Ne plus se laisser faire : le vrai réveil des femmes sensibles !

Il y a des femmes qui donnent tout. Elles écoutent, comprennent, s’adaptent, apaisent. Encore et encore. Elles portent le monde sur leurs épaules — le couple, la famille, les collègues, les amis, les ennemis (sans même s’en rendre compte…) — sans jamais oser dire que, parfois, elles sont fatiguées. Elles ont le cœur grand ouvert, mais elles le paient cher. On les interrompt, on leur parle mal, on profite de leur douceur, on dépasse leurs limites. Et elles, souvent, se taisent. Par peur du conflit. Par peur de décevoir. Par peur d’être “trop”. Et par peur de ne pas être « complète » sans ce sacrifice de soi absolu…

À mon cabinet, je constate souvent ce même scénario débridé, décliné en mille nuances : des femmes brillantes, aimantes, sensibles… mais qui ne se sentent nullement respectées. Elles m’expliquent qu’elles font tout pour les autres, qu’elles ne veulent pas passer pour égoïstes, qu’elles savent qu’elles devraient dire non mais qu’elles n’y arrivent pas. Derrière ces mots, il y a toujours la même blessure : celle de ne pas oser exister pleinement. Le souci de ne pas s’opposer. On leur a inculqué qu’elles n’étaient pas faites pour briller ni pour être satisfaites en totalité et, même si leurs parents ont disparu, elles perpétuent une forme de loyauté familiale à travers ce manège dévalorisant.

Être gentille, ce n’est pas le problème. C’est même une qualité précieuse. Mais quand la gentillesse devient une stratégie de survie, quand elle cache la peur du rejet ou du conflit, alors elle finit par faire souffrir. La vraie bonté ne consiste pas à tout accepter, mais à savoir dire “non” sans culpabilité. Le respect de soi n’enlève rien à la douceur, il la rend plus juste.

Je vois trop souvent des femmes qui se jugent “faibles” ou “trop sensibles”, alors qu’en réalité elles ont simplement développé une grande empathie. Elles sentent tout, devinent tout, anticipent tout. Mais cette empathie, si elle n’est pas accompagnée de limites, devient un piège : elle les vide de leur énergie essentielle !

Ce comportement ne vient pas de nulle part. Souvent, il s’est construit très tôt, dans l’enfance. On a appris à plaire, à être sage, à éviter les disputes, à ne pas faire de vagues. Et adulte, on continue à s’effacer pour maintenir la paix. Ce mode de fonctionnement devient automatique : on se tait, on s’adapte, on encaisse. Psychologiquement, cela s’appelle le manque d’affirmation de soi. C’est la difficulté à dire ce qu’on pense, ce qu’on veut, ce qu’on ressent.

Les conséquences sont nombreuses : relations déséquilibrées, sentiment d’être invisible, épuisement émotionnel, perte d’estime de soi. On vit avec une tension intérieure constante : vouloir plaire tout en rêvant d’être soi. Certaines finissent par exploser, d’autres par s’éteindre.

Mais quand une femme commence à s’affirmer, tout change. Au début, il y a la peur : “Si je dis non, on ne m’aimera plus.” Puis vient la surprise : “En fait, on me respecte davantage.” Et enfin, la libération : “Je me sens enfin moi.”

À mon cabinet, j’observe des transformations chaque semaine. Des femmes qui reprennent le contrôle de leur vie simplement parce qu’elles apprennent à se choisir. Elles cessent de demander la permission d’exister. Elles osent poser leurs limites, sans agressivité, mais avec calme et assurance. Et paradoxalement, leurs relations s’améliorent. On ne respecte jamais autant une personne que lorsqu’elle se respecte elle-même.

Apprendre à dire non, ce n’est pas blesser l’autre. C’est honorer sa propre vérité. C’est refuser ce qui épuise, pour mieux accueillir ce qui nourrit. Quand on se laisse tout faire, on s’efface peu à peu. Quand on commence à se respecter, on retrouve son énergie, sa clarté, sa joie de vivre. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de la santé psychologique.

Arrive un moment où la douleur de se nier devient plus forte que la peur de changer. C’est le moment du sursaut. Celui où l’on se dit : “Je ne veux plus subir. Je veux vivre. Pour de vrai.” C’est souvent à ce moment-là que les femmes viennent me voir. Elles ne veulent plus “juste aller mieux”. Elles veulent se transformer.

C’est précisément pour elles que j’ai créé le programme “Ne vous laissez plus faire !”, un accompagnement en profondeur que je propose à mon cabinet de sophrologie à Vichy. Ce programme est né d’une constatation : certaines femmes ont besoin d’un espace où elles peuvent enfin désapprendre la soumission, déconstruire leurs automatismes, retrouver leur voix intérieure. Pendant dix séances individuelles d’une heure trente, nous travaillons à trois niveaux : le mental, pour identifier les croyances qui maintiennent la peur de déplaire ; l’émotionnel, pour libérer la colère, la culpabilité et la honte d’avoir trop donné ; et le corps, pour se reconnecter à ses sensations, à son souffle et à sa puissance tranquille.

Ce parcours n’est pas confortable au sens où il bouscule. Mais il se fait sans violence, dans la bienveillance et la clarté. Il vous amène à vous regarder en face, à vous repositionner, à choisir enfin vous-même. Et quand cela arrive, tout change. Les femmes que j’accompagne me disent souvent : “Je ne pensais pas que j’avais ce courage en moi.”, “Je suis plus calme, mais plus ferme.”, “Je me sens libre.”

Ne plus se laisser faire, c’est une révolution intérieure. Pas spectaculaire, mais profonde. C’est le moment où l’on arrête d’attendre que les autres nous comprennent, parce qu’on se comprend enfin soi-même. Si ces mots résonnent, c’est que quelque chose en vous est prêt à changer. Vous savez déjà, au fond, que vous ne voulez plus de demi-mesure, plus de compromis qui vous abîment.

Alors si vous sentez cet élan, ce besoin de reprendre votre place, je vous invite à découvrir le programme que j’ai conçu pour vous : Ne vous laissez plus faire !

Quand votre lumière dérange : pourquoi certains préfèrent la version blessée de vous-même ?

Par Céline Baron, psychopraticienne et sophrologue à Vichy

Il existe un phénomène aussi subtil que déroutant : certaines personnes semblent vous aimer davantage lorsque vous traversez des périodes sombres… Tant que vous doutez de vous, que vous cherchez, que vous Vous cherchez, que vous luttez — elles se montrent présentes, attentives, presque dévouées… Fabuleux ! Mais dès lors que vous commencez à aller bien, à vous affirmer, à rayonner… leur attitude change totalement ! Pervers ? Étrange ? Psychologique, oui ! Votre joie les dérange. Votre paix intérieure leur devient étrangère.
Et soudain, la personne que vous êtes devenue leur est absolument insupportable. La bonne nouvelle ? Leur mal-être face à vos succès demeure LEUR problème, certainement pas le vôtre ! Explications.

Quand votre équilibre remet en cause leur confort émotionnel

Dans ma pratique de psychopraticienne et sophrologue à Vichy, j’observe souvent cette mécanique invisible : certaines relations reposent sur une forme d’équilibre émotionnel implicite, où l’un soutient pendant que l’autre vacille.
Votre fragilité d’autrefois offrait à l’autre un rôle sécurisant — celui du conseiller, du confident, parfois celui du sauveur.

Mais quand vous guérissez, quand vous reprenez votre place, ce rôle disparaît.
Vous n’êtes plus celui ou celle qui a besoin — vous devenez celui qui inspire.
Et cette métamorphose vient bouleverser les repères affectifs de ceux qui s’étaient construits sur votre vulnérabilité et qui vous considéraient comme un « faire valoir »…

Le psychologue américain Stephen Karpman, à travers le concept du triangle dramatique (victime – sauveur – persécuteur), a démontré comment ces dynamiques relationnelles se rejouent souvent inconsciemment.
Quand vous quittez la position de « victime », le système tout entier se dérègle : le « sauveur » perd sa raison d’être… et parfois, son affection se transforme en rejet.


Votre réussite comme miroir de leurs blessures

Le père de la psychologie humaniste, Carl Rogers, parlait de la « tendance actualisante », ce mouvement naturel vers la pleine réalisation de soi.
Mais ce processus dérange ceux qui n’ont pas encore osé s’y engager.
Votre épanouissement devient alors un miroir impitoyable de leurs renoncements.

La chercheuse américaine Brené Brown, dans ses travaux sur la honte et la vulnérabilité, écrit que :

“Joy is the most vulnerable emotion we experience.”
(« La joie est l’émotion la plus vulnérable que nous puissions ressentir. »)

Autrement dit, voir quelqu’un rayonner confronte à sa propre peur d’être heureux.
Ce n’est pas votre bonheur qu’ils rejettent, mais ce qu’il réveille en eux : la nostalgie d’une version d’eux-mêmes qu’ils n’ont pas encore incarnée.


Le silence, ce désaveu qui en dit long

Le psychologue Leon Festinger, avec sa théorie de la dissonance cognitive, a démontré que lorsqu’une réalité externe contredit nos croyances internes, nous cherchons à rétablir un équilibre — souvent en minimisant ou en rejetant la source même du malaise…
Ainsi, quand une personne constate votre accomplissement mais se sent en échec, elle peut inconsciemment nier votre réussite, ou faire comme si elle n’existait pas.
Ce silence, ce manque d’enthousiasme, traduit moins une absence d’intérêt qu’un mécanisme de protection psychique.

Il y a quelques années, j’avais un ami, un confident, qui évoluait dans le milieu artistique. Il avançait avec une détermination farouche, mêlée d’une certaine arrogance. C’était un être qui aimait briller : il entrait dans une pièce comme sur une scène, ouvrait les portes avec panache, et vous faisait traverser un carrefour comme si vous étiez la Reine d’Angleterre.

Mais derrière cette assurance éclatante se cachait une autre réalité. Il jugeait les gens à l’aune de leurs possessions, de leur salaire, de la visibilité qu’ils projetaient. La simplicité ou la joie tranquille lui étaient étrangères.

Je me souviens d’un rendez-vous en particulier. J’étais arrivée légère, heureuse, épanouie dans ma vie de freelance. Lui m’accueillit d’un ton faussement bienveillant :

« Tu ne devrais pas être si heureuse avec une situation si précaire. »

Sous ses airs de supériorité, je sentais la fissure. Cet homme, confortable dans son statut et auréolé d’une petite notoriété, était profondément malheureux. Prisonnier d’une image de grandeur qu’il avait lui-même construite, il vivait dans la crainte qu’elle ne se ternisse. Et comme la réalité commençait à grincer derrière le vernis, il supportait de moins en moins ceux qui, sans éclat particulier, connaissaient la paix intérieure.

Il en voulait aux gens simples et heureux, parce que leur sérénité soulignait sa propre agitation. Alors, à sa manière, il cherchait à éteindre ma joie — à me rappeler que, selon ses critères, je n’avais pas de raison valable d’être si bien.

Mais en vérité, ce qu’il ne supportait pas, c’était que j’aie trouvé dans ma liberté ce qu’il n’avait jamais su trouver dans son succès : une forme de bonheur sincère et stable.


Ne vous excusez jamais d’aller bien

Le coach américain Tony Robbins le dit sans détour :

“Don’t dim your light to make others comfortable.”
(« Ne réduis pas ta lumière pour mettre les autres à l’aise. »)

Se restreindre pour ne pas gêner, c’est s’éteindre doucement.
C’est revenir à une ancienne version de soi que certains trouvaient plus rassurante — mais qui n’était plus vraie.
Vous n’avez pas à redevenir « comme avant » pour conserver l’amour des autres.
Les relations authentiques s’ajustent à votre lumière. Les autres s’éloignent, et c’est bien ainsi.


Votre lumière trie naturellement votre entourage

Comme l’a si justement écrit Marianne Williamson, souvent citée par Nelson Mandela :

“Our deepest fear is not that we are inadequate.
Our deepest fear is that we are powerful beyond measure.”
(Notre peur la plus profonde n’est pas d’être insuffisants, mais d’être puissants au-delà de toute mesure.)

Votre lumière ne repousse pas les bons — elle révèle simplement qui ne supportait votre compagnie que dans l’ombre.
Et ce tri naturel, bien que douloureux, est une étape nécessaire de toute évolution intérieure.


Conclusion : s’autoriser à s’épanouir sans culpabilité

S’épanouir, c’est parfois perdre des visages familiers.
Mais c’est aussi rencontrer, sur le chemin, des êtres qui vibrent à la même fréquence que votre paix retrouvée.
Le bonheur authentique ne cherche pas à convaincre ni à justifier : il inspire silencieusement.

En tant que psychopraticienne et sophrologue à Vichy, j’invite souvent mes patients à accueillir cette réalité : le changement ne détruit pas, il révèle.
Et ceux qui ne supportent pas votre lumière vous offrent, sans le vouloir, la plus belle des libertés : celle d’être pleinement vous-même.

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L’impact subtil des proches : Comment certaines paroles et actions affectent notre Estime de Soi…

Dans le labyrinthe complexe de nos interactions sociales, il arrive parfois que nos proches, avec les meilleures intentions du monde, ébranlent insidieusement notre estime de soi. Sous le voile de l’amour et du souci, certaines paroles et actions peuvent discrètement miner notre confiance en nous sans que nous ne nous en rendions compte. Attention certains le font aussi volontairement comme pour se rassurer sur leur propre valeur et le processus est tout à fait conscient ! Explorons ces situations délicates qui, à notre insu, dégradent notre perception de nous-mêmes, nous faisant parfois manquer de belles opportunités, et découvrons comment nous pouvons réagir de manière constructive face à ces défis.

Le conseil de ressemblance : Ces personnes bien intentionnées qui, voulant vous voir épanoui, vous suggèrent de suivre leur propre chemin. « Pourquoi ne pas être plus comme moi et moins comme toi ? », vous disent-ils. Cette subtile attente de conformité peut éroder votre estime de soi en vous faisant sentir que votre authenticité n’est pas suffisante. Ce que ces personnes oublient c’est qu’il n’y a que vous qui fixez vos valeurs ! Pour exemple une amie essaye de me persuader chaque année de délaisser les USA ou l’Inde au profit de la Grèce que je connais déjà très bien pour y être allée en vacances pendant plus de 20 ans. Pour elle les « vrais » vont en Grèce ! Imaginez l’escalade si je lui répondais que sa destination me parait « has been » et que les vrais vont à L.A ! En réalité ce qui importe pour moi n’est nullement la destination mais l’excitation de la destination et de la nouveauté ! Autre exemple : une de mes amies qui est free-lance comme moi a souscrit à une retraite privée complémentaire hors de prix. Elle se voit travailler jusqu’à 60 ans puis profiter de la retraite alors que mon point de vue est de travailler le plus longtemps possible, ce qui se fait dans ma profession et de profiter de la vie maintenant ! De plus je suis quelqu’un qui favorise toujours l’Instant présent et qui ne souhaite vivre ni dans le passé ni dans le futur. Aujourd’hui me suffit bien ! Le discours de mon amie pourrait me rendre « frileuse » au sujet de l’avenir ou angoissée comme elle peut l’être…

Le zèle convertisseur : Vous avez un entourage passionné par un sujet qui souhaite que vous deveniez tout aussi passionné. Bien que leur enthousiasme soit contagieux, il est important de se rappeler que nos passions diffèrent. Se sentir poussé à embrasser une passion qui ne résonne pas en vous peut graduellement miner votre confiance en vos propres intuitions. Pour exemple : une de mes amies pratique la vente directe de produits en réunions. Elle vend des produits de beauté très cher et a essayé pendant des mois de me recruter alors que je ne supporte pas cette ambiance de « réunion » à domicile ou dans des halls d’hôtels où un commercial vous fait des démonstrations pendant des heures ! Chacun son métier ! Quant au complément de salaire promis j’estime, de toute façon, ne pas en avoir besoin. Cette amie aime se disperser dans ses activités. Je tente justement de faire à l’inverse : je me concentre désormais sur une seule activité professionnelle ! On ne compte pas le nombre de femmes qui se lancent dans une activité complémentaire pour être « parrainée » par une amie ! Gardons nos passions et nos activités pour nous ! Tout le monde n’a pas les mêmes attirances !

La zone de confort gardienne : Ces individus qui préfèrent ne pas sortir de leur propre zone de confort pourraient vous décourager lorsque vous envisagez de le faire. Leur peur de l’inconnu peut vous pousser à réévaluer vos aspirations. Le risque ? Voir votre estime de soi rongée par le doute et le regret ! Pour exemple : je me rends régulièrement à Londres. Un de mes amis me met systématiquement en garde contre l’insécurité qui règne à la Gare du Nord : « Un jour tu ne reviendra pas ! » dit-il. Ce à quoi je réponds que, de toute façon, ce n’est pas nous qui choisissons notre heure alors autant en profiter !

Les sous-entendus destructeurs : Les remarques voilées sur votre apparence, vos compétences ou votre travail sont comme des flèches empoisonnées qui atteignent silencieusement votre confiance. Les blessures émotionnelles infligées par ces paroles subtiles peuvent s’accumuler et altérer votre perception de vous-même. Dans mon livre « Voyage en Self-Love » je donne de nombreux exemples de clients totalement parasités par un ou une « meilleur(e) ami(e) » un brin jaloux(se). Pour exemple ce jeune-homme architecte DPLG qui s’entendit dire « Ah tu construis des maisons de lotissements seulement ? J’ai un proche qui, lui, est un vrai architecte ! Il dessine des immeubles à Dubaï ! » Ce genre de malveillance doit être dénoncée par une phrase claire du type : « Tu sous entends que je ne suis pas un vrai architecte alors ? » qui sera probablement suivie par un « Euh non, c’est pas ça… » Comprenez la nécessité de vous détacher des « gens dans le monde » (prétentieux, égotiques, condescendants, vivant pour l’illusion du matérialisme) pour pouvoir s’épanouir !

La course comparatrice : Les individus qui se vantent d’avoir « mieux réussi » peuvent involontairement semer le doute sur vos propres réalisations. Leurs comparaisons incessantes peuvent vous faire vous sentir inadéquat et amoindrir votre estime de soi. Pourtant là encore tout est une question de priorités ! Dans ma belle-famille, je connais une personne qui est ainsi. Régulièrement elle me rappelle qu’elle gagne plus que moi et dit toujours cela sur un ton particulièrement moqueur et hautain. Cette personne, par ailleurs, a des soucis de santé liés à son alimentation « malbouffe ». Pour elle, gagner beaucoup d’argent puis le dépenser dans de la nourriture est important. De mon côté j’ai une alimentation végétarienne et je pratique le yoga, la méditation et la musculation. J’utilise le livre de cuisine de Prabhupada et je fais passer ma santé et mes enfants avant le travail, l’argent et la nourriture. La méditation me permet une communion avec l’univers qui fait partie de mon équilibre quotidien. Mon mari et moi sommes heureux, par ailleurs, d’avoir compris que dans cette vie ce qui est important est l’harmonie Corps-Esprit et non d’accumuler de l’argent pour s’en vanter ensuite… Nous ne tombons donc pas dans le piège des comparaisons malsaines. Nous bénissons les personnes qui utilisent la comparaison et passons notre chemin. Hélas certaines personnes fragiles ou influençables peuvent se surpasser pour prouver qu’elles aussi sont « valables ». Personnellement je suis la seule à pouvoir me « valider » et cela m’évite bien des cogitations !

Le déni des réalisations : Certains proches, parfois par peur de vous encourager dans une direction non conventionnelle, peuvent minimiser vos réalisations. Le sentiment que vos succès sont ignorés peut graduellement éroder votre confiance en votre potentiel. Là encore il est important de bien connaître vos objectifs. Pour exemple pour les non-artistes, créer c’est aussi « vendre » ses oeuvres. Ils ne vous estimeront pas artiste, si vous l’êtes, si vous ne vendez pas vos productions. Si vous connaissez votre but (par exemple : passer du bon temps, documenter votre existence par la peinture etc.) cela ne devrait pas vous atteindre !

Le Matérialisme évaluateur : Enfin, l’un des défis les plus répandus : les jugements basés sur le matérialisme. Être évalué en fonction de votre salaire plutôt que de vos réalisations personnelles ou spirituelles peut insidieusement affaiblir votre perception de votre propre valeur. Pour exemple : je me fiche de conduire une voiture banale. Pour moi une voiture est un simple moyen de déplacement qui vous conduit du point A au point B. Parfois des amis me disent : « Et toi, ça ne te dit toujours pas de te payer un petit bolide ? Au moins une fois dans ta vie ? » Ce à quoi je réponds : « Et toi, ça ne te dit toujours pas de regarder un lever de soleil sur le Taj Mahal ? » En général les possessions prennent de la place physiquement. Plus on possède plus il faut faire attention à ses possessions, donc perdre du temps ! Un de mes proches possède tellement d’appareils technologiques chez lui qu’il doit payer une société de gardiennage lorsqu’il part en vacances et qu’il passe tout de même son temps de repos à trembler pour ses possessions… Afin de me souvenir que les possessions ne sont rien, une fois par mois je fais le tour de tous les placards de la maison et à chaque fois j’emmène plusieurs sacs de choses qui ne me servent plus à la Recyclerie. J’essaye en général de ne pas m’attacher aux meubles ou aux objets même s’ils étaient à des proches défunts. Je sais que l’objet, le bibelot, le souvenir n’est pas « eux » ! Garder pieusement des vieilleries ne les ramènera pas. Combien de personnes se forcent à vivre avec les meubles de leurs défunts parents ? Ne mélangeons pas tout : « Ce n’est pas ce que tu possèdes qui compte » comme le disait Wayne Dyer !

Comprendre ces subtilités et prendre conscience de leur impact est crucial pour préserver une estime de soi robuste. Lorsque nous reconnaissons comment ces situations peuvent influencer notre perception de nous-mêmes, nous sommes mieux équipés pour y réagir de manière constructive.

Le sage Sadhguru a déclaré : « Le matérialisme est l’illusion que le bonheur réside dans des choses extérieures. Libérez-vous de cette illusion. » En effet, la véritable estime de soi ne se mesure pas en biens matériels, en modes ou en tendances, ni même en façons de faire et d’organiser sa vie, mais bien en découvrant et en embrassant notre essence authentique, au-delà de ces illusions éphémères…

« Voyage en Self-Love » : Contenu du livre

Dans cette vidéo, je vous décris le contenu de mon livre à paraître au mois de décembre 2022, « Voyage en Self-Love : Conseils et vécus de guérison intérieure ». Le livre sera vendu exclusivement par mes soins, à mon cabinet et à distance, et, pour les vichyssois, à l’imprimerie Numeli.

J’ai souhaité rédiger ce livre à la fois comme un guide avec des exercices d’application et comme un outil technique permettant de mesurer la force de son Amour de Soi et de prendre conscience de toutes les conséquences générées par un Amour de Soi faible.

S’aimer n’est pas « la voie royale » mais bien la façon la plus simple et la plus naturelle de vivre sa vie : faire avec ce que nous sommes plutôt que de chercher à modifier notre être par des outils extérieurs est générateur d’Harmonie intérieure et de Congruence. Qui n’en voudrait pas à l’heure actuelle ?

Pour en savoir plus, visionnez la vidéo ci-dessous :

Cette vidéo traite de : #amour de soi #estimedesoi #confianceensoi #reassurance #confiance #voyages #temoignages #vecus #guerisoninterieure #livre #parution #developpementpersonnel

N’hésitez pas à pré-commander votre livre en adressant votre règlement de 23 EUR (frais de port inclus) au cabinet ; Cabinet de Sophrologie 48 rue de Cronstadt 03200 Vichy

Maintenir l’estime de Soi du client dans une thérapie

A travers cette courte vidéo j’aborde mes techniques de travail et les critères que je respecte lors des séances de sophrologie et de psychopratique pour maintenir et développer l’Estime de soi du client. C’est un point important qui permet notamment de développer un côté positif dans les séances et qui permet d’apaiser les tensions et les questionnements. Maintenir l’Estime de soi est, en outre, à la base de tout travail de développement personnel. Ces vidéos sont tournées spontanément sans matériel sophistiquées et sont donc bien-entendu perfectibles. Mon but ici n’est pas de perdre du temps en montage mais juste de vous permettre de mieux me connaître si vous souhaitez engager une thérapie à mon cabinet. Bon visionnage !