Reprendre votre pouvoir dès maintenant, en famille, entre amis, au travail ou affectivement parlant…

C’est un sujet très actuel, qui ne peut cesser de l’être, mais que nous n’abordons que trop peu… Beaucoup considèrent que les humains n’ont pas de grands pouvoirs, comme pourraient en posséder des super héros, des entités fantastiques et d’autres mentors sortis de l’imaginaire collectif… Pourtant, lorsqu’on se sent systématiquement dénigré ou « méjugé » par les autres, il y a toujours, à la base, un réel problème de pouvoir. Notre pouvoir, celui dans lequel nous mettions tant d’espoirs lorsque nous étions enfants ou jeunes, a été dilué ! Il s’est trouvé dilué au sein d’expériences négatives, au cœur de nos espoirs abandonnés… Les autres ne sont nullement coupables de cet acte ! Si nous avons laissé notre Pouvoir sur la vie et sur les autres se diluer, c’est que nous avons, à un moment, pensé trop petit ou de façon obsolète, erronée… Nous avons « permis » qu’il en soit ainsi. Nous avons été trop permissifs !

Une jeune fille fait de belles études. Dans le monde de l’université et des étudiants elle est heureuse et épanouie. Elle sort avec un diplôme, certes, mais cela ne lui permet pas de décrocher l’emploi tant attendu. Autour d’elle, les autres ont déjà abandonné leurs grands rêves depuis longtemps. On se met en couple, on trouve un emploi alimentaire, on loue un appartement, on fait des enfants… Le temps passe vite. La jeune-fille d’hier se sent dépassée par le temps qui passe et en fait de même pour ne pas se sentir « de reste »… Elle applique les recettes des autres à sa propre vie. Elle dilue son pouvoir !

Un jeune-homme veut partir faire de la musique aux USA. Mais ses amis le mettent en garde : « New York est une ville hors de prix », « On ne peut y survivre ». Il abandonne son rêve. Il croit comprendre de tout cela qu’il vaut mieux avoir un petit chez soi qu’un grand chez les autres… Ce qui n’est que l’opinion des autres a agi sur son destin ! Il a dilué son pouvoir !

Une femme de 35 ans ne fait rien sans demander la bénédiction de ses parents. Elle dilue son pouvoir :

Une jeune-femme de 25 ans écoute sans cesse les conseils qu’ont ses petits-amis sur son physique. Elle se coupe les cheveux pour plaire à l’un, les laisse repousser pour plaire à l’autre. L’un de ses derniers prétendants en date trouve son tatouage « vulgaire », elle court donc se le faire enlever. Elle dilue son pouvoir encore et encore !

Une femme est sans cesse rabrouée par sa belle-mère qui la critique ouvertement et se permet de lui donner son opinion sur tout, même sur des questions qu’elle ne peut raisonnablement pas connaître… Un jour, la femme accueille sa belle-mère pour ce qu’elle est : une enquiquineuse notoire qui n’est jamais satisfaite de rien. A chaque fois que cette dernière prend la parole, elle s’excuse et s’absente désormais, elle va à la cuisine boire un grand verre d’eau, par exemple. Elle ne répond plus aux attaques et prend de la hauteur : la belle-mère est d’une autre époque et toutes deux n’ont aucun point commun. A quoi bon les joutes verbales ? Elle cesse d’alimenter l’opinion de la femme qui, du coup, cesse ses réflexions gratuites. Elle REPREND son pouvoir !

L’Amour de Soi nous permet de reprendre le pouvoir, notre pouvoir, sur tout ce qui peut nous atteindre. Nous ne sommes pas faits pour être parfaits mais simplement NOUS-MÊMES ! Dès lors qu’on commence à pratiquer le Self-Love dans sa vie nous aussi commençons à reprendre notre pouvoir !

Placer son esprit au bon endroit, au bon moment est la meilleure façon de reprendre le pouvoir que nous avons laissé s’envoler au fil du temps…

Lors du coaching Self-Love, au cabinet de Vichy, vous apprendrez à situer les fuites de pouvoir et à les empêcher. Vous apprendrez à reprendre VOTRE pouvoir et à exercer votre libre-arbitre sans regrets ni contraintes. La vie est un formidable voyage pour celui qui a compris que les pensées qui l’animaient étaient bel et bien le gouvernail !

Coaching : Qu’est-ce que le phénomène de résistance ?

Vous avez entrepris un coaching mais il vous semble de ne pas avancer ? Vous attendez le coup de baguette magique ou au moins le thérapeute en « résonance » oui mais voilà lors des séances vous vous sentez titillé sans trop savoir d’où cela provient. Il est fort probable que vous vous heurtiez et que le thérapeute se heurte avec vous à un phénomène de résistance. Vous êtes thérapeute et non client, ou vous travaillez avec l’humain en entreprise et menez des coachings ? Cet article vous intéressera également !

Dans la vie de tous les jours, qu’est-ce que la résistance ?

Ce terme évoque une notion de conflit dans lequel on fait valoir son droit légitime à rester sur ses positions. Ce phénomène est donc conscient. Pour exemple : des militants pour l’écologie refusent qu’on abatte une forêt et s’enchainent aux arbres pour résister. Ou encore une épouse a décidé de ne plus adresser la parole à son mari tant qu’il ne lui aura pas fait des excuses au sujet d’une vieille querelle stérile. Elle ne cédera pas ! Elle entre avec lui dans une résistance avérée et affichée…

Dans le coaching, qu’est-ce que la résistance ?

Dans le coaching, il y a une anamnèse et des objectifs. Une fois ces objectifs bien définis par le client et modérés par le coach, le travail peut commencer. La résistance du client ici va à l’encontre de la façon d’opérer pour atteindre les objectifs définis. Le client va refuser ou rejeter tout ou partie du contenu du coaching, qu’il s’agisse d’exercices, de tests ou de simples suggestions. Cette résistance traduit une réticence à croître et à changer. Elle paraît donc très contradictoire : le client vient, passe une entente bien définie avec le coach, à travers cette entente il s’engage moralement à faire de son mieux pour avancer vers ses objectifs mais d’un seul coup il remet en doute le processus ! La résistance est légitime car le coaching vise à modifier une part de la personnalité du client ou au moins l’un de ses comportements. Le processus peut paraître rapide et intensif au client qui commence à lâcher tout ce dont il était certain auparavant ! Le thérapeute, s’il a choisi une formation courte ou qu’il ne s’attendait pas à cela peut être décontenancé !

Pourquoi la résistance met en péril les objectifs fixés ?

La résistance n’est pas forcément inconsciente. Elle peut être un choix conscient. Le client peut décider de résister au processus de coaching car il ressent que le changement va être difficile, long ou quelque peu effrayant. Changer c’est lâcher des certitudes et sortir de sa zone de confort. Cela peut être la demande du client d’évoluer mais son inconscient peut ne pas vouloir participer à cette politique nouvelle de « grands travaux » si je puis dire ainsi ! Sans compter que parfois le client peut venir sur les conseils d’un tiers et ne pas avoir réellement envie de changer ses comportements « pour lui ». Si le thérapeute n’arrive pas à la limiter ou à en tirer partie alors les objectifs peuvent être mis en péril notamment à cause d’une mauvaise technique de communication.

Quelles sont les parades utilisées par le client pour résister ?

Je sais que j’ai en face un client résistant lorsqu’il parle énormément et ne me laisse pas avancer dans le processus par exemple. Ces conversations sont souvent stériles mais on peut y ressentir beaucoup de croyances limitantes dont celle qu' »en parlant beaucoup et en se justifiant beaucoup on évite ce qui est désagréable ». Il y a souvent une remise en question de l’utilité des exercices (ex: le client ne fait pas l’exercice parce qu’il le juge « trop simple » ou « trop long » ou « sans intérêt ». Parfois il peut décréter que le point que va solutionner l’exercice a déjà été réglé auparavant, c’est en tout cas le sentiment qu’il a de la chose). Il peut entrer dans la séduction ou chercher à prouver sa valeur plutôt que de se plier au processus du coaching. Il peut décaler beaucoup ses rendez-vous ou les manquer. Il peut aussi ne pas payer ses rendez-vous ou trouver un moyen d’effectuer ses règlements en retard. Il peut parfois s’intéresser davantage à la vie personnelle du coach qu’au process de coaching. En général il semble qu’il fasse tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas démontrer une avancée notable.

La résistance est-elle normale ?

Oui heureusement elle est normale et c’est un outil pour le thérapeute. Bien qu’elle semble désagréable, elle a son utilité ! Le thérapeute a été formé pour déceler les formes variées de résistance et les diminuer ou les éliminer si possible. Il faut identifier cela rapidement dès le début du coaching.

Certaines façons de combattre la résistance sont tout à fait… paradoxales mais efficaces !

D’autres consistent à revoir les objectifs et à garder ceux sur lesquels le client aimerait travailler.

La résistance n’est donc pas une fatalité, il faut la prévoir et l’anticiper pour mener à bien son coaching !

La résistance est un point qui n’est pas toujours abordé dans la formation de certaines thérapies brèves ou basées sur le corps et les énergies ! Pour exemple il y a des formations sur la circulation des énergies et l’ancrage dans le présent qui ne l’évoquent même pas alors qu’elles sont basées sur l’acceptation et la pratique des exercices par le client ! C’est pourquoi, à mon compte depuis 1999 dans la Communication relationnelle, la sophrologie et le coaching, aujourd’hui, je propose des sessions à des thérapeutes corporels qui ont fait des formations courtes. Dans ces sessions nous touchons au développement de l’empathie mais aussi au désamorçage de la résistance. Ainsi même les thérapeutes formés à des méthodes demandant un apprentissage court comprennent qu’on ne peut pas forcer un client à changer et qu’il faut absolument traiter les clients résistants avec un grand respect même s’ils sont en désaccord ou ne comprennent pas cette résistance ! Comment répondre avec des techniques appropriées à des sentiments comme la colère, la frustration, la peur etc. ? En réalité avec les bonnes méthodes il est tout à fait possible de limiter la résistance sans aggraver de tels sentiments chez le client ! Il faut avant tout comprendre ce qu’est une attitude défensive… Si la résistance n’est pas une surprise, il devient aisé de travailler calmement même en sa présence.

Vous êtes thérapeute ou travailler avec l’humain et le changement et vous souhaitez mieux comprendre ce phénomène de résistance et arriver à le gérer dans vos séances ou sessions ? N’hésitez pas à me contacter pour en parler !

Pourquoi ne réalisez-vous jamais vos projets ?

C’est un grand classique des séances de Coaching en suppression des croyances limitantes … « Je n’arrive pas à réaliser mes projets » ou encore « J’ai oublié mes jolis rêves » etc. C’est ce qui s’entend au cabinet de la part de personnes qui se pensent et se croient motivées mais qui, en réalité, sans s’en rendre compte, « diluent » leur volonté en divers endroits…

Dans cette vidéo je vous explique le comportement des gens qui ne réalisent jamais leurs projets. Cela est valable aussi bien pour le projet de devenir indépendant financièrement, celui de se mettre à son compte, de monter sa société, d’écrire un livre, d’enregistrer un album, de déménager à la mer ou au vert…

La volonté est une chose… mais elle ne fait pas tout ! Découvrez quelles sont les postures mentales qui vous freinent dans la réalisation de vos rêves et projets.

Ces périodes de la vie ou « rien ne va plus » : Que faire ?

Covid, conflits internationaux, actualité maussade, le contexte général peut pousser tout un chacun à revoir sa vie, son cadre de vie, son confort mental à la baisse…

Ces derniers mois vous êtes nombreux, et c’est légitime, à vous plaindre d’une dégradation de votre moral et de votre motivation à entreprendre, à aller de l’avant vers de nouveaux rêves ou projets.

Lorsque tout s’enchaîne négativement il peut paraître complexe de sortir enfin la tête de l’eau comme on dit… Dans cette vidéo je vous donne quelques pistes pour reprendre votre mental en main dans les périodes « sans »…

Vous trouvez votre vie fade et routinière : Que faire ?

« Je trouve ma vie inintéressante », « Je ne crois plus en la bonté de la vie », « J’ai l’impression d’avoir fait le tour des choses », autant de réflexions que vous vous faites lors de la première séance de sophrologie ou de psychopratique. Ces mots qui appellent la routine et la déception sont aussi des maux que ces deux pratiques vous permettent d’atténuer, de transformer en une vision plus positive de la vie, de votre vie en général. Dans cette vidéo, je vous donne quelques pistes pour reprendre votre vision de la vie en main.

Communication axée Solutions pour les petits

En dessous de 12 ans, il n’est pas toujours évident de cerner l’origine d’un problème rencontré par un enfant. Que ce soit la peur du noir, la peur d’aller à l’école ou de se séparer de ses parents, ou tout autre problème, l’enfant exprime rarement de but en blanc ce qui le tracasse vraiment. C’est souvent plus profond que ce qu’il énonce.

Une forme de communication axée Solutions est cependant possible.

Il s’agit d’une conversation riche axée davantage sur les solutions que sur le problème en lui-même car souvent l’enfant n’évoquera pas avec vous directement ce qui le perturbe (ex: il peut refuser d’aller à l’école sans exprimer une tenson ressentie : un camarade qui lui fait des réflexions ou un cours qui lui déplait, qui lui fait peur).

Au cabinet, afin de bien communiquer avec les enfants, j’utilise un système de cartes réalisées sur-mesure, au fil de la première discussion. Je pars du principe que bien souvent le point noir est évoqué dans la genèse même du problème, de l’écueil rencontré par le petit.

Il s’agit pour moi de discuter normalement et de cerner tout ce qui a pu intervenir dans ce problème. Il peut s’agir du lieu, de personnes, d’ambiance, d’un fait daté etc.

Les cartes sont ludiques, on fait un petit dessin à côté de l’élément pour que l’enfant qui ne sait pas encore lire ou qui ne lit pas bien puisse repérer le fait, l’acte, le lieu, la personne.

Puis nous effectuons un classement (l’élément qui dérange le plus, celui qui dérange le moins, celui qui réconforte le plus, celui qui réconforte le moins). Quand le schéma est dressé, il est alors possible de débuter une Conversation simple, axée sur les Solutions. Le schéma peut aussi utiliser la comparaison des éléments ou leur parallèle.

Il convient face à un souci courant qui a été repéré (ne s’applique aux problèmes importants) de :

  • Normaliser
  • Dédramatiser
  • Qualifier
  • Définir des moments d’exception
  • D’imaginer l’usage d’une baguette magique (« si je pouvais régler la situation avec une baguette magique, comment ce serait demain matin ? »)

Pour les enfants, comme pour les adultes, la Conversation axée Solutions qui se veut riche, fournie et empathique, nécessite un bon entrainement. Vous pouvez l’apprendre avec moi au cabinet de Vichy.

7 piliers pour préserver son énergie

L’énergie est l’une de nos constituantes de base. Vous le savez il y a le corps, l’esprit et cette fameuse énergie qui anime le tout. Mais la période que nous vivons, l’époque entière, a apporté son lot de complexité aux méthodes naturelles de régénération énergétique…

Pensez en termes d’énergie et de vibrations

Pour exemple, le béton nous coupe des meilleures vibrations de la terre. La disparition de la nature et des espaces naturels au profit de la ville et des cités rend difficile le bol d’oxygène facilement pris d’antan… L’évolution galopante, les technologies, l’innovation influent sur l’environnement, le climat et notre état d’esprit. Nicola Tesla disait : « Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence, d’information et de vibration ». La fréquence vibratoire de notre planète a beaucoup changé en quelques décennies. Auparavant sa fréquence était stable et constante (7,83 Hz). Aujourd’hui elle est fluctuante et peut s’implémenter jusqu’à 150 Hz. Cette fréquence présente désormais des creux et des pics. Il y a donc un éveil spirituel mais paradoxalement se produit aussi un fort nivellement par le bas au sein même dans les comportements humains.

A notre niveau et personnellement nous ne pouvons que nous stabiliser en gardant un taux vibratoire correct et en évitant le parasitage venu de toutes parts. Mais comment faire ? Dans deux récentes vidéos je vous expliquai Comment augmenter votre taux vibratoire et je vous parlai aussi des éléments venant abaisser notre taux vibratoire. Vous pouvez visionner ces deux vidéos pour bien comprendre comment fonctionne notre énergie.

1. Prendre vraiment conscience de son énergie comme d’un précieux potentiel

Il ne peut y avoir de protection, selon moi, sans prise de conscience réelle. Si vous n’arrivez pas à ressentir l’existence palpable de cette énergie qui vous anime alors elle demeure un concept abstrait pour vous. Il est difficile de se battre pour l’existence d’un concept très abstrait. Mais si vous faites suffisamment d’exercices pour ressentir votre énergie, pour la façonner, la palper, lui donner vie à travers vos mains, la prise de conscience opèrera. Plus vous travaillez sur cette énergie mieux elle vous sert. En sophrologie, durant les exercices de relaxation dynamique nous pouvons ressentir cette énergie entre nos mains. C’est en effectuant des exercices sur le façonnage d’énergie chaque jour, que vous prendrez conscience qu’elle est là et que c’est votre réservoir d’amour de soi, d’action, de vitalité etc. Dès lors vous voudrez la protéger.

2. Protéger son énergie de façon basique

Très basiquement je protège mon énergie en m’offrant une nourriture saine, en me reposant lorsque je suis fatiguée, en me soignant lorsque je suis malade, en entretenant des projets et des pensées positives, en évitant la stagnation mentale. Si je stagne je dois LNT (Learn New Things) comme disent les anglosaxons, c’est à dire faire travailler mon cerveau en apprenant de nouvelles choses. Chaque matin, tous les jours, même le weekend, au lever, je prends un moment pour effectuer un exercice de protection en visualisation. Cela consiste à imaginer un cercle de feu autour de nous qui soit alimenté directement pas une substance céleste et bénéfique. Nous apprenons cet exercice lors des sessions de relaxation et de sophrologie. Il permet de ne pas perdre de l’énergie et de ne pas subir, par exemple, les conséquences de pensées parasites.

3. Eliminer les processus et les flux mentaux trop chargés

Beaucoup de clients arrivent avec une problématique facilement démontable. Par exemple : refuser un deuil après des années n’est pas un problème en soi, le problème c’est le refus d’une des lois naturelles de la vie qui dit que tout est mouvant. Avoir un souci et en parler sans cesse à tout le monde, c’est l’alimenter. Il prend de l’ampleur. Accepter que les choses sont telles qu’elles sont permet de préserver son énergie plutôt que de la gaspiller en considérations mentales sans fin et sans limite. Accepter, face à un problème, un écueil, de dire : « Les cogitations ne changent rien. Elles empirent la situation » permet de relativiser.

4. Demeurer dans l’état présent

Vivre dans le passé c’est se déprimer. Vivre dans le futur c’est angoisser pour ce qui va, ne va pas ou pourrait arriver… Seul l’instant présent nous permet de préserver notre énergie en temps réel. Apprendre à ramener l’esprit dans le corps lorsqu’il s’en éloigne (perte de concentration) est bénéfique.

5. A qui, à quoi je donne de mon pouvoir ?

Collaborer avec quelqu’un c’est lui concéder un peu de notre pouvoir personnel, c’est partager notre énergie, notre empreinte énergétique. Combien d’énergie suis-je d’accord de céder à l’autre ? Si je m’investis dans un projet à 5% je ne risque pas de voir mon énergie globale vaciller dans le mauvais sens en cas de problème. Décidez à qui vous voulez donner du pouvoir. Lorsque vous postez des photos de vous sur les réseaux sociaux, vous offrez de votre empreinte énergétique et vous accordez aux autres un certain pouvoir sur vous. Celui d’applaudir ou de critiquer, d’aimer ou de jalouser… En sortant du jeu des réseaux sociaux, vous aurez peut-être le sentiment de perdre une part de votre vie sociale mais aussi celle de retrouver votre intimité et votre énergie intacte ou presque. Dans un conflit il convient de ne pas accorder trop de pouvoir à autrui.

6. Éviter de côtoyer des gens jaloux et possessifs…

Les liens de possessivité agissent sur notre énergie même à distance. Dès lors qu’un lien existe avec une personne, il est conducteur. Exemple : Une jeune fille de 21 ans décide de s’éloigner de son conjoint trop possessif. Elle part poursuivre ses études à l’autre bout du monde et décide de laisser du temps à son couple « pour voir »… Mais son ami lui téléphone tous les jours. Il veut savoir qui elle voit et ce qu’elle fait. Elle ne se sent donc pas libre même au bout du monde. Elle a besoin d’une réelle coupure énergétique avec cette personne pour avancer dans son authenticité propre.

7. Ne pas former des basses pensées ou des pensées de vengeance

Dès que vous enviez quelqu’un pour ce qu’il est ou ce qu’il possède, vous créez des formes-pensées, des magmas de pensées sombres qui ont besoin d’énergie pour survivre. Donc ces pensées vous fatiguent. Heureusement pour éliminer ces parasites nés du mental il suffit d’entretenir des pensées d’amour et de diluer les liens avec les personnes qui provoquent chez vous de la jalousie ou des pensées de vengeance. Le pardon est un puissant outil de guérison également.

Voici une histoire véridique. Mme X, 42 ans, consulte pour un mal-être lié à son passé. Il y a quelques semaines elle a revu une de ses amies de lycée qu’elle n’estimait pas beaucoup à l’époque. Cette amie, Mme Y, l’invite au restaurant pour des retrouvailles. Mme X trouve que Mme Y n’a pas changé. Selon ses dires elle n’a pas beaucoup vieilli. Elle est mariée à un bel homme depuis longtemps, elle a de superbes enfants, une carrière valorisante. Sac en cuir, tenue coordonnée, esthétique ultra-soignée et look de femme d’affaire suffisent à faire douter Mme X d’elle-même… Le manque de confiance en soi de Mme X semble refaire surface… Mme X avoue qu’elle n’aurait jamais cru que Mme Y puisse un jour avoir une vie très réussie… Elle avoue aussi qu’au lycée Mme Y était son « faire-valoir ». Depuis qu’elle a ajouté Mme Y à ses réseaux sociaux, Mme X se rend malade : elle n’en revient pas de voir que chaque jour Mme Y poste des photos de ses petites réussites. Cela va de la tarte aux pommes parfaite, au repas dans un grand restaurant avec son mari en passant par les vacances en Suisse etc. En réalité Mme X ressent un sentiment de jalousie envers son amie de lycée. Ce sentiment est né d’une idée fausse qui est « Rien ne change jamais ». Elle se sent dépassée par les changements positifs constatés chez son ancienne amie. Elle s’était construite en pensant que son amie de lycée n’avait pas changé, qu’elle était toujours le faire-valoir des autres… Mais force est de constater que Mme Y a très bien profité de cet apprentissage. Aujourd’hui elle ne laisse plus personne lui barrer le chemin… Mme X, elle, met beaucoup d’énergie à essayer de comprendre pourquoi tout a si bien réussi à Mme Y plutôt que de se concentrer sur sa propre énergie. Puis un jour, en cours de thérapie, Mme X change son fusil d’épaule. Elle accepte l’idée que tout est mouvant et en mouvement constant. Alors elle décide de changer elle-même. Elle monte son entreprise à l’instar de Mme Y et commence à valoriser et à apprécier ce qu’elle a de bon dans la vie. Elle finit par conclure que Mme X est une « super penseuse positive » qui sait faire un grand succès d’une simple tarte aux pommes… Un peu de dérision lui permet de passer le cap de la comparaison. Je lui dis au passage que chacun a son énergie propre et que nous ne sommes pas tous faits pour faire les mêmes choses. Mme Y semble être une créative hyperactive depuis toujours. Ma cliente est plutôt casanière et n’aime pas tellement sortir de sa zone de confort. Mme Y n’est peut-être pas le bon modèle à suivre… Quoiqu’il en soit son mal-être disparait dès lors qu’elle utilise son énergie à se développer ELLE sans regarder ce que font les autres. Elle comprend que la vie est courte et que nous avons tous la possibilité d’agir avec notre énergie sur notre existence. Pour préserver son énergie elle décide de considérer désormais Mme Y comme une inspiratrice plutôt que comme une personne à envier. Mais elle comprend également que c’est elle seule qui décide ou non de donner à l’autre un pouvoir sur sa vie.

Vous souhaitez penser plus positif et apprendre vous aussi à préserver vos énergies et à les utiliser à bon escient ? Visitez la page Sophrologie de ce site

Est-ce de la stagnation, de la peur ou de la procrastination ?

Contraintes supplémentaires et stagnation nouvelle

L’époque actuelle paraît au premier abord compliquée à vivre. Depuis l’apparition de la pandémie de Covid, il devient plus difficile de faire des projets. Cela peut être une raison ou une excuse de faire ou de ne pas faire… Pour certains, la pandémie a été le déclencheur d’une forme de stagnation personnelle. Pour d’autre, peu décidés à s’adapter aux nouvelles contraintes, cette stagnation s’est avérée davantage professionnelle. Pour d’autres encore, au contraire, l’occasion de braver les interdits moraux et de se lancer dans une « fuite en avant » (avec voyages et contacts à outrance, bien plus qu’en temps normal !). Ici l’idée est plutôt de « profiter tant qu’on le peut ».

Mais dans la majeure partie des cas, la plupart des clients que je rencontre en cabinet m’expliquent tout simplement ne plus « arriver à passer à l’action » ou expérimenter une forme de « désespoir tranquille », un état auquel il est compliqué de mettre fin.

Stagnation voulue ou subie ?

Le changement, c’est pour quand ? Vous n’avez plus envie de vous investir dans un projet professionnel ou personnel ? Ce qui auparavant semblait revêtir pour vous une importance capitale vous paraît aujourd’hui inutile ? Vous avancez dans une optique de « peine perdue » ?

Alors comment faire la part des choses entre stagnation voulue ou subie, émotions de peur, usage de procédés de procrastination, stratégies d’évitement ?

Au cabinet je n’omets jamais de travailler en premier lieu sur les comportements cognitifs du client, sur ses habiletés sociales (et notamment sa capacité à mettre en marche les rouages d’une communication lors d’une demande précise à autrui) et sur les émotions. Conjointement l’histoire de ce qui amène à consulter est racontée car on estime que la solution est aussi dans le récit. L’écoute active est donc de mise.

Conséquences des émotions subies

Les émotions qu’on porte en nous aboutissent à différentes conséquences. Celles-ci sont personnelles et variées. Le simple fait de beaucoup parler plutôt que de passer à l’action face à une priorité est l’aboutissement d’une réaction de peur.

Le client peut assurer qu’il n’a pas peur d’un éventuel échec (ou même d’un éventuel succès) après le passage à l’action et pourtant avoir un frein cognitif profondément ancré en lui.

C’est en reconnaissant les émotions de chacun et en les analysant de façon didactique qu’on peut savoir dans quel état nous nous trouvons. Évoquer un manque de temps peut simplement être une résistance à la solution offerte.

En sophrologie, il est important, lors d’un travail qui dépasse de loin la relaxation et qui s’attache à résoudre un problème, de distinguer les conséquences d’une émotion. Quelles émotions et quelles distorsions animent le client (ex: paralysé par une peur ancrée / nourri par une distorsion de Sacrifice de soi) ? Comment en venir à bout ? Quelles méthodes proposer ?

Lorsque les tensions physiques et mentales s’estompent et sont « coupées » par des exercices dédiés, il devient plus aisé de voir le problème en face et d’y trouver des solutions rationnelles.

Manque de confiance en soi et stagnation

Stagner personnellement et professionnellement est souvent la réaction d’une peur de l’échec qui nous souffle « A quoi bon mettre en oeuvre un grand changement si l’échec est possible ? ». Mais parfois nous nous sentons également incapables de débuter un travail s’il est d’ampleur… Par où commencer ? Suis-je capable d’assumer de tels changements et une réorganisation de ma vie ? Il est douloureux d’abandonner des process inefficaces mais pourtant connus… Il y a là une question de Confiance en soi.

La peur qui entretient la stagnation est la résultante du manque de confiance en soi.

Stratégies d’évitement nocives

La procrastination est une stratégie d’évitement du passage à l’action qui renvoie à l’émotion peur d’échouer.

Se lancer sans se poser trop de questions, avec des objectifs réduits, permettra au client de multiplier les expériences de réussites qui existent en toute situation. Ne pas passer à l’action c’est s’empêcher de vivre des expériences correctives, celles qui favorisent l’apparition d’une brèche dans nos croyances les plus ancrées, les plus profondes.

Vous aimeriez mieux décrypter vos comportements et le pourquoi de certaines de vos actions ou de vos stagnations ? N’hésitez pas à visiter la page dédiée au Coaching en Suppression des Croyances limitantes. La communication relationnelle permet également de débloquer bien des situations.

Créer une routine de succès solide

Tous les grands le savent : une journée réussie et productive passe par une routine de succès fiable et éprouvée. Que vous soyez étudiant, salarié, free-lance, chef d’entreprise ou retraité, le succès de vos journées et donc le niveau de votre moral passe par l’organisation.

Créer une routine de succès est une étape primordiale pour celui qui veut s’offrir une qualité de vie et un confort mental. Bien peu de professions riment avec « spontanéité » et désorganisation. Lorsque les choses réussissent et nous réussissent c’est rarement un hasard. Il y a derrière toute une mentalité, un style de vie et la plupart du temps une volonté d’organisation conséquente.

Si vous vous couchez tard, vous vous lèverez tard aussi ou à l’heure mais vous serez fatigué physiquement et moralement. Par contre apprendre à se lever plus tôt et chaque jour à la même heure, prendre le temps de méditer avant de déjeuner ou d’aller promener votre chien calmement plutôt que dans la course matinale, autant d’éléments qui bâtiront un mental positif chez vous.

Comment bâtir une routine de succès efficace ?

J’aborde les grandes lignes de ce projet de vie fascinant dans la vidéo de développement personnel ci-dessous.

Sophrologue, psychopraticienne et coach en suppression des croyances limitantes installée sur Vichy depuis 3 ans et demi et à mon compte dans la communication relationnelle depuis 1999, je publie sur mon blog de courtes vidéos spontanées et tournées sur le vif. Je n’entends nullement devenir vlogueuse, maquilleuse ou éclairagiste… Ces vidéos sont justes à un moyen de vous faire connaître mes activités et de garder le lien avec tous mes clients, les anciens, les actuels et les futurs ! Chaque thérapeute, sophrologue, coach possède et doit posséder son propre style, aussi en visionnant ces vidéos vous saurez immédiatement si vous avez envie ou non de collaborer avec moi. « Aime, ris et surtout deviens la meilleure version de toi-même » pourrait être mon leit motiv.

Ces éléments qui augmentent le taux vibratoire

Nous sommes un corps certes, mais nous sommes aussi une belle énergie… Est-elle propre, est-elle claire ? Est-elle basse, normale ou plutôt élevée ? Les énergéticiens, les sophrologues et tous les professionnels travaillant sur les énergies tombent d’accord sur le fait que pour attirer à soi des expériences joyeuses et constructives et des rencontres positives, il faut vibrer à un certain niveau. En réalité nous communiquons avec et attirons à nous ce qui vibre à notre niveau. Il est donc important de vibrer « élevé ». Voyons dans cette vidéo certains éléments et comportements qui peuvent nous aider à vibrer plus haut et donc à être en résonance avec des énergies plus hautes.