Changer de vie : Pourquoi nos transformations personnelles suscitent-elles jalousies et réactions ? Comment rester apaisé face aux critiques ?

Changer de mode de vie, prendre une décision forte, transformer son apparence ou faire un choix radical sont autant de gestes qui modifient nos parcours individuels, souvent, selon nous, pour le meilleur ! Mais ce que l’on prévoit moins, ce sont les répercussions que ces changements peuvent réellement avoir sur nos relations et nos interactions sociales.

Parfois, ces transformations réveillent l’admiration chez nos proches ; d’autres fois, elles suscitent jalousies et incompréhensions. Alors, comment comprendre ces réactions et, surtout, comment garder le cap sans se laisser influencer négativement ? Explorons ce phénomène à travers des histoires inspirantes et des clés de lecture pour naviguer ces situations avec bienveillance, dont certaines auraient pu avoir toute leur place dans mon livre « Voyage en Self-Love. Adopter l’Amour de Soi pour s’accomplir au quotidien« .

Pourquoi nos changements déclenchent-ils réactions et émotions chez les autres ?

Lorsqu’on opère un changement personnel, c’est souvent le résultat d’une réflexion profonde, d’une recherche de bien-être ou d’une envie de renouer avec notre authenticité propre. Changer de job, partir vivre à la campagne, inscrire ses enfants au CNED ou encore perdre du poids très visiblement… Il n’y a pas, nous le verrons, grande différence dans l’accueil, parfois, de ces situations de changement. Mais, aux yeux de notre entourage, ces modifications peuvent parfois être perçues comme un miroir de leurs propres habitudes ou de leurs insatisfactions, générant chez eux des émotions inattendues… Cette réaction n’a rien d’égoïste ou de méchant ; elle est simplement humaine. La psychologie nous enseigne que la comparaison sociale est un mécanisme courant : lorsque l’on se sent en décalage avec un proche qui a « réussi » à transformer sa vie, on peut se retrouver dans une position inconfortable, entre l’admiration et la remise en question. Je me souviens d’une formation dans le domaine du Social, effectuée lorsque j’avais 25 ans. Je venais de me séparer d’un compagnon et j’avais, en même temps, ressenti le besoin de perdre du poids. Lors de mes précédentes vacances en Crête, j’avais ressenti une forme de mal-être face à ces kilos accumulés, difficiles à gérer. Je revenais donc amincie de 3 semaines de stage, au sein de l’établissement, délestée de 6 kilos. Deux amies étaient carrément admiratives : « Ouah ! Tu as fondu ! » mais deux autres, affichant elles-mêmes un surpoids, vinrent me faire remarquer que ce n’était pas « fairplay » de ma part de montrer joyeusement que j’avais maigri ! Elles repartirent déçues, en me faisant la tête ! Ce moment est resté gravé dans ma mémoire car il illustrait si bien le dicton : « Le bonheur des uns fait le malheur des autres ».

Dix ans plus tard, je fus étonnée d’entendre de nouveau ce proverbe dans la bouche d’un pasteur célébrant de jeunes mariés et les prévenant de la chose devant l’assemblée… interloquée. Mais il insista : « Si, si mes amis, je vous assure, votre bonheur fera des envieux… » Je discutais avec le pasteur qui m’annonça : « Mais ce n’est pas parce que je travaille pour Dieu que je dois ignorer la vérité ! Même un mariage peut créer de fortes rivalités et le sentiment de ne pas avoir réussi soi-même chez certains ! » Il n’y avait donc aucune paranoïa à se méfier, lorsqu’on atteignait un objectif, de l’émergence chez certains d’une certaine forme de jalousie ! Même le pasteur l’avait constaté chez ses ouailles… La boucle était bouclée !

Témoignages : Quand la transformation devient un défi relationnel

Prenons le cas de Sophie, une jeune femme qui, après des années dans une grande entreprise parisienne, a décidé de tout quitter pour s’installer à la campagne et démarrer un petit commerce local. Ce choix, motivé par un besoin de simplicité et de retour aux sources, a été accueilli par son entourage avec un mélange d’admiration et de scepticisme. Rapidement, Sophie a remarqué que certains de ses amis se distançaient d’elle, laissant entendre qu’elle « fuyait la vraie vie ». En réalité, ces critiques masquaient une forme d’incompréhension et, parfois, de jalousie, car beaucoup de ses amis rêvaient secrètement de quitter leur routine citadine mais n’osaient pas franchir le pas. Avec le temps, Sophie a appris à répondre avec bienveillance aux remarques, en expliquant simplement que ce choix lui apportait la paix qu’elle cherchait. De plus, la sophrologie l’a aidée à estimer la valeur de ses propres décisions.

De son côté, Marc, 45 ans, a décidé de changer de look et de se mettre au sport pour se sentir mieux dans sa peau après une période difficile. En quelques mois, il a perdu près de 15 kilos et adopté un style plus affirmé. Si certains de ses amis l’ont encouragé et félicité, d’autres ont montré des signes de gêne, voire d’agacement, en insinuant qu’il faisait cela pour attirer l’attention. Cette réaction a surpris Marc, mais il a compris que ce changement le mettait lui-même en position de remettre en question les choix et habitudes de ses proches. En développant une attitude ouverte et en assurant à ses amis qu’il était le même malgré son apparence transformée, il a pu calmer les tensions et retrouver des relations harmonieuses. Il a également travaillé sur la validité de ses décisions.

Vers une lecture bienveillante des réactions de jalousie

La jalousie ou l’envie qui naissent de nos changements personnels ne sont pas nécessairement des réactions négatives. Souvent, elles sont des signaux de la part de notre entourage qui traduisent un besoin de changement chez eux aussi. En les abordant avec bienveillance, nous leur offrons l’opportunité de s’interroger eux-mêmes sur leurs propres aspirations. Voici quelques pistes pour apaiser les relations sans subir la jalousie de plein fouet :

  • Restez dans la transparence : en partageant les défis et les aspects moins glamour de votre changement, vous démontrez que rien n’est magique et que chaque transformation a ses difficultés. Vos proches réaliseront que ce n’est pas un acte d’évasion, mais une recherche de bien-être équilibrée.
  • Encouragez les autres à poursuivre leurs propres objectifs : lorsqu’un ami exprime une forme de jalousie ou d’incompréhension, demandez-lui quelles sont ses propres envies, ses rêves enfouis. Souvent, cette conversation mène à une prise de conscience chez l’autre et renforce le lien.
  • Maintenez une écoute ouverte : certaines remarques peuvent être dures, mais elles traduisent un sentiment qui mérite d’être entendu. En montrant que vous êtes réceptif aux émotions de l’autre, vous désamorcez les tensions et faites preuve d’empathie.

Mon avis d’experte en Développement Personnel et en Communication Relationnelle…

En tant que sophrologue et experte en développement personnel, j’observe souvent dans mes consultations que ces transformations personnelles révèlent des failles, non pas dans les relations elles-mêmes, mais dans le rapport que chaque individu entretient avec ses propres choix ! Un changement de mode de vie, qu’il s’agisse de santé, de carrière ou d’apparence, a souvent le pouvoir de révéler les aspirations cachées de notre entourage. Il y a aussi une incompréhension parfois : si un membre de votre famille est malade et que vous exposez très visiblement la façon dont vous prenez bien soin de votre santé, il peut comprendre que vous insinuez qu’il a, lui, « raté le coche »… Cela peut être blessant car on ne choisit jamais de tomber malade, même si certains de nos comportements (fumer, boire de l’alcool, manger gras à outrance etc.) peuvent effectivement avoir des répercussions néfastes sur la santé. Personnellement j’ai eu un ami qui était comédien. Lorsqu’il évoquait sa vie, souvent en fin de soirée, avant de rentrer chez lui, il se montrait ultra-négatif et pessimiste sur lui-même. Ses histoires d’amour ne duraient jamais plus de deux semaines, et il était visiblement « paumé » face à ce monde en plein changement (internet etc.) Naturellement je mettais de côté mes belles « réussites » afin de ne pas le blesser. Lorsque j’ai rencontré mon mari et que j’ai compris que cette histoire durerait, j’ai évité de lui « balancer » mon bonheur en pleine figure. Il faut savoir, de temps à autre, préserver les gens qu’on apprécie mais qui n’ont pas la chance de vivre un bonheur similaire au notre, ni d’être aussi équilibré que nous le sommes…

Face aux critiques, l’essentiel est cependant de ne pas se laisser envahir par la culpabilité ou le besoin de justification. Chaque parcours est unique et mérite d’être respecté. En cultivant une attitude ouverte et bienveillante, on peut transformer la jalousie ou l’incompréhension de l’autre en une occasion de dialogue et de compréhension. Si nous abordons ces réactions avec calme et empathie, nous montrons qu’il est possible de vivre sa vérité tout en respectant le chemin des autres. Cette posture invite à la réflexion mutuelle et à la tolérance. Cette posture peut tout à fait être acquise grâce à la sophrologie ou au coaching de vie.

Finalement, que ce soit pour un changement de mode de vie, un rééquilibrage alimentaire ou un choix de carrière audacieux, les transformations personnelles sont autant d’étapes vers une meilleure version de soi-même. Si elles provoquent des réactions, c’est parce qu’elles touchent souvent à des aspirations partagées. En honorant ces envies, chacun peut puiser dans les exemples de réussite autour de lui pour aller de l’avant, en trouvant sa propre voie, avec confiance et sérénité.

Les mystères de l’allaitement long : De l’agacement familial aux comparaisons entre mères…

L’allaitement maternel est un choix personnel pour chaque mère, mais il suscite souvent des réactions fortes et controversées de la part de l’entourage. Cela devient particulièrement apparent lorsque l’allaitement est prolongé au-delà de la période jugée « normale » par la société. Dans cet article, nous explorerons les raisons pour lesquelles l’allaitement long peut provoquer de l’agacement chez certains proches et comment cela peut devenir un sujet de comparaison et d’opposition entre les mères. Nous verrons aussi comment une technique comme la sophrologie peut vous permettre de « tenir » votre décision malgré les tentatives de découragement de l’entourage.

  1. Les attentes sociales: L’allaitement maternel est souvent entouré d’attentes sociales, qui varient selon les cultures et les générations. Lorsqu’une mère choisit d’allaiter au-delà de la période considérée comme « normale », elle peut heurter les attentes traditionnelles de son entourage. Certains proches peuvent se sentir mal à l’aise face à cette rupture avec la norme et réagir par l’agacement.
  2. Les mythes et les préjugés: Il existe de nombreux mythes et préjugés sur l’allaitement maternel, y compris l’idée selon laquelle l’allaitement prolongé est nuisible pour l’enfant ou qu’il nuit au lien entre la mère et l’enfant. Ces fausses croyances peuvent amener les proches à s’inquiéter et à critiquer l’allaitement long, ce qui génère de l’agacement. Bien-entendu, c’est tout l’inverse ! L’allaitement produit la première équipe « maman-enfant » et renforce toujours le lien !
  3. La pression de la société: La société exerce une pression constante sur les femmes en ce qui concerne leur rôle de mère. Les mères sont souvent jugées et critiquées, que ce soit pour leurs choix d’allaitement ou pour d’autres décisions parentales. L’allaitement peut ainsi devenir un sujet de comparaison, où les mères se jugent et se comparent entre elles, suscitant des tensions et des oppositions. Il peut aussi y avoir de la jalousie lorsqu’on n’a pas allaité car on a été influencé par un proche et que cela n’était pas notre propre décision et qu’on constate qu’une amie allaite parfaitement et est très à l’aise dans son nouveau rôle de mère. Bien-entendu, sauf avec des médicaments et seulement si cela est encore pertinent, on ne peut revenir en arrière. Il faut donc pour celle qui s’est laissée influencer à renoncer à l’allaitement, de « faire le deuil » de cette image de mère allaitante. Notons que dans de nombreuses cultures la mère allaitante dispose d’un statut privilégié, celui de « déesse ».
  4. Les projections personnelles: Certains proches peuvent projeter leurs propres expériences, peurs ou insécurités sur les choix d’allaitement d’une mère. Si quelqu’un a eu une expérience négative avec l’allaitement ou se sentait incapable de le prolonger, il peut réagir avec de l’agacement face à une mère qui fait des choix différents. Cela peut également conduire à des comparaisons et des oppositions entre les mères.
  5. Les différences individuelles: Chaque mère a des motivations différentes pour allaiter longtemps, que ce soit pour des raisons de santé, de lien affectif ou d’autres facteurs personnels. Ces motivations individuelles peuvent être difficiles à comprendre pour les proches qui n’ont pas la même perspective. L’incompréhension peut alors entraîner de l’agacement et des conflits.

L’allaitement maternel prolongé suscite souvent de l’agacement chez certains proches, en raison des attentes sociales, des mythes et préjugés, de la pression de la société, des projections personnelles et des différences individuelles. Il est important de reconnaître que chaque mère fait des choix qui lui conviennent et qu’il est essentiel de respecter ces décisions. Au lieu de nourrir des comparaisons et des oppositions, il est préférable de soutenir et d’encourager les mères dans leurs choix d’allaitement, quelles qu’ils soient, car elles cherchent toujours le meilleur pour leur enfant.

Témoignage : Allaitement prolongé – Surmonter l’adversité pour tisser des liens maternels par Céline Baron, sophrologue et psychopraticienne.

« Dans ma quête en tant que mère, j’ai dû affronter les défis immenses de non pas une, mais deux grossesses difficiles. À chaque fois, j’ai dû subir une intervention chirurgicale et me faire poser un cerclage utérin pour préserver ces vies fragiles en moi. Ajoutant encore à la pénibilité, j’ai été confinée à un lit pendant de longs six mois, avec seulement cinq minutes d’autorisation pour me lever chaque jour. Ces grossesses ont mis mon endurance à l’épreuve, et la première d’entre elles s’est soldée par une hémorragie post-partum qui a bien failli me coûter la vie. C’est durant ces moments difficiles que ma détermination inébranlable à établir un lien profond avec mes enfants m’a poussée à choisir un allaitement prolongé.

Alors que les médecins et les pédiatres saluaient mon choix, ma famille et mes amis semblaient moins enthousiastes. Leur voix était empreinte d’irritation lorsqu’ils me réprimandaient en disant : « Je n’aurais pas pu le faire, j’ai un « vrai » travail, » ou qu’ils questionnaient avec scepticisme : « Tu vas arrêter un jour, n’est-ce pas ? » Une de mes voisines m’a même raconté des histoires de mères italiennes allaitant des enfants de cinq ans, me demandant si c’était cela que je désirais. Ainsi, hormis mes parents et mon mari qui étaient un soutien indéfectible, je me suis retrouvée face à un chœur de voix dissidentes. Cependant, derrière leurs objections, j’ai discerné des nuances de jalousie et de culpabilité. Il était évident que certaines de mes amies manquaient de la force nécessaire pour affronter les difficultés de la montée de lait et des premiers jours d’allaitement. Par conséquent, elles ont contourné cette étape en optant directement pour le biberon, en passant ainsi de l’accouchement à la facilité.

Il y a un manque de compréhension généralisé quant à l’incroyable lien mère-enfant tissé à travers l’allaitement maternel. Cette expérience riche échappe à bon nombre de personnes qui restent insensibles à la profondeur de cette connexion émotionnelle. Étrangement, j’ai coupé les ponts avec celles qui critiquaient mon choix, réalisant qu’elles n’étaient pas de véritables amies. Chaque fois qu’elles mentionnaient leur abandon abrupt de l’allaitement au profit du biberon, une amertume tenace m’envahissait. Je suis convaincue que nous ne répétons pas assez aux jeunes mamans qu’elles doivent faire confiance à leur instinct et ignorer les opinions des autres lorsqu’il s’agit d’élever leur enfant. Même lorsque nous prônons le bien et offrons le meilleur à nos proches, il y aura toujours ceux qui critiqueront, hantés par leurs propres frustrations et incapables de supporter nos succès là où ils ont échoué. Ceci n’est que mon humble opinion, forgée à travers un parcours de résilience et d’amour maternel.

En conclusion, mon périple ardu au travers de grossesses difficiles a renforcé ma détermination à embrasser l’allaitement prolongé. Malgré le scepticisme et la négativité de mes proches, j’ai découvert que de véritables alliés célèbrent nos choix plutôt que de les juger. Il est impératif que nous rappelions aux nouvelles mamans de suivre leur propre voix intérieure et de laisser de côté les opinions extérieures, car en matière d’éducation de leurs enfants, c’est leur intuition qui les guidera vers ce qu’il y a de mieux. Même lorsque nos intentions sont nobles et que nous offrons le meilleur à nos proches, nous devons nous préparer aux critiques de ceux qui ont connu leurs propres déceptions et qui ne peuvent supporter nos réussites. Ceci est simplement ma perspective humble, forgée à travers un voyage de résilience et d’amour maternel. »

La sophrologie, une alliée pour gagner en confiance dans l’allaitement long et le rôle de nouvelle mère

L’allaitement maternel est un voyage rempli d’émotions et de défis, surtout lorsqu’il s’agit d’opter pour l’allaitement long. Pour de nombreuses nouvelles mamans, cela peut susciter des doutes, des craintes et une perte de confiance en elles-mêmes. C’est là que la sophrologie peut jouer un rôle essentiel en les aidant à renforcer leur confiance face à cette expérience unique.

La sophrologie est une pratique qui associe des techniques de respiration, de relaxation, de visualisation et de concentration pour favoriser l’équilibre mental et émotionnel. En se connectant à leur corps et à leur esprit, les nouvelles mamans peuvent découvrir une source de confiance intérieure précieuse pour soutenir leur choix d’allaitement long.

La sophrologie offre un espace sécurisant où les femmes peuvent explorer leurs peurs et leurs doutes liés à l’allaitement. Grâce à des techniques de relaxation profonde, elles peuvent relâcher les tensions et les angoisses qui peuvent entraver leur confiance en elles. La respiration consciente, qui est au cœur de la sophrologie, permet de calmer l’esprit et de se recentrer, favorisant ainsi une perception plus positive et une confiance accrue dans leur capacité à nourrir leur enfant.

En pratiquant la sophrologie régulièrement, les nouvelles mamans peuvent également renforcer leur estime de soi et leur connexion avec leur intuition maternelle. La visualisation guidée peut les aider à imaginer des moments d’allaitement sereins et épanouissants, renforçant ainsi leur conviction en leur capacité à nourrir et à établir un lien profond avec leur bébé.

Un autre aspect clé de la sophrologie est la gestion du stress. Les nouvelles mamans font face à de nombreuses pressions et exigences, et cela peut affecter leur confiance en elles et leur expérience d’allaitement. La sophrologie leur offre des outils pour gérer le stress, favorisant ainsi un état d’esprit plus détendu et une meilleure réceptivité à l’allaitement long.

Enfin, la sophrologie peut aider les nouvelles mamans à trouver un équilibre émotionnel. Les hauts et les bas émotionnels font partie intégrante de la maternité, mais ils peuvent parfois ébranler la confiance en soi. La sophrologie permet de cultiver la stabilité émotionnelle, en favorisant la compréhension et l’acceptation des émotions, et en offrant des techniques pour revenir à un état de calme et de confiance.

En somme, la sophrologie offre un soutien précieux aux nouvelles mamans qui se lancent dans l’allaitement long. En renforçant la confiance en elles-mêmes, en cultivant la sérénité et en favorisant la connexion avec leur intuition maternelle, elles peuvent aborder cette expérience avec une assurance renouvelée. Grâce à la sophrologie, les nouvelles mamans peuvent se sentir plus à l’aise dans leur rôle de nourricières, en embrassant l’allaitement long comme un acte d’amour et de lien profond avec leur enfant.