Ne plus se laisser faire : le vrai réveil des femmes sensibles !

Il y a des femmes qui donnent tout. Elles écoutent, comprennent, s’adaptent, apaisent. Encore et encore. Elles portent le monde sur leurs épaules — le couple, la famille, les collègues, les amis, les ennemis (sans même s’en rendre compte…) — sans jamais oser dire que, parfois, elles sont fatiguées. Elles ont le cœur grand ouvert, mais elles le paient cher. On les interrompt, on leur parle mal, on profite de leur douceur, on dépasse leurs limites. Et elles, souvent, se taisent. Par peur du conflit. Par peur de décevoir. Par peur d’être “trop”. Et par peur de ne pas être « complète » sans ce sacrifice de soi absolu…

À mon cabinet, je constate souvent ce même scénario débridé, décliné en mille nuances : des femmes brillantes, aimantes, sensibles… mais qui ne se sentent nullement respectées. Elles m’expliquent qu’elles font tout pour les autres, qu’elles ne veulent pas passer pour égoïstes, qu’elles savent qu’elles devraient dire non mais qu’elles n’y arrivent pas. Derrière ces mots, il y a toujours la même blessure : celle de ne pas oser exister pleinement. Le souci de ne pas s’opposer. On leur a inculqué qu’elles n’étaient pas faites pour briller ni pour être satisfaites en totalité et, même si leurs parents ont disparu, elles perpétuent une forme de loyauté familiale à travers ce manège dévalorisant.

Être gentille, ce n’est pas le problème. C’est même une qualité précieuse. Mais quand la gentillesse devient une stratégie de survie, quand elle cache la peur du rejet ou du conflit, alors elle finit par faire souffrir. La vraie bonté ne consiste pas à tout accepter, mais à savoir dire “non” sans culpabilité. Le respect de soi n’enlève rien à la douceur, il la rend plus juste.

Je vois trop souvent des femmes qui se jugent “faibles” ou “trop sensibles”, alors qu’en réalité elles ont simplement développé une grande empathie. Elles sentent tout, devinent tout, anticipent tout. Mais cette empathie, si elle n’est pas accompagnée de limites, devient un piège : elle les vide de leur énergie essentielle !

Ce comportement ne vient pas de nulle part. Souvent, il s’est construit très tôt, dans l’enfance. On a appris à plaire, à être sage, à éviter les disputes, à ne pas faire de vagues. Et adulte, on continue à s’effacer pour maintenir la paix. Ce mode de fonctionnement devient automatique : on se tait, on s’adapte, on encaisse. Psychologiquement, cela s’appelle le manque d’affirmation de soi. C’est la difficulté à dire ce qu’on pense, ce qu’on veut, ce qu’on ressent.

Les conséquences sont nombreuses : relations déséquilibrées, sentiment d’être invisible, épuisement émotionnel, perte d’estime de soi. On vit avec une tension intérieure constante : vouloir plaire tout en rêvant d’être soi. Certaines finissent par exploser, d’autres par s’éteindre.

Mais quand une femme commence à s’affirmer, tout change. Au début, il y a la peur : “Si je dis non, on ne m’aimera plus.” Puis vient la surprise : “En fait, on me respecte davantage.” Et enfin, la libération : “Je me sens enfin moi.”

À mon cabinet, j’observe des transformations chaque semaine. Des femmes qui reprennent le contrôle de leur vie simplement parce qu’elles apprennent à se choisir. Elles cessent de demander la permission d’exister. Elles osent poser leurs limites, sans agressivité, mais avec calme et assurance. Et paradoxalement, leurs relations s’améliorent. On ne respecte jamais autant une personne que lorsqu’elle se respecte elle-même.

Apprendre à dire non, ce n’est pas blesser l’autre. C’est honorer sa propre vérité. C’est refuser ce qui épuise, pour mieux accueillir ce qui nourrit. Quand on se laisse tout faire, on s’efface peu à peu. Quand on commence à se respecter, on retrouve son énergie, sa clarté, sa joie de vivre. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de la santé psychologique.

Arrive un moment où la douleur de se nier devient plus forte que la peur de changer. C’est le moment du sursaut. Celui où l’on se dit : “Je ne veux plus subir. Je veux vivre. Pour de vrai.” C’est souvent à ce moment-là que les femmes viennent me voir. Elles ne veulent plus “juste aller mieux”. Elles veulent se transformer.

C’est précisément pour elles que j’ai créé le programme “Ne vous laissez plus faire !”, un accompagnement en profondeur que je propose à mon cabinet de sophrologie à Vichy. Ce programme est né d’une constatation : certaines femmes ont besoin d’un espace où elles peuvent enfin désapprendre la soumission, déconstruire leurs automatismes, retrouver leur voix intérieure. Pendant dix séances individuelles d’une heure trente, nous travaillons à trois niveaux : le mental, pour identifier les croyances qui maintiennent la peur de déplaire ; l’émotionnel, pour libérer la colère, la culpabilité et la honte d’avoir trop donné ; et le corps, pour se reconnecter à ses sensations, à son souffle et à sa puissance tranquille.

Ce parcours n’est pas confortable au sens où il bouscule. Mais il se fait sans violence, dans la bienveillance et la clarté. Il vous amène à vous regarder en face, à vous repositionner, à choisir enfin vous-même. Et quand cela arrive, tout change. Les femmes que j’accompagne me disent souvent : “Je ne pensais pas que j’avais ce courage en moi.”, “Je suis plus calme, mais plus ferme.”, “Je me sens libre.”

Ne plus se laisser faire, c’est une révolution intérieure. Pas spectaculaire, mais profonde. C’est le moment où l’on arrête d’attendre que les autres nous comprennent, parce qu’on se comprend enfin soi-même. Si ces mots résonnent, c’est que quelque chose en vous est prêt à changer. Vous savez déjà, au fond, que vous ne voulez plus de demi-mesure, plus de compromis qui vous abîment.

Alors si vous sentez cet élan, ce besoin de reprendre votre place, je vous invite à découvrir le programme que j’ai conçu pour vous : Ne vous laissez plus faire !

Pourquoi certains disent qu’il n’est pas bon de gérer ses pensées : authenticité ou peur du changement ?

La gestion de nos pensées est un sujet qui divise. Certains affirment qu’essayer de contrôler ou de gérer ce qui traverse notre esprit peut nuire à notre authenticité, nous empêchant d’être « nous-mêmes ». Mais cette vision soulève une question fondamentale : que signifie être authentique ? Est-ce se laisser emporter par toutes ses émotions et pensées, même si elles nous bloquent ou nous freinent ?

Dans à peu près toutes les entreprises où je suis intervenue comme Consultante-formatrice, qu’il s’agisse de stages de Communication, d’initiation à la Négociation, de Gestion de la Transition, j’ai toujours croisé quelques détracteurs de la Gestion des émotions… La dernière en date, une femme d’une soixantaine d’années qui me dit : « Mais enfin ! Il faut arrêter avec ça ! Il n’est pas possible de gérer les émotions puisque ce sont des messages !  » Au moins avec elle, le souci était réglé !

Bien entendu nous sommes, et en permanence, contraints de gérer nos émotions. Sinon nous laisserions venir les réponses : de l’agacement, des réflexions à voix haute etc. et chacun perdrait de son humanité, cette capacité contrairement aux animaux à réfléchir et à raisonner calmement face à l’urgence d’une situation !

En réalité, ceux qui savent gérer leurs pensées avec bienveillance réussissent souvent bien mieux leur vie sur le long terme. Pourquoi ? Parce qu’ils ne dramatisent pas chaque événement et utilisent leur énergie pour avancer plutôt que pour alimenter des scénarios négatifs.

Dans cet article, nous allons explorer pourquoi la gestion des pensées est essentielle pour un équilibre intérieur et une vie épanouie, tout en partageant trois astuces de sophrologie qui peuvent vous aider à cultiver cet art de vivre au quotidien.


L’illusion de l’authenticité : tous pareils ou tous uniques ?

Certaines critiques de la gestion des pensées affirment que cela nous rend artificiels, ou pire, tous semblables. Pourtant, cette peur repose souvent sur une projection : les personnes qui critiquent en permanence les techniques comme la sophrologie expriment souvent leur propre insécurité ou leur crainte de voir la vie autrement.

En vérité, apprendre à mieux gérer ses pensées ne signifie pas les étouffer ou se forcer à être toujours positif. Cela consiste à :

  • Prendre du recul sur ce qui nous traverse,
  • Comprendre pourquoi certaines pensées apparaissent,
  • Choisir les réponses les plus alignées avec nos valeurs et nos objectifs.

L’authenticité, loin de résider dans une explosion incontrôlée de nos émotions, se trouve dans la capacité à vivre en cohérence avec nous-mêmes, tout en respectant nos besoins et ceux des autres.


La clé du succès : gérer ses pensées sans dramatiser

Les pensées négatives ou les ruminations sont normales, mais elles ne doivent pas définir votre quotidien. En apprenant à ne pas dramatiser, vous libérez votre esprit pour envisager des solutions et avancer.

Prenons un exemple simple : face à un obstacle professionnel ou personnel, deux réactions sont possibles :

  1. Ruminer sur ce qui aurait dû se passer différemment, blâmer les circonstances ou soi-même.
  2. Observer la situation, accueillir les émotions associées et réfléchir aux actions possibles.

Ceux qui optent pour la deuxième option cultivent une résilience et un état d’esprit constructif qui favorisent le succès à long terme.


3 astuces de sophrologie pour gérer vos pensées efficacement

La sophrologie, en tant qu’alliance de techniques de respiration, de relaxation et de visualisation, est un outil précieux pour apprendre à gérer ses pensées sans les fuir ni les amplifier. Voici trois exercices simples pour débuter :

1. Respiration contrôlée : calmer l’agitation mentale

  • Exercice : Installez-vous confortablement, inspirez profondément par le nez en comptant jusqu’à 4, retenez votre souffle pendant 2 secondes, puis expirez lentement par la bouche sur 6 temps.
  • Effet : Cette technique apaise le système nerveux et aide à ralentir le flot incessant des pensées.

2. La visualisation positive : cultiver une perspective constructive

  • Exercice : Fermez les yeux et imaginez une situation qui vous inquiète. Visualisez-vous en train de la surmonter avec succès, ressentant calme et satisfaction.
  • Effet : Ce processus entraîne votre cerveau à se concentrer sur des solutions plutôt que sur des problèmes.

3. La relaxation corporelle : libérer les tensions pour apaiser l’esprit

  • Exercice : Pratiquez un scan corporel, en portant votre attention sur chaque partie de votre corps, des pieds à la tête, pour relâcher progressivement toutes les tensions.
  • Effet : En relâchant votre corps, vous apaisez également votre esprit, favorisant un état d’équilibre et de clarté mentale.

Les critiques : peur ou manque de compréhension ?

Certaines personnes critiquent systématiquement les approches comme la sophrologie, affirmant qu’elles sont inutiles ou trop simplistes. Ces réactions sont souvent le reflet de leur propre peur du changement ou de leur résistance à adopter une perspective plus positive.

Plutôt que de s’ouvrir à des outils éprouvés, ces individus préfèrent rester dans une zone de confort inconfortable, où leurs pensées négatives valident leur vision du monde. Pourtant, la sophrologie ne cherche pas à nier la réalité, mais à offrir des moyens concrets pour mieux la vivre.


Sophrologie sur Vichy et dans l’Allier : un art de vivre à découvrir

Si vous êtes dans la région de Vichy ou de l’Allier, vous avez la chance de pouvoir découvrir la sophrologie dans un cadre propice à la détente et au recentrage. Entre les thermes réputés de Vichy et la sérénité des paysages de l’Allier, vous trouverez des lieux idéaux pour vous initier à cette discipline.

En conclusion, savoir gérer ses pensées est une compétence essentielle pour vivre une vie équilibrée et réussie. Plutôt que de voir cela comme un obstacle à l’authenticité, envisagez-le comme un moyen d’être pleinement vous-même, en alignement avec vos aspirations et votre bien-être.

Et vous, êtes-vous prêt à transformer vos pensées en alliées plutôt qu’en obstacles ?

Oui, les réseaux sociaux vous gâchent vraiment la vie : Libérez-vous avec la sophrologie et le coaching

Les réseaux sociaux sont devenus omniprésents, transformant notre façon de communiquer et de partager. Ils peuvent enrichir nos vies, certes, mais à quel prix ? Passer des heures à scroller ou à se comparer à des profils idéalisés épuise, sape la confiance en soi et peut même générer un véritable mal-être. Pourtant, il existe tant d’autres moyens plus constructifs de se cultiver et d’évoluer personnellement !

A mon cabinet je rencontre de plus en plus de jeunes gens (et de moins jeunes) qui ont fait de la publication sur les réseaux un véritable mode de vie. Ce que cela m’inspire ? Beaucoup ne peuvent vivre sans une forme de « validation » de leur vie et de leurs actes ! Nous sommes dans un pays où le libre-arbitre compte… Pourtant, beaucoup se l’ôtent eux-mêmes ! C’est une véritable contradiction !

Au lieu de laisser les réseaux sociaux grignoter votre énergie, pourquoi ne pas explorer la sophrologie et le coaching ? Ces approches permettent de déployer sa conscience et de découvrir ses propres ressources intérieures, sans pression extérieure. Contrairement au flot continu de contenus virtuels, la sophrologie aide à se recentrer et à retrouver une harmonie intérieure. Grâce à des techniques de relaxation dynamique et de visualisation positive, la sophrologie nous invite à lâcher prise et à renforcer la confiance en soi.

Le coaching, quant à lui, vous aide à définir vos objectifs personnels, à mettre en avant vos forces et à avancer de façon authentique et alignée. Là où les réseaux sociaux tendent à nous enfermer dans la comparaison et l’illusion, le coaching nous connecte à nos valeurs profondes, nous poussant à réaliser nos aspirations.

Alors oui, il est possible de partager et de rester connecté sans se laisser envahir. Mais si l’utilisation des réseaux vous fait souffrir, vous détourne de vous-même et de vos vraies envies, il est peut-être temps de faire le choix de la sérénité. Libérez-vous des attentes virtuelles et redécouvrez vos véritables pouvoirs avec la sophrologie et le coaching.

Voici une liste de pratiques et de passions qui font réellement grandir l’esprit et nourrissent notre épanouissement personnel :

1. La lecture enrichissante

Plonger dans des romans, des essais, ou des livres de développement personnel élargit la pensée, stimule l’imagination et ouvre l’esprit aux différentes perspectives.

2. L’apprentissage d’une nouvelle langue

Apprendre une langue étrangère n’est pas seulement un défi intellectuel ; cela nous expose à une nouvelle culture, et améliore la concentration et la mémoire.

3. La méditation et la pleine conscience

Pratiquer la méditation, la pleine conscience ou encore la sophrologie permet de développer la conscience de soi, de gérer le stress et d’améliorer la qualité de présence au quotidien.

4. Les voyages

Découvrir de nouveaux horizons, rencontrer des gens de cultures différentes, cela ouvre l’esprit et permet de voir le monde sous un autre angle, en nourrissant la curiosité et l’adaptabilité.

5. La pratique d’un art

Que ce soit la peinture, l’écriture, la danse ou la musique, l’expression artistique développe la créativité, libère les émotions et encourage une introspection profonde.

6. Le coaching personnel

S’engager dans une démarche de coaching, c’est apprendre à mieux se connaître, à définir ses objectifs et à progresser vers ses rêves avec confiance et clarté.

7. Les débats et échanges intellectuels

Participer à des discussions enrichissantes, confronter ses idées et apprendre à écouter les autres sont des exercices précieux pour élargir ses horizons.

8. La pratique de la gratitude

En cultivant la gratitude au quotidien, on développe une vision plus positive de la vie, ce qui améliore le bien-être émotionnel et renforce la résilience.

9. Les ateliers et formations

Participer à des ateliers de développement personnel ou de compétences pratiques (comme la sophrologie, le yoga, la cuisine, etc.) est une excellente manière de progresser et de rencontrer des personnes partageant les mêmes intérêts.

10. La découverte de la nature

Passer du temps dans la nature, que ce soit par la randonnée, le jardinage ou simplement une balade, apaise l’esprit, réduit le stress et nous reconnecte aux choses essentielles.

11. L’écriture d’un journal personnel

Écrire un journal permet de faire le point sur ses émotions, de prendre du recul sur sa vie et de clarifier ses pensées.

12. Le bénévolat et l’entraide

Aider les autres, participer à des actions de bénévolat ou simplement tendre la main renforce le sentiment d’accomplissement et développe la générosité, la compassion et l’humilité.

13. Apprendre de nouvelles compétences manuelles

Que ce soit la cuisine, le bricolage, la couture ou le jardinage, développer des compétences pratiques renforce l’autonomie, l’assurance et le sentiment de satisfaction.

14. Prendre soin de son corps

Le sport, le yoga, les arts martiaux ou la danse ne renforcent pas seulement le corps, mais aussi l’esprit en cultivant la persévérance, la discipline et l’écoute de soi.

15. L’introspection et la visualisation positive

Grâce à la sophrologie et d’autres techniques de relaxation, l’introspection aide à mieux se connaître et à se projeter positivement dans l’avenir.

En cultivant ces activités, on crée une vie riche et épanouie, bien loin des distractions et comparaisons stériles des réseaux sociaux

La Voie de la Quiétude Mentale : Comment Gérer Pensées et Émotions pour Améliorer le Sommeil

Le sommeil joue un rôle essentiel dans notre bien-être physique et mental. Cependant, de nos jours, le rythme effréné de la vie moderne et les multiples sources de stress peuvent entraver la qualité de notre sommeil. Vous êtes nombreux à venir au cabinet pour cette raison. Les problèmes de sommeil constituent 15% des consultations. Bien souvent, nos pensées tourbillonnantes et nos émotions tumultueuses sont les principaux coupables. Dans cet article, nous allons explorer ensemble comment la gestion consciente des pensées et des émotions peut grandement améliorer la qualité de notre sommeil. Nous discuterons d’astuces et d’exercices de thérapie cognitive pour vous aider à trouver la quiétude mentale nécessaire à un sommeil réparateur.

1. Comprendre l’Impact des Pensées et des Émotions sur le Sommeil

Le lien entre l’esprit et le corps est indéniable, et cela se reflète dans la qualité de notre sommeil. Les pensées ruminantes et les émotions négatives peuvent déclencher des réponses physiologiques de stress, perturbant ainsi le sommeil. Les soucis incessants, les regrets et les inquiétudes peuvent mener à l’insomnie, tandis que les émotions non résolues peuvent créer une tension intérieure qui nuit à la détente nécessaire pour s’endormir. Il y a un point qui est souvent peu abordé car il semble ne pas relever des soucis de sommeil et pourtant… Il s’agit du « trop-plein » de rêves. Certains clients expérimentent des nuits très remplies avec des rêves qui semblent réels ou au contraire qui sont légers mais très invasifs et nombreux. La sensation est alors celle de se réveiller déjà épuisé car nous avons l’impression d’avoir accompli mille taches dans notre nuit. L’excès de rêves peut être très frustrant car même en dormant on semble en activité. Les rêves les plus vivides et les plus mémorables surviennent généralement pendant la phase de sommeil paradoxal (REM), qui est caractérisée par une activité cérébrale intense. Si quelqu’un passe une période disproportionnée en sommeil REM (peut-être en raison d’un trouble du sommeil), il pourrait éprouver davantage de rêves. Une cliente explique : « Mes nuits sont éprouvantes. Certes je dors mais avec le sentiment d’avoir eu mille vies en une seule nuit. De plus je me souviens de tout ce qu’il se passe dans mes rêves : les situations, les histoires, les gens, les lieux… et cela me pose questions le lendemain. Donc c’est ma matinée qui est imprégnée de ces situations étranges ! Quelle galère ! »

2. Pratiquer la Pleine Conscience

La pleine conscience est une pratique puissante pour gérer les pensées et les émotions. Elle consiste à porter une attention consciente à l’instant présent, sans jugement. Avant de vous coucher, trouvez un endroit calme et pratiquez quelques minutes de méditation de pleine conscience. Observez vos pensées sans vous y accrocher, et ramenez doucement votre attention à votre respiration. Cela peut vous aider à apaiser l’agitation mentale et à créer un état de relaxation propice au sommeil.

3. Journal de Gratitudes et de Réflexions

Tenir un journal de gratitudes et de réflexions peut être un moyen efficace de décharger vos pensées et vos émotions avant de vous coucher. Écrivez trois choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant dans la journée et notez également vos préoccupations ou vos inquiétudes. Cela peut vous aider à libérer vos pensées, à mettre en perspective vos soucis et à favoriser un sentiment de clôture mentale avant d’aller au lit. Si vous éclairez votre inconscient sur les émotions de la journée, vous faites une partie du travail.

4. La Technique de la Boîte à Soucis

Imaginez une boîte devant vous. Visualisez-vous en train de mettre mentalement vos pensées et émotions perturbantes dans cette boîte. Ensuite, imaginez-vous en train de fermer doucement la boîte et de la pousser loin de vous. Cette technique symbolique peut vous aider à détacher vos pensées et émotions de vous-même, facilitant ainsi votre capacité à vous détendre et à vous endormir.

5. Exercices de Relaxation Progressifs

Avant de vous coucher, pratiquez des exercices de relaxation progressifs. Allongez-vous confortablement et détendez chaque partie de votre corps, en commençant par les pieds et en remontant jusqu’à la tête. Cela peut non seulement relâcher la tension physique, mais aussi apaiser votre esprit et vous préparer mentalement au sommeil.

6. L’Apaisement par la Sophrologie

La sophrologie, une pratique psychocorporelle qui combine des techniques de relaxation, de respiration et de visualisation, peut également être un outil précieux pour gérer les pensées et les émotions en vue d’améliorer le sommeil. Cette approche holistique permet de créer un équilibre entre le corps et l’esprit, favorisant ainsi un état de détente propice au sommeil.

  • Exercice de Relaxation Corporelle : Avant de vous coucher, trouvez un endroit calme et confortable. Fermez les yeux et concentrez-vous sur votre respiration. À chaque inspiration, imaginez une sensation de calme et de relaxation qui se propage dans tout votre corps. À chaque expiration, libérez les tensions et les soucis. En vous concentrant sur les sensations positives, vous créez un état de relaxation profonde qui peut favoriser un sommeil paisible.
  • Visualisation Positive : Avant de vous endormir, pratiquez une visualisation guidée. Imaginez-vous dans un lieu paisible, comme une plage déserte ou une forêt tranquille. Utilisez tous vos sens pour créer une expérience immersive. Respirez profondément et imaginez que chaque respiration apporte la paix et la sérénité. Cette technique de visualisation peut détacher votre esprit des préoccupations de la journée, créant ainsi un espace propice au sommeil réparateur.
  • Exercices de Respiration : Les exercices de respiration sont au cœur de la sophrologie. Pratiquez la respiration abdominale en inspirant profondément par le nez, en laissant votre abdomen se gonfler, puis expirez lentement par la bouche. Cette technique de respiration régulée peut calmer le système nerveux, réduire l’anxiété et préparer votre esprit au sommeil.

Conclusion

La sophrologie, entre autre, offre une approche complémentaire et holistique pour gérer les pensées et les émotions en vue d’améliorer le sommeil. En utilisant des techniques de relaxation, de respiration et de visualisation, vous pouvez créer un état de calme intérieur qui favorise un sommeil de meilleure qualité. En intégrant les principes de la sophrologie à votre routine nocturne, vous pourrez développer une plus grande maîtrise de votre esprit et de vos émotions, tout en ouvrant la voie à des nuits bien meilleures et une meilleure compréhension de vos fonctionnements internes.

Pour toute demande d’information sur la sophrologie et le sommeil, n’hésitez pas à me contacter.

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L’importance d’analyser ses émotions

Quels messages pour quelles émotions ?

Je reprends cette semaine la série d’articles sur les émotions et leur analyse. Les visites sur la partie Blog sont en constante augmentation, je vous remercie donc pour votre fidélité.

Les émotions qui nous bloquent

Si nous sommes suffisamment en contact avec les autres et n’hésitons pas à faire des expériences dans des domaines variés (emploi, amitié, couple, apprentissages etc.) les émotions se succèdent au fil de la journée. Toutes ne sont pas « dignes » d’être analysées.

Pourtant les émotions qui nous « bloquent » ou nous mettent dans un état de mal-être sont toujours celles qui gagneraient à être analysées.

Ne pas laisser une émotion « vague » sans explications

Trop souvent les clients disent « ressentir » de la confusion ou un vague mal-être suite à un événement sans pouvoir définir exactement de quoi il s’agit. Ils offrent donc à ce mal vague une réponse vague et tout aussi imprécise. Il suffirait de se poser quelques minutes, de respirer, de pratiquer un exercice « coupe-pensées » pour revenir à l’émotion ressentie et pouvoir analyser le message qu’elle comporte. Apprendre de notre émotion, voici bien le but de la démarche ! Nous pouvons choisir de nous laisser démonter ou dépasser par certaines situations mais nous pouvons aussi choisir d’en tirer un profit sur le long terme. Posséder un cahier des émotions vives pourra, par exemple, nous permettre de cibler une récurrence et certains déclencheurs émotionnels.

Les émotions principales et leur message général

La Joie

Que nous soyons entourés lors d’un moment de joie ou au contraire tout seul, l’émotion Joie vient toujours nous récompenser pour quelque chose. Exemple : un étudiant en joie lorsqu’il apprend qu’il a réussi son examen. La liesse suite à un match remporté etc. Ou encore la joie momentanée de sortir d’une période compliquée et de pouvoir continuer sa route ensuite, même si elle peut s’avérer complexe. La joie peut être éphémère mais elle marque toujours une étape dans notre avancement personnel.

La tristesse

La question à se poser est de qui ou de quoi ai-je été coupé ? Quel est le lien qu’on m’a ôté ?

La peur

Face à une peur je peux me poser la question de savoir en quoi je me sens limité pour affronter un événement qui se profile à l’horizon ? Je dois savoir si mon intuition parle à ma place (ex: un homme qui ne m’inspire pas confiance, qui a une mauvaise énergie) ou si je sais pertinemment que je ne suis pas prêt (ex: je n’ai pas assez révisé un examen donc j’ai peur). Mais je peux aussi creuser davantage et voir si la peur que je ressens n’est pas celle de perdre mon temps tout simplement. Ex: On me propose une formation de 3 ans qui ne me permettra pas par la suite de travailler à temps plein, ni même à mi-temps. J’ai « peur » que le jeu n’en vaille pas la chandelle.

La colère

Posez vous la question suivante : en quoi ai-je été empêchée ? Si je suis en colère parce qu’un membre de ma famille ne m’a pas averti d’une sortie ou d’un événement intéressant auquel j’aurais pu me rendre alors j’ai été empêché dans ma capacité à prendre une décision ou à m’enrichir personnellement.

Capacité à démontrer l’émotion ou pas

Ces principales émotions vont parfois donner lieu à des expressions faciales et corporelles. Par contre des personnes présentant un TSA ou présentant un désintérêt général pour de nombreuses situations de la vie peuvent avoir l’émotion mais ne pas présenter d’expressions faciales, corporelles. Souvenons-nous que nous ne sommes pas égaux face à la démonstration émotionnelle. Ex: une personne peut se taire à l’annonce d’un décès, ne pas « démontrer » de chagrin et souffrir en silence.

Deux autres émotions plus personnelles

A ces émotions principales s’ajoutent deux émotions plus personnelles : le dégoût et la surprise. Nous n’avons pas du tout la même capacité les uns les autres à se laisser surprendre ou à afficher du dégoût pour un élément précis. Le dégoût nous renvoie à une image négative, la surprise à la mouvance permanente de la vie qui revient à nous dire : « Nous ne nous attendions pas à cela ! ».

Emotions connexes

D’autres sentiments assimilables à des émotions peuvent nous assaillir tout au long de la journée en fonction du niveau de : notre confiance en soi, notre estime de soi, notre capacité à prendre sur nous les problèmes de l’autre, notre sens du devoir etc. Ces émotions connexes qui dépendent de facteurs très personnels et de normes intimes sont la gêne, la honte, la culpabilité, la fierté, la confiance, l’envie, l’anticipation, l’intérêt ou le mépris.

Ces émotions connexes sont intéressantes à étudier en séance de sophrologie ou de psychopratique. Par exemple si j’apprends à gérer le regard des autres alors des émotions comme la gêne ou la honte peuvent disparaître de ma vie !

En comprenant que j’ai une loyauté trop poussée envers autrui je peux modérer chez moi l’émotion Culpabilité. Je peux apprendre à développer un mépris pour certaines choses que je n’estime plus du tout comme importantes dans ma vie (ex: les histoires négatives des autres, le pessimisme etc.)

Vous voulez en savoir davantage sur le travail des émotions ? N’hésitez pas à consulter mon offre de services : sophrologie, psychopratique, coaching…

Est-ce de la stagnation, de la peur ou de la procrastination ?

Contraintes supplémentaires et stagnation nouvelle

L’époque actuelle paraît au premier abord compliquée à vivre. Depuis l’apparition de la pandémie de Covid, il devient plus difficile de faire des projets. Cela peut être une raison ou une excuse de faire ou de ne pas faire… Pour certains, la pandémie a été le déclencheur d’une forme de stagnation personnelle. Pour d’autre, peu décidés à s’adapter aux nouvelles contraintes, cette stagnation s’est avérée davantage professionnelle. Pour d’autres encore, au contraire, l’occasion de braver les interdits moraux et de se lancer dans une « fuite en avant » (avec voyages et contacts à outrance, bien plus qu’en temps normal !). Ici l’idée est plutôt de « profiter tant qu’on le peut ».

Mais dans la majeure partie des cas, la plupart des clients que je rencontre en cabinet m’expliquent tout simplement ne plus « arriver à passer à l’action » ou expérimenter une forme de « désespoir tranquille », un état auquel il est compliqué de mettre fin.

Stagnation voulue ou subie ?

Le changement, c’est pour quand ? Vous n’avez plus envie de vous investir dans un projet professionnel ou personnel ? Ce qui auparavant semblait revêtir pour vous une importance capitale vous paraît aujourd’hui inutile ? Vous avancez dans une optique de « peine perdue » ?

Alors comment faire la part des choses entre stagnation voulue ou subie, émotions de peur, usage de procédés de procrastination, stratégies d’évitement ?

Au cabinet je n’omets jamais de travailler en premier lieu sur les comportements cognitifs du client, sur ses habiletés sociales (et notamment sa capacité à mettre en marche les rouages d’une communication lors d’une demande précise à autrui) et sur les émotions. Conjointement l’histoire de ce qui amène à consulter est racontée car on estime que la solution est aussi dans le récit. L’écoute active est donc de mise.

Conséquences des émotions subies

Les émotions qu’on porte en nous aboutissent à différentes conséquences. Celles-ci sont personnelles et variées. Le simple fait de beaucoup parler plutôt que de passer à l’action face à une priorité est l’aboutissement d’une réaction de peur.

Le client peut assurer qu’il n’a pas peur d’un éventuel échec (ou même d’un éventuel succès) après le passage à l’action et pourtant avoir un frein cognitif profondément ancré en lui.

C’est en reconnaissant les émotions de chacun et en les analysant de façon didactique qu’on peut savoir dans quel état nous nous trouvons. Évoquer un manque de temps peut simplement être une résistance à la solution offerte.

En sophrologie, il est important, lors d’un travail qui dépasse de loin la relaxation et qui s’attache à résoudre un problème, de distinguer les conséquences d’une émotion. Quelles émotions et quelles distorsions animent le client (ex: paralysé par une peur ancrée / nourri par une distorsion de Sacrifice de soi) ? Comment en venir à bout ? Quelles méthodes proposer ?

Lorsque les tensions physiques et mentales s’estompent et sont « coupées » par des exercices dédiés, il devient plus aisé de voir le problème en face et d’y trouver des solutions rationnelles.

Manque de confiance en soi et stagnation

Stagner personnellement et professionnellement est souvent la réaction d’une peur de l’échec qui nous souffle « A quoi bon mettre en oeuvre un grand changement si l’échec est possible ? ». Mais parfois nous nous sentons également incapables de débuter un travail s’il est d’ampleur… Par où commencer ? Suis-je capable d’assumer de tels changements et une réorganisation de ma vie ? Il est douloureux d’abandonner des process inefficaces mais pourtant connus… Il y a là une question de Confiance en soi.

La peur qui entretient la stagnation est la résultante du manque de confiance en soi.

Stratégies d’évitement nocives

La procrastination est une stratégie d’évitement du passage à l’action qui renvoie à l’émotion peur d’échouer.

Se lancer sans se poser trop de questions, avec des objectifs réduits, permettra au client de multiplier les expériences de réussites qui existent en toute situation. Ne pas passer à l’action c’est s’empêcher de vivre des expériences correctives, celles qui favorisent l’apparition d’une brèche dans nos croyances les plus ancrées, les plus profondes.

Vous aimeriez mieux décrypter vos comportements et le pourquoi de certaines de vos actions ou de vos stagnations ? N’hésitez pas à visiter la page dédiée au Coaching en Suppression des Croyances limitantes. La communication relationnelle permet également de débloquer bien des situations.

3 exercices faciles pour gérer la colère et l’énervement

La journée peut avoir très bien commencé et pourtant parfois le stress monte… Il se peut alors qu’une situation qu’on supporte d’habitude prenne des « proportions » inavouables… Dès que vous vous trouvez face à l’émotion Colère il faut analyser ce qu’il se passe… En quoi vous sentez-vous empêché ou limité ? Qui vient contrecarrer vos projets, vos ambitions ou limiter vos responsabilités ou votre envie de contact, de découverte, d’apaisement ?

Voici une vidéo pour mieux comprendre comment nait l’émotion Colère et comment faire le vide en soi pour traiter le message avec un esprit apaisé et ne pas réagir « à chaud ».

Apprendre à gérer ses émotions

Pour apprendre à gérer ses émotions, il faut déjà comprendre la base. Quelles sont les principales émotions que nous pouvons ressentir. La joie, la tristesse, la peur etc. Entre Joie et Tristesse, entre Confiance et baisse de la vigilance et Peur existent de nombreuses nuances. Comment gérer chacune d’elles sans éliminer leur fonction : le message précieux qu’elles nous transmettent ?

La sophrologie peut vous apprendre à mieux gérer vos émotions et à mieux comprendre vos rires nerveux par exemple ou encore vos larmes si elles s’avèrent trop fréquentes et handicapantes dans certains contextes.