Ces gens qui veulent que vous cédiez votre place

Il existe une catégorie de personnes qui, consciemment ou non, vous poussent à abandonner ce qui vous revient, ce qui fait votre particularité, votre singularité ou vos biens. Ce phénomène est particulièrement visible dans le milieu artistique, mais il se retrouve partout : en entreprise, dans le social, et même dans la sphère personnelle.

Certaines personnes veulent vous pousser à abandonner vos biens. Alors qu’il est devenu propriétaire à 30 ans, tout le monde autour d’Eric l’enjoint de revendre son bien pour redevenir locataire… « Tu es trop jeune pour t’enquiquiner avec la propriété ! » lui disent les jaloux et autres envieux. Léa, elle, affiche un look idéal : grande, mince, blonde aux cheveux très longs. Ses amies lui disent « Tu devrais couper tes cheveux, là ça ne va pas. Tu serais mieux avec les cheveux courts ». Hélas même les « amies » peuvent vous envier ! C’est une réalité. Autre cas et pas des moindres :

Béatrice, 27 ans, en a fait les frais. Fraîchement embauchée dans une structure sociale, elle entend chaque jour les mêmes plaintes : « Moi, je vais démissionner, ici c’est pourri. » Petit à petit, ces paroles s’insinuent en elle. Si tout le monde dit que c’est invivable, pourquoi rester ? Finalement, elle cède, remet son poste en question et finit par partir.

Dix ans plus tard, elle découvre avec stupeur que ceux qui se plaignaient tant sont toujours là… et ont gravi les échelons. Ce constat est amer : elle a fait un choix sur une perception biaisée.

La distorsion cognitive de Béatrice

Béatrice a été victime d’un biais bien connu : la distorsion du consensus négatif. Autrement dit, elle a pris les plaintes des autres comme une vérité absolue, sans considérer que chacun a son propre intérêt. Certains se plaignent pour se donner de l’importance, d’autres pour tester la résistance des nouveaux venus. Mais au fond, ils n’avaient pas vraiment l’intention de partir.

En cédant à ce discours toxique, Béatrice a laissé son destin être influencé par des influences extérieures au lieu de s’ancrer dans sa propre réalité.

Pourquoi il faut toujours continuer

Si un poste, une opportunité ou une place vous est donnée, c’est pour une raison. Il est essentiel de rester focalisé sur son propre chemin, sauf si une meilleure option avérée se présente. Ce n’est pas parce que d’autres doutent que vous devez douter aussi.

L’histoire de Béatrice illustre un principe clé : beaucoup de personnes critiquent leur situation, mais peu osent la quitter. Et si vous partez sur la base de leurs jugements, c’est vous qui perdez, pas eux.

La sophrologie, un outil pour la confiance en soi

Dans ce genre de situation, la sophrologie peut être d’une aide précieuse. Elle permet :

  • De prendre du recul face aux discours négatifs
  • De renforcer la confiance en soi et son intuition
  • De s’ancrer dans le moment présent pour faire des choix éclairés

Avec des exercices de respiration, de visualisation et de relaxation, on apprend à ne plus être balloté par les émotions des autres et à suivre sa propre boussole intérieure.

Rappelez-vous : votre place, c’est à vous de la défendre. Ceux qui vous disent de partir ont souvent tout intérêt à ce que vous cédiez.

A mon cabinet, j »étudie des routines personnalisées conçues spécialement pour mes clients pour les aider à forger leur volonté et à maintenir et atteindre leurs objectifs !

Alors, pourquoi leur offrir ce cadeau ?

« Pourquoi les autres sont jaloux de vous (et pourquoi ce n’est pas votre problème) »

Aujourd’hui, en 2024, un certain nombre de clientes, souvent brillantes et épanouies, viennent me consulter pour un écueil qu’elles rencontrent : une forme de jalousie qu’elles ressentent de la part des autres : proches, famille, collègues de travail ou clients. Bien souvent cette jalousie adopte différentes formes comme des réflexions sur leurs actions ou leur physique (pourtant irréprochable !), sur leurs capacités, des sous-entendus et des petites guerres ne reposant que sur l’emploi d’un mot, d’une posture etc. Voici ce que je leur recommande en général :

Soyons honnêtes : si vous êtes constamment la cible de regards envieux ou de petites remarques piquantes, ce n’est pas parce que vous avez fait quelque chose de mal. Bien au contraire. Les gens jaloux ne supportent pas une chose : votre lumière. Vous rayonnez, vous réussissez, vous attirez l’attention, et cela met certains dans tous leurs états. Alors, au lieu de vous culpabiliser, il est temps de comprendre ce phénomène et d’apprendre à le gérer avec panache et sans gène aucune !


La jalousie c’est LEUR problème pas le vôtre. La personne jalouse ne fait que projeter ses propres insécurités sur vous !

Pourquoi vous attirez la jalousie : le miroir de leurs insécurités

La jalousie, c’est leur problème, pas le vôtre. Quand une personne est jalouse, elle ne fait que projeter ses propres insécurités sur vous. Dans aucun cas la personne en face ne vous dira qu’elle vous envie, qu’elle aimerait posséder votre job ou votre physique ou encore votre éloquence… Non elle emploiera des moyens détournés pour vous faire douter de vos talents et là bien sûr vous devez vous concentrer sur vos beaux projets et non sur les dires de cette perspnne souvent peu épanouie.

Voici les raisons les plus courantes pour lesquelles vous pourriez déclencher ce type de réactions :

  1. Vous réussissez là où ils échouent
    Que ce soit votre carrière florissante, votre belle maison, ou simplement votre bonheur apparent, vos succès viennent mettre en lumière leurs frustrations. Et ça pique !
  2. Vous ne faites pas semblant
    Vous êtes authentique, vous assumez qui vous êtes, et ça dérange. Dans un monde où beaucoup portent un masque, votre sincérité peut être intimidante.
  3. Vous êtes bien dans votre peau
    Et ça, c’est impardonnable pour ceux qui n’ont pas encore trouvé leur propre équilibre. Ils préfèrent critiquer votre confiance plutôt que de travailler sur la leur.
  4. Vous osez être différente
    Votre style, votre mode de vie, vos choix hors des sentiers battus… Ils aimeraient avoir votre courage, mais au lieu de ça, ils jalousent.
  5. Ils se voient bien à votre place et estiment que, d’ailleurs, ils le mériteraient mais qu’on ne leur a pas donné même si dans leur esprit ils « cochaient toutes les cases »… Il y a là une injustice tout à fait illégitime qu’ils ressentent.

Paula explique : « Ma fille de 25 ans est mannequin. Elle a toujours été une jolie enfant et le mannequinat était son rêve. On dit que le milieu est difficile et égotique mais en réalité ma fille ne reçoit aucune jalousie des autres mannequins mais plutôt de ses proches. Pour exemple ma voisine l’a prise en grippe car elle considère que sa propre fille, qui est un beau brin de fille également, aurait pu, elle aussi, être mannequin. Mais voilà, sa fille n’a jamais eu le courage de courir les castings, donc non elle ne « cochait pas toutes les cases ». En fait ce qu’elle semble me dire est ; « Si ta fille dégageait du paysage, la mienne aurait sa chance ! » Mais en réalité pas du tout puisqu’il existe dans ce métier des critères notamment de taille à respecter. Ce n’est pas drôle mais ce sont les règles du jeu. Envier ma fille ne sert à rien, elle ferait mieux d’aider la sienne à trouver sa propre passion. Donc dès que toutes deux la croisent, elles essayent de lui démontrer par A+B qu’elle ne devrait pas être mannequin ! Ma fille ne dit rien pour une seule raison : elle sait qui a le job ! »

On le constate ici dans ce témoignage : l’autre jeune femme se verrait bien dans ce poste prestigieux qu’elle n’a pas obtenu pour des raisons formelles mais refuse d’accepter cette version et en veut donc à la fille de Paula pour son propre succès. Clairement la fille de Paula n’est intervenue à aucun moment, cette jalousie n’est donc pas son problème à elle !


Ce que la jalousie des autres révèle sur eux (et sur vous)

Ne le prenez pas personnellement. La jalousie n’est pas un compliment déguisé, c’est un aveu de faiblesse. Une personne jalouse montre qu’elle se compare à vous, qu’elle vous met sur un piédestal (même si elle ne l’avouera jamais). Et si on y réfléchit bien, cela ne fait que confirmer une chose : vous faites quelque chose de bien.

Le problème, c’est que leur jalousie peut vous atteindre. Ces petits regards condescendants, ces critiques sous couvert d’humour, ou cette froideur soudaine, peuvent finir par saper votre moral. Alors, comment s’en sortir sans perdre votre éclat ?


Arrêtez de culpabiliser : ce n’est pas à vous de les rassurer

Trop souvent, on se dit qu’on doit se faire plus discret pour ne pas « provoquer » la jalousie. Mais pourquoi faudrait-il s’effacer pour que les autres se sentent mieux ? Non, votre bonheur, votre réussite, ou votre style ne sont pas à modérer pour le confort émotionnel de quelqu’un d’autre.

Rappel essentiel : Vous n’êtes pas responsable de leur complexe. Si votre lumière les aveugle, c’est à eux de mettre des lunettes de soleil !


Comment gérer la jalousie comme une pro ?

Voici quelques stratégies simples mais efficaces pour faire face à cette jalousie envahissante sans perdre votre sang-froid (ou votre éclat) :

1. Prenez de la hauteur

Quand vous sentez que la jalousie pointe son nez, imaginez que vous êtes sur une montagne et eux dans la vallée. Ils peuvent crier autant qu’ils veulent, vous êtes trop haut pour entendre. En sophrologie, cela s’appelle une « visualisation d’élévation ». Très chic, très efficace.

2. Répondez par l’indifférence

Rien n’énerve plus une personne jalouse que de ne pas recevoir la validation qu’elle cherche. Elle pique une remarque ? Souriez poliment et passez à autre chose. La sérénité est votre meilleure arme.

3. Mettez des limites claires

Si leurs comportements deviennent envahissants, il est temps de dire stop. Une phrase simple comme : « Je sens que cette discussion n’est pas constructive pour moi » peut suffire à clouer le bec de la critique.

4. Ne minimisez pas vos succès

Vous n’avez pas besoin de jouer les faux modestes. Vous avez travaillé dur pour arriver là où vous êtes. Apprenez à célébrer vos victoires sans chercher à les cacher. Ce n’est pas de la vantardise, c’est de l’estime de soi.

5. Protégez votre énergie

En sophrologie, on parle souvent de se « recentrer ». Prenez 5 minutes par jour pour respirer profondément, visualiser une bulle protectrice autour de vous, et renforcer votre espace intérieur. C’est votre cocon, votre safe zone.


Le coaching : devenez inattaquable

Un bon coach vous apprendra à ne plus perdre votre temps avec les jalousies toxiques. Voici quelques techniques de coaching qui pourraient changer la donne :

  • Travaillez votre assertivité : Apprenez à répondre calmement mais fermement, sans vous justifier inutilement.
  • Affirmez vos valeurs : Plus vous êtes clair.e sur ce qui compte pour vous, moins les critiques vous atteindront.
  • Transformez la jalousie en moteur : Plutôt que de vous laisser abattre, utilisez ces réactions comme un signal que vous êtes sur la bonne voie.

Finalement : brillez, encore plus fort

Le meilleur moyen de gérer la jalousie des autres, c’est de ne jamais s’excuser de briller. Soyez fière de vos succès, de vos qualités et de votre unicité. Oui, vous dérangez, mais ce n’est pas une mauvaise chose. Cela signifie que vous faites une différence, que vous sortez du lot.

Alors, la prochaine fois que vous sentirez une pointe de jalousie autour de vous, souvenez-vous : ce n’est pas votre problème. Continuez d’être vous-même, car c’est exactement cela qui fait de vous quelqu’un d’unique et d’inspirant.

Et si vous avez besoin d’un coup de pouce pour renforcer votre confiance et rester zen face aux envieux, la sophrologie et le coaching sont là pour vous accompagner. Contactez-moi : ensemble, on fera de vous une véritable reine de l’assurance. 👑

Ils ne s’inquiètent pas pour vous : ils vous envient ! Comment certains proches toxiques vous empêchent de vous réaliser sans que vous ne le remarquiez

Les relations toxiques, particulièrement lorsqu’elles proviennent de proches, sont souvent difficiles à identifier. Sous des airs de bienveillance et de préoccupation, certaines personnes cachent en réalité une jalousie profonde qui les pousse à freiner votre épanouissement personnel. Que ce soit un parent, une amie ou un membre de la famille, ces individus cherchent à vous retenir, à vous empêcher de réussir là où ils ont échoué ou à vivre une vie qu’ils n’ont jamais pu atteindre. Voici comment ces dynamiques toxiques peuvent se manifester et comment les identifier pour mieux s’en libérer.

L’histoire de Sophie : une belle-mère envahissante

Sophie rêvait de lancer sa propre boutique de fleurs. Son projet était clair, sa passion immense. Mais dès qu’elle en a parlé à sa belle-mère, les choses ont commencé à changer. « Tu es sûre de vouloir te lancer là-dedans ? C’est un secteur tellement instable… », lui répétait-elle régulièrement. La belle-mère, sous couvert de conseils « sages », ne cessait de semer le doute dans l’esprit de Sophie. Chaque avancée était critiquée, chaque idée dénigrée. Peu à peu, Sophie s’est mise à douter d’elle-même, repoussant le lancement de son projet, jusqu’à l’abandonner complètement. Ce que Sophie n’avait pas réalisé, c’est que sa belle-mère, frustrée par ses propres échecs personnels, ne supportait pas l’idée que sa belle-fille puisse réussir là où elle avait échoué. La jalousie déguisée en inquiétude était en réalité une manière de garder Sophie sous contrôle et de saboter ses ambitions.

Le cas de Léa : une belle-sœur jalouse et possessive

Léa et sa belle-sœur, Marie, étaient très proches. Du moins, c’est ce que Léa croyait. Dès qu’elle a commencé à exceller dans son travail, obtenant des promotions et la reconnaissance de ses collègues, Marie a changé d’attitude. Elle s’est montrée de plus en plus critique, dévalorisant systématiquement les réussites de Léa. « Tu travailles trop, tu devrais te concentrer davantage sur ta famille, » disait-elle, insinuant que le succès de Léa au travail se faisait au détriment de sa vie personnelle. Marie, qui n’avait pas eu la même réussite professionnelle, envahissait constamment l’espace de Léa, lui prodiguant des conseils non sollicités et tentant de la convaincre de ralentir. Ce que Léa ne comprenait pas, c’est que derrière cette façade de « préoccupation », Marie était en réalité rongée par la jalousie. Elle ne supportait pas que sa belle-sœur puisse réussir là où elle-même avait échoué. Résister à ces tentatives de manipulation a permis à Léa de révéler la véritable nature de Marie : une jalousie maladive qui cherchait à la freiner plutôt qu’à la soutenir.

Camille et Emma : l’amie d’enfance toxique

Camille et Emma étaient inséparables depuis l’enfance. Leur amitié semblait indéfectible, mais à mesure que Camille avançait dans sa carrière et construisait une vie qui lui plaisait, Emma a commencé à se montrer de plus en plus intrusive et critique. Emma s’invitait constamment chez Camille, la conseillait sans cesse sur sa vie amoureuse, son travail, et même sur ses choix vestimentaires. Tout ce qui sortait des « conseils » d’Emma était teinté de mépris déguisé en fausse sollicitude : « Tu es sûre que ce poste est fait pour toi ? Ça a l’air tellement stressant, » ou encore « Tu es vraiment heureuse avec lui ? Je te vois tellement mieux avec quelqu’un de plus… ambitieux. » Ce que Camille a fini par comprendre, c’est qu’Emma n’était pas inquiète pour elle, mais jalouse de sa réussite. En s’opposant à ces critiques, en refusant d’écouter ces « conseils », Camille a découvert que l’amitié d’Emma n’était qu’un moyen pour cette dernière de se rassurer, en essayant de maintenir Camille à un niveau où elle pourrait continuer à se sentir supérieure.

Géraldine : la vieille amie jalouse

Géraldine et Claire étaient amies depuis le lycée. Pendant des années, Géraldine avait toujours perçu Claire comme une « faire-valoir », une amie qui lui permettait de briller en société. Mais les années ont passé, et Claire a non seulement bien vieilli, mais elle affiche désormais une vie enviable : un mariage heureux, des enfants épanouis, et des vacances de rêve qu’elle partage sur les réseaux sociaux. Géraldine, qui s’est retrouvée à stagner dans une routine monotone, n’a pu s’empêcher de ressentir une jalousie croissante. Elle commence à critiquer Claire en privé, minimisant ses réussites et insinuant qu’elle a simplement eu de la chance. Géraldine, qui se sentait autrefois supérieure, voit maintenant en Claire un miroir qui lui renvoie ses propres insécurités et regrets. Sous couvert de « préoccupations » pour le bien-être de Claire, elle multiplie les remarques acides, tentant de rabaisser son ancienne amie. En réalité, Géraldine est jalouse de cette vie qu’elle ne peut plus atteindre et essaie de minimiser le bonheur de Claire pour se rassurer elle-même.

Julie : la tragédie jalouse d’une ancienne relation

Julie a perdu un ex-petit ami dans des circonstances tragiques. Si cette perte l’a profondément marquée, la véritable douleur a surgi bien plus tard, lorsqu’elle a découvert que, bien après leur séparation, cet ex avait vécu une histoire d’amour avec l’une de ses proches, Myriam. Bien que cette relation entre son ex et Myriam n’ait eu lieu que longtemps après leur rupture, Julie n’a pu s’empêcher de ressentir une haine intense envers elle. Elle ne peut supporter l’idée que Myriam ait pu être heureuse avec celui qu’elle considère, de manière illégitime, comme « son amour perdu ». Cette jalousie va au-delà du simple deuil, car Julie refuse d’accepter que quelqu’un d’autre ait pu occuper la place qu’elle estime lui appartenir. Elle s’accapare le rôle de la « veuve éplorée », même si elle n’a plus de lien légitime avec cet homme. Par cette attitude, elle tente de contrôler Myriam, de l’empêcher de revivre ou de trouver à nouveau le bonheur, ne supportant pas que quelqu’un d’autre puisse avoir ce qu’elle croit lui revenir de droit.

Pierre et Jacques : le père possessif et envieux

Pierre, un jeune entrepreneur, a monté sa propre entreprise avec succès et a récemment acheté une maison. Cependant, au lieu de recevoir les félicitations et le soutien de son père, Jacques, ce dernier lui conseille de tout abandonner : « Ferme ton entreprise, vends ta maison, redeviens locataire et va travailler à l’usine. » Ce conseil, en apparence sage, est en réalité motivé par une jalousie intense. Jacques, qui n’a jamais réussi à atteindre un tel niveau de succès, envie son fils. Chaque fois que Pierre fait un pas en avant, Jacques essaie de le suivre. Lorsque Pierre achète une maison, Jacques en achète une également. Lorsque Pierre devient père, Jacques décide d’adopter un enfant. Malgré toutes ces tentatives d’imiter son fils, Jacques ne cesse de dénigrer ses réalisations, cherchant à minimiser la réussite de Pierre pour compenser ses propres frustrations. La jalousie dévorante de Jacques le pousse à vouloir contrôler son fils, à l’empêcher de réussir là où lui a échoué, et à faire tout ce qu’il peut pour le maintenir à un niveau qu’il considère comme acceptable.

Vanille : la chute dans les yeux de sa belle-famille

Vanille avait une vie de rêve. Rédactrice en chef pour un grand magazine, elle gagnait très bien sa vie et jouissait du respect de sa belle-famille, qui ne manquait jamais une occasion de se vanter de son succès. Tout allait bien, jusqu’au jour où Vanille a fait un burn-out. Épuisée par le stress et en quête de sens, elle décide de tout quitter pour devenir énergéticienne, se concentrant sur une vie plus paisible, axée sur son bien-être mental et physique. C’est là que les choses ont commencé à changer. Sa belle-famille, qui l’admirait autrefois pour son succès financier, se met à la dévaloriser, la jugeant à l’aune de son nouveau revenu bien plus modeste. Les remarques moqueuses et les piques se multiplient : « C’était bien mieux quand tu gagnais 6000 euros par mois. » Pendant des années, Vanille supporte ces critiques en silence, jusqu’au jour où elle décide de réagir. Utilisant son savoir et son éducation, elle riposte en remettant sa belle-famille à sa place. Le résultat est immédiat : les tensions éclatent, révélant la jalousie et le mépris sous-jacents que sa belle-famille nourrissait envers elle. Les choses tournent au vinaigre, prouvant que leur respect n’était en réalité que de la condescendance liée à son statut financier, et non à sa véritable valeur en tant que personne.

Comment résister et se libérer

Résister à ces influences toxiques est essentiel pour préserver son propre épanouissement. Dès que vous commencez à vous affirmer, à refuser de suivre les conseils de ces personnes, leur véritable nature se dévoile. Leur inquiétude prétendue se transforme en colère ou en mépris, révélant ainsi leur jalousie latente. C’est alors que vous comprenez qu’ils n’ont jamais voulu votre bien, mais qu’ils cherchaient à vous retenir, à vous empêcher de dépasser leurs propres limites.

Pour se libérer de ces relations néfastes, il est essentiel de travailler sur soi-même. La sophrologie, par exemple, est une méthode efficace pour renforcer la confiance en soi et se détacher des influences toxiques. Elle aide à développer une vision claire de ses objectifs, à rester centré sur ses priorités, et à repousser les tentatives de manipulation. En cultivant une meilleure connaissance de soi et en apprenant à gérer ses émotions, on parvient à s’affranchir des jugements des autres et à avancer sereinement vers ses aspirations.

Les proches toxiques, sous couvert de s’inquiéter pour vous, cachent souvent une jalousie profonde. Qu’il s’agisse d’une amie de longue date jalouse, d’une personne incapable de faire le deuil d’une relation passée, ou d’un parent envieux, ces individus cherchent à freiner votre épanouissement personnel. Identifier ces comportements et y résister est crucial pour ne pas se laisser entraîner dans une spirale de doute et d’autosabotage. Grâce à des outils comme la sophrologie, il est possible de retrouver confiance en soi, de se recentrer sur ses objectifs et d’avancer librement vers une vie qui vous ressemble.