Comment la Sophrologie et la Relaxation peuvent aider les parents à combattre la nervosité ou les peurs de leurs enfants

La période de l’enfance, entre 6 et 14 ans, est une étape cruciale du développement de nos chères têtes blondes. C’est une période de découvertes, d’apprentissages, mais aussi parfois d’anxiété, de nervosité, voire de peurs. Les parents, résidant à Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset, Brugheas, Creuzier-le-Neuf ou Creuzier-le-Vieux, peuvent se sentir démunis face à ces émotions chez leurs enfants. Heureusement, la sophrologie et la relaxation, en tant que techniques thérapeutiques psychocorporelles, sont des outils puissants pour aider vos enfants à faire face à ces défis, à la maison et à l’école. A travers cet article je vous explique comment il est possible d’offrir une vie intérieure apaisée à vos enfants notamment en leur apprenant à bien respirer et à gérer leurs émotions. La gestion des émotions est le socle de la vie personnelle et de la vie en société. Beaucoup de sages (principalement bouddhistes) déplorent que les parents n’apprennent pas plus tôt à leurs enfants à gérer leurs émotions. Hélas il n’est pas rare de rencontrer des adultes de plus de 50 ans ne sachant toujours ni maîtriser leur esprit, ni gérer leurs émotions… L’esprit est notre boussole, notre gouvernail. Savoir le gérer est un cadeau pour toute la vie…

Comprendre les émotions de votre enfant

Avant d’aborder l’efficacité de la sophrologie et de la relaxation pour combattre la nervosité et apaiser l’anxiété de vos enfants, il est essentiel de comprendre ces émotions. Les jeunes de 6 à 14 ans sont souvent confrontés à un monde en constante évolution. Les pressions à l’école, les relations sociales, les exigences académiques et le désir de s’affirmer peuvent engendrer un tourbillon d’émotions. Notons que nos enfants sont vite confrontés aux écrans, au scrolling et à Internet… Cela augmente le flot d’informations venant chaque jour à eux et peut créer de nombreuses cogitations inutiles voire effrayantes…

L’anxiété peut se manifester sous différentes formes : anxiété de séparation, peur de l’abandon, peur d’être mis à l’écart, peur de l’échec scolaire, anxiété sociale, etc. De même, la nervosité peut se traduire par des comportements impulsifs et des difficultés à se concentrer. Les peurs peuvent surgir de diverses situations, allant de la peur du noir à la peur de parler en public. Les enfants sont sujets à la comparaison qu’elle soit scolaire ou physique. Comprendre les attentes de son enfant pour lui faciliter la vie en collectivité est un enjeu majeur.

La Sophrologie et la Relaxation : Des alliés précieux

Que vous viviez à Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset, Brugheas, Creuzier-le-Neuf ou Creuzier-le-Vieux, la sophrologie et la relaxation, en tant que techniques de relaxation, techniques d’ancrage, et techniques de respiration, peuvent aider votre enfant à mieux gérer ces émotions. Ces approches favorisent la détente physique et mentale, tout en encourageant une étude de soi profonde.

En tant que spécialiste du domaine, permettez-moi de vous présenter mon parcours : Je suis Céline, 48 ans. J’ai suivi des études en Communication et en 1999, je me suis lancée en tant qu’indépendante dans la « Communication relationnelle ». J’ai ainsi aidé une cinquantaine de chefs d’entreprise à développer un leadership authentique et durable.

En 2010, j’ai orienté ma carrière vers la Thérapie en rejoignant la formation des Professeurs de Technique Nadeau. J’ai également suivi deux cursus en Sophrologie et en Psychopratique. Par la suite, je me suis formée en gestion du Stress Post-Traumatique (PTSD) et Deuil dans le cadre des Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC), avec trois niveaux de formation en France et en Angleterre.

En 2018, après avoir exercé en région parisienne, j’ai ouvert mon cabinet à Vichy. Je dispose d’un bureau adapté et d’une salle de relaxation-atelier. Ici, mes clients se sentent à l’aise et ancrés. Sur Vichy j’applique les techniques de la sophrologie avec plusieurs spécialités : la gestion du stress, l’augmentation de la confiance en soi, le sommeil et la gestion des différents deuils de la vie (du renoncement à la perte d’un être cher). Intervenant en établissements scolaires et en formations de jeunes adultes, j’ai un contact privilégié avec la jeunesse. Je suis par ailleurs officiellement formée à la Prévention de l’autisme et à Snoezelen par AMA Campus (certificats obtenus en 2022).

Le rôle essentiel du sophrologue

Le sophrologue, en tant que praticien de la sophrologie, permet à votre enfant de trouver en lui-même les ressources pour atteindre ses objectifs. Il travaille sur la modification du regard que l’enfant porte sur lui-même, aidant ainsi à changer son mental, son image de soi, à développer sa confiance en soi et son self-love.

Une profession en pleine expansion

Ce domaine connaît actuellement une croissance significative, à une époque où le bien-être et les approches de médecine douce sont de plus en plus privilégiés. Il est intéressant de noter que certaines interventions effectuées par les sophrologues sont désormais couvertes par les assurances complémentaires, et la profession s’engage activement dans l’amélioration de la formation et de la qualification de ses praticiens. Cette évolution progressive confère à la sophrologie un statut de plus en plus reconnu en tant que profession paramédicale.

Si vous êtes parent à Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset, Brugheas, Gannat, Creuzier-le-Neuf ou Creuzier-le-Vieux, et que vous êtes préoccupé par la nervosité, l’anxiété ou les peurs de votre enfant, la sophrologie et la relaxation, en tant que techniques thérapeutiques psychocorporelles, sont des ressources précieuses à considérer et je peux vous aider à surmonter une période compliquée en confidentialité et en toute bienveillance. Ces techniques peuvent aider votre enfant à développer des compétences essentielles pour la vie tout en favorisant son bien-être émotionnel. N’hésitez pas à me consulter pour guider votre enfant vers un avenir plus serein et épanoui. Et n’oubliez pas que le changement mental, l’amélioration de l’image de soi et le développement de la confiance en soi sont des aspects essentiels de cette démarche vers le bien-être !

Céline Baron, sophrologue psychopraticienne sur Vichy

06 56 77 02 11

Perdre du poids et se sentir bien grâce à la sophrologie

Pendant le confinement, on craint pour son poids …

Voici un article très peu didactique car rédigé spontanément. J’ai eu dernièrement certains de mes clients en ligne et, l’angoisse et le grand chamboulement du confinement passés, un point crucial semble perturber tout le monde (les hommes et les femmes) : le gain de poids !

Comme je l’ai expliqué dans mes précédents articles, le confinement peut être une période propice au travail sur soi. Mais s’il devient le lieu de désordres alimentaires ou d’angoisses supplémentaires sur son physique, il va devenir bien plus contraignant encore…

Pas de régimes mais un vrai changement alimentaire pour toujours …

En 2007 j’ai perdu 10 kilos entre le mois de juin et le mois d’octobre. Je n’étais pas ce qu’on peut appeler « grosse » car je suis assez grande (1m67) mais j’avais accumulé pas mal de rondeurs (visage, hanches, fesses, cuisses et ventre) après ma première grossesse en 2005. A 20 ans j’étais une grande fllle « à formes » ce qui me complexait alors (aujourd’hui quand je revois des photos ça ne me choque pas du tout !) Mon médecin estimait tout de même que de perdre quelques kilos « localisés » ne me ferait que du bien.

Mais voilà j’avais déjà fait plusieurs régimes et à chaque fois ça avait été l’échec, la reprise rapide, très décevant… Je me situais lorsque j’étais jeune dans la comparaison perpétuelle, feuilletant des magazines où les femmes sont de vrais sacs d’os… Heureusement à la trentaine j’ai perdu cette vision réductrice de la femme… vision idéale qu’on nous impose très jeune et qui s’ancre réellement dans l’inconscient…

A l’heure actuelle donc 13 ans plus tard, je n’ai pas repris le poids perdu (parfois 2 kilos l’hiver qui repartent au printemps sans trop d’efforts). Je comprends cependant mes clients qui actuellement se mettent à haïr la balance… ou le jean-témoin…

Le corps mais aussi l’esprit

Avec le recul et l’âge je me souviens de moi comme une jeune fille puis une jeune maman qui ne contrôlait ni son esprit, ni son corps. L’un découlant de l’autre. J’ai effectué un grand travail sur le corps avant d’effectuer le même sur l’esprit, sauf que là je suis allée nettement plus loin puisque j’ai décidé de devenir, en 2010, thérapeute (une seule technique au début, puis, au fil des certifications et des formations, bien d’autres, jusqu’à arriver au point d’équilibre).

Le pouvoir de l’esprit

Entre 2007 et 2020 pour ma part de l’eau a coulé sous les ponts et mon poids (même si j’y fais attention) n’est plus ma priorité absolue. J’ai ancré depuis 13 ans dans mon esprit que j’étais une « mince » alors que quelques années après mon changement alimentaire je me considérais encore comme une « ancienne grosse »…  Et plus mon statut de « mince » m’est entré dans l’esprit, moins il a été difficile pour moi de me tenir à mes principes alimentaires d’il y a 13 ans. Perdre du poids est un changement important dans la vie de tous les jours… Vos voisins commentent : « Bah dis donc, tu as fondu, attention de ne pas perdre un os! », vos amis aussi : « Eh bien tu vois, moi je te préférais avant, quand tu avais des joues, ça faisait plus jeune… », et ceux qui ne vous connaissaient pas avant peuvent parfois ne pas comprendre que même si vous êtes mince vous êtes encore blessé(e) par certains propos comme : « Tu as vu cette fill, non mais elle ferait bien d’aller faire un jogging plutôt que de manger une glace… » Vous l’avez compris : lorsqu’on veut travailler sur soi que ce soit physiquement ou mentalement, il faut avoir une volonté de fer (ou s’entourer exclusivement de personnes 100% positives, empathiques… Difficile mais faisable).

La sophrologie : célébrer ce qu’on aime chez soi pour gagner en confiance

La sophrologie peut, elle, vous permettre de perdre du poids ou de ne pas en regagner après un changement alimentaire majeur puisqu’elle travaille sur l’inconscient. Elle lui fait passer des messages. Mais on n’a pas toujours besoin de « parler poids » pour aider une cliente à mincir… Il s’agit davantage (mais chaque être est unique, chaque séance aussi par conséquent) de célébrer ce qu’on aime chez soi ! Je vous donne quelques astuces, avant la reprise de vos séances, pour vous aider à vous recentrer si vous ressentez un souci alimentaire depuis le confinement.

  1. Prendre le temps de vous détendre et de réfléchir à ce qu’est, pour vous, une alimentation saine, qui apporte les nutriments essentiels, qui ne ballonne pas, qui ne fait pas grossir mais qui est agréable à la fois : par exemple pensons à une salade grecques, la fameuse « choriatiki » (la salade du village). A chaque fois que je vais en Grèce je reviens délestée de deux bons kilos et pourtant je ne me prive pas : salade grecque, feuilles de vignes farcies, poissons grillés, fruits mûrs… Je crois que c’est ainsi depuis 20 ans : la Grèce est mon pays de coeur. J’ai même appris à parler grec moderne ! Tout ce qui vient de Grèce est pour mon esprit « bon » pour moi ! Quel est votre menu de rêve ? Où aimeriez-vous le déguster ? Choisissez un plat sain, un bel endroit et « vivez » l’instant ! Si vous faites cela à heure fixe (par exemple au lit le matin, 5 mn avant de vous lever), vous ancrez l’idée de « nourriture saine et agréable » dans votre esprit pour la journée. Prenez votre temps pour composer ce menu virtuel ! Ne choisissez que des aliments frais que le corps stocke peu.
  2. Il commence à faire beau. Si vous avez peur de grossir voici un bon conseil : restez en maillot de bain + kimono chez vous. Ainsi vous serez confronté(e) à la vision de ce corps que vous voyez peut-être comme un ennemi ! Il sera plus facile dès lors de voir directement les conséquences d’une éventuelle « malbouffe » sur votre silhouette. Un jour un médecin m’a dit : « La meilleure façon de ne pas grossir, c’est de se regarder nue dans la glace tous les jours ! » Voici un exercice qui vous ôtera l’angoisse de la balance…
  3. Massez-vous ! Le soir, après la douche ou le bain, massez votre corps et particulièrement les parties que vous trouvez trop grosses. Faites cela comme un sain rituel, quelque chose de beau et de sacré à la fois. Une huile de massage suffit (si vous n’en avez pas une huile alimentaire ou du beurre de coco fera l’affaire)
  4. Gardez une activité physique : 20 mn de mouvements par jour c’est le strict minimum dans cette sédentarité imposée !
  5. Endormez vous avec une vision de vous tel ou telle que vous aimeriez être certes, mais pensez bien que « vous êtes déjà ainsi » et remerciez ! La pensée positive est efficace lorsqu’on sait « penser par la fin » plutôt que de penser étapes et parcours du combattant !
  6. Soignez votre âme. Nous sommes un corps + une âme. Les deux sont indissociables. Lorsqu’on fait du mal au corps, l’esprit se sent floué. Lorsqu’on fait du bien à son corps mais que notre conscience nous souffle qu’on ferait mieux de travailler notre personnalité, c’est le corps qui se sent trahi. C’est pourquoi si vous accordez 30 mn de soins et de bontés à votre corps, vous devez en accorder autant à l’esprit ! Une simple méditation guidée avant de dormir peut vous aider à maintenir l’équilibre.
  7. Enfin sachez que le confinement est une « leçon » comme une autre à la grande école qu’est la Vie ! Quels bénéfices souhaitez-vous tirer de cette isolement forcé ? C’est vous qui savez !