Addict à Facebook : La Sophrologie comme Solution

Dans le monde moderne, les réseaux sociaux ont révolutionné la manière dont nous interagissons, partageons des moments et consommons de l’information. Parmi eux, Facebook occupe une place prépondérante, mais son impact sur notre vie quotidienne ne se limite pas aux avantages évidents. En effet, l’omniprésence de ces plateformes peut avoir des conséquences néfastes sur notre rythme de vie et notre bien-être, allant jusqu’à altérer notre libre-arbitre. Perte de temps, procrastination, développement d’une curiosité qui peut parfois devenir malsaine, tendance à comparer son existence à celle des autres mais surtout multiplications des publicités et des informations, oui notre concentration est mise à rude épreuve par la participation active à un simple réseau comme facebook… Sans compter une adversité très forte : le moindre commentaire sur une page facebook, s’il n’est pas tout à l’honneur de son « auteur » peut engendrer un flot d’insultes gratuites, parfois très vulgaires… Le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ? Comment les réseaux sociaux, tels que Facebook, contribuent-ils à changer notre rythme de vie en pire, et comment la sophrologie peut-elle nous aider à surmonter ces défis ?

L’illusion de la connexion et le manque de concentration :

L’un des paradoxes des réseaux sociaux est leur capacité à créer une illusion de connexion tout en isolant leurs utilisateurs les uns des autres. De plus combien de conflits et litiges débutent sur facebook ? Les heures passées à faire défiler des fils d’actualité peuvent donner l’impression d’être connecté aux autres, mais en réalité, elles peuvent souvent nous éloigner de nos interactions réelles et de nos proches. De plus, la constante stimulation offerte par ces plateformes, sous forme de notifications et de contenus en évolution rapide, peut rendre difficile la concentration sur des tâches importantes. Des études ont montré que l’usage excessif des réseaux sociaux est associé à une diminution de la capacité de concentration et à une réduction de la productivité. Pour exemple je suis sur facebook depuis 2007. Le temps est passé très vite mais je ressens aujourd’hui ce réseau comme une intrusion dans la vie personnelle. Je ressens aussi un genre d’interdiction à y dire les choses telles qu’elles sont. « Une fois où j’avais participé comme musicienne à un concert et posté des photos de l’évènement avec la mention : « Grasse matinée, les avantages de la vie d’artiste », j’ai été violemment prise à partie par ma belle-mère qui, sous ma publication à répliqué : « Dis plutôt les avantages d’avoir un mari qui travaille, lui ! » Du coup j’ai éliminé ma belle-mère de mes amis facebook et je l’ai copieusement blacklistée sur tous mes réseaux. Mon mari, lui, a compris, ce jour-là, que sa mère était vraiment jalouse de mes activités artistiques » explique Anna, 41 ans. Dans son cas et à travers les nombreux exemples qu’elle évoque on comprend que facebook est devenu un miroir renvoyant à ses amis une image gratifiante, trop gratifiante parfois, favorisant jalousie et litiges… Dans mon cas, j’ai freiné les réseaux sociaux (qui sont pourtant en mode privé) qui constituaient davantage pour moi des « albums » de souvenirs et un moyen de ne plus perdre mes photos de vacances ! J’ai quitté les réseaux plusieurs fois pour plusieurs mois afin de me concentrer sur mes activités professionnelles. Aujourd’hui mon but est plutôt d’y aller une fois par mois pour me tenir au courant de la santé de mes connaissances. Depuis que j’ai mis de côté les réseaux sociaux j’ai retrouvé le plaisir d’une promenade déconnectée ou de la lecture de gros livres à la place.

La sophrologie : une approche pour contrer l’addiction aux réseaux sociaux :

La sophrologie, une technique de relaxation et de développement personnel, offre une approche holistique pour lutter contre l’addiction aux réseaux sociaux. En se concentrant sur la respiration, la conscience corporelle et la visualisation, la sophrologie permet de prendre du recul par rapport aux distractions numériques et d’ancrer l’attention dans le moment présent. Elle peut aider les individus à retrouver leur concentration, à réduire l’anxiété liée à la peur de manquer quelque chose en ligne, et à renforcer leur estime de soi en se reconnectant à leurs besoins intérieurs plutôt qu’à des comparaisons superficielles.

La perte de temps et la perte d’estime de soi :

L’utilisation excessive des réseaux sociaux peut rapidement devenir une source majeure de perte de temps. Les minutes passées à faire défiler des contenus souvent insignifiants s’additionnent pour former des heures perdues, qui pourraient être consacrées à des activités plus enrichissantes et productives comme le rangement de la maison (gratifiant), la musique, le dessin, l’apprentissage d’une langue, la préparation détaillée d’un futur voyage… De plus, la comparaison constante avec les vies apparemment idéales mises en avant sur les réseaux sociaux peut miner l’estime de soi, générant des sentiments d’insatisfaction et d’infériorité.

La course à la popularité virtuelle :

Les réseaux sociaux ont introduit une nouvelle dimension de compétition sociale, où le nombre de likes, de partages et de followers peut être perçu comme un indicateur de succès personnel. Cette quête de reconnaissance en ligne peut inciter certains à investir un temps précieux dans la recherche de validation virtuelle, au détriment de leurs objectifs personnels et de leur bien-être. La triste réalité étant que les likes qui ne proviennent pas de personnalités intéressantes ou de « grands sages » n’ont absolument aucune valeur. D’ailleurs même l’interaction des ces derniers n’a aucune valeur concrète !

L’importance de la maîtrise de soi dans un monde numérique :

Dans un monde où les réseaux sociaux sont omniprésents, la maîtrise de soi devient essentielle pour préserver notre rythme de vie, notre bien-être et notre libre-arbitre. Bien que ces plateformes offrent d’innombrables avantages, il est crucial de reconnaître les signes d’une utilisation excessive et de mettre en place des stratégies pour éviter de tomber dans une spirale addictive.

Conclusion : La sophrologie comme alliée dans la lutte contre l’addiction aux réseaux sociaux

Il est indéniable que les réseaux sociaux, tels que Facebook, ont transformé la manière dont nous vivons, interagissons et consommons de l’information. Cependant, il est important de reconnaître les aspects négatifs de leur utilisation excessive, notamment la perte de concentration, la perte de temps, la perte d’estime de soi et la quête inutile de validation en ligne. La sophrologie offre une approche puissante pour contrer ces effets néfastes, en aidant les individus à se reconnecter à eux-mêmes, à retrouver leur concentration et à cultiver un équilibre sain entre le monde virtuel et le monde réel. En adoptant des pratiques de pleine conscience et de maîtrise de soi, nous pouvons reconquérir notre libre-arbitre et vivre une vie plus épanouissante dans l’ère numérique.

Je propose un forfait de 3 séances (120 euros) pour travailler, avec la sophrologie et l’hypnose légère, à se détacher des réseaux sociaux. A Vichy.

Pour les véritables « addicts », je propose un forfait de 10 séances qui leur permettra de reprendre une vie normale et de se libérer de l’emprise des écrans… A Vichy.