Ne plus se laisser faire : le vrai réveil des femmes sensibles !

Il y a des femmes qui donnent tout. Elles écoutent, comprennent, s’adaptent, apaisent. Encore et encore. Elles portent le monde sur leurs épaules — le couple, la famille, les collègues, les amis, les ennemis (sans même s’en rendre compte…) — sans jamais oser dire que, parfois, elles sont fatiguées. Elles ont le cœur grand ouvert, mais elles le paient cher. On les interrompt, on leur parle mal, on profite de leur douceur, on dépasse leurs limites. Et elles, souvent, se taisent. Par peur du conflit. Par peur de décevoir. Par peur d’être “trop”. Et par peur de ne pas être « complète » sans ce sacrifice de soi absolu…

À mon cabinet, je constate souvent ce même scénario débridé, décliné en mille nuances : des femmes brillantes, aimantes, sensibles… mais qui ne se sentent nullement respectées. Elles m’expliquent qu’elles font tout pour les autres, qu’elles ne veulent pas passer pour égoïstes, qu’elles savent qu’elles devraient dire non mais qu’elles n’y arrivent pas. Derrière ces mots, il y a toujours la même blessure : celle de ne pas oser exister pleinement. Le souci de ne pas s’opposer. On leur a inculqué qu’elles n’étaient pas faites pour briller ni pour être satisfaites en totalité et, même si leurs parents ont disparu, elles perpétuent une forme de loyauté familiale à travers ce manège dévalorisant.

Être gentille, ce n’est pas le problème. C’est même une qualité précieuse. Mais quand la gentillesse devient une stratégie de survie, quand elle cache la peur du rejet ou du conflit, alors elle finit par faire souffrir. La vraie bonté ne consiste pas à tout accepter, mais à savoir dire “non” sans culpabilité. Le respect de soi n’enlève rien à la douceur, il la rend plus juste.

Je vois trop souvent des femmes qui se jugent “faibles” ou “trop sensibles”, alors qu’en réalité elles ont simplement développé une grande empathie. Elles sentent tout, devinent tout, anticipent tout. Mais cette empathie, si elle n’est pas accompagnée de limites, devient un piège : elle les vide de leur énergie essentielle !

Ce comportement ne vient pas de nulle part. Souvent, il s’est construit très tôt, dans l’enfance. On a appris à plaire, à être sage, à éviter les disputes, à ne pas faire de vagues. Et adulte, on continue à s’effacer pour maintenir la paix. Ce mode de fonctionnement devient automatique : on se tait, on s’adapte, on encaisse. Psychologiquement, cela s’appelle le manque d’affirmation de soi. C’est la difficulté à dire ce qu’on pense, ce qu’on veut, ce qu’on ressent.

Les conséquences sont nombreuses : relations déséquilibrées, sentiment d’être invisible, épuisement émotionnel, perte d’estime de soi. On vit avec une tension intérieure constante : vouloir plaire tout en rêvant d’être soi. Certaines finissent par exploser, d’autres par s’éteindre.

Mais quand une femme commence à s’affirmer, tout change. Au début, il y a la peur : “Si je dis non, on ne m’aimera plus.” Puis vient la surprise : “En fait, on me respecte davantage.” Et enfin, la libération : “Je me sens enfin moi.”

À mon cabinet, j’observe des transformations chaque semaine. Des femmes qui reprennent le contrôle de leur vie simplement parce qu’elles apprennent à se choisir. Elles cessent de demander la permission d’exister. Elles osent poser leurs limites, sans agressivité, mais avec calme et assurance. Et paradoxalement, leurs relations s’améliorent. On ne respecte jamais autant une personne que lorsqu’elle se respecte elle-même.

Apprendre à dire non, ce n’est pas blesser l’autre. C’est honorer sa propre vérité. C’est refuser ce qui épuise, pour mieux accueillir ce qui nourrit. Quand on se laisse tout faire, on s’efface peu à peu. Quand on commence à se respecter, on retrouve son énergie, sa clarté, sa joie de vivre. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de la santé psychologique.

Arrive un moment où la douleur de se nier devient plus forte que la peur de changer. C’est le moment du sursaut. Celui où l’on se dit : “Je ne veux plus subir. Je veux vivre. Pour de vrai.” C’est souvent à ce moment-là que les femmes viennent me voir. Elles ne veulent plus “juste aller mieux”. Elles veulent se transformer.

C’est précisément pour elles que j’ai créé le programme “Ne vous laissez plus faire !”, un accompagnement en profondeur que je propose à mon cabinet de sophrologie à Vichy. Ce programme est né d’une constatation : certaines femmes ont besoin d’un espace où elles peuvent enfin désapprendre la soumission, déconstruire leurs automatismes, retrouver leur voix intérieure. Pendant dix séances individuelles d’une heure trente, nous travaillons à trois niveaux : le mental, pour identifier les croyances qui maintiennent la peur de déplaire ; l’émotionnel, pour libérer la colère, la culpabilité et la honte d’avoir trop donné ; et le corps, pour se reconnecter à ses sensations, à son souffle et à sa puissance tranquille.

Ce parcours n’est pas confortable au sens où il bouscule. Mais il se fait sans violence, dans la bienveillance et la clarté. Il vous amène à vous regarder en face, à vous repositionner, à choisir enfin vous-même. Et quand cela arrive, tout change. Les femmes que j’accompagne me disent souvent : “Je ne pensais pas que j’avais ce courage en moi.”, “Je suis plus calme, mais plus ferme.”, “Je me sens libre.”

Ne plus se laisser faire, c’est une révolution intérieure. Pas spectaculaire, mais profonde. C’est le moment où l’on arrête d’attendre que les autres nous comprennent, parce qu’on se comprend enfin soi-même. Si ces mots résonnent, c’est que quelque chose en vous est prêt à changer. Vous savez déjà, au fond, que vous ne voulez plus de demi-mesure, plus de compromis qui vous abîment.

Alors si vous sentez cet élan, ce besoin de reprendre votre place, je vous invite à découvrir le programme que j’ai conçu pour vous : Ne vous laissez plus faire !

Quand votre lumière dérange : pourquoi certains préfèrent la version blessée de vous-même ?

Par Céline Baron, psychopraticienne et sophrologue à Vichy

Il existe un phénomène aussi subtil que déroutant : certaines personnes semblent vous aimer davantage lorsque vous traversez des périodes sombres… Tant que vous doutez de vous, que vous cherchez, que vous Vous cherchez, que vous luttez — elles se montrent présentes, attentives, presque dévouées… Fabuleux ! Mais dès lors que vous commencez à aller bien, à vous affirmer, à rayonner… leur attitude change totalement ! Pervers ? Étrange ? Psychologique, oui ! Votre joie les dérange. Votre paix intérieure leur devient étrangère.
Et soudain, la personne que vous êtes devenue leur est absolument insupportable. La bonne nouvelle ? Leur mal-être face à vos succès demeure LEUR problème, certainement pas le vôtre ! Explications.

Quand votre équilibre remet en cause leur confort émotionnel

Dans ma pratique de psychopraticienne et sophrologue à Vichy, j’observe souvent cette mécanique invisible : certaines relations reposent sur une forme d’équilibre émotionnel implicite, où l’un soutient pendant que l’autre vacille.
Votre fragilité d’autrefois offrait à l’autre un rôle sécurisant — celui du conseiller, du confident, parfois celui du sauveur.

Mais quand vous guérissez, quand vous reprenez votre place, ce rôle disparaît.
Vous n’êtes plus celui ou celle qui a besoin — vous devenez celui qui inspire.
Et cette métamorphose vient bouleverser les repères affectifs de ceux qui s’étaient construits sur votre vulnérabilité et qui vous considéraient comme un « faire valoir »…

Le psychologue américain Stephen Karpman, à travers le concept du triangle dramatique (victime – sauveur – persécuteur), a démontré comment ces dynamiques relationnelles se rejouent souvent inconsciemment.
Quand vous quittez la position de « victime », le système tout entier se dérègle : le « sauveur » perd sa raison d’être… et parfois, son affection se transforme en rejet.


Votre réussite comme miroir de leurs blessures

Le père de la psychologie humaniste, Carl Rogers, parlait de la « tendance actualisante », ce mouvement naturel vers la pleine réalisation de soi.
Mais ce processus dérange ceux qui n’ont pas encore osé s’y engager.
Votre épanouissement devient alors un miroir impitoyable de leurs renoncements.

La chercheuse américaine Brené Brown, dans ses travaux sur la honte et la vulnérabilité, écrit que :

“Joy is the most vulnerable emotion we experience.”
(« La joie est l’émotion la plus vulnérable que nous puissions ressentir. »)

Autrement dit, voir quelqu’un rayonner confronte à sa propre peur d’être heureux.
Ce n’est pas votre bonheur qu’ils rejettent, mais ce qu’il réveille en eux : la nostalgie d’une version d’eux-mêmes qu’ils n’ont pas encore incarnée.


Le silence, ce désaveu qui en dit long

Le psychologue Leon Festinger, avec sa théorie de la dissonance cognitive, a démontré que lorsqu’une réalité externe contredit nos croyances internes, nous cherchons à rétablir un équilibre — souvent en minimisant ou en rejetant la source même du malaise…
Ainsi, quand une personne constate votre accomplissement mais se sent en échec, elle peut inconsciemment nier votre réussite, ou faire comme si elle n’existait pas.
Ce silence, ce manque d’enthousiasme, traduit moins une absence d’intérêt qu’un mécanisme de protection psychique.

Il y a quelques années, j’avais un ami, un confident, qui évoluait dans le milieu artistique. Il avançait avec une détermination farouche, mêlée d’une certaine arrogance. C’était un être qui aimait briller : il entrait dans une pièce comme sur une scène, ouvrait les portes avec panache, et vous faisait traverser un carrefour comme si vous étiez la Reine d’Angleterre.

Mais derrière cette assurance éclatante se cachait une autre réalité. Il jugeait les gens à l’aune de leurs possessions, de leur salaire, de la visibilité qu’ils projetaient. La simplicité ou la joie tranquille lui étaient étrangères.

Je me souviens d’un rendez-vous en particulier. J’étais arrivée légère, heureuse, épanouie dans ma vie de freelance. Lui m’accueillit d’un ton faussement bienveillant :

« Tu ne devrais pas être si heureuse avec une situation si précaire. »

Sous ses airs de supériorité, je sentais la fissure. Cet homme, confortable dans son statut et auréolé d’une petite notoriété, était profondément malheureux. Prisonnier d’une image de grandeur qu’il avait lui-même construite, il vivait dans la crainte qu’elle ne se ternisse. Et comme la réalité commençait à grincer derrière le vernis, il supportait de moins en moins ceux qui, sans éclat particulier, connaissaient la paix intérieure.

Il en voulait aux gens simples et heureux, parce que leur sérénité soulignait sa propre agitation. Alors, à sa manière, il cherchait à éteindre ma joie — à me rappeler que, selon ses critères, je n’avais pas de raison valable d’être si bien.

Mais en vérité, ce qu’il ne supportait pas, c’était que j’aie trouvé dans ma liberté ce qu’il n’avait jamais su trouver dans son succès : une forme de bonheur sincère et stable.


Ne vous excusez jamais d’aller bien

Le coach américain Tony Robbins le dit sans détour :

“Don’t dim your light to make others comfortable.”
(« Ne réduis pas ta lumière pour mettre les autres à l’aise. »)

Se restreindre pour ne pas gêner, c’est s’éteindre doucement.
C’est revenir à une ancienne version de soi que certains trouvaient plus rassurante — mais qui n’était plus vraie.
Vous n’avez pas à redevenir « comme avant » pour conserver l’amour des autres.
Les relations authentiques s’ajustent à votre lumière. Les autres s’éloignent, et c’est bien ainsi.


Votre lumière trie naturellement votre entourage

Comme l’a si justement écrit Marianne Williamson, souvent citée par Nelson Mandela :

“Our deepest fear is not that we are inadequate.
Our deepest fear is that we are powerful beyond measure.”
(Notre peur la plus profonde n’est pas d’être insuffisants, mais d’être puissants au-delà de toute mesure.)

Votre lumière ne repousse pas les bons — elle révèle simplement qui ne supportait votre compagnie que dans l’ombre.
Et ce tri naturel, bien que douloureux, est une étape nécessaire de toute évolution intérieure.


Conclusion : s’autoriser à s’épanouir sans culpabilité

S’épanouir, c’est parfois perdre des visages familiers.
Mais c’est aussi rencontrer, sur le chemin, des êtres qui vibrent à la même fréquence que votre paix retrouvée.
Le bonheur authentique ne cherche pas à convaincre ni à justifier : il inspire silencieusement.

En tant que psychopraticienne et sophrologue à Vichy, j’invite souvent mes patients à accueillir cette réalité : le changement ne détruit pas, il révèle.
Et ceux qui ne supportent pas votre lumière vous offrent, sans le vouloir, la plus belle des libertés : celle d’être pleinement vous-même.

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L’impact du manque de confiance en soi chez les jeunes filles : effets et solutions

Par Céline Baron, octobre 2018.

L’estime de soi, fondation de la perception de soi-même, influence profondément chaque aspect de la vie d’une personne. Pour les jeunes filles, un manque de confiance en soi peut entraîner une multitude de problèmes psychologiques et comportementaux, façonnant leurs interactions, leurs aspirations et leur bien-être général. En revanche, celles qui possèdent une estime de soi solide et authentique naviguent dans la vie avec résilience et un désintérêt sain pour la validation extérieure. Cet article explore les effets considérables du manque de confiance en soi chez les jeunes femmes et les différences frappantes comparées à leurs homologues plus confiantes, parfois également plus âgées. Rappelons que la confiance en soi se construit sur des tests et des expériences positives.

Le Piège de la Surcompensation

L’une des manifestations les plus évidentes du manque de confiance en soi chez les jeunes filles est la surcompensation. Cherchant désespérément une validation, elles peuvent investir énormément dans leur apparence physique, croyant que la beauté extérieure compensera leurs déficiences internes perçues. Cela peut mener à une obsession malsaine de l’image corporelle, se manifestant par des troubles alimentaires, des soins excessifs ou la poursuite incessante des dernières tendances de la mode. La croyance sous-jacente est que si elles paraissent parfaites à l’extérieur, elles se sentiront mieux à l’intérieur.

De même, certaines filles peuvent se tourner vers le matérialisme comme moyen de surcompensation. Équivalent la valeur personnelle aux possessions, elles peuvent mettre la pression sur leurs familles ou elles-mêmes pour acquérir les derniers gadgets, vêtements ou accessoires. Cette quête de richesse matérielle est une tentative mal orientée de combler le vide laissé par leur manque d’estime de soi, conduisant souvent à des tensions financières et une insatisfaction plus profonde encore. Les jeunes filles ont tendance à s’endetter davantage que les jeunes hommes pour combler un manque de confiance en elle. La pression sociale ajoutée pour une image de soi parfaite et des clichés de perfection est partout et notamment sur les réseaux sociaux. Notons que les personnes non satisfaites de leur physique ou de leur vie et qui ont tendance à se comparer perçoivent les vies orchestrées sur Facebook ou Instagram comme la réalité.

Dynamiques interpersonnelles : Rivalité et Ressentiment

Le manque de confiance en soi peut également déformer les relations d’une jeune fille avec les autres, en particulier avec les autres femmes. Au lieu de favoriser des amitiés solidaires, les filles qui manquent de confiance en elles peuvent percevoir leurs pairs comme des concurrentes. Ce sentiment perpétuel de rivalité découle de leurs insécurités internes ; elles mesurent leur valeur par rapport aux autres, conduisant à des sentiments de jalousie et de ressentiment. Plutôt que de célébrer le succès des autres, elles peuvent se sentir menacées par celui-ci, exacerbant leurs sentiments d’inadéquation. Cette émotion est négligemment assimilé à la Jalousie alors qu’elle relève d’un profond sentiment d’injustice. Il y a notamment le risque de constater que des personnes qui manquent de confiance en elles vont tenter de « copier-coller » la réussite ou le parcours des autres sur leur propre vie. Hélas le plus souvent ce qui réussit à l’un n’est pas certain de réussir à autrui !

Cet état d’esprit compétitif peut entraver la formation de relations authentiques et solidaires. La comparaison constante et le désir de surpasser les autres créent un environnement social toxique, où la confiance et la camaraderie sont remplacées par la suspicion et l’antagonisme. Cela affecte non seulement leur vie sociale, mais aussi leur santé mentale, car le stress de la compétition constante finit par peser.

La Spirale de l’Isolement

Dans les cas extrêmes, le manque de confiance en soi peut mener à un retrait social. La peur du jugement et du rejet peut pousser les jeunes filles qui manquent d’estime de soi à s’isoler, évitant les situations sociales où elles se sentent vulnérables. Cet isolement peut entraîner la solitude et la dépression, créant un cercle vicieux où leur manque de confiance en soi conduit à des comportements qui diminuent encore plus leur estime de soi.

La contrepartie « Confiante »

D’un autre côté, une jeune fille avec une estime de soi solide et authentique vit les choses différemment. Elle navigue dans le monde avec une assurance qui ne dépend pas de la validation extérieure. Les filles confiantes sont plus susceptibles de poursuivre leurs intérêts et passions sans craindre le jugement, menant à une vie plus épanouie et autodirigée.

Ces filles ont tendance à former des relations plus saines, car elles ne se sentent pas menacées par le succès des autres. Leurs interactions sont caractérisées par le respect mutuel et le soutien, favorisant un environnement social positif. Le manque de besoin de surcompensation leur permet de se concentrer sur leur croissance personnelle et leur développement, plutôt que d’être préoccupées par les apparences extérieures ou les possessions matérielles.

Pour exemple : Lorsque je me retourne sur mon passé, je ne vois pas une jeune femme particulièrement confiante. C’est en me lançant à mon compte et en affrontant les défis de front que j’ai bâti la solide confiance en moi dont je jouis aujourd’hui, à presque 50 ans. Le chemin n’a certes pas été pavé de réussites, mais il est indéniable que tant que l’on persévère et que l’on sait rebondir, même les échecs inévitables deviennent des expériences de vie qui nous renforcent. La comparaison ne peut durer qu’un temps, car elle est fondamentalement absurde : personne n’est identique, chacun part d’un point de départ unique et possède ses propres capacités. Il est donc impossible de comparer sainement les parcours. Tout ce qui n’est pas sain ne mérite pas d’être mis dans la balance.

Construire l’Estime de Soi : Le Chemin vers la Résilience

Le chemin vers la construction de l’estime de soi est crucial pour permettre aux jeunes filles de mener une vie épanouie. Ce processus implique de favoriser un environnement de soutien où elles sont encouragées à explorer leurs intérêts et leurs forces. Le renforcement positif, la fixation d’objectifs réalistes et le développement de stratégies d’adaptation face à l’échec et à la critique sont des éléments essentiels pour nourrir une estime de soi saine.

Encourager l’auto-compassion et la pleine conscience peut également aider les jeunes filles à développer une relation plus bienveillante et acceptante avec elles-mêmes. En apprenant à apprécier leurs qualités uniques et à comprendre que la valeur personnelle ne dépend pas des facteurs externes, elles peuvent cultiver une estime de soi résiliente et authentique.

Conclusion

L’impact du manque de confiance en soi sur la vie d’une jeune fille est profond et multifacette. Il affecte leur santé physique et mentale, leurs relations interpersonnelles et leur satisfaction de vie globale. À l’inverse, favoriser une estime de soi solide et authentique permet aux jeunes filles de mener une vie résiliente et épanouie. En tant que société, éducateurs et parents, nous avons la responsabilité de créer des environnements qui soutiennent le développement d’une estime de soi saine, permettant aux jeunes filles de s’épanouir et d’atteindre leur plein potentiel.

Pour aller plus loin :

Un psychopraticien sophrologue peut prendre en charge les manques de confiance en soi chez les jeunes filles en utilisant une approche holistique qui combine des techniques de relaxation, de visualisation positive, et de développement personnel. Grâce à la sophrologie, il aide les jeunes filles à prendre conscience de leurs ressources internes et à renforcer leur estime de soi. Les séances incluent des exercices de respiration, de méditation et des mouvements doux qui favorisent la détente et réduisent le stress. En parallèle, le psychopraticien travaille sur la restructuration cognitive pour modifier les croyances limitantes et encourager des pensées positives et réalistes. En créant un espace de confiance et d’écoute, le thérapeute permet aux jeunes filles d’explorer leurs sentiments et de construire progressivement une image de soi plus positive et résiliente. Le soutien continu et les outils pratiques fournis par le psychopraticien sophrologue aident les jeunes filles à intégrer ces nouvelles compétences dans leur vie quotidienne, les aidant ainsi à développer une confiance en soi durable.

La confiance en soi, socle fondamental du Bien-être

La confiance en soi, socle fondamental du Bien-être, peut souvent être érodée par des expériences passées, des critiques persistantes de la part des proches ou notre propre tendance au perfectionnisme. Ces défis quotidiens et répétitifs entravent la croyance en ses propres capacités, créant un obstacle significatif à une vie épanouissante. Bien-entendu on ne peut se voiler la face en ignorant son problème de confiance en soi. Il faut, dès que possible, tenter de le résoudre et y travailler. La route est longue mais saine ! Le travail finit toujours par payer.

L’exemple de Clémentine : « J’ai 40 ans, je suis à mon propre compte et j’ai toujours pensé avoir une bonne confiance en moi. Cependant en présence de certains membres de ma famille par alliance, je me sentais et me ressentais comme une enfant peu sûre d’elle ! J’ai alors réalisé que ces personnes, depuis que je les connaissais, remettaient systématiquement en doute mes accomplissements. Cela n’était jamais clair. Ils haussaient les épaules lorsque j’affirmais ou racontais quelque chose concernant ma progression au travail, ils levaient les yeux au ciel lorsque je parlais de mes projets de voyages… Donc avec eux je me sentais nulle et mal. Après un séjour tendu chez l’un d’eux, séjour auquel mon mari voulait absolument participé, je rentrais à la maison totalement malade ! Je comprenais alors que ces personnes étaient toxiques et que moi j’aurais mieux fait de concrétiser mes projets de voyages plutôt que d’en parler. Je consultais un thérapeute pour m’aider à couper mentalement avec elles. Je programmais enfin les voyages de mes rêves, sortant ainsi de ma zone de confort et prenais soin de ne pas les prévenir. Ainsi ils seraient face au faits accomplis ! A mon retour je n’avais plus aucun complexe ! J’avais retrouvé ma confiance en moi. Je gardais désormais mes projets pour moi et ils se lassèrent de me critiquer puisqu’ils n’avaient plus aucune information à se mettre sous la dent. Cette expérience m’a appris que de sortir de sa zone de confort était bénéfique pour la confiance en soi ! »

Les racines du manque de confiance en soi résident souvent dans des expériences traumatisantes ou des échecs antérieurs. Ces moments critiques peuvent laisser des marques émotionnelles profondes, générant une perception négative de soi-même. Nous pouvons vraiment parler de cicatrices émotionnelles. Identifier ces sources est la première étape cruciale pour surmonter ce manque de confiance et pour libérer le potentiel stagnant, dormant.

Pour renforcer la confiance en soi, il est impératif de célébrer les petites victoires, d’adopter une mentalité positive, d’apprendre des échecs et de résister à la tentation des comparaisons excessives. Ce processus continu nécessite un engagement conscient envers la croissance personnelle, transformant les défis en opportunités d’apprentissage. En reconnaissant et en surmontant ces obstacles, chacun peut cultiver une vision positive de soi-même, favorisant ainsi une vie plus épanouissante.

Conclusion… En reconnaissant et en abordant les facteurs sous-jacents au manque de confiance en soi, il devient possible de libérer son potentiel et de construire une vision plus positive de soi-même. Ce chemin vers la confiance en soi n’est pas seulement une quête personnelle, mais aussi une porte ouverte vers une vie plus riche, épanouissante et pleine de réalisations.

Cultiver la Confiance en Soi : Un voyage vers le Bien-Être psychologique

Introduction : La confiance en soi, ce précieux capital psychologique, peut souvent échapper à certains d’entre nous, jetant une ombre sur notre bien-être quotidien. Le manque de confiance en soi peut être une barrière significative pour atteindre notre plein potentiel et vivre une vie épanouissante. Cet article explore les racines de ce défi psychologique et propose des conseils pratiques pour renforcer la confiance en soi et rétablir l’équilibre dans nos vies.

Comprendre le manque de confiance en soi : Le manque de confiance en soi peut découler de diverses expériences de vie, notamment des échecs répétés, des critiques constantes, ou des comparaisons sociales. Parfois, il peut trouver ses racines dans des messages négatifs internalisés pendant l’enfance. Comprendre ces origines est le premier pas vers la transformation.

Shania a 35 ans, elle explique : « Après mon BTS je n’ai pas pu rejoindre la fac. J’ai eu l’impression de me faire leurrée car je voulais faire des études longues. Hélas j’avais choisi la mauvaise option à l’époque. Ma confiance en soi ne s’en est jamais remise. Je me suis dès lors sentie inféroeure à tout le monde et surtout à ceux qui avaient eu la chance de faire de grandes études. Il faut dire que tout a suivi : salaire bas et opportunités limitées. Même mon médecin, lors d’une dépression m’a conseillé de reprendre des études… Hélas ce n’était plus envisageable pour moi ».

Lucas, Père de 50 ans explique : « Je me vois toujours comme un être isolé, mal dans la société, incapable de réussir vraiment. Quand je vois mes collègues je les envie systématiquement pourtant j’ai une petite maison, une femme super, des enfants en or. Mais pour moi ma vie est ratée ! »

Ces deux exemples nous montrent que la confiance en soi n’est pas automatique, il faut la travailler de cette façon :

  1. L’introspection : Prenez le temps de vous connaître. Identifiez les expériences passées qui pourraient avoir contribué à votre manque de confiance en vous. L’introspection peut être le fondement d’une croissance personnelle significative.
  2. L’acceptation de soi : Apprenez à vous accepter avec bienveillance, avec vos forces et vos faiblesses. Reconnaître que personne n’est parfait et que l’imperfection fait partie intégrante de l’expérience humaine peut être libérateur.
  3. L’auto-compassion : Développez une relation aimante envers vous-même. Soyez aussi gentil avec vous-même que vous le seriez avec un ami. L’auto-compassion crée un espace pour la croissance et la guérison.

Attention, certaines personnes affichent une confiance en elles forte et pourtant… Si cette dernière n’est pas authentique elle demeure très friable ! Dans mon livre « Voyage en Self-Love » je raconte le cas d’une amie de jeunesse apparemment très confiante mais qui ne tolère pas que ses amies se marient ou achètent une maison, voyagent etc. Elle se met alors à entrer dans une véritable rivalité et recherche à être rassurée sur sa valeur. Hélas les bonnes âmes qui la réconfortent malgré son impolitesse et son agressivité verbale sont de nouveau ses proies au moindre accomplissement visible ! Voici l’exemple d’une femme à qui tout semble en apparence réussir mais qui a une estime d’elle-même très faible et une confiance artificielle.

Renforcer la confiance en soi , quelques pistes :

  1. Définir des objectifs réalisables : Commencez petit. Établissez des objectifs atteignables et célébrez chaque petite victoire. Ces succès successifs construiront progressivement votre confiance en vos capacités.
  2. Affirmer ses succès : Tenez un journal de vos réalisations, grandes et petites. Revisitez-le régulièrement pour vous rappeler vos succès passés, renforçant ainsi votre confiance en vos compétences.
  3. Apprendre de l’échec : Au lieu de le craindre, utilisez l’échec comme une occasion d’apprendre. Analysez les erreurs, ajustez vos stratégies, et percevez chaque revers comme une étape vers le succès futur.
  4. La visualisation positive : Imaginez-vous réussissant dans différentes situations. La visualisation positive peut aider à renforcer la confiance en soi en créant des schémas mentaux favorables à la réussite.
  5. S’entourer de soutien : Construisez un cercle de soutien positif. Entourez-vous de personnes qui vous encouragent et vous inspirent. Le soutien social peut jouer un rôle crucial dans le renforcement de la confiance en soi.

La confiance en soi est une composante essentielle du bien-être psychologique. Reconnaître et aborder le manque de confiance en soi demande du temps et de la persévérance, mais les résultats valent la peine. En s’engageant dans un voyage d’auto-découverte et en adoptant des stratégies pratiques, chacun peut renforcer sa confiance en soi, débloquant ainsi le potentiel pour vivre une vie plus épanouissante et pleine de succès.

Auteur

Céline Baron,

Sophrologue en cabinet en en entreprises, installée sur Vichy

Renforcer la Confiance en Soi : Un voyage intérieur vers l’épanouissement

Renforcer la Confiance en Soi : Un voyage intérieur vers l’Épanouissement

La confiance en soi, ce trésor intangible qui donne des ailes à nos actions et colore nos interactions sociales, est une qualité cruciale pour mener une vie épanouissante. Cependant, sa construction et son maintien ne sont pas des processus simples, et ils peuvent être influencés par divers facteurs tant externes qu’internes.

Comment se crée et se perd la confiance en soi :

La confiance en soi naît souvent de succès et d’expériences positives. Chaque accomplissement, petit ou grand, contribue à renforcer cette confiance. À l’inverse, les échecs, les critiques incessantes, ou les expériences traumatisantes peuvent ébranler la confiance en soi. Ainsi la façon dont nous avons été éduqué ébauche déjà notre future confiance en nous. Des parents qui critiquent beaucoup et n’accordent pas leur confiance à leur enfant sont plus susceptible d’ébranler sa confiance en lui. Des parents sachant encourager, féliciter à bon escient favorisent le terrain pour une confiance en soi future stable. Lorsque des parents ne cessent de valoriser un enfant pour peu de choses ou de flatter sans cesse son ego, ils risquent d’en faire un être avec une estime de soi très développée mais une confiance en soi friable, ce qui n’est pas positif. Pour exemple : Martin dessine et aime ça. Il a 12 ans. Il est très créatif. Mais il termine rarement ce qu’il commence. A l’école il n’accepte pas les critiques constructives de son professeur. Sa famille lui dit sans cesse qu’il est le meilleur en dessin. Donc il ne travaille pas davantage sa technique, pensant que tout le monde l’attend. Après le bac, il intègre une école artistique où il découvre, effaré, que les autres élèves produisent des dessins si précis qu’ils ressemblent à des photographies. Martin a débarqué dans cette école avec une vision biaisée de son expertise en dessin et mettre les bouchées doubles pour rattraper le niveau des autres lui parait impossible. Il perd confiance en lui et en veut à ses parents de l’avoir idolâtré pour son coup de crayon, ce qui était exagéré. Aujourd’hui il songe à abandonner ses études pour une discipline plus concrète comme la gestion ou le marketing. Sa confiance en lui en est profondément atteinte. Autre exemple : Marion a 16 ans. C’est une jolie blonde qui s’entend bien avec tout le monde. Elle n’a jamais changé d’établissement scolaire et ses amis de lycée sont ses amis d’enfance. Partout où elle va elle semble évoluer en terrain connu et favorable. Ses parents ont confiance en elle et la valorise lorsque cela s’avère nécessaire. Avec elle ils se réjouissent de ses avancées. Ses lacunes scolaires en maths par exemple, sont comblées par des cours particuliers. S’engageant dans une voie très difficile où certains de ses amis ont échoué l’année précédente, Marion, elle, est certaine de réussir, se donne les moyens et y parvient. Il va sans dire que sa confiance en elle est stable et non friable. Cela l’aide à relever bien des challenges.

Influence des relations toxiques :

Fréquenter des personnes négatives ou toxiques peut avoir un impact dévastateur sur la confiance en soi. Les jugements constants et les commentaires destructeurs peuvent semer le doute et miner l’estime de soi. Il est crucial d’identifier ces relations et de s’en éloigner pour préserver sa confiance en soi. Par exemple : dans ma famille j’ai remarqué que plusieurs personnes, depuis mon enfance, me parlaient avec beaucoup de condescendance, me considérant comme « différente » car je suis hyperactive (dans le bon sens). Je pense que mes différentes activités, que je pousse presque jusqu’au professionnalisme

Astuces extérieures pour renforcer la confiance en soi :

  1. Développer des compétences : Acquérir de nouvelles compétences renforce le sentiment de compétence et, par conséquent, la confiance en soi.
  2. Soigner son apparence : Prendre soin de son apparence physique peut influencer positivement la perception de soi. Une apparence soignée renforce la confiance.
  3. Entourer de personnes positives : Les relations positives peuvent être un puissant catalyseur pour la confiance en soi. Entourez-vous de personnes qui vous soutiennent et vous encouragent.

Démarches intérieures pour renforcer la confiance en soi :

  1. Pratiquer l’auto-compassion : Apprendre à être gentil avec soi-même, même en cas d’échec, favorise la confiance en soi.
  2. Développer la résilience : La capacité à rebondir face aux difficultés renforce la confiance en sa capacité à surmonter les obstacles.
  3. Visualisation positive : Se visualiser réussissant dans différentes situations renforce la croyance en sa propre compétence.

La confiance en soi selon Aaron T. Beck :

Dans la thérapie cognitive, Aaron T. Beck s’est intéressé aux schémas de pensée négatifs qui influent sur la confiance en soi. Il a souligné l’importance de reconnaître et de modifier ces schémas pour transformer les croyances négatives en pensées positives, contribuant ainsi à la construction de la confiance en soi.

Programme pour une femme en quête de confiance :

Imaginons une femme confrontée à un manque de confiance dans divers aspects de sa vie. Un programme intensif pourrait inclure :

  1. Évaluation initiale : Identifier les domaines spécifiques où la confiance en soi est faible.
  2. Déconstruction des croyances négatives : Travailler avec un thérapeute sophrologue pour identifier et remettre en question les pensées négatives.
  3. Développement de compétences : Encourager la femme à acquérir de nouvelles compétences pour renforcer sa confiance.
  4. Renforcement des relations positives : Encourager des relations saines qui soutiennent et renforcent la confiance en soi.
  5. Pratiques régulières de la sophrologie : Intégrer des exercices de sophrologie pour favoriser la relaxation, la conscience de soi et la gestion du stress.

Il est essentiel de souligner que le renforcement de la confiance en soi est un processus continu. Un accompagnement régulier par un thérapeute sophrologue peut aider à maintenir les progrès et à faire face aux défis qui surgissent.

En conclusion, la confiance en soi est un joyau intérieur qui peut être poli et renforcé par des actions conscientes. Que ce soit par le développement de compétences, la cultivation de relations positives ou la transformation des schémas de pensée négatifs, le chemin vers une confiance en soi robuste demande du temps et de l’engagement. La thérapie cognitive, notamment selon l’approche d’Aaron T. Beck, offre un cadre puissant pour comprendre et modifier les schémas de pensée qui sous-tendent la confiance en soi.

La confiance en soi, ce trésor intangible qui donne des ailes à nos actions et colore nos interactions sociales, est une qualité cruciale pour mener une vie épanouissante. Cependant, sa construction et son maintien ne sont pas des processus simples, et ils peuvent être influencés par divers facteurs tant externes qu’internes.

Comment se crée et se perd la confiance en soi :

La confiance en soi naît souvent de succès et d’expériences positives. Chaque accomplissement, petit ou grand, contribue à renforcer cette confiance. À l’inverse, les échecs, les critiques incessantes, ou les expériences traumatisantes peuvent ébranler la confiance en soi.

Influence des relations toxiques :

Fréquenter des personnes négatives ou toxiques peut avoir un impact dévastateur sur la confiance en soi. Les jugements constants et les commentaires destructeurs peuvent semer le doute et miner l’estime de soi. Il est crucial d’identifier ces relations et de s’en éloigner pour préserver sa confiance en soi.

Astuces extérieures pour renforcer la confiance en soi :

  1. Développer des compétences : Acquérir de nouvelles compétences renforce le sentiment de compétence et, par conséquent, la confiance en soi.
  2. Soigner son apparence : Prendre soin de son apparence physique peut influencer positivement la perception de soi. Une apparence soignée renforce la confiance.
  3. S’entourer de personnes positives : Les relations positives peuvent être un puissant catalyseur pour la confiance en soi. Entourez-vous de personnes qui vous soutiennent et vous encouragent.

Démarches intérieures pour renforcer la confiance en soi :

  1. Pratiquer l’auto-compassion : Apprendre à être gentil avec soi-même, même en cas d’échec, favorise la confiance en soi.
  2. Développer la résilience : La capacité à rebondir face aux difficultés renforce la confiance en sa capacité à surmonter les obstacles.
  3. Visualisation positive : Se visualiser réussissant dans différentes situations renforce la croyance en sa propre compétence.

La confiance en soi selon Aaron T. Beck :

Dans la thérapie cognitive, Aaron T. Beck s’est intéressé aux schémas de pensée négatifs qui influent sur la confiance en soi. Il a souligné l’importance de reconnaître et de modifier ces schémas pour transformer les croyances négatives en pensées positives, contribuant ainsi à la construction de la confiance en soi.

Programme pour une femme en quête de confiance :

Imaginons une femme confrontée à un manque de confiance dans divers aspects de sa vie. Un programme intensif pourrait inclure :

  1. Évaluation initiale : Identifier les domaines spécifiques où la confiance en soi est faible.
  2. Déconstruction des croyances négatives : Travailler avec un thérapeute sophrologue pour identifier et remettre en question les pensées négatives.
  3. Développement de compétences : Encourager la femme à acquérir de nouvelles compétences pour renforcer sa confiance.
  4. Renforcement des relations positives : Encourager des relations saines qui soutiennent et renforcent la confiance en soi.
  5. Pratiques régulières de la sophrologie : Intégrer des exercices de sophrologie pour favoriser la relaxation, la conscience de soi et la gestion du stress.

Il est essentiel de souligner que le renforcement de la confiance en soi est un processus continu. Un accompagnement régulier par un thérapeute sophrologue peut aider à maintenir les progrès et à faire face aux défis qui surgissent.

En conclusion, la confiance en soi est un joyau intérieur qui peut être poli et renforcé par des actions conscientes. Que ce soit par le développement de compétences, la cultivation de relations positives ou la transformation des schémas de pensée négatifs, le chemin vers une confiance en soi robuste demande du temps et de l’engagement. La thérapie cognitive, notamment selon l’approche d’Aaron T. Beck, offre un cadre puissant pour comprendre et modifier les schémas de pensée qui sous-tendent la confiance en soi.

Au sujet de l’auteur : Je suis Céline Baron, sophrologue, coach certifiée et auteur des livres « Voyage en Self-Love, adopter l’amour de soi pour s’accomplir au quotidien » et « Là où là-haut tu m’aimes. Sur les rêves de visitation ». A mon compte depuis 1999 dans la Communication relationnelle également, j’interviens auprès d’entreprises et d’établissements scolaires pour y enseigner la Gestion des émotions et l’intelligence émotionnelle. A la fin de mes études de sophrologie j’ai choisi de me spécialiser en Stress, Sommeil et Confiance en Soi. J’accompagne également les deuils de la vie, petits ou grands. Vous souhaitez augmenter votre confiance en vous et comprendre vos croyances erronées ? N’hésitez pas à me contacter !

La Confiance en Soi : Comment on la Gagne ? Comment on la Perd ?

La confiance en soi demeure un pilier essentiel de notre bien-être psychologique et de notre succès dans la vie en général. Elle se définit comme la croyance positive en ses propres capacités, en sa valeur personnelle et en sa compétence pour affronter les défis de la vie et du temps qui passe.

Tout au long de notre parcours, nous pouvons gagner ou perdre cette confiance précieuse, influencée par divers facteurs internes et externes.

Dans cet article, nous allons explorer comment on peut gagner et perdre la confiance en soi, ainsi que les situations-charnières qui peuvent la mettre à rude épreuve…

I. Comment on la Gagne ?

Gagner la confiance en soi est un processus graduel et continu. Voici quelques étapes clés qui permettent de renforcer cette précieuse qualité psychologique :

1. La connaissance de soi : La confiance en soi commence par une connaissance approfondie de soi-même. Il est essentiel de comprendre ses forces, ses faiblesses, ses valeurs et ses aspirations. Une auto-évaluation honnête aide à cultiver une image réaliste de soi et à identifier les domaines où l’on peut s’améliorer. Par exemple : sans être perfectionniste je sais que je me lance souvent dans des grands défis sans évaluer en détail le challenge ou le niveau d’implication qu’ils représentent. Parfois je peux relever de très grands défis comme réaliser une intervention télévisée où je parle de mon travail de thérapeute mais aussi d’artiste et sans même y être réellement préparée. D’autres fois je peux décider de tourner spontanément une vidéo pour ma chaîne de thérapeute parce que je me sens soudainement inspirée et récolter de nombreux avis positifs. Un réel échange va naître avec mes clients ou mes coachés sur le sujet. Et puis d’autres je relève un défi trop élevé qui demandait en fait un réel investissement supplémentaire de temps ou d’argent. Et là je peux me sentir en échec. Par exemple : j’ai emporté avec moi 150 livres pour un salon du livre et je n’en ai vendu que 18 parce que la promotion dudit salon n’avait pas été faite correctement. Je pourrais alors commencer à me remettre en question de façon illégitime car finalement j’ai fait ma part ! La mauvaise organisation d’un salon et le faible nombre de visiteurs ne relève pas de moi, ni de mes capacités d’auteur. Je sais cela et ça m’évite de perdre ma confiance en moi et du temps. Il s’agit aussi pour moi de savoir me dire : « Tu sais comme tu es : tu veux toujours le meilleur mais ce que tu accomplis en général est déjà bien supérieur à ce que peuvent accomplir des gens qui travaillent toute la semaine, qui en plus élèvent leurs enfants comme toi etc.Tu devrais donc t’estimer heureuse plutôt que de ruminer »…

2. Les succès et les réalisations : Les succès passés jouent un rôle fondamental dans la construction de la confiance en soi. Chaque réussite, aussi petite soit-elle, renforce la conviction en ses compétences. Célébrer ses réalisations, même modestes, permet de développer une vision positive de soi. Beaucoup de personnes sont, par exemple, emballées en voyant mes sculptures ou mes dessins, du coup je n’ai pas peur de frapper aux portes pour demander à être exposée. Cela n’était pas le cas il y a encore cinq ans.

3. Les encouragements et le soutien social : Les interactions avec les autres jouent un rôle significatif dans le renforcement de la confiance en soi. Recevoir des encouragements et du soutien de la part de proches, de mentors ou de collègues favorise un sentiment d’acceptation et de reconnaissance. C’est pourquoi on ne peut pas s’entourer de gens critiques et négatifs, de personnes toxiques comme je l’ai expliqué ici

4. L’acceptation des échecs : La confiance en soi ne signifie pas l’absence d’échecs, mais plutôt la capacité à les accepter et à en tirer des leçons. Les revers sont inévitables, mais ils ne doivent pas miner la conviction en ses compétences. Apprendre de ses erreurs et persévérer renforce la confiance en soi. En se donnant de l’air cela est possible. J’aime l’expression « faire son bonhomme de chemin » qui signifie qu’on avance à son rythme en ne se préoccupant pas du rythme des autres et surtout en évitant les comparaisons. Lorsque je me sens en échec j’aime aussi penser à mes futurs voyages et me dire : « Cela ne m’empêchera pas de partir prochainement aux USA, en Utah que j’adore, ou en Inde etc. » Pouvoir penser que je suis finalement la seule personne aux commandes de ma propre vie est bénéfique.

II. Comment on la perd ?

La confiance en soi est vulnérable et peut être altérée par diverses influences négatives. Voici quelques éléments qui peuvent contribuer à la perte de confiance en soi :

1. Les critiques constantes : Recevoir des critiques constantes sans encouragements ni reconnaissances peut miner la confiance en soi. Les paroles blessantes et dévalorisantes peuvent faire douter de ses capacités et de sa valeur personnelle. Attention, beaucoup de personnes n’emploient pas la critique directe mais insinuent le négatif. C’est aussi ravageur que la critique ouverte ! Avec le temps j’ai appris à me séparer dans la vraie vie mais aussi sur les réseaux sociaux ou professionnels des gens qui me causent une forme de ressentiment… Pour exemple un de mes amis de lycée (donc un ami de trente ans de date !) sous-entendait systématiquement que j’étais une hyper-active faisant « trop de choses ». or, c’est ma personnalité profonde d’être très active. Pendant les vacances je suis capable de ne rien faire du tout pendant 1 mois à part profiter de l’instant présent. Il avait aussi tendance à faire comme si mon mari, qu’il connaissait pourtant depuis 15 ans, n’existait pas. J’ai ressenti un calme intérieur et une paix profonde le jour où je l’ai blacklisté de mes réseaux et où j’ai aussi coupé les ponts dans la vie réelle ! Moins de stress, moins de cogitations, plus besoin de se questionner sur le sens caché de ses mots (maux…)

2. Les comparaisons sociales : Se comparer constamment aux autres peut créer un sentiment d’insécurité. Chacun a son propre chemin et ses propres compétences, et se concentrer sur les réussites des autres peut diminuer l’estime de soi. Pour exemple si vous êtes issu d’une classe sociale modeste comme moi et que vous avez travaillé durement pour obtenir ce que vous possédez et que vous vous comparez à une personne milliardaire de naissance qui n’a jamais eu besoin de travailler et qui passe ses vacances dans des lieux de rêves au bout du monde vous serez très malheureux et vous perdrez votre confiance en vous !

3. Les échecs répétés non résolus : Si les échecs s’accumulent sans résolution ou apprentissage, la confiance en soi peut s’éroder. Il est crucial de faire face à ces échecs de manière constructive pour éviter qu’ils n’affectent négativement l’estime de soi. Comme j’aime le dire il y a un temps où il faut savoir devenir son propre parent et ne plus se voiler la face sur des échecs récurrents. Par exemple, si vous avez un idéal d’homme ou de femme mais que vous finissez toujours en couple avec quelqu’un de très éloigné de vos critères parce que vous n’avez pas encore trouvé la perle rare, il faut peut-être arrêter de chercher et attendre, faire autre chose, vous former à un nouvel apprentissage, poser votre concentration sur le développement personnel ou les voyages etc. jusqu’à ce que la bonne personne se présente à vous ! Il faut en tout cas analyser cette situation qui a tendance à se répéter !

4. Le perfectionnisme excessif : Viser la perfection à tout moment peut être épuisant et contre-productif. Lorsque les objectifs sont irréalistes, les déceptions fréquentes peuvent entraver la confiance en soi.

III. Les Situations-Charnières : L’Épreuve de la Confiance en Soi

Certaines situations charnières peuvent malheureusement ébranler notre confiance en soi, même lorsque nous l’avons cultivée avec soin. En voici quelques exemples :

1. Le rejet amoureux ou amical : Être rejeté dans une relation amoureuse ou une amitié proche peut avoir un impact profond sur l’estime de soi. Le sentiment de ne pas être assez bien peut surgir, remettant en question sa confiance en soi.

2. Le licenciement ou l’échec professionnel majeur : Perdre son emploi ou subir un échec professionnel retentissant peut ébranler la confiance en ses compétences et en sa valeur sur le marché du travail.

3. Les événements traumatisants : Des événements traumatisants, comme un accident grave ou une perte importante, peuvent ébranler la confiance en soi et générer un sentiment d’impuissance.

4. Les conflits interpersonnels majeurs : Les conflits intenses avec des proches, des collègues ou des amis peuvent faire douter de ses compétences sociales et émotionnelles.

En conclusion, la confiance en soi est une qualité précieuse qui évolue au fil du temps. En se connaissant soi-même, en célébrant ses succès, en acceptant les échecs et en s’entourant d’un soutien positif, on peut la renforcer. Cependant, il est important de se méfier des influences négatives, telles que les critiques constantes et les comparaisons sociales, qui peuvent la fragiliser. Certaines situations charnières, telles que le rejet ou les échecs majeurs, peuvent également mettre à l’épreuve notre confiance en nous. En comprenant ces processus, nous pouvons mieux préserver et cultiver cette confiance essentielle pour une vie épanouissante. La sophrologie et la visualisation positive peuvent vous aider à développer votre confiance en vous !

Confiance en Soi et Amour de Soi : 3 situations « parlantes »

Que ce soit en entreprises, en structures de formation ou au cabinet, à peu près tous les clients que j’ai face à moi évoquent un problème d’anxiété lié à une Confiance en Soi et un Amour de Soi défaillant, friable ou trop peu solide.

Il existe de nombreuses techniques et méthodes pour agir sur la Confiance en Soi et l’Amour de Soi (mon livre « Voyage en Self-Love » en fait partie avec la différence qu’il met l’accent sur la concrétisation et l’expérience vécue et ne s’arrête pas à la théorie). Cependant comme je l’ai expliqué dans cet ouvrage, c’est vraiment l’expérience que nous nous accordons de vivre, le changement expérimenté, même de façon automatique, qui viennent augmenter notre Confiance en Soi.

Prenons 3 situations différentes (fictives et données pour l’exemple)

Magali, 33 ans, se prépare minutieusement avant de rencontrer sa belle-famille. Elle prépare mentalement tout ce qu’elle dira et répondra quand on lui adressera la parole car elle est régulièrement attaquée. En séance elle précise que « tout ce qu’elle dit ou fait ne leur suffit jamais ». A l’écouter, on se rend compte qu’elle est dans une forme de justification permanente de chacun de ses actes, ne se sentant pas à la hauteur de cette belle-famille vantarde… La jeune-femme souffre en réalité d’un manque de confiance en elle sur lequel joue ladite belle-famille… Les autres regonflent leur propre ego sur « le dos » de Magali et par la même occasion en profitent pour lui « refiler » les corvées ingrates, lui demander des services etc. En séances, nous travaillons sur le Libre-Arbitre et le Droit à la différence. Effectivement, Magali est une intellectuelle et ne présente absolument pas les mêmes centres d’intérêt que sa belle-famille, portée sur la « télé-réalité », les « people » et les « marques » pompeuses… Magali, à force d’affirmer et de réaffirmer son libre-arbitre et ses qualités, mais aussi de se permettre des actes qui lui font plaisir (voyages, méditation, beauté, loisirs…) finit par faire de bonnes expériences, elles les enchaine ! Lorsqu’elle revoit sa belle-famille, des étoiles plein les yeux et des projets désirables plein la tête, elle se rend compte qu’elle ne « vogue » pas dans le même monde ! A quoi bon lutter ? Elle décide de ne plus accorder d’importance à leurs dires. Désormais elle ne cherche plus du tout à « surcompenser« . Les autres tentent de l’attaquer mais sont très vite remis à leur place par son détachement total. Avec une confiance en elle solide, Magali a gagné son respect et ne s’en laisse plus conter !

Paul, 25 ans, a un ami de fac, Nathan, même âge. Ce dernier ne cesse de lui raconter ses exploits mais considère toujours les siens comme « faciles ». Il répète à Paul des « Facile pour toi, tu as été aidé… » et autres « Tu es né avec une cuillère en argent dans la bouche »… Paul estime que l’aide qu’il a obtenu il la méritait et que cela n’ôte rien à ses accomplissements. Lassé d’être considéré comme un « nepo baby » il se sent isolé, mal à l’aise face à ses amis. Nous travaillons ensemble sur la notion d’Abondance et sur la Confiance en Soi. Nous partons du principe qu’être aidé est une chance et que par conséquent il y aura toujours des « envieux ». La réussite, le bonheur sont bien de la responsabilité de chacun ! En ouvrant sa conscience, Paul dévoile sa distorsion d’infériorité. En signant chacun de ses actes sans rougir et sans s’auto-culpabiliser, il reprend son pouvoir sur ses propres pensées mais aussi sur les gens qui l’entourent. Il décide de ne plus fréquenter Nathan mais de se tourner vers des gens qui l’apprécient tel qu’il est. Il gagne, lui aussi son respect ! Il se met à nourrir le loup blanc en lui plutôt que le loup noir, autrement dit il pose son attention, sa concentration sur ceux qui l’apprécient et sur ce qui fonctionne et laisse mourir le reste. Bientôt Paul se rend compte que son cercle d’amis a changé, il est bien plus positif qu’auparavant.

Mélanie a 40 ans. Elle a un poste de Responsable. Pourtant au travail ses employés ne la respectent pas ! Lorsqu’elle donne un ordre, rien ne se passe ! Certains vont jusqu’à lui faire remarquer qu’ils sont plus diplômés qu’elle, ce qui l’atteint ! Du coup, elle n’ose plus rien exiger et se met dans une situation périlleuse. En réalité ses employés ont compris où se situait son « talon d’Achille »… Elle est une « femme de terrain » qui a commencé à travailler tôt à une époque où on avait moins besoin de diplômes pour exercer dans son domaine qu’à l’heure actuelle. Il serait vain de faire travailler Mélanie sur son expertise qui n’est plus à prouver ! Nous travaillons ensemble sur son Féminin Divin. Il s’agit pour moi de lui faire comprendre qu’elle est une femme de grande valeur dans la vie personnelle comme professionnelle. Nous travaillons avec des outils dédiés aux femmes chefs d’entreprise. Dès qu’elle commence à appliquer ces principes à sa simple vie personnelle, le reste semble couler de source. Elle propose à ses salariés une intervention sur « l’expertise terrain », menée par un tiers. Dans cette dernière l’expérience terrain est revalorisée. C’est pour elle l’occasion de parler de son parcours… Mélanie a regagné sa confiance en elle et ne rencontre plus de problème avec ses salariés.

La Confiance en Soi est un élément qui se gagne au fil du temps, du travail sur soi et des expériences que nous faisons. Les bonnes expériences la nourrissent, les mauvaises sont un marche-pied pour apprendre et se renforcer. En séance de sophrologie, nous travaillons à comprendre la confiance en soi de chacun et à situer l’attitude par laquelle vous dites aux autres que la vôtre est friable ! Analyser et apaiser font partie du changement !

« Voyage en Self-Love » : Contenu du livre

Dans cette vidéo, je vous décris le contenu de mon livre à paraître au mois de décembre 2022, « Voyage en Self-Love : Conseils et vécus de guérison intérieure ». Le livre sera vendu exclusivement par mes soins, à mon cabinet et à distance, et, pour les vichyssois, à l’imprimerie Numeli.

J’ai souhaité rédiger ce livre à la fois comme un guide avec des exercices d’application et comme un outil technique permettant de mesurer la force de son Amour de Soi et de prendre conscience de toutes les conséquences générées par un Amour de Soi faible.

S’aimer n’est pas « la voie royale » mais bien la façon la plus simple et la plus naturelle de vivre sa vie : faire avec ce que nous sommes plutôt que de chercher à modifier notre être par des outils extérieurs est générateur d’Harmonie intérieure et de Congruence. Qui n’en voudrait pas à l’heure actuelle ?

Pour en savoir plus, visionnez la vidéo ci-dessous :

Cette vidéo traite de : #amour de soi #estimedesoi #confianceensoi #reassurance #confiance #voyages #temoignages #vecus #guerisoninterieure #livre #parution #developpementpersonnel

N’hésitez pas à pré-commander votre livre en adressant votre règlement de 23 EUR (frais de port inclus) au cabinet ; Cabinet de Sophrologie 48 rue de Cronstadt 03200 Vichy

Comment être bien dans sa peau en 2021 ?

C’est le retour des vidéos spontanées prises sur le vif. Chaque semaine je vous livre des réflexions aidantes sur un sujet qui vous tient à coeur (n’hésitez pas à utiliser la rubrique Contact pour me donner des idées ! Rien n’est meilleur que le partage !).

Aujourd’hui abordons le sujet du physique, des petits et des grands complexes ainsi que des distorsions qu’on pose parfois sur soi-même (regard biaisé, peu objectif, peu positif sur soi)

Bon visionnage !