découlant de l’autre. J’ai effectué un grand travail sur le corps avant d’effectuer le même sur l’esprit, sauf que là je suis allée nettement plus loin puisque j’ai décidé de devenir, en 2010, thérapeute (une seule technique au début, puis, au fil des certifications et des formations, bien d’autres, jusqu’à arriver au point d’équilibre).

Le pouvoir de l’esprit

Entre 2007 et 2020 pour ma part de l’eau a coulé sous les ponts et mon poids (même si j’y fais attention) n’est plus ma priorité absolue. J’ai ancré depuis 13 ans dans mon esprit que j’étais une « mince » alors que quelques années après mon changement alimentaire je me considérais encore comme une « ancienne grosse »…  Et plus mon statut de « mince » m’est entré dans l’esprit, moins il a été difficile pour moi de me tenir à mes principes alimentaires d’il y a 13 ans. Perdre du poids est un changement important dans la vie de tous les jours… Vos voisins commentent : « Bah dis donc, tu as fondu, attention de ne pas perdre un os! », vos amis aussi : « Eh bien tu vois, moi je te préférais avant, quand tu avais des joues, ça faisait plus jeune… », et ceux qui ne vous connaissaient pas avant peuvent parfois ne pas comprendre que même si vous êtes mince vous êtes encore blessé(e) par certains propos comme : « Tu as vu cette fill, non mais elle ferait bien d’aller faire un jogging plutôt que de manger une glace… » Vous l’avez compris : lorsqu’on veut travailler sur soi que ce soit physiquement ou mentalement, il faut avoir une volonté de fer (ou s’entourer exclusivement de personnes 100% positives, empathiques… Difficile mais faisable).

La sophrologie : célébrer ce qu’on aime chez soi pour gagner en confiance

La sophrologie peut, elle, vous permettre de perdre du poids ou de ne pas en regagner après un changement alimentaire majeur puisqu’elle travaille sur l’inconscient. Elle lui fait passer des messages. Mais on n’a pas toujours besoin de « parler poids » pour aider une cliente à mincir… Il s’agit davantage (mais chaque être est unique, chaque séance aussi par conséquent) de célébrer ce qu’on aime chez soi ! Je vous donne quelques astuces, avant la reprise de vos séances, pour vous aider à vous recentrer si vous ressentez un souci alimentaire depuis le confinement.

  1. Prendre le temps de vous détendre et de réfléchir à ce qu’est, pour vous, une alimentation saine, qui apporte les nutriments essentiels, qui ne ballonne pas, qui ne fait pas grossir mais qui est agréable à la fois : par exemple pensons à une salade grecques, la fameuse « choriatiki » (la salade du village). A chaque fois que je vais en Grèce je reviens délestée de deux bons kilos et pourtant je ne me prive pas : salade grecque, feuilles de vignes farcies, poissons grillés, fruits mûrs… Je crois que c’est ainsi depuis 20 ans : la Grèce est mon pays de coeur. J’ai même appris à parler grec moderne ! Tout ce qui vient de Grèce est pour mon esprit « bon » pour moi ! Quel est votre menu de rêve ? Où aimeriez-vous le déguster ? Choisissez un plat sain, un bel endroit et « vivez » l’instant ! Si vous faites cela à heure fixe (par exemple au lit le matin, 5 mn avant de vous lever), vous ancrez l’idée de « nourriture saine et agréable » dans votre esprit pour la journée. Prenez votre temps pour composer ce menu virtuel ! Ne choisissez que des aliments frais que le corps stocke peu.
  2. Il commence à faire beau. Si vous avez peur de grossir voici un bon conseil : restez en maillot de bain + kimono chez vous. Ainsi vous serez confronté(e) à la vision de ce corps que vous voyez peut-être comme un ennemi ! Il sera plus facile dès lors de voir directement les conséquences d’une éventuelle « malbouffe » sur votre silhouette. Un jour un médecin m’a dit : « La meilleure façon de ne pas grossir, c’est de se regarder nue dans la glace tous les jours ! » Voici un exercice qui vous ôtera l’angoisse de la balance…
  3. Massez-vous ! Le soir, après la douche ou le bain, massez votre corps et particulièrement les parties que vous trouvez trop grosses. Faites cela comme un sain rituel, quelque chose de beau et de sacré à la fois. Une huile de massage suffit (si vous n’en avez pas une huile alimentaire ou du beurre de coco fera l’affaire)
  4. Gardez une activité physique : 20 mn de mouvements par jour c’est le strict minimum dans cette sédentarité imposée !
  5. Endormez vous avec une vision de vous tel ou telle que vous aimeriez être certes, mais pensez bien que « vous êtes déjà ainsi » et remerciez ! La pensée positive est efficace lorsqu’on sait « penser par la fin » plutôt que de penser étapes et parcours du combattant !
  6. Soignez votre âme. Nous sommes un corps + une âme. Les deux sont indissociables. Lorsqu’on fait du mal au corps, l’esprit se sent floué. Lorsqu’on fait du bien à son corps mais que notre conscience nous souffle qu’on ferait mieux de travailler notre personnalité, c’est le corps qui se sent trahi. C’est pourquoi si vous accordez 30 mn de soins et de bontés à votre corps, vous devez en accorder autant à l’esprit ! Une simple méditation guidée avant de dormir peut vous aider à maintenir l’équilibre.
  7. Enfin sachez que le confinement est une « leçon » comme une autre à la grande école qu’est la Vie ! Quels bénéfices souhaitez-vous tirer de cette isolement forcé ? C’est vous qui savez !

Confinement et guérison intérieure (1)

Le confinement, sous ses aspects limitants, n’en demeure pas moins un temps formidable pour cogiter sur Soi, sur sa vie, sur son parcours et sur ce qui peut nous manquer d’essentiel : une certaine forme de guérison intérieure…

Un temps de « Retour sur Soi » apparenté à une retraite spirituelle

Beaucoup de gens le nieront, rejetant leurs soucis et toutes ces contraintes nouvelles sur le gouvernement, la société, le capitalisme… Or, il est évident que ce type le confinement constitue un genre de « retraite spirituelle ». Bien entendu il nous reste, contrairement à la vraie retraite spirituelle qui s’effectue souvent dans le silence et à l’écart de la technologie moderne, le confort, les outils de communication, les services de livraison etc. Mais pourtant, si on y regarde à deux fois, oui ce confinement peut constituer pour ceux qui vivent habituellement à cent à l’heure (dont j’ai fait partie) un temps de « Retour sur Soi »…

Abandonner le Passé …

Bien-entendu, certains plutôt que de s’adapter chercheront coûte que coûte à continuer de vivre comme avant : télétravail et horaires habituels, habitudes de beauté et de santé habituelles, routines quotidiennes fuyant le changement… Chacun fait ce qui lui plait. Il y a des actes cependant qui traduisent le mal-être général de l’homme se sentant piégé et luttant pour conserver ses acquis : organiser des « apéros via webcam », organiser des soirées techno avec DJs à la maison via skype etc. faire comme si rien ne nous atteignait sans pour autant pratiquer une saine pensée positive… C’est bon et mauvais à la fois… ça passe le temps, certes, mais ces comportements pointent aussi du doigt toutes les limites du genre humain incapable de s’adapter à une réalité qui le rattrape et qui est déjà là… En comparaison : c’est aussi le souci rencontré par beaucoup de nouveaux parents qui luttent désespérément pour conserver le même mode de vie après l’arrivée de leur bébé… Il y a un avant et un après l’accouchement. La vie change, oui ! Les bons moments sont différents. Il faut accepter de prendre la vague, c’est la règle du jeu. Pour le COVID-19 c’est exactement la même chose : lutter pour conserver les routines d’avant c’est souffrir inutilement. Personne ne sait ce qui nous attend après. Mais ce n’est pas nouveau ! C’est le sens même de la vie que de ne pas savoir réellement où nous allons ! D’où la nécessité de profiter de l’instant présent (pour s’améliorer parfois). Des gens que je ne connais pas me téléphonent. Ils veulent entreprendre une psychothérapie par Skype de toute urgence. C’est complexe. Les motivations sont biaisées. Je parle avec eux un instant et leur recommande de venir me voir à la levée du confinement si leur envie de devenir la meilleure version d’eux-mêmes prime toujours…

L’envie de « fonctionner mieux » après …

La guérison intérieure c’est ce que viennent chercher au cabinet mes clients, que se soit à travers les séances de Sophrologie, de Psychopratique ou de Coaching en suppression des croyances limitantes. Parfois ils viennent aussi préparer des moments-clés de leur vie professionnelle avec moi, clarifier leur pensée pour mieux réussir un entretien ou pour savoir dans quelle voie professionnelle ou affective s’engager. Même si on vient consulter pour un problème « mineur », il y a là l’envie d’aller mieux, de mieux fonctionner, de devenir la « meilleure version de soi-même », de guérir intérieurement en tout ou en partie.

Qu’est-ce que la Guérison intérieure ?

Aujourd’hui, j’aimerais revenir sur cette notion qui fait ou non le succès d’une des thérapies citées ci-dessus : la définition de la « guérison intérieure ». Qu’est-ce que guérir intérieurement ? Pourquoi certaines personnes repartent visiblement « guéries » intérieurement des séances et reviennent avec leurs peines, leurs « échecs » et leurs déceptions plusieurs semaines plus tard « hanter » la salle d’attente ? Qu’est-ce qui fait que certains clients arrivent à mettre fin à la thérapie quand on le leur suggère et à vivre enfin, et que d’autres resteront absolument « dépendants » aux séances de relaxation par exemple, n’arrivant pas à aller vers une autonomie dans cette pratique même lorsqu’on la leur enseigne ? La différence. Tout le monde est différent ! Chaque être est précieux, unique. Au-delà de nos différences il y a notre envie toute personnelle de guérir, de quitter une zone de confort dans laquelle le soutien est facile à obtenir pour aller vers un univers où notre force de caractère, notre autonomie fera davantage de nous celui qui soutient plutôt que celui est soutenu. C’est notre confiance en nous réveillée qui prend le relais du thérapeute. On devient, en quelque sorte, notre propre thérapeute, notre propre « parent », pour les adultes.

Ma définition de l’homme guéri est la suivante. Elle varie probablement de la vôtre. Elle n’est ni bonne, ni mauvaise, c’est une vision personnelle qui a donc été façonnée au fil du temps, des expériences… Rédiger la votre peut-être un bon exercice si vous êtes en quête de guérison intérieure.

UN HOMME GUÉRI …

Un homme guéri est, selon moi, celui qui se sent nouveau, aimé, prêt à vivre de nouvelles aventures pleines de sens… Il ne s’attache point aux futilités ou alors uniquement dans un but récréatif. Il s’est défait des routines et des images superficielles de la vie qui l’animaient peut-être jusqu’ici.

Il se sait désormais estimé par des gens intègres et cela lui suffit bien. Il n’est pas ébranlé par ceux qui ne lui suivent pas car il a réécrit son passé et sait, désormais, quelle chance il a d’avoir tiré autant de leçons bénéfiques de son parcours. Il commence à se rendre compte qu’il a côtoyé des « gens biens » et que cela a une vraie valeur. Plutôt que d’en vouloir à ceux qui sont partis il y songe d’un coeur bienveillant. Il sait que certains « se perdent » mais aussi que chacun a un chemin à parcourir avant d’atteindre la complétude intérieure.

C’est un être en congruence. Il croit suffisamment en lui pour ne pas diluer son pouvoir en espionnant ce que font les autres ou en se comparant à eux. Il n’assume pas ses différences, il croit puissamment en elles ! Il est conscient qu’il possède, comme tout un chacun, son propre chemin de vie, son propre « appel » et souhaite y répondre. D’un seul coup, répondre à sa mission de vie devient ce qui prime sur le reste, notamment sur l’argent et le matériel.

L’homme guéri ne porte pas d’utopies toutes faites en lui, juste l’envie de mieux faire, jour après jour, avec ce qu’il possède déjà. S’il est empathique envers les plus faibles, il a franchi une étape supplémentaire vers sa propre harmonie intérieure et sa propre guérison.

Retrouvez la suite de cette réflexion dans quelques jours sur ce blog. Belle journée, portez vous bien et #restezchezvous !

Coaching : Les influences de l’enfance

Ces influences venues d’ailleurs …

Bon nombre de gens pensent agir au jour le jour, sur le moyen ou le long terme en fonction de « leur personnalité, de « leurs envies », de « leurs rêves » ou de « leurs objectifs ». Pourtant vient un temps où une sorte de désillusion s’empare de ces personnes qui jusqu’ici étaient si certains de la validité de leur rôle dans la société et de leur « mission »…

Cette prise de conscience et ce questionnement intérieur (« Aurais-je finalement raté ma vie » ; « Aurais-je dévié de mes désirs profonds ? » ; « Aurais-je changé sans m’en rendre compte au point de m’être perdu, de ne plus me reconnaître ? » etc.) arrive souvent à des tournants : 30 ans, 40 ans, 50 ans, parfois bien avant chez de jeunes gens possédant une grande maturité, souvent des anciens « enfants précoces »…

S’arrêter lorsqu’on est perdu plutôt que de errer …

Il y a quelques années je rencontrais, dans l’un des cours que j’animais, une jeune fille de 21 ans qui avait choisi de « prendre une année sabbatique » (pas de travail, plus d’études) afin de comprendre ce qu’elle avait envie de devenir. Elle ne se sentait plus à l’aise dans ses valeurs familiales, dans son petit emploi d’étudiante et encore moins à la fac. J’ai salué cette preuve de maturité énorme qui consiste, lorsqu’on se sent perdu(e), à s’arrêter plutôt qu’à errer sans fin sans savoir vers quel chemin se tourner.

Cette jeune fille qui se retrouvait à l’un de mes cours de relaxologie, avait essayé maintes activités : la danse butoh, le théâtre, des actions militantes pour l’environnement. Elle en était rendue au point où elle réalisait de plein fouet l’impact de toutes les influences qu’elle avait subie depuis sa naissance jusqu’à ses 21 ans. Elle ne souhaitait plus que ses actions soient tributaires des désirs, envies, motivations des autres mais elle peinait à trouver SON appel…

Le Grand mensonge …

Pourquoi ? Parce que dans notre société une forte croyance commune est répandue. Il s’agit d’un « grand mensonge » : cette idée même que la société et l’éducation reçue dans l’enfance, les conseils reçus à l’adolescence et encore dans la jeunesse n’influenceraient pas ce que nous sommes profondément. Il n’y a rien de plus faux !

La plupart des gens que je coache expliquent, à un moment donné du processus, avoir pensé que l’effet de ces influences était minimal. Ainsi beaucoup ne voulaient, avant l’issue favorable du coaching, croire qu’ils étaient (ou admettre qu’ils étaient) le fruit de croyances formées par d’autres personnes. Il est difficile de comprendre que certains rêves et souvenirs ne nous appartiennent pas…

La personnalité vraie

Penser que nous possédons, à la vingtaine, notre propre, notre vraie personnalité et qu’on ne peut rien y changer est une grossière erreur. Si nous prenons, comme la jeune fille citée précédemment, le temps de nous pencher sur ce que nous pensons réellement de nos actions passées, si nous abandonnons ce qui nous vient des autres (notamment les rêves que nous pensons nôtres mais qui ne le sont pas), alors nous nous sentons libérés de poids. Nous sommes plus aptes à nous diriger vers des actions congruentes, vers des choix de vie qui sont alignés avec notre personnalité vraie.

Ces strates de croyances non authentiques

Nous sommes composés de strates de croyances non authentiques et de rôles qui nous viennent des autres. Le travail du Coach  » Un sens à ma vie » est d’amener son clients à nettoyer ces strates inauthentiques, d’éliminer les rôles qu’il ne souhaite pas ou plus endosser. Éliminer ces strates de rôles est inconfortable. Inconfortable car au final ces routines et ces croyances sur nous-mêmes sont rassurantes. Si je pense que je n’ai jamais été doué(e) en maths, alors je m’autorise à confier la comptabilité à un autre. Accepter, après avoir repris quelques cours, que je suis doué(e) en mathématiques c’est reprendre le rôle de comptable occasionnel, c’est savoir que la responsabilité repose désormais sur moi. Ce n’est qu’un exemple bien-sûr…

Avoir une image forte et détaillée de ce qu’on souhaite devenir est la clé. C’est en créant une réalité différente que nous apprenons, tout au long du coaching, à cheminer vers ce que nous sommes profondément et à nous affranchir des influences de l’enfance.

Le confinement : une période propice au bilan de vie

Avez-vous déjà vécu dans votre vie des moments qui ont radicalement changé votre façon de voir les choses ? Les moments-charnières de notre vie qui changent profondément notre état d’esprit sur nous-mêmes, sur les autres, sur le monde qui nous entoure, sur l’avenir sont bien souvent des moments douloureux… Ce sont des « accouchements » qui débouchent sur une nouvelle naissance. Encore faut-il savoir laisser le travail se faire …

Retour à l’Essentiel

Plusieurs fois j’ai entendu des clients ou des proches me dire : « Alors là, si j’arrive au bout de ce travail (ou de cette quête) je vous assure que je change de vie ! ». Il existe donc des moments-charnières capables de nous ramener à l’Essentiel, cet Essentiel que certains d’entre vous viennent chercher lors des séances de sophrologie. Cet Essentiel qui « donne un sens », qui donne DU sens à la vie !

Trauma collectif

Donc nous y voilà ! Nous sommes tous, avec cette privation de liberté (qui est parfois, heureusement, bien vécue) de gré ou de force, engagés dans un profond changement. Beaucoup de critères de vie, de mode de vie, de style de vie seront remis en question après le confinement. Vous l’avez compris : il ne sera plus possible de revenir à « la vie d’avant », de retrouver ses douces certitudes après cette période apparentée à un « trauma collectif ».

Un confinement qui entraîne une réflexion sur les modes de fonctionnement

Peut-on et doit-on profiter de ce temps forcé à la maison pour faire le bilan ? J’ai envie de répondre que chacun fait ce qui lui plait. Chez nous qui sommes des parents élevant leurs enfants dans un but d’élévation constante de Soi, friands de développement personnel, il est certain que ce temps (qui tombe également sur les célébrations de Pâques, ce qui ajoute un sens spirituel à la chose) a commencé à « porter ses fruits ». Pour l’instant nous n’avons pas encore abordé les « grands changements » car nous avons déjà changé de vie lors de notre installation dans l’Allier. Les grandes « métamorphoses » sont derrière mais encore très récentes. Nous ne ressentons donc pas le besoin de « tout poser sur la table » pour une redistribution des cartes et des rôles. Par contre nous subissons, comme vous peut-être, les inconvénients de ce que nous avions « remis à plus tard » comme la finition de certains travaux dans la maison. Nous constatons que malgré notre sens de la prudence nous n’étions pas prêts au niveau de notre organisation (courses etc.) pour ce confinement soudain. Il y a les gens qui nous manquent… et ceux qui ne nous manquent pas du tout. Cela entraîne une réflexion sur : « A-t-on vraiment encore du temps à perdre par convention avec des gens qui ne nous intéressent pas, dans le fond ? »

Le confinement met à jour les forces et les faiblesses

Le confinement met aussi à jour les forces et les fragilités de chacun. Nous regrettons, les uns les autres, de ne pas avoir fait tel voyage, de ne pas avoir mené à bien tel ou tel projet. Plus généralement, le soir, lorsque les enfants dorment, nous parlons de ces choses dans lesquelles nous aurions pu être « meilleurs »… Ce n’est pas de la nostalgie, ce sont des leçons pour demain… Donc stoppez l’activité, le travail, les contraintes quotidiennes et vous verrez émerger une cogitation plus ou moins poussée !

Certains de nos amis ensemble jour et nuit depuis le confinement parlent de séparation. D’autres m’appellent pour me dire qu’ils on le sentiment « d’avoir raté leur vie » ou d’être « passé à côté du bonheur »… Ce sont des propos que j’ai l’habitude d’entendre de la bouche de mes clients au cabinet mais pas de celle de mes ami(e)s. Certaines réflexions me font sourire comme : « Eh bien heureusement que j’ai rompu avec lui avant le confinement ! Je ne l’aurais pas supporté toutes ces semaines ! » D’autres se félicitent d’avoir raté leur concours pour devenir Soignant car aujourd’hui ils seraient « en première ligne ». Avec le confinement les échecs d’hier deviennent les petites victoires d’aujourd’hui…

Des cogitations à replacer dans le monde réel

C’est pour toutes ces raisons que je pense que le bilan des cogitations de chacun ne doit pas rester de l’ordre de simples pensées « abstraites » ou parasites… Certains d’entre nous, dans notre pays, se sentent déjà en « mode Survie ». Ce mode de pensée révèle certains écueils qu’on ne voyait plus vraiment à force de s’y confronter. Pourquoi ne pas les noter ? Pourquoi ne pas travailler sur ce que VOUS souhaitez devenir demain, dans le détail. Dans ce travail difficile à aborder d’habitude dans le rush quotidien, le confinement est un allié précieux ! Revenir à soi, entendre enfin son propre besoin de revenir à des propos rassurants ou constructifs, imaginer des moyens d’améliorer sa vie et celle des autres sans tout révolutionner pour autant mais en misant sur le travail bien fait, le goût du détail, le sens des valeurs… se rapprocher de la congruence…

Un simple brainstorming

A la base de ce travail personnel : le brainstorming commun. Si vous avez la possibilité de le faire avec les personnes qui comptent pour vous avec qui vous êtes, peut-être confiné, l’occasion est trop belle pour passer à côté…

Comment fait-on un brainstorming ? Sans censure mais dans un temps réduit où chacun fera ses propositions. 30 à 45 mn maxi. Donnez vous un délai ! Notez puis classez vos réflexions par catégories. Voyez ce qui s’élimine car trop complexe, ce qui se recoupe car trop similaire et ce qu’on garde car valeur ajoutée nettement visible et comprise.

C’est une première étape. Ce brainstorming peut servir de base à un coaching qui en développera certains aspects.

Resterez-vous émotionnellement « bloqué » dans le confinement bien après sa fin ?

Le confinement n’est ni une prison, ni une fatalité. Comme toutes les « tyrannies » morales il a un début, un milieu et il aura une fin. L’utiliser pour se développer personnellement est un bon moyen de se sentir mieux et d’aller de l’avant. De vivre l’instant présent au mieux sans toutefois y rester bloqué… Beaucoup, oui, resteront « bloqués » émotionnellement dans ce confinement forcé bien après sa fin. Ils resteront mentalement ses prisonniers. Les futurs prisonniers de ce confinement seront ceux qui, par la suite, continueront de se retourner sur hier évoquant « tout ce qu’ils ont perdu » à cause de cette crise passagère. Les responsabilités de chacun seront dès lors plus facilement reportées sur cette bonne raison si évidente qui s’offre à nous. Les gagnants de demain seront ceux qui sauront « tourner la page ». Un défi à relever …

Les effets de la Visualisation positive

Connaissez-vous des gens qui mènent tous leurs projets à bien et qui ne s’encombrent pas de regrets si toutefois certains de leurs objectifs avortent ? Avez-vous un ou une amie à qui « tout réussit » (selon vous et selon il ou elle) et qui n’hésite jamais à se lancer dans une nouvelle activité ? Qui abat le travail de façon organisée en étant toujours sûr(e) de lui/elle ?

Des capacités à relancer

Ces personnes n’ont rien d’exceptionnel dans le fond, si ce n’est 2 capacités primordiales et formidables :

  • Savoir trouver leurs dons tout au long de leur vie (les dons et les capacités en appellent de nouvelles) et les adapter aux situations vécues
  • Positiver et visualiser les événements à venir avec confiance

Bien-entendu, si vous suivez les séances de sophrologie, de coaching en suppression des croyances limitantes ou de psychopratique avec moi, vous savez déjà que visualiser ne sert à rien si vous ne le faites pas TOUS LES JOURS !

La constance est primordiale en développement personnel comme dans toutes les disciplines

La constance est primordiale… Trop souvent les gens se lancent dans une thérapie pour « déculpabiliser » de ne rien faire pour « aller mieux ». On pense que de payer un thérapeute suffira bien… L’envie réelle de changer n’est pas là et la constance non plus. Personnellement je ne travaille jamais avec des gens dont la motivation est au placard… C’est une perte de temps et pour eux et pour moi. Même lorsque je reçois des clients en relaxologie il y a de petits exercices à refaire chez soi pour prolonger le bien-être… Ne pas les faire est déjà un signe de résistance au changement. C’est très courant et ça se surmonte quand on comprend que la technique fait du bien et fonctionne. On a toujours envie d’amplifier ce qui fait du bien, non ?

Une vision à modifier

Le négativisme et le pessimisme se soignent mais il s’agit pour cela de remplacer durablement et solidement son point de vue sur 1) Vous-même 2) Les autres 3) Les situations 4) Le monde qui vous entoure 5) Votre vision de l’avenir !

Les 7 principaux freins à une visualisation efficace

C’est un travail qui peut paraître simple et basique et pourtant… dès qu’on commence à visualiser on se heurte à de nombreux écueils :

  • Le premier est de ne pas vraiment croire en la méthode …
  • Le second est de ne pas apporter de réel crédit à ce que vous visualisez. Si vous considérez vos visualisations comme des rêveries éveillées c’est certain que votre inconscient ne sera nullement imprégné de vos idées aussi positives soient-elles…
  • Le troisième est de visualiser trop vite et trop grand, en dehors de vos réels besoins (si vous avez besoin de trouver un nouveau client et que vous vous imaginez déjà riche sur une plage des Caraïbes avec des amis fortunés, l’inconscient sera dans le rejet. C’est beaucoup trop gros à « avaler » pour lui…
  • Le quatrième écueil est de ne pas être assez clair dans vos visualisations. Une visualisation efficace est le fruit d’un besoin réel et d’une clarté d’esprit maximale…
  • Le cinquième écueil est lié aux pensées parasites qui déboulent dans votre visualisation et vous déconcentrent. Il faut apprendre à les maîtriser, la méditation est excellente pour ça !
  • Le sixième écueil est de ne pas VOUS apporter de crédit : vous le faites pour essayer, pour tester la méthode et voir si ça marche… Vous demeurez au stade de « testeur » et ne passez jamais au stade de réel « receveur de bienfaits »
  • Enfin le septième et dernier écueil est la régularité de la pratique. A partir de moment où on travaille sur des énergies, il faut ouvrir son inconscient et pour cela il faut travailler TOUS LES JOURS. Si vous arrêtez dès les premiers jours car vous ne voyez aucun changement dans votre mentalité, vous ne passerez jamais le cap de l’ancrage dans l’inconscient.

Une de mes expériences : Depuis quelques mois j’arrive à distinguer l’aura des gens. Je peux ainsi voir la couleur de leur aura mais aussi l’intensité de sa vibration. Je distingue les premières strates seulement. Je n’en suis pas encore à voir les 7. Cela m’a demandé de suivre un cours spécial avec une professionnelle confirmée et surtout un travail de concentration énorme. Je me suis astreinte à me concentrer 5 puis 10 puis 15 minutes par jour. A partir du moment où je suis arrivée à distinguer l’aura très vite, presque au premier coup d’oeil (si les gens se situent sur un fond clair et pas trop bariolé), j’ai fait des progrès énormes. Pour ne pas perdre cette capacité et ne pas gâcher ces progrès je continue de pratiquer. Pour la visualisation positive c’est la même chose, il faut dépasser le stade des écueils pour passer à celui de la pratique quotidienne. 

Les bénéfices énormes de la visualisation positive

Voici les effets d’un VRAI TRAVAIL de visualisation positive quotidien :

  • Ouverture de l’Inconscient et meilleure vision des opportunités personnelles et professionnelles se présentant à vous…
  • Meilleure confiance en soi : le fait d’imaginer une issue positive à un événement permet de savoir qu’on peut le faire. De nombreux athlètes s’entraînent dans l’esprit avant de gagner sur le terrain
  • Forger sa volonté : s’astreindre à une discipline à la fois pratique et spirituelle chaque jour permet de se dépasser
  • Mieux dormir ! Il est possible de s’endormir si on visualise le soir, peu importe surtout si le sommeil est plus paisible ensuite
  • Accepter des défis de plus en plus important
  • Se sentir en congruence avec sa vraie nature (la visualisation révèle nos rêves majeurs, nos rêves enfouis ou abandonnés pour les remettre au programme)
  • Croire davantage en l’être humain (car on comprend que quelqu’un peut changer en travaillant vraiment sur soi)

La règle de base selon Neville Godard

La règle de base pour débuter, simple mais pas des moindres :

« Assume the feeling of the wish fulfilled » Neville Godard

« Assumez le sentiment du souhait déjà accompli » Neville Godard

Ce n’est pas la beauté du job ou du partenaire imaginé qui compte mais plutôt la sensation de complétude ressentie lorsqu’on sait qu’on a obtenu et que maintenant on peut expérimenter la Joie ! Le sentiment ressenti est bien plus important que les objets imaginés (même si ceux-ci plantent le décor) !

Assumer enfin !

Le mot « assumer » est important. Celui qui n’assume pas sa visualisation ne peut en ressentir les bienfaits…

A bientôt pour un nouvel article et le retour des vidéos … En attendant soyez prudents, restez chez vous, protégez les vôtres et portez vous bien !

Vidéo de présentation : Sophrologie, Psychopratique, Coaching en suppression des croyances limitantes, à Vichy

Belle année 2020 à tous !

Pour ceux qui ne me connaissent pas encore et qui ne connaissent pas non plus mes services, voici une vidéo évoquant mes différents outils de travail à savoir :

  • La Sophrologie
  • La Psychopratique
  • Le Coaching en Suppression des Croyances limitantes
  • La Technique Nadeau
  • Un soin énergétique inédit

N’hésitez pas à me téléphoner ou à m’écrire pour obtenir de plus amples informations.