Surmontez l’autosabotage grâce à l’Hypnose Ericksonienne : La clé pour déprogrammer les schémas cognitifs erronés

L’autosabotage, cette tendance qu’on certains à se mettre des bâtons dans les roues, peut souvent être enraciné dans des schémas cognitifs erronés. Ces derniers gouvernent nos pensées et nos comportements de manière inconsciente. Ces schémas, souvent issus d’expériences passées, peuvent créer des barrières totalement invisibles car inconscientes qui entravent notre croissance personnelle, notre évolution et parfois notre motivation à passer à l’action. C’est là que l’hypnose ericksonienne intervient comme une lumière guidant à travers les méandres de l’inconscient, permettant de contourner ces obstacles auto-imposés. Lisez l’article ci-dessous pour comprendre de quelle façon elle opère.

Comprendre l’autosabotage et les schémas cognitifs erronés :

L’autosabotage est souvent une réaction inconsciente à des expériences passées, où des échecs ou des traumatismes ont laissé une empreinte profonde dans le subconscient. Les schémas cognitifs erronés résultent de ces expériences, formant des croyances limitantes qui dictent nos pensées et nos actions, souvent de manière négative.

Les approches traditionnelles peuvent mettre du temps à démanteler ces schémas, mais l’hypnose ericksonienne propose une méthode plus rapide et plus directe pour atteindre l’inconscient.

De plus, à mon cabinet de Vichy, je propose une démarche préalable qui permet de cibler rapidement, avec votre coopération vos 2 à 3 distorsions cognitives majeures. En connaître 2 est déjà ultra-aidant ! Mais il se peut, parfois, que vous entreteniez 2 distorsions cognitives avec la même amplitude. Il est alors bon de déterminer la troisième, si elle existe, et de discuter avec vous des deux croyances majeures à modifier.

Ce que mes clients apprécient c’est que ce travail relevant des TCC (Thérapies Cognitives Comportementales) peut s’effectuer dès que nous avons fait connaissance donc dès la seconde séance. Ce travail préalable facilite la création d’inductions sur-mesure que je façonne pour vous.

La clé pour accéder à ce qui est inconscient

L’hypnose ericksonienne, basée sur les travaux du psychiatre et psychologue américain Milton H. Erickson, se distingue par son approche souple et indirecte. Plutôt que d’utiliser des suggestions directes, cette méthode favorise des suggestions indirectes, métaphoriques et narratives, s’adaptant ainsi à la manière unique dont chaque individu traite l’information. En état hypnotique, l’esprit critique diminue, permettant un accès plus direct à l’inconscient. C’est à ce niveau que l’hypnose ericksonienne peut agir sur les schémas cognitifs erronés en les reprogrammant avec des suggestions positives et bien plus constructives. Il est ainsi possible d’agir sur un manque de motivation, des peurs ou des phobies, la crainte de ne pas être à la hauteur, une mauvaise gestion des finances, un rapport négatif à l’argent ou à son corps, son physique… Pour les personnes trop perfectionnistes, lorsque cette distorsion vire à l’anxiété par exemple, il est possible de faire passer un message de suffisance (« je suis déjà suffisamment apte et capable comme cela »).

Contourner l’autosabotage :

L’autosabotage trouve souvent ses racines dans des pensées négatives profondément ancrées, telles que le manque de confiance en soi, la peur de l’échec ou le sentiment d’indignité. Souvent on vise le mieux, le plus haut, le plus beau plutôt que d’apprécier à leur juste valeur les belles choses qu’on possède déjà. L’hypnose ericksonienne cible ces schémas, les remplaçant par des suggestions qui renforcent la confiance en soi, l’estime de soi et la capacité à surmonter les défis. Parfois elle aide à rester dans la congruence.

Les suggestions peuvent prendre la forme de métaphores puissantes, créant des images mentales qui contournent les résistances conscientes et parlent directement à l’inconscient. Par exemple, une métaphore de transformation d’une chenille en papillon peut symboliser le processus de croissance personnelle et de changement positif.

Conclusion : Libérez-vous des chaînes de l’autosabotage avec l’hypnose ericksonienne :

L’hypnose ericksonienne offre une approche novatrice pour contourner l’autosabotage en agissant directement sur les schémas cognitifs erronés. En permettant un accès privilégié à l’inconscient, elle offre une voie rapide vers la reprogrammation mentale, permettant ainsi aux individus de surmonter les barrières qui les empêchent d’atteindre leur plein potentiel. Si l’autosabotage est le mur, l’hypnose ericksonienne est la clé qui ouvre la porte vers un changement positif et durable.

A mon cabinet de Vichy, je pratique l’hypnose eriksonienne. N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi, sans attendre que les écueils rencontrés se renforcent.

Il est également possible d’organiser des séances en visio. Je dispose d’une grande amplitude horaire à cet effet : de 19h00 à 23h00 du lundi au samedi.

Est-ce de la stagnation, de la peur ou de la procrastination ?

Contraintes supplémentaires et stagnation nouvelle

L’époque actuelle paraît au premier abord compliquée à vivre. Depuis l’apparition de la pandémie de Covid, il devient plus difficile de faire des projets. Cela peut être une raison ou une excuse de faire ou de ne pas faire… Pour certains, la pandémie a été le déclencheur d’une forme de stagnation personnelle. Pour d’autre, peu décidés à s’adapter aux nouvelles contraintes, cette stagnation s’est avérée davantage professionnelle. Pour d’autres encore, au contraire, l’occasion de braver les interdits moraux et de se lancer dans une « fuite en avant » (avec voyages et contacts à outrance, bien plus qu’en temps normal !). Ici l’idée est plutôt de « profiter tant qu’on le peut ».

Mais dans la majeure partie des cas, la plupart des clients que je rencontre en cabinet m’expliquent tout simplement ne plus « arriver à passer à l’action » ou expérimenter une forme de « désespoir tranquille », un état auquel il est compliqué de mettre fin.

Stagnation voulue ou subie ?

Le changement, c’est pour quand ? Vous n’avez plus envie de vous investir dans un projet professionnel ou personnel ? Ce qui auparavant semblait revêtir pour vous une importance capitale vous paraît aujourd’hui inutile ? Vous avancez dans une optique de « peine perdue » ?

Alors comment faire la part des choses entre stagnation voulue ou subie, émotions de peur, usage de procédés de procrastination, stratégies d’évitement ?

Au cabinet je n’omets jamais de travailler en premier lieu sur les comportements cognitifs du client, sur ses habiletés sociales (et notamment sa capacité à mettre en marche les rouages d’une communication lors d’une demande précise à autrui) et sur les émotions. Conjointement l’histoire de ce qui amène à consulter est racontée car on estime que la solution est aussi dans le récit. L’écoute active est donc de mise.

Conséquences des émotions subies

Les émotions qu’on porte en nous aboutissent à différentes conséquences. Celles-ci sont personnelles et variées. Le simple fait de beaucoup parler plutôt que de passer à l’action face à une priorité est l’aboutissement d’une réaction de peur.

Le client peut assurer qu’il n’a pas peur d’un éventuel échec (ou même d’un éventuel succès) après le passage à l’action et pourtant avoir un frein cognitif profondément ancré en lui.

C’est en reconnaissant les émotions de chacun et en les analysant de façon didactique qu’on peut savoir dans quel état nous nous trouvons. Évoquer un manque de temps peut simplement être une résistance à la solution offerte.

En sophrologie, il est important, lors d’un travail qui dépasse de loin la relaxation et qui s’attache à résoudre un problème, de distinguer les conséquences d’une émotion. Quelles émotions et quelles distorsions animent le client (ex: paralysé par une peur ancrée / nourri par une distorsion de Sacrifice de soi) ? Comment en venir à bout ? Quelles méthodes proposer ?

Lorsque les tensions physiques et mentales s’estompent et sont « coupées » par des exercices dédiés, il devient plus aisé de voir le problème en face et d’y trouver des solutions rationnelles.

Manque de confiance en soi et stagnation

Stagner personnellement et professionnellement est souvent la réaction d’une peur de l’échec qui nous souffle « A quoi bon mettre en oeuvre un grand changement si l’échec est possible ? ». Mais parfois nous nous sentons également incapables de débuter un travail s’il est d’ampleur… Par où commencer ? Suis-je capable d’assumer de tels changements et une réorganisation de ma vie ? Il est douloureux d’abandonner des process inefficaces mais pourtant connus… Il y a là une question de Confiance en soi.

La peur qui entretient la stagnation est la résultante du manque de confiance en soi.

Stratégies d’évitement nocives

La procrastination est une stratégie d’évitement du passage à l’action qui renvoie à l’émotion peur d’échouer.

Se lancer sans se poser trop de questions, avec des objectifs réduits, permettra au client de multiplier les expériences de réussites qui existent en toute situation. Ne pas passer à l’action c’est s’empêcher de vivre des expériences correctives, celles qui favorisent l’apparition d’une brèche dans nos croyances les plus ancrées, les plus profondes.

Vous aimeriez mieux décrypter vos comportements et le pourquoi de certaines de vos actions ou de vos stagnations ? N’hésitez pas à visiter la page dédiée au Coaching en Suppression des Croyances limitantes. La communication relationnelle permet également de débloquer bien des situations.