Ceux qui s’en sortent le mieux dans la vie moderne ont cette qualité insoupçonnée

Vous avez sûrement remarqué ces personnes qui semblent avancer sans effort apparent dans un monde où tout va trop vite et où le stress est omniprésent… Elles réussissent non seulement professionnellement, mais elles cultivent aussi un bien-être intérieur que beaucoup envient… Qu’est-ce qui les distingue vraiment des autres ? Ce n’est ni leur intelligence brute, ni leur chance, ni même leurs diplômes.

Ce qui fait la différence, ce sont des habitudes et des attitudes souvent invisibles : écouter les autres, prendre des décisions réfléchies, agir avec constance, et surtout, créer un lien profond avec le monde qui les entoure. Psychologues et experts en développement personnel s’accordent à dire que ces qualités permettent de traverser les difficultés avec résilience et de construire une vie pleine de sens.

Tony Robbins, célèbre coach américain, ne dit pas autre chose lorsqu’il affirme que « la véritable croissance personnelle ne vient pas de ce que vous obtenez, mais de ce que vous contribuez ». Jim Rohn, son mentor légendaire, rappelle que nos résultats dépendent largement de notre entourage et de la manière dont nous interagissons avec la société. Brian Tracy, motivateur canadien, insiste aussi sur l’importance de se concentrer sur le service aux autres pour atteindre un accomplissement durable…

Alors, quelle est cette qualité insoupçonnée qui transforme la vie de ceux qui semblent réussir tout en restant épanouis ? Il s’agit du sens profond de la citoyenneté. Cette capacité à se soucier activement du bien-être collectif, à respecter des valeurs communes et à participer pleinement à la vie de sa communauté apporte un avantage considérable sur le plan personnel.

Les recherches en psychologie montrent que les personnes qui cultivent cette valeur développent plus rapidement l’empathie, la patience et la capacité à gérer des situations complexes. Elles prennent des décisions plus réfléchies, se sentent plus connectées à leur environnement et à leurs pairs, et cultivent une résilience émotionnelle qui les protège face aux épreuves. En d’autres termes, elles acquièrent non seulement le succès matériel, mais aussi une sagesse pratique qui guide toute leur vie.

En fin de compte, ceux qui possèdent cette qualité insoupçonnée semblent mieux réussir et mieux vivre. La citoyenneté active n’est pas seulement un devoir civique : c’est un moteur puissant de développement personnel et de bonheur durable.

Sympathie vs. Empathie : Comprendre les nuances psychologiques et le rôle de la sophrologie

La sympathie et l’empathie sont deux concepts psychologiques clés qui jouent un rôle essentiel dans nos interactions sociales. Il est, selon moi, important de bien les connaître et de savoir les distinguer. Si la pratique de la sympathie et de l’empathie est primordiale pour un thérapeute, ce sont des qualités qui sont également fort utiles pour tout un chacun ! Elles permettent de cultiver le « rapport » humain. Bien que ces termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils ont des significations vraiment distinctes et des implications importantes pour nos relations interpersonnelles ! Dans cet article, nous explorerons la différence fondamentale entre la sympathie et l’empathie et nous discuterons de la manière dont la sophrologie peut nous aider à cultiver une empathie véritable, non handicapante pour nous-mêmes, sans tomber dans une distorsion de sacrifice de soi.

La Sympathie : Un miroir émotionnel

La sympathie est le sentiment de partage des émotions d’une autre personne sans nécessairement comprendre ou ressentir les mêmes émotions. Cela signifie que lorsque nous éprouvons de la sympathie envers quelqu’un, nous reconnaissons sa souffrance ou sa joie, mais nous ne ressentons pas ces émotions de manière personnelle. La sympathie peut être exprimée par des mots de réconfort, des gestes de soutien ou des marques de compassion envers quelqu’un qui traverse une expérience difficile. Attention, la sympathie peut contenir une forme de jugement conscient ou pas ! Certaines personnes apprécient une sympathie de « soutien » verbal comme : « Dis donc, c’est pas drôle tout ce qu’il t’arrive en ce moment ! » mais peuvent se sentir blessé par une phrase comme « Mon pauvre ! Tu n’as pas de chance ! Ce doit être difficile ! » ou par une phrase tournée plus positivement comme : « Pense à sortir et à reprendre ta vie, ça te fera du bien ! »

Sur le plan psychologique, la sympathie est souvent associée à une réaction émotionnelle superficielle, basée sur la reconnaissance des émotions d’autrui, mais elle ne va pas au-delà de cela. Elle peut être utile pour montrer de la compassion envers autrui, mais elle ne permet pas de se connecter profondément à leurs expériences émotionnelles. Si elle contient un jugement ou un contentement (qui consiste à mesurer, du coup, notre propre chance face au malheur de l’autre), elle peut même être critiquée ou rejetée.

L’Empathie : La compréhension profonde des émotions d’autrui

Contrairement à la sympathie, l’empathie implique une compréhension plus profonde des émotions d’une autre personne. Elle consiste à se mettre à la place de quelqu’un d’autre, à ressentir et comprendre leurs émotions de l’intérieur. L’empathie nécessite une capacité à se connecter émotionnellement à autrui, à partager leurs sentiments et à percevoir leur point de vue.

Sur le plan psychologique, l’empathie est une réponse émotionnelle plus profonde et plus engageante. Elle repose sur la capacité à reconnaître et à ressentir les émotions d’une autre personne comme si elles étaient les nôtres, ce qui favorise une connexion plus authentique. L’empathie peut renforcer les relations, améliorer la communication et favoriser une meilleure compréhension entre les individus.

La Sophrologie pour cultiver une empathie authentique

La sophrologie est une méthode de relaxation et de développement personnel qui repose sur la conscience du corps et de l’esprit. Elle peut jouer un rôle crucial dans la culture de l’empathie véritable. Voici comment la sophrologie peut aider à assouplir notre relation aux autres et à pratiquer une empathie authentique :

  1. Prise de conscience émotionnelle : La sophrologie enseigne la pleine conscience des émotions et encourage la compréhension de nos propres sentiments. En développant cette conscience émotionnelle envers nous-mêmes, nous sommes mieux préparés à comprendre les émotions des autres.
  2. Gestion du stress : La sophrologie offre des techniques de gestion du stress et de relaxation, ce qui nous permet de réduire nos propres réactions émotionnelles excessives. En étant plus calmes et équilibrés émotionnellement, nous sommes plus capables de nous connecter aux émotions des autres de manière authentique.
  3. Développement de l’empathie : La sophrologie peut aider à développer la capacité à se mettre à la place des autres, à ressentir leurs émotions et à comprendre leur perspective. Cela favorise une empathie profonde et non handicapante.

Lors d’une perte majeure ou d’un décès, il peut sembler naturel de démontrer de la sympathie et de l’empathie à la personne touchée. Cependant il convient de ne jamais forcer le trait et de rester naturel. Une personne touchée de plein fouet par un deuil peut mal comprendre le chagrin d’une personne qui n’était pas aussi proche qu’elle du défunt. Elle peut se sentir dépossédée de la personne et de son propre deuil.

En conclusion

La différence entre la sympathie et l’empathie réside dans la profondeur de la compréhension émotionnelle. La sympathie se limite à la reconnaissance des émotions d’autrui, tandis que l’empathie implique une connexion émotionnelle profonde et une compréhension authentique. La sophrologie peut être un outil puissant pour cultiver une empathie véritable, en nous aidant à développer la conscience émotionnelle, à gérer le stress et à comprendre les émotions des autres de manière plus profonde. En pratiquant une empathie authentique, nous renforçons nos relations et contribuons à un meilleur bien-être émotionnel, à la fois pour nous-mêmes et pour ceux avec qui nous interagissons.

La première séance de Psychopratique

La Psychopratique

Psychopraticien « tout court » n’est pas un « titre » mais désigne simplement celui ou celle qui exerce la « psychopratique », c’est à dire l’accompagnement de personnes en souffrance morale. Cet accompagnement s’effectue à l’aide d’outils préalablement définis (dans mon cas la libération émotionnelle par la parole, la libération émotionnelle par le jeu de rôle et la gestuelle, la thérapie cognitive). Le psychopraticien, s’il doit expliquer à son client de quelle façon va se dérouler l’accompagnement, possède souvent un bagage de formations bien fourni, en plus des techniques qu’il a choisi. Il s’installe souvent à un moment de sa vie où lui-même a suffisamment expérimenté la psychothérapie et où il lui semble avoir acquis une expérience poussée de l’humain. Pour exemple j’ai décidé de m’installer en tant que thérapeute il y a 10 ans après avoir longtemps géré de « l’humain » au travail (management dans la presse, la communication et l’édition) et avoir monté des ateliers de sophrologie et de relaxation en hôpital et pour des structures associatives.

Des méthodes et une expérience de l’humain avant tout

Même si j’accompagne la transition personnelle, professionnelle, sentimentale, familiale etc. par les 3 méthodes précitées, je suis également formée à La Dramatherapy, à l’accompagnement du stress post traumatique et du deuil compliqué, à la Sophrologie (avec la Psychopratique il s’agit de mon cursus « initial » de reconversion), à la psychologie du leadership, à l’alliance thérapeutique, à la psychologie transpersonnelle et à des méthodes de régénération de l’énergie… Ces méthodes « apportent » à ma vision et à mon travail au cabinet, me permettant de comprendre certains aspects de la psychologie humaines et des comportements humains mais aussi de trouver les bons outils de gestion du stress, par exemple, pour mes clients. La psychopratique c’est une rencontre avant tout. Le client et le thérapeute apprennent l’un de l’autre.

Des questions oui mais dans l’empathie et la chaleur

Certains clients redoutent la première séance de psychopratique (anamnèse) mais d’autres participent très activement et ont hâte de « savoir » comment nous allons travailler ensemble à leur problématique. La première séance, comme toutes les autres, est menée dans la confidentialité, dans un cadre sécurisé où l’alliance thérapeutique peut se développer au mieux, dans le calme et dans l’empathie. Il n’y a donc absolument aucune raison de stresser en y pensant.

Quantifier le bien-être 

J’ai tendance à dire que la thérapie commence, en fait, à partir du moment où le client me téléphone. A cet instant il est déjà apaisé et le travail sur soi commence vraiment ! Son bien-être est mesurable. A la question « A combien estimeriez-vous votre bien-être moral avant votre coup de fil ? » puis « A combien l’estimeriez-vous sur une échelle de 0 à 10, après » on constate que le niveau de bien-être a gagné entre 1 à 3 échelons. Pourtant rien ne s’est encore réellement passé.

Pas de sujets tabous et une libération par la parole

La première séance aborde votre problématique. Il n’y a aucun tabou. Tous les sujets peuvent être abordés sans crainte. Je suis tenue au secret professionnel et rien ne sort de mon bureau. En plus de votre problématique, la prise de contact s’effectue par une longue discussion chaleureuse rythmée par des questions classiques (comment évaluez-vous votre bien-être à la maison, en famille, au travail, quelles sont vos habitudes alimentaires, comment aimez-vous vous détendre, quelles sont vos qualités premières et les écueils que vous pouvez rencontrer etc.)

Formuler des objectifs dans une guidance bienveillante

A l’issue de ce premier entretien, je vous fais part de ce que j’ai pu ressentir et distinguer de votre personnalité et je vous offre des pistes pour solutionner votre problématique. Il ne s’agit pas pour moi d’évoquer simplement des « solutions » mais plutôt de vous proposer un programme personnalisé afin d’atteindre vos objectifs. Jamais je ne décide dans quel sens vous orienter. C’est vous seul qui prenez les décisions car oui vous en avez la capacité. Je ne pense pas non plus « à votre place ». Mon intervention n’est qu’une guidance bienveillante.

Ce programme qui vous est proposé peut inclure des exercices de communication, d’expression, des jeux de rôles, de la relaxation etc. en psychopratique il s’agit surtout de vous aider à prendre conscience de vos ressources intérieures, celles auxquelles vous n’avez peut-être pas pensé. Il est possible également de vous accompagner sur l’analyse et la suppression de vos croyances limitantes.

Un passage …

On n’est pas « lié » à vie à son psychopraticien ou à sa psychopraticienne. L’éthique veut que le thérapeute sache mettre fin à la thérapie au bon moment, celui où le client a atteint l’harmonie et l’équilibre moral escomptés, le moment où il est prêt. Je considère que je ne suis qu’une « passeuse » qui accompagne la transition. Ma présence n’est nécessaire qu’un temps: celui de progresser dans un deuil, de « digérer » une rupture, de prendre la bonne décision, de trouver sa « mission de vie » ou de prendre ses marques dans un environnement nouveau… Ainsi je suis amenée à rencontrer de nombreux clients et à gérer de nombreuses problématiques extrêmement variées. Pourtant, aucune de ces expériences ne peut être comparée à une autre. Aucune n’est semblable. Toutes sont absolument différentes même si certaines techniques d’apaisement (du stress, de la douleur morale etc.) s’avèrent efficaces sur certaines personnes.

De nouveaux objectifs tout le long du chemin

Parfois on se quitte « pour de bon ». D’autres fois le client revient quelques mois plus tard avec un objectif nouveau à atteindre. Certains utilisent mon expertise « étape par étape » : obtenir une vie sentimentale harmonieuse puis œuvrer pour une évolution professionnelle, asseoir leur confiance en eux etc. accompagner le changement de métier, de ville, de partenaire, de mission de vie…  Le principal étant que les séances soient « aidantes » et le client apaisé, satisfait, qu’il prenne conscience de ses capacités et de ressources intérieures.