Ces personnes qui vous induisent en erreur et influencent négativement votre vie

Il nous arrive à tous d’écouter des conseils de vie, de suivre une recommandation émanant d’un proche ou de faire confiance à une personne dont les intentions paraissaient bienveillantes. Pourtant, ces voix extérieures peuvent parfois nous égarer et nous faire perdre ce qui compte le plus : notre énergie, notre confiance, notre stabilité.
Dans cet article, je vous propose d’explorer trois situations concrètes et de voir comment la sophrologie peut nous aider à revenir vers l’écoute de Soi, à retrouver notre autonomie intérieure et à avancer avec plus de clarté.

S’écouter soi-même ne veut, bien entendu, par dire « répéter des schémas bien ancrés » qui détériorent la qualité de vie. Si mon inconscient me souffle de fuir systématiquement face à une relation qui promet d’être stable, par exemple, il faut pouvoir faire la part des choses. Je parle davantage ici de décisions éclairées et saines que vous souhaitez prendre mais auxquelles vous finissez par renoncer « sous influence ».

Trois situations fréquentes

1. La perte professionnelle

Vous aviez un poste qui vous convenait, mais quelqu’un vous a convaincu de changer, de « viser plus haut » ou de « prendre un risque ». Vous avez suivi ce conseil en croyant bien faire, et vous vous retrouvez aujourd’hui dans un travail qui ne vous correspond pas, ou même sans emploi. Derrière cette perte, c’est parfois un sentiment d’échec et de déstabilisation qui s’installe. Cela peut se vérifier aussi lors des études. Un autre étudiant vous raconte qu’il va abandonner cette filière qui « ne vaut rien ». Cela vous démotive, vous abandonnez aussi mais voilà l’autre, en fait, continue et bientôt vous « surpasse ». C’est une situation courante, oui, liée notamment à des filières ultra-compétitives comme les études de médecine oud ‘ingénieur.

2. La perte d’argent

Un proche vous a assuré qu’un investissement était « sûr » ou qu’une opportunité financière était à saisir immédiatement. Par peur de manquer une chance ou par confiance, vous vous êtes engagé·e… et l’argent s’est envolé. Cette expérience laisse un goût amer, non seulement à cause de la perte matérielle, mais aussi parce qu’elle ébranle la confiance dans votre discernement. Parfois un proche a bénéficié d’une aide de l’état quelconque pour changer de voiture ou pour des travaux et il en est ravi. Il veut donc absolument que vous suiviez le même chemin que lui, sauf que pour vous les coûts engendrés sont plus importants ou que le processus n’arrive pas à son terme. Parfois un proche peut se sortir d’une situation sans embûches mais ce n’est pas le cas pour tout le monde, et, vous y perdez.

3. La perte de confiance en soi

Certains conseils répétés, même avec de bonnes intentions, peuvent miner notre estime. « Tu n’y arriveras pas », « ce n’est pas pour toi », « ce n’est pas réaliste »… Ces petites phrases s’impriment en nous, jusqu’à parfois nous couper de nos propres envies, de nos élans et de notre créativité. Pendant mes études, j’avais un job étudiant à l’IFOP. J’effectuais donc des sondages. Une de mes amies qui manquait cruellement de confiance en elle, à cause de son physique (elle était en surpoids important et cela lui empoisonnait la vie) a commencé à me prendre pour un « faire valoir » lorsqu’elle a su que je faisais de ssondages le weekend. Ce type de poste était selon elle, même en emploi étudiant, « dévalorisant ». Elle y vit donc une occasion de « redorer » son blason à mes dépends. Je savais pour ma part que ce job n’était qu’un petit emploi étudiant qui me permettait une autonomie financière, je n’en faisais pas des montagnes. Quinze ans plus tard je recroise cette amie alors que je suis en compagnie d’une « célébrité » avec qui je travaille. Elle me prend à partie, presque les larmes aux yeux, et me dit froidement : « Comment peux-tu avoir un tel emploi ? Tu faisais des sondages ! » Cet exemple démontre comment certaines personnes choisissent un élément biographique vous concernant et en font une « vérité » absolue. Dans sa tête, j’avais passé les 20 dernières années à « faire des sondages ». On devine déjà comment une telle personne doit traiter ses proches et à quel point elle doit agir sur leur estime de soi !

Comment écouter notre adulte intérieur ?

L’« adulte intérieur » est cette part de nous qui sait discerner, qui observe les situations avec recul et qui prend ses décisions en conscience. Dans l’exemple ci-dessus, même à 20 ans, j’écoutais cet adulte intérieur me soufflant que cet emploi était alimentaire et provisoire. Mais l’autre, elle, écoutait son adolescente intérieure qui la faisait perpétuer une image ancienne et obsolète de l’autre…


Apprendre à l’écouter, c’est :

  • Prendre un temps de pause avant de dire « oui » à un conseil ou une proposition.
  • Se demander : Est-ce que cela résonne avec mes valeurs ? Avec ce que je veux vraiment ?
  • Se rappeler que personne ne vit notre vie à notre place.

Développer l’écoute de soi grâce à la sophrologie

La sophrologie propose des exercices simples pour renforcer cette capacité d’écoute intérieure :

  • La respiration consciente : revenir à soi par quelques respirations profondes permet de calmer l’émotionnel et de retrouver une clarté mentale avant toute décision.
  • La visualisation positive : se projeter dans la situation future, comme si vous aviez déjà dit « oui » ou « non », permet de ressentir dans le corps ce qui est juste pour vous.
  • Le recentrage corporel : se connecter à ses sensations physiques aide à distinguer une intuition vraie (souvent légère, fluide) d’une influence extérieure (souvent lourde, crispée).

Conclusion

Écouter les conseils peut être enrichissant, mais il est essentiel de garder le gouvernail de sa vie entre ses mains.
En renforçant l’écoute de votre adulte intérieur et en cultivant une présence consciente grâce à la sophrologie, vous développez un discernement qui vous protège des influences négatives.
C’est ainsi que chaque choix devient une occasion de grandir en confiance, en autonomie et en sérénité.

Quand vous gagnez vos ailes, les personnes contrôlantes vous disent ces 5 phrases


Vous commencez à changer, à prendre confiance en vous, à écouter vos envies et à tracer votre propre chemin. Et là, certaines personnes autour de vous semblent perturbées. Elles froncent les sourcils, lancent des remarques déguisées, comme si votre évolution les dérangeait.

Ce n’est pas contre vous, mais contre ce que vous représentez : une preuve vivante qu’il est possible de bouger, de s’affirmer et d’évoluer. Et cela, tout le monde ne l’accepte pas facilement. Voici quelques phrases qu’on vous dira peut-être en chemin.

1. « Tu es sur la mauvaise pente… »

Sous-entendu : « Reviens vite dans la case où je t’avais rangé(e). »

Carole, votre amie de fac qui n’a jamais osé changer de travail ni exprimer ses vrais désirs, vous dit cela avec inquiétude. Mais en réalité, c’est sa propre peur qu’elle projette sur vous. Parce que vous osez faire ce qu’elle n’a jamais osé.

2. « Tu as changé. »

Comme si c’était un reproche. Heureusement que vous avez changé. Vous avez appris à dire non, à faire des choix qui vous ressemblent, à ne plus vous contenter du minimum. Et c’est une excellente chose.

Maxime, votre collègue, trouvait bien pratique que vous preniez en charge tout le travail pendant qu’il profitait de la machine à café. Il regrette surtout que l’ancienne version de vous l’arrangeait.

3. « Tu t’embourgeoises… »

Parce que vous ne voulez plus accepter n’importe quoi, que vous faites attention à votre bien-être et que vous osez vous faire plaisir.

Paul, un ami qui n’a jamais cherché à améliorer son quotidien, trouvait rassurant de vous voir galérer comme lui. Maintenant que vous vous permettez une vie plus confortable, il ne sait plus comment vous considérer.

4. « Tu fais ta crise. »

Comme si changer d’avis ou de direction était une simple lubie.

Votre tante Michelle, qui a toujours suivi le chemin tracé sans poser de questions, n’arrive pas à comprendre qu’on puisse décider de changer de vie. Elle préfère voir cela comme une « crise » passagère plutôt qu’une véritable transformation.

5. « Tu es égoïste. »

Autrement dit : « Avant, tu faisais tout pour les autres, et maintenant, tu penses à toi. »

Sandra, une amie de longue date, comptait beaucoup sur votre disponibilité et votre patience. Elle a du mal à accepter que vous posiez des limites, car cela la prive d’un confort auquel elle s’était habituée.


Moralité ? Continuez sur votre lancée

Si vous entendez ces phrases, prenez-les comme un signe que vous êtes en train d’évoluer. Certains ne le supportent pas, car cela les confronte à leurs propres blocages.

Mais ce n’est pas votre responsabilité de les rassurer ou de leur prouver quoi que ce soit. Vous ne faites que devenir la version la plus authentique de vous-même.

Alors poursuivez votre chemin, avec confiance. Ceux qui tiennent vraiment à vous respecteront votre épanouissement. Les autres ? Ils finiront par s’y habituer, ou s’éloigneront d’eux-mêmes.

Besoin de vous révéler ? Prenez rendez-vous au 06 56 77 02 11 !

Ces gens qui ne respectent pas qui vous êtes : pourquoi il faut les fuir sans hésiter

Dans la vie, on croise toutes sortes de personnes. Certaines vous élèvent, vous inspirent, vous encouragent à briller. Et puis, il y a les autres. Ceux qui refusent d’admettre vos réussites, votre bonheur, votre statut, vos choix ou votre évolution. Qu’ils soient proches, amis, collègues ou même de simples connaissances, ces gens-là sont toxiques. Pourquoi ? Parce qu’ils n’acceptent pas ce que vous incarnez. Pire, ils vous en veulent d’exister pleinement dans une version de vous-même qu’eux n’ont pas le courage ou la capacité d’atteindre.

Quand vos réussites sont insupportables pour eux !

Prenons l’exemple de Sarah, artiste peintre, qui décroche enfin une exposition dans une galerie reconnue. Au lieu de recevoir des félicitations sincères, sa cousine lâche :
« Oh, tu sais aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, tout le monde peut exposer… ».

Traduction : « Ton succès me dérange, donc je le dévalue pour me rassurer. »

Même schéma pour Justine, qui a intégré la SACEM après des années de travail acharné. Son oncle, qui gratte sa guitare dans le garage depuis 30 ans sans jamais oser postuler, ricane :
« La SACEM, c’est plus ce que c’était… ».

Face à ce type de comportement, inutile de chercher à convaincre ou à vous justifier. Ces gens-là ne cherchent pas la vérité, ils veulent juste vous ramener à une taille qui les arrange : une taille qui ne les dérange pas.


Quand votre bonheur personnel les dérange profondément

Mais ce n’est pas tout. Il y a aussi ceux qui ne supportent pas que vous soyez heureux, surtout en amour. Vous êtes mariée depuis 20 ans avec un homme génial, fidèle et présent ? Vous êtes la cible idéale pour les femmes divorcées aigries qui répandent leur venin comme une vérité universelle :
« De toute façon, le mariage finit toujours mal. Tu verras, tu divorceras comme nous toutes. »

Ou encore cette « amie » jalouse qui vous glisse à chaque apéro :
« Franchement, tous les hommes trompent, t’es juste pas au courant. »

Ces discours ne relèvent pas de la sagesse ou de l’expérience de vie, mais de la projection pure. Elles ne parlent pas de vous. Elles parlent de leurs blessures, de leurs échecs et de leur incapacité à croire qu’une autre réalité est possible. Le problème, c’est que leur amertume dégouline sur vous comme un poison lent. À force, vous finissez par vous demander si elles n’ont pas raison. Spoiler : elles ont tort. Leur vérité n’est pas la vôtre.


Quand vos choix matériels et sociaux deviennent une offense !

Vos choix de vie dérangent aussi. Vous avez acheté plusieurs biens immobiliers grâce à votre travail ? Une amie qui peine à joindre les deux bouts vous balance :
« C’est indécent d’avoir autant quand d’autres galèrent. Franchement, t’aurais pas honte, à ta place ? ».

Vous êtes heureuse dans un couple solide et épanoui ? Un collègue ou une cliente joue au sourd chaque fois que vous mentionnez votre mari, comme si ce bonheur conjugal n’avait aucune légitimité. Il vous parle comme à une célibataire en attente de séduction.


Pourquoi il faut les fuir — et vite

Ces comportements sont toxiques parce qu’ils sont délibérés. Ce ne sont pas des maladresses, mais des stratégies inconscientes pour vous faire douter de ce que vous avez construit. Derrière chaque pique, chaque remarque sournoise, il y a un message caché :
« Ce que tu es, ce que tu as, ce que tu représentes, je refuse de l’admettre parce que ça me confronte à mon propre mal-être. »

Ces gens ne vous veulent pas du bien. Ils veulent juste que vous rétrécissiez pour qu’eux se sentent moins petits. Ils refusent de vous voir telle que vous êtes parce que votre réussite, votre bonheur ou même votre stabilité les renvoient à leurs propres frustrations.


Fuir n’est pas de l’arrogance, c’est de la santé mentale !

Couper les ponts ou mettre une distance claire avec ce type de profil, ce n’est pas être égoïste. C’est un réflexe de survie psychique. Vous n’avez pas à vous excuser de réussir, d’être heureuse, d’avoir trouvé l’amour ou d’avoir bâti une vie qui vous ressemble. Vous n’avez pas à vous cacher pour rassurer ceux qui ne savent pas gérer leur propre insatisfaction.

Entourez-vous de ceux qui célèbrent vos victoires, qui respectent vos choix, même s’ils sont différents des leurs. Soyez avec des gens qui vous voient telle que vous êtes, sans filtre déformant. Car c’est auprès d’eux que vous pourrez grandir encore, au lieu de vous rabougrir pour rassurer les autres.


En résumé : assumez votre lumière — et laissez les ombres derrière !

Que vous soyez mariée ou célibataire, diplômée ou autodidacte, artiste ou chef d’entreprise, propriétaire ou locataire, vous avez le droit d’exister pleinement. Ceux qui vous aiment vraiment respectent vos choix et vos différences. Les autres ? Dehors.

Votre vie n’a pas à devenir le terrain de jeu de leurs insécurités mal digérées.

Vous souhaitez apprendre à recadrer les gens sans pâtir personnellement d’avoir à dire enfin « non ! » aux comportements toxiques ? N’hésitez pas à me consulter dans le cadre du Coaching de vie !

Comment ne pas se laisser impacter émotionnellement par les personnes contrôlantes et pessimistes : un guide en sophrologie

Être confronté à des personnes contrôlantes ou pessimistes peut rapidement devenir épuisant sur le plan émotionnel. Leur tendance à vouloir imposer leurs idées ou à projeter une vision sombre du monde peut nous perturber et même altérer notre bien-être. La sophrologie propose des outils pratiques pour préserver notre équilibre intérieur face à ces situations. L’une des techniques les plus efficaces est la visualisation, qui permet de nous protéger des énergies négatives tout en cultivant sérénité et résilience.

Chacun peut être confronté au côté contrôlant ou pessimiste de l’autre. Lutter verbalement n’est souvent pas la bonne façon de faire car discuter avec des personnes utilisants des concepts irrationnels ou ne sachant pas, dans une situation donnée, faire la part des choses, est une pure perte de temps !

1. Visualiser une bulle protectrice

Lorsqu’une interaction devient pesante, imaginez-vous enveloppé(e) dans une bulle protectrice. Cette bulle représente votre espace personnel et agit comme un filtre : elle bloque les énergies négatives tout en laissant passer les énergies neutres ou positives. Donnez à cette bulle une couleur apaisante et puissante, comme le bleu, le doré ou le blanc. À chaque respiration, renforcez cette barrière et sentez-vous en sécurité à l’intérieur. Cet exercice simple vous aide à prendre du recul et à protéger votre énergie. L’inconscient accepte bien l’image symbolique qui est son langage ! Le message passera bien ainsi !

2. S’enraciner grâce à la visualisation de la nature

Face à une personne qui vous submerge émotionnellement, l’enracinement est une technique efficace pour rester ancré(e). Fermez les yeux et imaginez-vous comme un arbre robuste, avec des racines profondes qui s’étendent dans la terre. Visualisez ces racines absorbant la stabilité et la force de la terre, tout en laissant descendre les émotions négatives vers le sol, où elles se dissolvent. Cette pratique vous permet de rester centré(e), calme, et moins réactif(ve) face aux perturbations extérieures.

Il est aussi possible de constater que votre conscience est ouverte et probablement plus évoluée que celle de ces personnes. Donc, de toute façon et à la base, vous êtes toujours gagnant !

3. Prendre de la distance avec compassion

La sophrologie nous invite également à cultiver une perspective bienveillante tout en maintenant une distance émotionnelle. Visualisez la personne contrôlante ou pessimiste entourée d’un nuage représentant ses propres peurs, inquiétudes ou frustrations. Imaginez-vous en train de reculer doucement, hors de ce nuage, tout en le regardant avec empathie mais sans y entrer. Cet exercice permet de ne pas absorber leur énergie tout en renforçant votre propre paix intérieure.

Conclusion : Préserver son équilibre intérieur

En pratiquant régulièrement ces visualisations, vous apprenez à transformer les rencontres difficiles en opportunités pour renforcer votre résilience et votre bien-être. Les outils de la sophrologie vous permettent de rester maître de votre monde intérieur, même face aux influences négatives. Prenez soin de vous et rappelez-vous : en cultivant la sérénité, vous créez un espace de protection et de force inébranlable.

Comprendre la malveillance de certains, quelques exemples

Nous connaissons tous des personnes malveillantes et toxiques qui influencent parfois notre comportement. Le véritable souci : peut-être mettez-vous alors vos projets en « stand by » ou vous-empêchez vous de mener à bien certaines décisions ou certains actes ? Ces personnes savent vous culpabiliser ou vous pousser à vous déconcentrer de vos objectifs !

Dans cette vidéo spontanée je vous explique, par l’exemple, comment comprendre la malveillance de certains. Comprendre leur fonctionnement c’est déjà se couper des personnes toxiques !

Dans cette vidéo spontanée je vous explique pourquoi et comment il faut couper les liens avec les personnes toxiques et malveillantes.