Baisse de moral et de tonus : Se reconnecter à son enfant intérieur et réenchanter son avenir proche !

« Il y a un enfant dans chaque adulte, un enfant sauvage qui rêve encore de danser sous la pluie et de parler aux étoiles. Il attend juste qu’on lui tende la main. »
— Inspiration libre

Il arrive que nos corps ralentissent, que nos esprits se voilent et que nos cœurs doutent. Ces passages à vide, loin d’être des erreurs de parcours, sont souvent des appels profonds à retrouver ce qui nous anime vraiment. Et si la clé se trouvait dans la reconnexion à notre enfant intérieur — ce gardien de notre élan vital ? Sophrologie, nature et voyages intérieurs : voici quelques pistes pour rallumer la flamme.

L’enfant intérieur : ce compagnon oublié qui sait tout de nous

Sous les couches de responsabilités, d’agendas bien remplis et de raisonnable conformité, il y a cet enfant nu, libre et curieux. Celui qui courait pieds nus dans l’herbe sans penser à demain. Celui qui dansait sans se demander s’il dansait bien. Celui qui parlait aux cailloux, fabriquait des potions magiques avec trois brins d’herbe et se racontait des histoires infinies.
Cet enfant ne vous a jamais quitté. Il s’est juste endormi, fatigué d’être ignoré. Et c’est lui, souvent, qui frappe à la porte quand le moral s’effrite. Parce qu’il sait ce dont vous avez vraiment besoin : du jeu, du rêve, de l’espace pour respirer.

Il y a deux ans, pour exemple, mon enfant intérieur s’est réveillé. J’ai eu alors envie de regrouper toutes les notes et les fiches sur le Bonheur et la pensée positive que je rédigeais depuis quatre ans pour mes clients pour poser les bases de mon livre « Voyage en Self-Love ». Je suis partie, sur un coup de tête, aux USA, dans le Grand Ouest américain qui m’appelait de nouveau (les navajos et le Grand Ouest m’appelent régulièrement depuis mes dix ans période où j’y avais passé un mois ! J’y suis retournée à maintes reprises mais surtout, un long moment, à mes 20 ans…) Sur la route, parmi les paysages de terre rouge splendides, j’ai mis mes idées en place. Dès le mois d’octobre j’ai cherché un éditeur et le livre a pris forme, peu à peu. Une très belle aventure dont je ressentais le besoin. Mon enfance c’est le lac Powell et les terres du Nevada, très liées à mon enfant intérieur. J’ai visité tous les déserts rouges européens, lorsqu’il ne m’était pas possible de me reconnecter à l’américain !


Retour à la nature : le rituel des retrouvailles

On peut faire plus simple qu’un grand voyage. Quand l’énergie baisse, avant de chercher des solutions techniques, il y a un réflexe simple : aller dehors. Marcher sans but précis, écouter la rivière, toucher un arbre, s’allonger dans l’herbe humide. C’est une façon de rappeler à vos cellules que vous faites partie d’un grand tout vivant, palpitant, qui ne demande qu’à vous recharger.
En sophrologie, ces reconnexions passent souvent par des visualisations sensorielles puissantes : devenir un arbre qui s’ancre, une rivière qui coule, une montagne qui veille. Vous redevenez matière, souffle et mouvement — et ça réveille quelque chose d’ancestral en vous.


Voyage intérieur : explorer son propre sanctuaire

Mais il y a aussi une nature intérieure, tout aussi vaste. À travers des pratiques de respiration consciente, de relaxation dynamique et de visualisation positive, la sophrologie vous invite à ouvrir des portes invisibles. Celles qui mènent directement à cet enfant intérieur.
Là, dans cet espace intime, vous pouvez le rencontrer, lui parler, l’écouter rêver tout haut. Il vous racontera peut-être ce qu’il attend de vous. Un jeu abandonné, un rêve jamais osé, une liberté perdue en chemin. C’est dans cet échange que se dessine une nouvelle boussole, plus juste, plus joyeuse.


Semer des visions désirables : la puissance de la projection positive

Quand le moral baisse, c’est souvent parce que l’horizon se brouille. L’avenir paraît gris, figé, sans promesse. Il faut alors lâcher le poids du passé qui se fait encore sentir. La mémoire sert à apprendre, pas à se torturer ! En sophrologie, on apprend à cultiver une autre relation au futur : on le rêve d’abord, on le dessine en couleurs, on le fait vibrer dans le corps.
Ce n’est pas de la pensée magique, c’est de l’écologie intérieure : nourrir aujourd’hui les graines d’un demain qui donne envie de se lever. Et c’est votre enfant intérieur qui a les meilleures idées, parce qu’il sait ce qui vous met vraiment en joie. Lui, il rêve grand, il ose l’impossible, et il n’a pas peur d’aimer follement.


Sophrologie et « chamanisme » du quotidien

Finalement, pratiquer la sophrologie, c’est un peu redevenir le chaman de sa propre existence. Chaque souffle devient une offrande. Chaque pause, un autel intime. Chaque séance, une cérémonie secrète où l’on invite l’enfant, l’adulte et le sage à se parler enfin.
Dans cet espace sacré, la vie quotidienne reprend des airs de rituel, et la morosité se dissout, remplacée par une danse intérieure, plus libre, plus fluide.


Envie d’essayer ?

Si cet appel résonne en vous, si vous sentez cet enfant intérieur frapper doucement à votre porte, je vous invite à explorer la sophrologie. Ensemble, nous pourrons ouvrir ces espaces, convoquer vos souvenirs-source et semer les graines d’un avenir qui vous ressemble.

Prenons rendez-vous pour cette exploration intérieure.
Parce qu’il est temps de vous réconcilier avec votre magie.

06 56 77 02 11, sur Vichy uniquement.