Se libérer de ceux qui refusent votre lumière : le chemin lent et courageux d’une femme avertie

Il existe des gens qui ne vous pardonneront jamais d’avoir osé exister.

On dit souvent : « La famille, c’est sacré ». Mais je le constate souvent, en tant que coach : ce qui est sacré, ce n’est pas le lien de sang, c’est la qualité du lien. Sans qualité, pas de sacralisation donc ! Une famille peut élever. Mais elle peut aussi dénigrer, étouffer, saboter jalouser, haïr. La bien triste affaire du petit Grégory nous enseigne cela : parfois les plus grands ennemis sont dans l’enceinte familiale ! La haine vient de ceux qui ont grandi avec vous ! Fou, non ?

La plupart des douleurs émotionnelles les plus profondes ne viennent pas d’inconnus. Elles viennent des nôtres. De ceux qui auraient dû nous tendre la main, et qui ont choisi de la refermer ou de nous taper avec !

L’adolescence : le début du déraillement du regard

Elle avait 15 ans. Elle était jolie. Plutôt blondinette dans une famille de bruns.
C’était l’âge où l’on se construit, où l’on teste, où l’on rêve. Elle était pleine de curiosité, d’élan, de projets un peu fous. Des voyages, des spectacles à mettre en place. Elle dessinait, écrivait, observait le monde avec une soif rare.

C’est là que tout a commencé.

Deux de ses tantes — sœurs, proches, influentes dans la famille — ont commencé à la regarder différemment. Mais pas avec tendresse. Plutôt avec ce regard qui dit : « Qui crois-tu être ? »

Elles faisaient des réflexions comme :

  • « Tu te prends pour une artiste ? »
  • « Dans la vie, on fait des métiers sérieux. »
  • « Arrête de rêver, ça te passera. »

Rien de crié.
Rien de brutal.
Mais chaque phrase entamait un peu l’âme.

Et puis leurs filles, ses cousines, ont suivi.
L’adolescence est viscérale : tout ce qui blesse s’imprime.
Un rire moqueur dans un salon familial peut vous marquer pour dix ans.

Elle se souvient d’un repas.
Elle avait passé des heures à coudre une jupe elle-même.
Elle arrive toute fière.
Sa tante la regarde de haut en bas :
« On voit bien que tu n’as rien d’autre à faire. »
Et sa cousine ajoute :
« Ça fait un peu… déguisement. »

Les adultes continuent de manger.
Personne ne la défend.
Elle sourit. Pour ne pas pleurer.

Ce jour-là, elle a appris à cacher quand elle était fière.

La jeunesse : la lutte pour rester elle-même

Entre 15 et 25 ans, elles insistent :

  • « Fais des études normales. »
  • « Cherche un vrai travail. »
  • « Arrête de vouloir être différente. »

Mais elle tient bon.
Elle sent qu’il y a en elle quelque chose qui ne peut pas être étouffé.
Une flamme, un appel, quelque chose de vivant qui est mort chez ses proches.

Alors elle devient freelance.
Elle choisit un métier créatif, atypique.
Elle travaille tard, elle apprend, elle se dépasse.
Elle gagne sa vie.
Elle est heureuse.

Et c’est là que la haine arrive. Oui la haine, la vraie !

L’annonce du mariage : la fissure devient fracture

Lorsque, à 25 ans, elle annonce son mariage, elle pense naïvement que cette fois, peut-être, elles se réjouiraient.
Que le bonheur est universel, que l’amour adoucit les angles.

Elle annonce.
Il y a un silence.
Puis une phrase, qui tombe comme une pierre :

« Évidemment. Tu veux être la première. »

Elles poursuivent :

  • « Tu veux couper l’herbe sous le pied de tes cousines. »
  • « Tu veux te montrer. »
  • « Tu fais tout pour être au centre. »

Ce jour-là, elle comprend : son bonheur n’est pas souhaité dans cette famille-ci.

Pas parce qu’elle a fait quelque chose.
Mais parce que sa joie révèle leur vide.

La trentaine : l’indifférence comme arme

De 25 à 35 ans, elle se construit.
Elle devient mère.
Elle continue son métier.
Elle se forme.
Elle avance.

Mais à chaque réussite, les mêmes réactions :

  • On change de sujet.
  • On parle plus fort.
  • On regarde ailleurs.
  • On soupire.

Lorsqu’un ami de la famille dit : « Bravo, vraiment, quel parcours ! », la tante répond :
« Oui enfin, chacun sa vie. »
Avec ce ton qui dit : « Ça n’a rien d’extraordinaire. »

Elle apprend alors quelque chose de violent :
Il existe des gens qui ne vous pardonneront jamais d’avoir osé exister.

La quarantaine : le silence qui blesse plus que les insultes

À 40 ans, elle décide de reprendre ses études.
Elle suit un MBA en anglais à distance.
Elle travaille le soir, elle organise sa maison, ses enfants, son temps.
Elle se dépasse.

Quand elle obtient son diplôme, elle appelle sa famille élargie.
Pas pour se vanter.
Pour partager.
Pour dire : « Je l’ai fait. J’ai réussi. J’en suis fière. »

Réponse :
« Ah mais tu sais, les cours en ligne, c’est pas pareil. »

Rien d’autre.
Pas un « bravo ».
Pas un sourire.
Pas même un « je suis contente pour toi ».

Juste de quoi éteindre la lumière, encore.

À 49 ans : l’acte le plus courageux

Elle a mis du temps.
Des années de questionnement.
De culpabilité.
D’espoir déçu.

Puis un jour, elle a compris :

Ce n’est pas à moi de me diminuer.
C’est à eux de travailler sur ce qui les dérange.
Moi, je n’ai plus d’énergie à perdre avec des gens malveillants. Ma famille je l’ai construite : mon mari, mes enfants, mes parents, et ces quelques amis très intéressants, à la conscience ouverte, que je me suis choisis.

Elle dit :
« J’ai divorcé de ma famille. Mais je suis restée fidèle à moi-même. »

Elle a gardé :

  • Son mari.
  • Ses enfants.
  • Ses parents qui ont toujours aimé, doucement, discrètement.

Elle a laissé partir :

  • La méchanceté.
  • La comparaison.
  • La jalousie.
  • Le mépris.

Couper un lien de sang n’est pas une rupture.
C’est une délivrance.

En tant que coach, je veux dire ceci :

Certaines personnes ne vous en veulent pas pour ce que vous avez fait.
Elles vous en veulent pour ce que vous êtes.

Et vous n’avez aucune obligation de rester là où l’on vous abîme.

S’aimer, parfois, c’est partir.
S’honorer, c’est dire :
« Je mérite des relations qui me voient. »

Ce n’est pas un rejet.
C’est une renaissance.

Vous aussi vous avez une famille malveillante et envieuse ? Venez en parler en Relation d’aide ou en Coaching !

Est-il possible de mieux réaliser ses rêves avec la sophrologie et la Gestion des Emotions ?

Réaliser ses rêves est un chemin semé d’embûches, surtout pour les artistes et les créatifs ! Beaucoup ressentent en eux une vocation forte, un talent à exprimer, mais se heurtent à des blocages qui les empêchent de concrétiser leurs projets. Peur du rejet, doutes intérieurs, pression sociale… autant d’obstacles qui freinent l’élan ! La sophrologie, en tant que discipline alliant relaxation et visualisation, offre des outils précieux pour se libérer de ces entraves et avancer vers ses objectifs avec sérénité.

Etant moi-même thérapeute en cabinet et entreprises, mais aussi auteur-compositeur SACEM ayant produit de nombreux albums et titres, notamment pour des artistes français, américains et allemands, plasticienne exposée et auteure éditée, je peux vous livrer ma propre expérience. Rien n’arrive par hasard ! Rien ne s’effectue non plus par hasard ! Pour obtenir un privilège il faut parfois décrocher son téléphone et se vendre encore et encore et souvent c’est cela que les artistes et les personnes sensibles ont du mal à faire. Pire : certains se sabotent. On leur propose de s’inscrire à la SACEM pour enfin tirer des bénéfices de leurs compositions mais ils préfèrent de loin ne rien toucher en passant par Creative Commons ! Dans le contexte actuelle c’est une aberration !

Prise de conscience

Avant 2006, j’avais du mal à avoir confiance en moi. Heureusement, au fil des années, j’ai écrit des centaines d’articles culturels et spirituels pour des magazines français et suisses, ainsi que pour des journaux nationaux. De plus, je suis dans le coaching depuis 1999. J’ai forgé ma volonté en même temps que celle de mes clients ! Le fait que mes proches me reconnaissent à travers mon travail (« On a vu ton dernier article dans tel magazine » ou « On t’a entendue à la radio ») m’a aidée à prendre conscience de mes capacités.

Lorsqu’on s’exprime à travers la communication ou l’art, on reçoit autant de retours positifs que de critiques. Avec le temps, j’ai compris l’importance de donner plus de place aux encouragements qu’aux jugements. La sophrologie m’a beaucoup aidée à gagner en confiance et à mieux gérer mes émotions. Un jour, j’ai décidé de me concentrer sur le positif, et cela a eu un vrai impact sur ma vie, aussi bien dans mon travail de thérapeute que dans mes activités d’auteur et d’artiste.

Se détacher de l’avis des autres pour conserver son énergie en totalité

Récemment, j’ai encore renforcé ma confiance en moi grâce à la visualisation positive. J’ai enfin osé m’inscrire à une formation en ligne de l’université de Harvard, aux États-Unis. Après six mois d’anglais intensif et de tutorat à distance sur des sujets complexes comme l’accompagnement des personnes autistes (domaine dans lequel j’étais déjà certifiée en France), j’ai obtenu mon certificat avec succès !

C’est une démarche que je n’aurais sans doute pas entreprise si j’avais prêté attention aux remarques décourageantes autour de moi. Quand on se lance dans un projet qui nous tient à cœur, certaines personnes bienveillantes nous soutiennent, tandis que d’autres, par jalousie ou incompréhension, peuvent nous freiner. J’ai d’ailleurs remarqué que cette attitude était plus marquée en France qu’aux États-Unis, en Allemagne, en Angleterre ou en Espagne, où l’encouragement est plus naturel.

Changer le message d’adversité en un message de volonté

En renforçant mon mental, j’ai réalisé il y a une douzaine d’années que non seulement je parvenais à prendre du recul face aux critiques, mais qu’elles devenaient même une source de motivation. J’ai beaucoup travaillé sur moi grâce à l’hypnose, en adoptant un état d’esprit différent : « Plus je suis critiquée, plus mon envie de créer grandit. Plus on essaie de me freiner, plus cela me pousse à avancer. » Et je peux vous assurer que cette approche fonctionne aussi bien pour moi que pour mes clientes ! Une preuve de son efficacité ? Après quelques séances, la plupart finissent par ne plus prêter attention à la personne qui les avait tant affectées, au point d’en oublier jusqu’à son nom.

A l’heure actuelle, il vaut mieux donc pour ceux qui cherchent à me décourager ou à décourager mes clientes, ne rien dire du tout car nous sommes absolument reprogrammées pour mieux réussir lorsqu’on nous témoigne une forme d’adversité ! Vous ne rêvez pas ! Je suis tout à fait transparente et honnête sur les postures mentales qu’il nous est possible de modifier par la sophrologie et l’hypnose !

L’artiste face à ses peurs : l’exemple de l’écrivain

Prenons le cas d’un auteur qui souhaite être publié. Il a terminé son manuscrit, mais il redoute le regard des maisons d’édition. Et si son travail n’était pas à la hauteur ? Et s’il essuyait refus sur refus ? Ce doute peut conduire à l’inaction : au lieu d’envoyer son texte, il le perfectionne indéfiniment, cherche des excuses, et finit parfois par abandonner. J’ai vu cela aussi dans le monde de la peinture : quelqu’un a suivi quelques cours en ligne mais réalise de superbes portraits. Je lui propose d’exposer avec moi. Sa réponse : « Oh non, certainement pas, je ne suis pas prêt car moi je n’ai pas fait de grande école d’art ! » Voici l’expression absolue du sabotage !

La sophrologie l’aidera à mieux gérer ces peurs irrationnelles. En travaillant sur la respiration et la relaxation, il peut calmer son anxiété. Grâce à des exercices de visualisation positive, il apprend à se projeter avec confiance : il imagine le moment où il envoie son manuscrit, où il reçoit une réponse favorable. Peu à peu, cette image devient plus forte que ses craintes, l’incitant à passer à l’action.

Sortir de la peur du jugement

L’un des plus grands freins à la réalisation de soi est la peur du regard des autres. On craint d’être jugé, critiqué, désobéir à certaines attentes familiales ou sociétales. Pourtant, attendre l’approbation extérieure est souvent une impasse. La sophrologie aide à se recentrer sur soi-même, à comprendre que l’opinion des autres ne définit pas notre valeur. En renforçant la confiance en soi et en cultivant une posture d’affirmation, on apprend à avancer sans se laisser freiner par des jugements extérieurs.

D’autres exemples concrets

  • Le peintre qui n’ose pas proposer ses toiles à une galerie peut utiliser la sophrologie pour travailler sur l’affirmation de soi et la prise d’initiative.
  • La couturière qui rêve de lancer sa marque, mais doute de sa légitimité, peut s’entraîner à visualiser ses premières clientes enthousiastes.
  • L’orateur qui veut donner des conférences mais redoute de prendre la parole en public peut utiliser des exercices de respiration et de gestion du stress pour transformer son trac en énergie positive.

Vers une concrétisation plus sereine de ses projets

Se lancer dans un projet artistique ou entrepreneurial n’est pas seulement une question de talent, mais aussi d’état d’esprit. La sophrologie permet d’apaiser les émotions qui paralysent et de cultiver une vision claire et positive de son avenir. En travaillant sur soi, on développe une force intérieure qui facilite le passage à l’action.

Les rêves ne deviennent réalité que si l’on ose leur donner vie. Avec la sophrologie et une meilleure gestion des émotions, chacun peut s’affranchir de ses blocages et avancer vers ce qui le fait vibrer, sans plus être freiné par ses peurs ou les opinions extérieures.

Mon dernier livre sur le site de mon éditeur

Mes dernières œuvres

Pourquoi certains disent qu’il n’est pas bon de gérer ses pensées : authenticité ou peur du changement ?

La gestion de nos pensées est un sujet qui divise. Certains affirment qu’essayer de contrôler ou de gérer ce qui traverse notre esprit peut nuire à notre authenticité, nous empêchant d’être « nous-mêmes ». Mais cette vision soulève une question fondamentale : que signifie être authentique ? Est-ce se laisser emporter par toutes ses émotions et pensées, même si elles nous bloquent ou nous freinent ?

Dans à peu près toutes les entreprises où je suis intervenue comme Consultante-formatrice, qu’il s’agisse de stages de Communication, d’initiation à la Négociation, de Gestion de la Transition, j’ai toujours croisé quelques détracteurs de la Gestion des émotions… La dernière en date, une femme d’une soixantaine d’années qui me dit : « Mais enfin ! Il faut arrêter avec ça ! Il n’est pas possible de gérer les émotions puisque ce sont des messages !  » Au moins avec elle, le souci était réglé !

Bien entendu nous sommes, et en permanence, contraints de gérer nos émotions. Sinon nous laisserions venir les réponses : de l’agacement, des réflexions à voix haute etc. et chacun perdrait de son humanité, cette capacité contrairement aux animaux à réfléchir et à raisonner calmement face à l’urgence d’une situation !

En réalité, ceux qui savent gérer leurs pensées avec bienveillance réussissent souvent bien mieux leur vie sur le long terme. Pourquoi ? Parce qu’ils ne dramatisent pas chaque événement et utilisent leur énergie pour avancer plutôt que pour alimenter des scénarios négatifs.

Dans cet article, nous allons explorer pourquoi la gestion des pensées est essentielle pour un équilibre intérieur et une vie épanouie, tout en partageant trois astuces de sophrologie qui peuvent vous aider à cultiver cet art de vivre au quotidien.


L’illusion de l’authenticité : tous pareils ou tous uniques ?

Certaines critiques de la gestion des pensées affirment que cela nous rend artificiels, ou pire, tous semblables. Pourtant, cette peur repose souvent sur une projection : les personnes qui critiquent en permanence les techniques comme la sophrologie expriment souvent leur propre insécurité ou leur crainte de voir la vie autrement.

En vérité, apprendre à mieux gérer ses pensées ne signifie pas les étouffer ou se forcer à être toujours positif. Cela consiste à :

  • Prendre du recul sur ce qui nous traverse,
  • Comprendre pourquoi certaines pensées apparaissent,
  • Choisir les réponses les plus alignées avec nos valeurs et nos objectifs.

L’authenticité, loin de résider dans une explosion incontrôlée de nos émotions, se trouve dans la capacité à vivre en cohérence avec nous-mêmes, tout en respectant nos besoins et ceux des autres.


La clé du succès : gérer ses pensées sans dramatiser

Les pensées négatives ou les ruminations sont normales, mais elles ne doivent pas définir votre quotidien. En apprenant à ne pas dramatiser, vous libérez votre esprit pour envisager des solutions et avancer.

Prenons un exemple simple : face à un obstacle professionnel ou personnel, deux réactions sont possibles :

  1. Ruminer sur ce qui aurait dû se passer différemment, blâmer les circonstances ou soi-même.
  2. Observer la situation, accueillir les émotions associées et réfléchir aux actions possibles.

Ceux qui optent pour la deuxième option cultivent une résilience et un état d’esprit constructif qui favorisent le succès à long terme.


3 astuces de sophrologie pour gérer vos pensées efficacement

La sophrologie, en tant qu’alliance de techniques de respiration, de relaxation et de visualisation, est un outil précieux pour apprendre à gérer ses pensées sans les fuir ni les amplifier. Voici trois exercices simples pour débuter :

1. Respiration contrôlée : calmer l’agitation mentale

  • Exercice : Installez-vous confortablement, inspirez profondément par le nez en comptant jusqu’à 4, retenez votre souffle pendant 2 secondes, puis expirez lentement par la bouche sur 6 temps.
  • Effet : Cette technique apaise le système nerveux et aide à ralentir le flot incessant des pensées.

2. La visualisation positive : cultiver une perspective constructive

  • Exercice : Fermez les yeux et imaginez une situation qui vous inquiète. Visualisez-vous en train de la surmonter avec succès, ressentant calme et satisfaction.
  • Effet : Ce processus entraîne votre cerveau à se concentrer sur des solutions plutôt que sur des problèmes.

3. La relaxation corporelle : libérer les tensions pour apaiser l’esprit

  • Exercice : Pratiquez un scan corporel, en portant votre attention sur chaque partie de votre corps, des pieds à la tête, pour relâcher progressivement toutes les tensions.
  • Effet : En relâchant votre corps, vous apaisez également votre esprit, favorisant un état d’équilibre et de clarté mentale.

Les critiques : peur ou manque de compréhension ?

Certaines personnes critiquent systématiquement les approches comme la sophrologie, affirmant qu’elles sont inutiles ou trop simplistes. Ces réactions sont souvent le reflet de leur propre peur du changement ou de leur résistance à adopter une perspective plus positive.

Plutôt que de s’ouvrir à des outils éprouvés, ces individus préfèrent rester dans une zone de confort inconfortable, où leurs pensées négatives valident leur vision du monde. Pourtant, la sophrologie ne cherche pas à nier la réalité, mais à offrir des moyens concrets pour mieux la vivre.


Sophrologie sur Vichy et dans l’Allier : un art de vivre à découvrir

Si vous êtes dans la région de Vichy ou de l’Allier, vous avez la chance de pouvoir découvrir la sophrologie dans un cadre propice à la détente et au recentrage. Entre les thermes réputés de Vichy et la sérénité des paysages de l’Allier, vous trouverez des lieux idéaux pour vous initier à cette discipline.

En conclusion, savoir gérer ses pensées est une compétence essentielle pour vivre une vie équilibrée et réussie. Plutôt que de voir cela comme un obstacle à l’authenticité, envisagez-le comme un moyen d’être pleinement vous-même, en alignement avec vos aspirations et votre bien-être.

Et vous, êtes-vous prêt à transformer vos pensées en alliées plutôt qu’en obstacles ?

Soucis relationnels ? Amis dévalorisants ? Attention, les conseilleurs ne sont pas les payeurs !

Dans notre vie quotidienne, nous avons tous des relations variées : des amitiés positives, d’autres plus compliquées, voire toxiques. Dans ce contexte, il peut arriver que certains amis ou proches, en voulant « nous aider », nous fassent des remarques dévalorisantes ou nous prodiguent des conseils non sollicités. Le vieil adage « Les conseilleurs ne sont pas les payeurs » trouve alors tout son sens. Dans cet article, nous allons comprendre comment identifier ces comportements, leurs impacts sur notre bien-être, et surtout, comment y faire face avec l’aide de la sophrologie. Nous utiliserons également des exemples concrets.

Comprendre les relations dévalorisantes

Certaines personnes, en cherchant à donner des conseils, finissent par imposer leur vision, voire par nous culpabiliser ou nous dévaloriser. Il est souvent difficile de se rendre compte de cette dynamique, car elle est subtile et prend souvent la forme de critiques masquées :

  • Les remarques sur nos choix de vie : « Je ne comprends pas pourquoi tu fais ça, tu te compliques la vie. »
  • Les jugements déguisés en conseils : « À ta place, je ferais ceci… »
  • Les rappels de nos erreurs passées : « Tu vois, je t’avais dit que ce n’était pas une bonne idée. »

Ces interactions répétées peuvent finir par créer un malaise et éroder notre estime de soi, car elles installent un doute constant dans notre esprit : « Et si cette personne avait raison ? Suis-je vraiment capable de prendre les bonnes décisions ? »

Si nous y regardons de plus près, voici ce que nous pouvons dire : chacun possède une image de ce qu’est une vie facilitée, une vie saine ou une vie réussie. A partir de son concept personnel, de sa vision de choses, la personne qui se croit « à l’abri » ou qui, selon elle, a « réussi » ou « réussit » mieux que vous, vous dit « Sois un peu plus comme moi et un peu moins comme toi ». C’est aussi simple que cela. Cette vision profondément immature emprunte énormément de raccourcis : elle ne prend pas en compte la différence, la différence sociale, la différence de mentalité, et n’offre en réalité que des solutions étriquées car non personnalisées !

Voici un exemple : lorsque j’étais étudiante en Communication, l’une de mes amies travaillait déjà. Elle enregistrait des bagages dans un aéroport et en tirait un bon revenu. C’était une personne terre à terre alors que j’étais complètement axée non pas sur la réussite extérieure et le revenu mais sur l’intellect et la réussite intérieure. Elle voulait absolument me faire entrer au même poste qu’elle dans cette compagnie et s’offusqua lorsque je lui annonçais que je préférais « galérer » un moment mais me mettre à mon compte dans la communication relationnelle afin d’accompagner des créateus d’entreprises en France et à l’étranger. Elle me répondit ; « En attendant, moi je travaille et toi non ! » de manière condescendente. Force fut de constater que quelques années plus tard le vent avait tourné. Usée par son métier routinier, elle traversait une période de remise en question et s’offusqua du fait que je vive désormais pleinement de mon « art »… Cet exemple nous montre que chacun doit s’écouter et que nul n’est à l’abri d’une remise en question personnelle ou professionnelle !

Pourquoi les conseilleurs ne sont-ils pas les payeurs ?

Ce proverbe rappelle que ceux qui donnent des conseils ne subissent pas les conséquences de nos choix. En réalité, ils ne vivent pas notre quotidien, ne ressentent pas nos émotions et ne portent pas nos responsabilités. Chaque individu évolue selon son propre parcours et ses expériences ; il est donc naturel que nos besoins et priorités diffèrent. Lorsqu’une personne nous conseille sans se mettre à notre place, elle projette en fait ses propres craintes, croyances et valeurs, qui peuvent être très éloignées des nôtres. Il y a des années, je retrouvais, après une séparation d’avec mon conjoint de l’époque, mon amie de fac, B. Elle venait de se marier et avait eu son premier enfant, à 26 ans. Je lui expliquais où j’en étais et elle me dit : « Ma pauvre ! Tu n’as jamais été stable affactivement parlant. Je te souhaite de trouver une forme de stabilité sentimentale » Elle me vendait en réalité son tout nouveau statut comme étant le « mode de vie idéal ». Hélas, quelques années après elle se rendit compte que son mari la trompait depuis le début. Tout le monde le savait sauf elle… Triste situation. Elle eut alors de multiples compagnons pour tenter de recréer une « cellule familiale ». Elle avait désormais 3 enfants avec 3 compagnons différents et sans l’aide de ses parents aisés jamais elle n’aurait pu s’en sortir. Elle s’étonna que de mon côté je sois en couple depuis une dizaine d’années et sur le point de convoler. A l’heure actuelle sa situation demeure préoccupante alors que de mon côté, depuis 18 ans avec mon mari, je vis une vie très paisible mais qui ne manque pas de piment non plus. Cette histoire nous prouve que certaines personnes projettent leur propre insécurité sur vous ! Si j’avais écouté les bons conseils de mon amie j’en serais peut-être au même point qu’elle… Allez savoir…

L’impact de ces relations sur notre bien-être

Un environnement relationnel dévalorisant peut affecter notre bien-être mental et émotionnel. Dans le cadre de la sophrologie, nous observons souvent que :

  • Le stress et l’anxiété augmentent face aux critiques répétées.
  • L’estime de soi diminue, car nous intériorisons les jugements de l’autre.
  • La confusion intérieure s’installe, rendant difficile la prise de décision autonome.

La sophrologie, en tant que pratique axée sur l’écoute de soi, nous apprend à identifier les émotions et à nous recentrer pour mieux comprendre notre ressenti. Elle propose également des exercices pour renforcer notre confiance en nous et réduire l’influence des jugements extérieurs.

La sophrologie pour cultiver l’autonomie et la confiance

Voici quelques pratiques sophrologiques qui peuvent vous aider à mieux vivre ces situations et à renforcer votre autonomie :

  1. L’ancrage pour renforcer sa confiance : L’ancrage est une technique de visualisation et de respiration qui aide à se sentir plus solide face aux influences extérieures. En prenant quelques minutes pour vous poser, fermez les yeux et imaginez vos pieds fermement enracinés dans le sol. Visualisez-vous comme un arbre solide, ancré dans le sol, insensible aux critiques et aux vents extérieurs. Respirez profondément et ressentez cette stabilité, qui vous appartient.
  2. La visualisation positive : Pour se libérer des jugements, la visualisation est un exercice efficace. Installez-vous dans un endroit calme, et visualisez-vous en train de prendre des décisions en toute confiance. Voyez-vous avancer dans votre vie, libéré(e) des conseils dévalorisants. Imprégnez-vous de ce sentiment de liberté et de force intérieure.
  3. Le relâchement des tensions émotionnelles : Les remarques négatives créent souvent des tensions dans notre corps, surtout dans la région du plexus solaire et des épaules. Pratiquez la respiration profonde en relâchant consciemment ces zones. Inspirez par le nez, bloquez un instant, et expirez lentement en imaginant que chaque souffle libère une tension.
  4. L’écoute de soi : La sophrologie enseigne l’écoute de son intuition, essentielle pour ne pas se laisser influencer par des avis extérieurs. Accordez-vous quelques minutes par jour pour écouter votre ressenti sur les décisions que vous prenez. Petit à petit, vous apprenez à reconnaître vos vraies aspirations et à faire abstraction des critiques.

Fixer des limites saines

Enfin, il est essentiel de poser des limites. Évitez de solliciter des conseils auprès de personnes qui ne respectent pas votre sensibilité ou vos choix, et apprenez à dire non aux remarques qui vous affectent négativement. Exprimer calmement que vous préférez faire vos choix seuls, ou limiter la discussion sur certains sujets, est une manière de protéger votre bien-être.

Conclusion

Les conseils extérieurs peuvent parfois être précieux, mais ils ne doivent jamais devenir une source de dévalorisation. Dans le cas de relations dévalorisantes, la sophrologie peut vous aider à vous reconnecter à vous-même et à retrouver votre autonomie. En pratiquant l’ancrage, la visualisation positive et l’écoute de soi, vous apprenez à renforcer votre confiance et à prendre de la distance par rapport aux avis extérieurs. N’oubliez jamais que vous êtes la meilleure personne pour décider de ce qui est bon pour vous – et que les conseilleurs, en fin de compte, ne sont pas les payeurs.

Quelle est la différence entre un communiquant et un excellent communiquant qui se forme sans cesse ?

Dans le domaine du coaching, de la sophrologie et de la communication relationnelle, l’importance de bien communiquer est primordiale. Pour ma part cette facilité que j’ai acquise très jeune, lors de mes études en Communication puis en Management et en Négociation, me permet d’écouter et d’entendre les problématiques de mes clients. Cependant, il existe une différence notable entre un simple communiquant et un excellent communiquant, qui ne cesse de se former et d’affiner ses compétences. Cet article explore ce qui distingue ces deux profils et pourquoi l’excellence en communication est un atout essentiel dans les relations humaines et professionnelles mais aussi dans la thérapie.

Un communiquant : des compétences de base mais limitées

Un communiquant, au sens classique du terme, possède généralement les compétences de base pour transmettre un message. Il est capable d’écouter, de reformuler et de répondre, et utilise des techniques classiques de communication. Cependant, ses compétences peuvent être limitées par l’absence de formation continue. Il applique souvent les mêmes méthodes et techniques sans chercher à les affiner ou à les adapter aux personnes et aux situations.

Ainsi, il peut manquer de flexibilité, d’empathie, et de finesse dans l’écoute active. Ce manque de dynamisme dans l’apprentissage peut conduire à des échanges moins profonds ou constructifs, surtout lorsque les situations se complexifient, que les conflits relationnels surgissent, ou que les émotions deviennent intenses. Sans parler des « conflits d’intérêt » dont le communiquant basique n’a pas toujours conscience…

Un excellent communiquant : apprendre et se former sans cesse pour progresser

À l’inverse, un excellent communiquant est une personne qui, au-delà des compétences de base, cherche constamment à développer ses capacités de communication. Pour lui, chaque interaction est une opportunité d’apprentissage. Il investit dans des formations en coaching, en PNL (Programmation Neuro-Linguistique), en communication non-violente, en intelligence émotionnelle, et en développement personnel. Cette approche lui permet d’acquérir des compétences plus fines et adaptées aux interactions humaines. Mieux : il écrit des livres sur ses expériences, il sait tirer le bilan de ses apprentissages, il ne laisse jamais une expérience sans debrief.

L’excellent communiquant sait adapter son discours et ses comportements en fonction de la personne qu’il a en face de lui, mais aussi du contexte. Il est capable de lire les signaux non-verbaux, d’adopter une posture d’écoute active et d’empathie, et de maîtriser l’art du questionnement. Il peut également gérer des conversations difficiles avec finesse et calme, en utilisant des techniques d’ancrage ou de respiration issues de la sophrologie.

Les bénéfices de la formation continue en communication

L’amélioration continue de ses compétences en communication apporte de nombreux bénéfices, tant pour le communiquant que pour ceux qui interagissent avec lui :

  1. Adaptabilité et flexibilité : En se formant constamment, l’excellent communiquant peut adapter son approche en fonction de la situation. Il sait quand être direct, quand prendre du recul, ou quand privilégier l’écoute silencieuse.
  2. Maîtrise émotionnelle : Grâce à des techniques de gestion des émotions issues de la sophrologie et de l’intelligence émotionnelle, il parvient à maintenir une posture neutre et bienveillante, même face à des émotions négatives ou des tensions.
  3. Qualité d’écoute : Un bon communiquant est à l’écoute, mais un excellent communiquant pratique une écoute active qui va au-delà des mots. Il est capable de décoder les signaux non-verbaux, de comprendre les émotions derrière les mots, et de saisir les besoins implicites.
  4. Influence positive et motivation : Dans le cadre du coaching, un excellent communiquant sait comment motiver et inspirer les autres, grâce à une communication positive et constructive. Il pose les bonnes questions pour encourager le client à prendre conscience de ses ressources intérieures, renforçant ainsi sa confiance en lui-même.
  5. Meilleure gestion des conflits : La communication relationnelle inclut la capacité à désamorcer les conflits et à encourager des solutions collaboratives. Un excellent communiquant est formé pour éviter les malentendus et pour promouvoir des échanges ouverts et respectueux, même dans les situations tendues.

Comment devenir un excellent communiquant ?

Pour devenir un excellent communiquant, il est essentiel de s’engager dans un processus d’apprentissage continu. Voici quelques pratiques et compétences clés :

  • Investir dans des formations de communication : La communication non-violente, la PNL, l’intelligence émotionnelle et la sophrologie sont autant de disciplines qui offrent des outils puissants pour améliorer sa communication.
  • Pratiquer l’écoute active : Cela inclut non seulement l’écoute des mots, mais aussi l’observation des expressions faciales, du langage corporel et de l’énergie globale de l’interlocuteur.
  • Développer l’intelligence émotionnelle : Comprendre ses propres émotions et celles des autres est crucial pour éviter les réactions impulsives et mieux gérer les échanges.
  • Cultiver une posture de coach : Le questionnement et la reformulation sont des outils précieux. Poser des questions ouvertes, reformuler les propos pour s’assurer de bien comprendre, et encourager l’interlocuteur à exprimer ses besoins sont des compétences essentielles pour un excellent communiquant.
  • Pratiquer la sophrologie pour rester centré : La sophrologie propose des techniques de relaxation et de visualisation qui permettent de rester calme et centré, même dans les situations émotionnellement chargées.

Conclusion

La différence entre un simple communiquant et un excellent communiquant réside dans l’engagement à se former en permanence. En investissant dans une formation continue et en appliquant les principes de la communication relationnelle et de la sophrologie, un excellent communiquant devient capable de transformer chaque échange en une interaction positive et constructive. Pour ceux qui œuvrent dans le coaching ou la sophrologie, cultiver cette excellence en communication est un atout précieux pour accompagner efficacement les autres vers leur propre épanouissement.

En somme, communiquer est un art qui, comme tout art, nécessite un apprentissage constant pour être pleinement maîtrisé.

Surmonter la déprime du lundi matin : astuces et conseils pour les mères salariées, freelances et au foyer

Le lundi matin est souvent une source d’angoisse pour beaucoup de personnes. Après le répit du week-end, retourner à la réalité des responsabilités professionnelles et familiales peut entraîner un sentiment de déprime. Ce sentiment, bien que courant, peut être particulièrement intense pour les mères, qu’elles soient salariées, freelances ou mères au foyer. Cet article vous propose des astuces pour surmonter cette fameuse « déprime du lundi » et explore pourquoi cette période est souvent plus difficile à gérer pendant la quarantaine.

Pourquoi le lundi matin est-il si difficile ?

Le lundi matin représente le retour à la vie active après la pause du week-end. Pour les mères, cette transition peut être encore plus marquée. La charge mentale liée à l’organisation familiale, aux obligations professionnelles et aux tâches domestiques est souvent plus lourde en début de semaine.

La fatigue accumulée pendant le week-end, parfois due à un manque de véritable repos ou à des activités intenses, rend le retour aux routines encore plus difficile. De plus, l’écart entre le rythme de sommeil du week-end (où l’on se lève plus tard et se couche plus tard) et celui de la semaine crée un décalage qui rend le réveil plus brutal.

La quarantaine : une période de remise en question

La quarantaine est une phase de transition importante pour de nombreuses femmes. Cette période est souvent marquée par une remise en question de soi et de son parcours de vie. Les femmes dans la quarantaine jonglent souvent avec des responsabilités multiples : carrière, éducation des enfants, et parfois même soins à apporter à des parents vieillissants. De plus, des changements hormonaux, associés à la préménopause, peuvent entraîner des fluctuations d’humeur, une fatigue accrue, et des troubles du sommeil. Ces bouleversements physiques et psychologiques rendent cette période encore plus propice à la fatigue et au découragement, particulièrement le lundi matin.

Ce qui nous manque pour se sentir bien le matin

Plusieurs facteurs peuvent expliquer pourquoi nous nous sentons mal le lundi matin :

  1. Manque de sommeil réparateur : La transition brutale entre le rythme du week-end et celui de la semaine est perturbante pour notre corps. Cela affecte particulièrement les mères qui, en plus de gérer leur propre fatigue, doivent souvent s’occuper des enfants dès le matin.
  2. Absence de routine matinale structurante : Commencer sa journée dans le chaos, sans avoir pris du temps pour soi, peut provoquer un sentiment de stress dès le réveil. Pour les mères qui doivent jongler entre les besoins des autres (enfants, employeurs, clients), le sentiment de ne pas avoir de contrôle sur leur propre journée peut être frustrant.
  3. Comparaison sociale : Les réseaux sociaux et la culture de la comparaison alimentent un sentiment d’inadéquation. On peut être tenté de comparer sa propre situation à celle des autres, surtout le lundi matin, quand on a encore tout le poids de la semaine à affronter.
  4. Pression financière ou professionnelle : Les mères salariées peuvent ressentir le poids des échéances professionnelles, tandis que les freelances ressentent souvent l’incertitude liée à l’instabilité financière. Quant aux mères au foyer, la reconnaissance sociale du travail accompli peut faire défaut, entraînant un sentiment de dévalorisation.

Astuces pour surmonter la déprime du lundi matin

1. Créer une routine matinale ressourçante

Pour bien démarrer la semaine, l’idéal est de s’accorder un temps pour soi le matin, même s’il est court. Que ce soit pour méditer, faire de l’exercice léger, lire quelques pages d’un livre, ou simplement profiter d’un café en silence, ce moment vous permet de vous recentrer avant de plonger dans les responsabilités. Cela est valable que vous soyez salariée, freelance ou mère au foyer. Une routine bien établie procure une structure apaisante pour débuter la journée avec plus de sérénité.

2. Se préparer mentalement la veille

Le dimanche soir peut être utilisé pour planifier la semaine à venir. Organiser les tâches importantes, préparer les repas ou anticiper les événements familiaux permet de réduire la charge mentale du lundi matin. Vous pouvez également dresser une liste des choses à faire le lundi afin de ne pas vous laisser submerger dès le début de la semaine. Cela allège le sentiment d’urgence et crée un cadre plus détendu pour la journée.

3. Limiter l’usage du téléphone et des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux favorisent la comparaison, surtout le lundi matin quand vous voyez les réussites et les projets d’autrui mis en avant. Essayez de réduire le temps passé sur votre téléphone le matin et d’éviter les réseaux sociaux dès le réveil. Commencez votre journée avec des activités qui vous font du bien plutôt que de vous exposer à des sources de stress supplémentaires.

4. Prendre du temps pour le mouvement

L’exercice physique, même modéré, libère des endorphines, qui sont des hormones du bien-être. Il n’est pas nécessaire de faire une séance intense, quelques étirements ou une promenade matinale suffisent pour réveiller le corps et l’esprit. Cela aide à dissiper la fatigue du week-end et à recharger votre énergie pour la semaine.

5. Se concentrer sur ses propres réussites

Il est facile de se perdre dans la comparaison, mais chaque personne a son propre chemin. Prenez un moment pour réfléchir à ce que vous avez accompli, que ce soit dans votre travail, avec vos enfants ou même dans vos relations. Pour les mères au foyer, cela pourrait être de célébrer les moments où vous avez aidé vos enfants à grandir. Pour les freelances, ce pourrait être la satisfaction d’avoir accompli un projet difficile. Et pour les salariées, ce peut être la réussite de maintenir un équilibre entre travail et famille.

6. S’offrir des micro-pauses dans la journée

Tout au long de la journée, que vous soyez au bureau, à la maison ou en déplacement pour votre travail, il est essentiel de s’accorder des moments de pause. Pour les mères salariées, cela peut être l’occasion de se détendre un instant en buvant un café ou en marchant à l’extérieur. Pour les freelances, il peut être utile de s’accorder des pauses régulières pour éviter la surcharge mentale. Les mères au foyer peuvent aussi profiter de ces moments de calme, même s’ils sont courts, pour souffler et recharger les batteries.

7. Accepter l’imperfection et la réalité

Le lundi matin, on peut facilement se sentir accablé par la perspective de la semaine à venir, surtout si les choses ne se passent pas comme prévu. Acceptez qu’il est normal d’avoir des jours moins productifs ou des moments de découragement. Il est important de relâcher la pression et de ne pas se juger trop sévèrement.


Exemple d’Amandine, 45 ans, freelance dans la rédaction depuis 15 ans

Prenons l’exemple d’Amandine, une rédactrice freelance de 45 ans, qui éprouve régulièrement le blues du lundi matin :

« Le lundi matin, j’ai du mal à me réveiller, j’ai le blues. Je reste au lit et je scrolle sur mon téléphone. Je me compare à d’autres personnes que je connais et je ressens un certain malaise. Par exemple, mon premier employeur était un véritable arnaqueur, et aujourd’hui, il est millionnaire, montré en exemple par des écoles de commerce. Pendant ce temps, j’ai l’impression de stagner, malgré tous mes efforts. C’est très décourageant. Et puis il y a les notifications commerciales incessantes sur mon téléphone, qui me font me sentir encore plus stressée, comme si on essayait de me soutirer le peu d’argent que je gagne. »

Amandine se retrouve dans une spirale de comparaison négative, exacerbée par l’utilisation des réseaux sociaux dès le réveil. Voir des personnes malhonnêtes réussir alors qu’elle travaille dur en restant intègre, la décourage et lui donne l’impression que ses efforts ne sont pas récompensés. Les notifications commerciales sur son téléphone renforcent son stress, alimentant le sentiment qu’elle n’a pas de contrôle sur sa vie ou sa carrière.

Solution pour Amandine

Amandine pourrait commencer par limiter l’usage de son téléphone le matin, pour éviter de se plonger dans la comparaison dès le début de la journée. Instaurer une routine matinale positive, avec de la lecture, des étirements, ou une activité calme, pourrait l’aider à commencer la semaine sur une note plus sereine. Se recentrer sur ses propres accomplissements et se fixer des objectifs réalistes et mesurables l’aiderait à retrouver confiance en elle, en évitant de se comparer aux autres. En filtrant également les notifications commerciales, elle pourrait réduire le stress inutile.


Conclusion

La déprime du lundi matin touche toutes les mères, qu’elles soient salariées, freelances ou au foyer, mais elle n’est pas une fatalité. En adoptant une routine structurée, en limitant les comparaisons négatives, et en prenant du temps pour soi, il est possible de commencer la semaine avec plus de calme et de positivité. Que ce soit en quarantaine ou à tout autre âge, il est essentiel de se recentrer sur ses propres besoins et de créer un équilibre qui favorise le bien-être mental et physique.

Ils ne s’inquiètent pas pour vous : ils vous envient ! Comment certains proches toxiques vous empêchent de vous réaliser sans que vous ne le remarquiez

Les relations toxiques, particulièrement lorsqu’elles proviennent de proches, sont souvent difficiles à identifier. Sous des airs de bienveillance et de préoccupation, certaines personnes cachent en réalité une jalousie profonde qui les pousse à freiner votre épanouissement personnel. Que ce soit un parent, une amie ou un membre de la famille, ces individus cherchent à vous retenir, à vous empêcher de réussir là où ils ont échoué ou à vivre une vie qu’ils n’ont jamais pu atteindre. Voici comment ces dynamiques toxiques peuvent se manifester et comment les identifier pour mieux s’en libérer.

L’histoire de Sophie : une belle-mère envahissante

Sophie rêvait de lancer sa propre boutique de fleurs. Son projet était clair, sa passion immense. Mais dès qu’elle en a parlé à sa belle-mère, les choses ont commencé à changer. « Tu es sûre de vouloir te lancer là-dedans ? C’est un secteur tellement instable… », lui répétait-elle régulièrement. La belle-mère, sous couvert de conseils « sages », ne cessait de semer le doute dans l’esprit de Sophie. Chaque avancée était critiquée, chaque idée dénigrée. Peu à peu, Sophie s’est mise à douter d’elle-même, repoussant le lancement de son projet, jusqu’à l’abandonner complètement. Ce que Sophie n’avait pas réalisé, c’est que sa belle-mère, frustrée par ses propres échecs personnels, ne supportait pas l’idée que sa belle-fille puisse réussir là où elle avait échoué. La jalousie déguisée en inquiétude était en réalité une manière de garder Sophie sous contrôle et de saboter ses ambitions.

Le cas de Léa : une belle-sœur jalouse et possessive

Léa et sa belle-sœur, Marie, étaient très proches. Du moins, c’est ce que Léa croyait. Dès qu’elle a commencé à exceller dans son travail, obtenant des promotions et la reconnaissance de ses collègues, Marie a changé d’attitude. Elle s’est montrée de plus en plus critique, dévalorisant systématiquement les réussites de Léa. « Tu travailles trop, tu devrais te concentrer davantage sur ta famille, » disait-elle, insinuant que le succès de Léa au travail se faisait au détriment de sa vie personnelle. Marie, qui n’avait pas eu la même réussite professionnelle, envahissait constamment l’espace de Léa, lui prodiguant des conseils non sollicités et tentant de la convaincre de ralentir. Ce que Léa ne comprenait pas, c’est que derrière cette façade de « préoccupation », Marie était en réalité rongée par la jalousie. Elle ne supportait pas que sa belle-sœur puisse réussir là où elle-même avait échoué. Résister à ces tentatives de manipulation a permis à Léa de révéler la véritable nature de Marie : une jalousie maladive qui cherchait à la freiner plutôt qu’à la soutenir.

Camille et Emma : l’amie d’enfance toxique

Camille et Emma étaient inséparables depuis l’enfance. Leur amitié semblait indéfectible, mais à mesure que Camille avançait dans sa carrière et construisait une vie qui lui plaisait, Emma a commencé à se montrer de plus en plus intrusive et critique. Emma s’invitait constamment chez Camille, la conseillait sans cesse sur sa vie amoureuse, son travail, et même sur ses choix vestimentaires. Tout ce qui sortait des « conseils » d’Emma était teinté de mépris déguisé en fausse sollicitude : « Tu es sûre que ce poste est fait pour toi ? Ça a l’air tellement stressant, » ou encore « Tu es vraiment heureuse avec lui ? Je te vois tellement mieux avec quelqu’un de plus… ambitieux. » Ce que Camille a fini par comprendre, c’est qu’Emma n’était pas inquiète pour elle, mais jalouse de sa réussite. En s’opposant à ces critiques, en refusant d’écouter ces « conseils », Camille a découvert que l’amitié d’Emma n’était qu’un moyen pour cette dernière de se rassurer, en essayant de maintenir Camille à un niveau où elle pourrait continuer à se sentir supérieure.

Géraldine : la vieille amie jalouse

Géraldine et Claire étaient amies depuis le lycée. Pendant des années, Géraldine avait toujours perçu Claire comme une « faire-valoir », une amie qui lui permettait de briller en société. Mais les années ont passé, et Claire a non seulement bien vieilli, mais elle affiche désormais une vie enviable : un mariage heureux, des enfants épanouis, et des vacances de rêve qu’elle partage sur les réseaux sociaux. Géraldine, qui s’est retrouvée à stagner dans une routine monotone, n’a pu s’empêcher de ressentir une jalousie croissante. Elle commence à critiquer Claire en privé, minimisant ses réussites et insinuant qu’elle a simplement eu de la chance. Géraldine, qui se sentait autrefois supérieure, voit maintenant en Claire un miroir qui lui renvoie ses propres insécurités et regrets. Sous couvert de « préoccupations » pour le bien-être de Claire, elle multiplie les remarques acides, tentant de rabaisser son ancienne amie. En réalité, Géraldine est jalouse de cette vie qu’elle ne peut plus atteindre et essaie de minimiser le bonheur de Claire pour se rassurer elle-même.

Julie : la tragédie jalouse d’une ancienne relation

Julie a perdu un ex-petit ami dans des circonstances tragiques. Si cette perte l’a profondément marquée, la véritable douleur a surgi bien plus tard, lorsqu’elle a découvert que, bien après leur séparation, cet ex avait vécu une histoire d’amour avec l’une de ses proches, Myriam. Bien que cette relation entre son ex et Myriam n’ait eu lieu que longtemps après leur rupture, Julie n’a pu s’empêcher de ressentir une haine intense envers elle. Elle ne peut supporter l’idée que Myriam ait pu être heureuse avec celui qu’elle considère, de manière illégitime, comme « son amour perdu ». Cette jalousie va au-delà du simple deuil, car Julie refuse d’accepter que quelqu’un d’autre ait pu occuper la place qu’elle estime lui appartenir. Elle s’accapare le rôle de la « veuve éplorée », même si elle n’a plus de lien légitime avec cet homme. Par cette attitude, elle tente de contrôler Myriam, de l’empêcher de revivre ou de trouver à nouveau le bonheur, ne supportant pas que quelqu’un d’autre puisse avoir ce qu’elle croit lui revenir de droit.

Pierre et Jacques : le père possessif et envieux

Pierre, un jeune entrepreneur, a monté sa propre entreprise avec succès et a récemment acheté une maison. Cependant, au lieu de recevoir les félicitations et le soutien de son père, Jacques, ce dernier lui conseille de tout abandonner : « Ferme ton entreprise, vends ta maison, redeviens locataire et va travailler à l’usine. » Ce conseil, en apparence sage, est en réalité motivé par une jalousie intense. Jacques, qui n’a jamais réussi à atteindre un tel niveau de succès, envie son fils. Chaque fois que Pierre fait un pas en avant, Jacques essaie de le suivre. Lorsque Pierre achète une maison, Jacques en achète une également. Lorsque Pierre devient père, Jacques décide d’adopter un enfant. Malgré toutes ces tentatives d’imiter son fils, Jacques ne cesse de dénigrer ses réalisations, cherchant à minimiser la réussite de Pierre pour compenser ses propres frustrations. La jalousie dévorante de Jacques le pousse à vouloir contrôler son fils, à l’empêcher de réussir là où lui a échoué, et à faire tout ce qu’il peut pour le maintenir à un niveau qu’il considère comme acceptable.

Vanille : la chute dans les yeux de sa belle-famille

Vanille avait une vie de rêve. Rédactrice en chef pour un grand magazine, elle gagnait très bien sa vie et jouissait du respect de sa belle-famille, qui ne manquait jamais une occasion de se vanter de son succès. Tout allait bien, jusqu’au jour où Vanille a fait un burn-out. Épuisée par le stress et en quête de sens, elle décide de tout quitter pour devenir énergéticienne, se concentrant sur une vie plus paisible, axée sur son bien-être mental et physique. C’est là que les choses ont commencé à changer. Sa belle-famille, qui l’admirait autrefois pour son succès financier, se met à la dévaloriser, la jugeant à l’aune de son nouveau revenu bien plus modeste. Les remarques moqueuses et les piques se multiplient : « C’était bien mieux quand tu gagnais 6000 euros par mois. » Pendant des années, Vanille supporte ces critiques en silence, jusqu’au jour où elle décide de réagir. Utilisant son savoir et son éducation, elle riposte en remettant sa belle-famille à sa place. Le résultat est immédiat : les tensions éclatent, révélant la jalousie et le mépris sous-jacents que sa belle-famille nourrissait envers elle. Les choses tournent au vinaigre, prouvant que leur respect n’était en réalité que de la condescendance liée à son statut financier, et non à sa véritable valeur en tant que personne.

Comment résister et se libérer

Résister à ces influences toxiques est essentiel pour préserver son propre épanouissement. Dès que vous commencez à vous affirmer, à refuser de suivre les conseils de ces personnes, leur véritable nature se dévoile. Leur inquiétude prétendue se transforme en colère ou en mépris, révélant ainsi leur jalousie latente. C’est alors que vous comprenez qu’ils n’ont jamais voulu votre bien, mais qu’ils cherchaient à vous retenir, à vous empêcher de dépasser leurs propres limites.

Pour se libérer de ces relations néfastes, il est essentiel de travailler sur soi-même. La sophrologie, par exemple, est une méthode efficace pour renforcer la confiance en soi et se détacher des influences toxiques. Elle aide à développer une vision claire de ses objectifs, à rester centré sur ses priorités, et à repousser les tentatives de manipulation. En cultivant une meilleure connaissance de soi et en apprenant à gérer ses émotions, on parvient à s’affranchir des jugements des autres et à avancer sereinement vers ses aspirations.

Les proches toxiques, sous couvert de s’inquiéter pour vous, cachent souvent une jalousie profonde. Qu’il s’agisse d’une amie de longue date jalouse, d’une personne incapable de faire le deuil d’une relation passée, ou d’un parent envieux, ces individus cherchent à freiner votre épanouissement personnel. Identifier ces comportements et y résister est crucial pour ne pas se laisser entraîner dans une spirale de doute et d’autosabotage. Grâce à des outils comme la sophrologie, il est possible de retrouver confiance en soi, de se recentrer sur ses objectifs et d’avancer librement vers une vie qui vous ressemble.

Révolution personnelle : Le Coaching Transformationnel pour les Femmes de 40 à 60 Ans

Dans la quête de réinvention et de croissance personnelle, les femmes de 40 à 60 ans se tournent de plus en plus vers des approches sur mesure pour les accompagner dans leur parcours. Le Coaching Transformationnel exclusivement conçu pour cette tranche d’âge offre une réponse complète et adaptée à leurs besoins spécifiques, en combinant un bilan approfondi, des objectifs sur mesure, un cheminement introspectif, et des défis stimulants.

Contenu du Coaching Transformationnel :

  1. Bilan poussé et Proposition d’Objectifs : Chaque parcours débute par un bilan approfondi, où les femmes explorent leurs forces, leurs faiblesses et leurs aspirations. Sur cette base, des objectifs sur mesure sont définis, alignés avec leurs valeurs et leurs ambitions.
  2. Brainstorming de Mise en Œuvre : À travers des sessions interactives, des stratégies concrètes sont élaborées pour mettre en œuvre les objectifs fixés. Ce brainstorming permet d’explorer différentes approches et de planifier les actions à entreprendre.
  3. Séances Hebdomadaires : Le programme comprend six séances de deux heures, organisées chaque semaine. Ces séances offrent un espace dédié à l’exploration, à la réflexion et à la croissance, guidées par un coach expérimenté.
  4. Prise en Charge Holistique : Le coaching prend en compte tous les aspects de la vie des femmes, avec une approche holistique incluant des techniques, des apprentissages et un cheminement introspectif confidentiel sur différents pôles de compétences.
  5. Séance en Extérieur : Une séance spéciale est prévue en dehors du cabinet, permettant de sortir de sa zone de confort et d’explorer de nouveaux environnements propices à l’inspiration et à la réflexion.
  6. Défis et Projets : Tout au long du parcours, les femmes sont invitées à relever six défis stimulants, guidées par le coach pour surmonter les obstacles et dépasser leurs limites. De plus, elles sont encouragées à mettre en œuvre un projet personnel significatif, bénéficiant de l’accompagnement et des conseils avisés du coach.

Conclusion :

Le Coaching Transformationnel pour les Femmes de 40 à 60 Ans offre bien plus qu’un simple accompagnement. C’est une véritable aventure de croissance personnelle, où chaque femme est soutenue dans sa quête de réinvention et d’épanouissement. Grâce à un programme sur mesure, une approche holistique et un soutien personnalisé, ce type de coaching ouvre la voie à une transformation profonde et durable.

Détails et tarifs

Comprendre les émotions post-rupture : Le rôle bienfaisant de la sophrologie dans le processus de guérison

La fin d’une relation amoureuse est souvent considérée comme l’une des expériences les plus douloureuses de la vie. Une rupture provoque un stress conséquent lié à la sensibilité respective des deux partenaires. Cependant, il peut être déconcertant de constater que même lorsqu’on est celui qui a pris la décision de mettre fin à la relation, on peut ressentir une gamme complexe d’émotions négatives. Cet article explore les raisons psychologiques derrière ces sentiments et met en lumière le rôle bénéfique de la sophrologie dans le processus de guérison post-rupture.

Pourquoi se sentir mal après avoir initié la rupture ?

  1. Perte de la routine et de la stabilité : Même si la décision de rompre était nécessaire pour le bien-être personnel, la fin d’une relation entraîne souvent la perte de la routine quotidienne et de la stabilité émotionnelle. Certains repères ordinaires disparaissent.
  2. Peur de l’inconnu : La transition vers une vie sans la présence constante d’un partenaire peut susciter la peur de l’inconnu et générer une anxiété face à l’avenir. Cela est particulièrement vrai chez les personnes souffrant d’une distorsion cognitive (Peur de l’abandon). Aaron Beck a répertorié dans sa méthode de TCC, chacune des distorsions affectant les êtres humains.
  3. Deuil de la relation : Même lorsque la décision est rationnelle, il y a un processus de deuil à vivre. On peut ressentir une perte de l’identité partagée et des projets communs. Il peut être difficile également de se projeter avec quelqu’un d’autre, à l’avenir. Chacun doit prendre le temps de vivre son deuil. Si certaines personnes ressentiront le besoin de rencontrer rapidement un nouveau partenaire, d’autres prendront leur temps et relèveront leurs critères de sélection. La rupture peut alors les aider à déterminer ce qu’elles ne veulent plus subir au sein d’une relation amoureuse.
  4. Estime de soi fragilisée : La rupture peut parfois altérer l’estime de soi, surtout si l’on ressent la nécessité de justifier la décision ou si des sentiments de culpabilité émergent. Une personne sortant d’une rupture, à moins qu’elle ne soit abonnée aux relations passagères et qu’elle accorde peu d’importance au lien créé sur quelques semaines (cela se voit) , est fragilisée ou… galvanisée ! Il y a des années une cliente m’expliqua qu’elle avait ressenti sa rupture comme une « sortie de prison ». Cette personne avait choisi une vie plus trépidante, plus proche de ses aspirations. En réalité, elle avait pris conscience que ce dont elle avait besoin n’était pas une relation mais de vivre enfin pour elle-même !

Le rôle de la sophrologie dans le processus de guérison :

La sophrologie, une méthode qui combine des techniques de relaxation, de respiration et de visualisation, offre un soutien psychologique et physique dans le processus de guérison après une rupture. Il n’y a pas deux clients identiques. Chaque protocole est adapté pour la personne qui consulte ou créé uniquement pour elle. La première séance propose déjà de la pratique mais la majeure partie est destinée à l’anamnèse (me permet de vous connaître).

  1. Gestion du stress et de l’anxiété : Les techniques de relaxation enseignées en sophrologie aident à réduire le niveau de stress et d’anxiété associé à la rupture, favorisant ainsi un état émotionnel plus équilibré.
  2. Reconnexion avec soi-même : La sophrologie encourage la connexion avec ses propres émotions et besoins, facilitant ainsi la compréhension de la décision de rompre et favorisant la reconstruction de l’estime de soi.
  3. Visualisation positive : En guidant les pratiquants à visualiser des scénarios positifs pour l’avenir, la sophrologie aide à surmonter la peur de l’inconnu en créant une vision optimiste du chemin à venir.
  4. Renforcement de la résilience : La sophrologie renforce la capacité à faire face aux difficultés en développant la résilience mentale et émotionnelle, des compétences essentielles pour surmonter une rupture.

La sophrologie se révèle être un outil précieux dans le processus de guérison post-rupture, en offrant un espace pour la compréhension, la gestion des émotions et la reconstruction personnelle. Alors que la fin d’une relation peut être une période difficile, la sophrologie offre un chemin vers le bien-être émotionnel et la redécouverte de soi. En s’appuyant sur ces techniques, il est possible de transformer une expérience douloureuse en une opportunité de croissance personnelle et de renouveau.

Surmonter le Burn-out : Transformer sa pensée pour se reconstruire

Le burn-out, cette épuisante réalité contemporaine, affecte de nombreuses personnes à différents niveaux. Lorsque l’épuisement professionnel ou émotionnel prend le dessus, il est crucial de repenser sa façon d’aborder la vie, de réévaluer ses priorités et de changer sa mentalité pour entamer un processus de guérison.

Se reconnecter avec Soi-m’aime…

L’une des premières étapes pour surmonter le burn-out est de se reposer et de se rappeler que prendre soin de soi est essentiel. La simple phrase « je dois me faire du bien, prendre soin de moi » devient alors une boussole intérieure. Accorder de l’importance à son bien-être physique et mental devient une priorité absolue.

Se remémorer ses réussites

Lorsque la fatigue et la surcharge émotionnelle prennent le dessus, il est facile d’oublier ses propres réussites. Une pensée constructive consiste à se rappeler que même si ces succès semblent loin, ils ont bel et bien existé. Valoriser ses accomplissements passés peut apporter une dose nécessaire de confiance en soi et de motivation pour avancer.

Se souvenir par qui nous avons été aimés

Cela peut paraître négatif ou nostalgique mais il est prouvé que dans les pires moments de la vie nos deuils passés peuvent résonner en nous pour nous aider, nous secourir. Avez-vous été passionnément aimé par une personne ? Avez-vous le souvenir de l’adoption extraordinaire d’un animal qui vous a donné son affection ? Même s’ils sont partis, vous avez vécu aussi pour avoir le privilège de les connaître, d’être apprécié d’eux. Cela n’est pas rien et pourrait compter, à la fin, bien plus que vous ne le pensez !

Libérer le Passé toxique pour mieux avancer

Les blessures du passé peuvent parfois être des poids écrasants. Pour évoluer vers la guérison, il est crucial de se débarrasser du fardeau émotionnel en laissant de côté les rancœurs et les souffrances. Faire le choix de ne plus entretenir de relations toxiques devient alors une décision nécessaire pour avancer vers un environnement plus sain.

Progresser pas à pas

Rome ne s’est pas construite en un jour, et la guérison après un burn-out suit le même principe. Adopter la mentalité du « une petite chose à la fois » permet de réduire la pression et d’éviter de se sentir submergé. Chaque petit pas compte et mène progressivement vers un mieux-être.

Trouver le réconfort dans les petites victoires

Nous avons l’habitude de vivre dans un monde où nous devons exceller et faire des miracles. Nos grands mères, elles, savaient se satisfaire d’une vie d’accomplissement familial : élever les enfants, ranger, nettoyer, cuisiner, faire les courses et tenir une maison en état. Pour la plupart elles ne rêvaient pas de jobs à responsabilités ni de salaires à 5 chiffres. Et elles avaient probablement raison. Les tâches simples du quotidien peuvent être de puissants remèdes. Le fait de s’adonner à des activités manuelles comme le tri d’un placard, le nettoyage d’une pièce ou toute autre action procurant une gratification immédiate peut être bénéfique. Ces activités apaisent l’esprit tout en offrant une sensation de satisfaction tangible, contribuant ainsi au processus de récupération.

Le chemin vers la guérison après un burn-out demande du temps, de la patience et un changement de perspective. Transformer ses pensées pour adopter une approche axée sur le bien-être personnel est une étape cruciale. En prenant soin de soi, en se rappelant ses succès passés, en abandonnant les fardeaux émotionnels et en progressant pas à pas, il devient possible de retrouver l’équilibre et de renouer avec une vie épanouie.


Récit d’une Transformation : Ma Route à travers le Burn-out

En 2009, alors mère célibataire et responsable freelance dans un grand magazine, j’ai été confrontée à mon premier burn-out. Ma vision du travail a été façonnée, dès mon plus jeune âge, par un sens du devoir acharné et une envie constante de prouver ma valeur. Dans ma famille, enfant, j’étais sans cesse comparée aux autres. A mes cousins, cousines, voisins et voisines, camarades de classe, fils et filles d’amis de mes parents. Une distorsion s’est installée chez moi : « Je vaux moins que les autres alors je dois travailler plus dur ! »… Dans mon emploi, j’étais rémunérée en fonction de ma productivité, un piège où plus je travaillais, plus je gagnais… J’étais fière d’avoir enfin un compte en banque bien rempli et de ne plus avoir à me soucier de l’argent des factures. Pourtant le piège s’était déjà refermé sur moi…

Les premiers temps furent marqués par les louanges de mon patron, mais après un an sans répit ni vacances, j’ai commencé à ressentir l’épuisement. Mon patron a changé d’attitude, retardant mes paiements et accumulant un mois de commandes impayées. Ma vie était un tourbillon entre le travail intense et l’obligation de confier mon enfant en permanence à mes parents pour répondre aux incessants appels professionnels. En un an et demi je pris 2 jours de congés (et encore je me rendais à un évènement professionnel sur ces 2 jours de liberté !) et on me le reprocha sévèrement assurant que mes « petites vacances avaient perturbé tout l’équilibre de la boite ! »…

Je me suis perdue dans cette spirale, maigrissant considérablement et perdant le sommeil même durant mes rares moments de repos. Mon esprit naviguait entre des questions intellectuelles complexes et la frustration de voir d’autres percevoir des salaires astronomiques pendant que je peinais à joindre les deux bouts.

Le point culminant fut une expérience hors du corps, une sortie quasi spirituelle que j’ai interprétée comme une révélation. Mon médecin a, lui, beaucoup plus terre à terre, attribué cet événement à un possible mini-AVC, un signal d’alarme qui aurait pu être fatal…

L’intervention de mon partenaire et son installation avec moi a marqué un tournant. Il a mis fin aux appels nocturnes de mon patron et j’ai finalement été remerciée sous prétexte que j’étais « plus performante en étant célibataire »… Les révélations sur les précédents responsables en burn-out ont mis en lumière la toxicité du rythme de travail.

Sans emploi, déprimée et incomprise par mon entourage, j’ai dû reconsidérer mes priorités. La santé, le bien-être et l’amour de ma famille ont repris leur juste place. J’ai réalisé que l’obsession pour l’argent et la reconnaissance ne valait pas la peine de sacrifier ma santé mentale et physique. A l’heure actuelle et depuis 13 ans, je prends grand soin de moi. Je vais chez le médecin quand je suis malade, je me repose, je fais une sieste tous les jours entre deux clients ou entre deux interventions. Les weekends sont consacrés à la découverte de nouveaux lieux à la campagne, à la montagne… J’ai redonné toute leur place à mes activités comme la musique, la peinture et l’écriture. Je vais même être éditée.

Aujourd’hui, en tant que freelance, je m’engage à travailler maximum quatre heures par jour. Ma liberté est ma priorité, loin de l’ancien schéma où j’étais dépendante d’un client exigeant. Cette liberté peut paraître déconcertante pour certains, mais pour moi, c’est une renaissance. Mon burn-out m’a appris la valeur de ma vie et de ma liberté, des trésors bien plus précieux que les convenances financières ou les pressions sociales. J’ai également appris à couper les liens toxiques. Aujourd’hui je ne vois plus les personnes qui essayaient toujours de m’imposer leur vision d’un salariat « supérieur » à tout le reste ou qui me méjugeaient depuis mon « changement de statut ». Je veille à m’entourer de personnes qui sont encourageantes. C’est bien meilleur pour le moral. Ma vie est de nouveau équilibrée et belle, à mille lieux du métro-boulot-dodo qui ne risque plus de m’atteindre…