Pourquoi de nombreux freelances ferment boutique rapidement : Les principales erreurs à éviter

Se lancer en tant que freelance peut sembler être un rêve : liberté, autonomie, passion au service de son métier, voyages parfois. Pourtant, beaucoup abandonnent rapidement, parfois moins d’un an après avoir commencé. Pourquoi ? Quelles sont les erreurs qui les mènent à l’échec ? A mon compte depuis 1999, je vous offre un éclairage sur les pièges à éviter pour pérenniser votre activité. Il s’agit ici de mes propres constatations. J’accompagne des particuliers qui veulent sauter le pas du travail en indépendant et je remarque également, parfois, des comportements qui peuvent mettre le projet en danger. On en parle ci-dessous.

Mais avant tout je tiens à effectuer une distinction entre les freelances : il y a ceux qui sont pleinement à leur compte. Ils reçoivent des clients (je pense ici aux thérapeutes, par exemple et aux métiers du consulting) dans leurs locaux ou chez eux. Et il y a ceux qui sont à leur compte suite à une demande, parfois d’un employeur transitoire qui va devenir un client. Ici c’est un peu différent : il n’y a qu’un seul client (une entreprise) chez qui le freelance engage tout son temps. A l’observer il est un salarié comme les autres et pourtant non : il a un statut freelance MAIS les avantages d’un salarié. Il n’a pas besoin de trouver d’autres clients si celui-ci lui rapporte suffisamment. La posture est à la fois avantageuse et dangereuse. Un seul client c’est mettre tous ses oeufs dans le même panier. Mais si la relation fonctionne depuis des années, pas de nuages à l’horizon.

Pour les autres, voici les erreurs à éviter absolument !


1. Oublier qu’être freelance, c’est aussi être chef d’entreprise

Une erreur fréquente chez les freelances est de se concentrer uniquement sur leur métier ou leur passion, en oubliant la gestion administrative, financière et stratégique. Pourtant, les charges sociales, les impôts, et les factures ne se paient pas toutes seules. Sans une vision claire de votre rentabilité et de vos objectifs, le risque de se retrouver à court de trésorerie est grand. Chaque mois je reverse presque 25% de ce que je gagne à l’urssaf. Donc lorsqu’on me dit : « Mais 60 euros la séance c’est cher », j’explique les années d’études, l’expertise de 26 ans, le résultat obtenu nulle part ailleurs, totalement personnalisé mais aussi… les charges ! Et je précise : « Et pourtant vous voyez, je suis chez moi mais j’ai aussi une taxe pour pouvoir exercer dans mon propre sous-sol ! » Mes clients sont alors beaucoup plus compréhensifs. Il faut également expliquer les cotisations que vous payez auprès de différentes chambres.

Astuce : Consacrez chaque semaine un temps dédié à la gestion. Utilisez des outils pour suivre vos revenus et dépenses, et prévoyez un budget pour les périodes creuses.


2. Investir dans le « grandiose » plutôt que dans le durable

Beaucoup de freelances rêvent d’un local professionnel ou d’un bureau bien décoré dès le départ. Mais ces dépenses inutiles peuvent absorber vos premiers revenus et mettre en péril votre activité.

Les thérapeutes installés dans une ville finissent par connaître les locaux : ceux qui fonctionnent et les autres. Certains locaux bien que correctement placés ferment régulièrement. Les seuls à gagner de l’argent ? Les propriétaires !

Astuce : Travaillez chez vous si possible, au moins les trois premières années. Concentrez vos ressources sur ce qui est vraiment nécessaire : un ordinateur performant, des logiciels adaptés, et un environnement de travail fonctionnel.


3. Tomber dans le piège de la communication de masse

Créer des publicités coûteuses ou multiplier les publications sur les réseaux sociaux sans stratégie claire peut rapidement devenir un gouffre financier et un gaspillage d’énergie. À l’inverse, ignorer les outils de communication (site web, cartes de visite) sous prétexte qu’ils ne « servent à rien » est tout aussi dangereux. Attention, des formations « arnaques » sévissent sur la toile : on vous y explique que la communication classique (flyers, cartes de visite etc.) ne sert à rien. Ces formations sont montées de toutes pièces par des thérapeutes qui justement ne gagnent pas leur vie…

Astuce : Optez pour une communication ciblée. Un site web simple et efficace suffit pour démarrer. Ajoutez des témoignages clients, développez votre réseau professionnel, et investissez dans des actions mesurables.


4. Procrastiner et manquer de discipline

L’un des pièges du freelancing est la tentation de prendre son temps, surtout le matin. Mais chaque minute perdue est une opportunité manquée pour prospecter, produire ou développer son activité.

Astuce : Mettez en place une routine stricte. Fixez des horaires de travail réguliers et respectez-les comme si vous étiez salarié.


5. Ne pas épargner pour les périodes difficiles

Les freelances ont des revenus irréguliers. Pourtant, peu d’entre eux pensent à épargner dès qu’ils commencent à générer du chiffre d’affaires. Résultat : au premier mois difficile, c’est la catastrophe.

Astuce : Dès le début, mettez de côté un pourcentage de vos revenus (10 à 20 %) pour constituer une épargne de sécurité.


6. Se spécialiser trop vite ou manquer de diversité

Se « nicher » est une bonne idée pour devenir expert, mais se limiter à une seule activité ou à un seul type de clientèle peut devenir risqué. Si le marché évolue ou si vos clients se désengagent, vous risquez de vous retrouver sans ressource.

Astuce : Diversifiez vos services et cherchez à avoir des clients variés. Cela vous permettra de rester adaptable et de limiter les risques.


7. Faire des erreurs stratégiques la première année

Les premières années sont cruciales. Dépenser pour de la décoration, se glorifier de son statut sans résultats solides, ou changer de secteur fréquemment peuvent vous faire perdre en crédibilité et en argent. Beaucoup de clients souhaitant se mettre à leur compte rêvent sur leur logo, le nom de leur entreprise et mettent beaucoup d’énergie (et de paroles) là-dedans… Hélas lorsqu’on leur rappelle que de monter son entreprise c’est avant tout de trouver ses premiers clients, ils désenchantent rapidement. Pourtant ici est le nerf de la guerre : le nombre de clients !

Astuce : Bâtissez sur l’existant. Misez sur des investissements minimes mais efficaces, comme la formation continue, et attendez d’avoir une base stable avant d’élargir ou de diversifier.


8. Donner trop d’informations sur vos clients

Beaucoup de freelances aiment mettre en avant les entreprises avec lesquelles ils travaillent pour se crédibiliser. Mais attention : vos concurrents pourraient en profiter pour démarcher vos clients.

Depuis 1999 j’ai travaillé avec environ 200 organismes. Ces données sont pour moi hautement confidentielles. Si vous allez sur mon nouveau Linkedin, vous constaterez que je le précise.

Astuce : Gardez une certaine discrétion sur vos collaborations, sauf si vous avez leur autorisation ou si cela renforce votre portfolio de manière stratégique.


9. Se comparer aux autres

Dans un monde ultra-connecté, il est facile de regarder ce que font les autres freelances et de se sentir en retard ou insuffisant. Cela peut vous amener à prendre de mauvaises décisions, comme copier une stratégie qui ne vous convient pas.

Astuce : Restez concentré sur vos objectifs. Chaque freelance a son propre rythme de croissance. Inspirez-vous des autres, mais ne perdez pas de vue votre propre chemin.


En conclusion

En général, évitez de varier votre offre trop souvent. En voulant s’adapter aux modes et aux tendances, vous perdez en crédibilité. De la même façon évitez de prendre un SIRET sans avoir bien défini votre activité : certains passent de la restauration à la gestion d’entreprise puis de la gestion d’entreprise à l’immobilier avant d’ouvrir un magasin dont l’objet n’a rien à voir avec l’expertise précédente… Vous ne pouvez être pris au sérieux de cette manière sur votre « territoire ».

Par contre il est tout à fait possible, si, comme moi, vous avez l’âme d’un artiste, d’intégrer vos passions à vos activités. Par exemple : j’écris des livres mais depuis que j’ai mon cabinet de thérapeute, j’écris davantage des ouvrages pouvant aider mes clients. Je fais de la peinture et du modelage mais ceci est intégré à mes séances d’art-thérapie. Etc.

Être freelance, c’est jongler entre passion, stratégie et discipline. En évitant ces erreurs courantes et en adoptant une gestion rigoureuse, vous augmentez vos chances de succès durable. Gardez en tête qu’une activité stable se construit dans la durée, avec patience et persévérance. Alors, ne cherchez pas à brûler les étapes : chaque petite victoire vous rapproche de votre objectif ! 🌟

Changer de vie ? Oui mais l’accompagnement est incontournable !

Se faire accompagner à l’installation, par le Coaching en Suppression des croyances limitantes et le Consulting en leadership entrepreneurial

Notre monde va de plus en plus vite. Il est de plus en plus connecté et les conséquences sont, pour la plupart des salariés ou des demandeurs d’emploi, une déshumanisation galopante… Aussi, l’homme qui ne se sent pas épanoui dans sa vie personnelle ou dans son « statut » rêve de « changer de vie ». Pourtant « changer de vie » n’est pas anodin et le rêve reste du rêve… Tout le monde n’est pas prêt à se confronter à la réalité, et peu de ceux qui décident réellement de « sauter le pas » comprennent pleinement ce que le concept de changement sous-tend à long terme…

… Car « changer de vie » est très différent de changer d’emploi ou de changer de partenaire ou de ville… « Changer de look » de corps ou d’attitude, voir la vie différemment, changer sa vision des choses et des évènements peut initier un « changement de vie ». Pourtant tout chambouler en perdant ses repères, ses racines, son confort et sa sécurité est un concept hautement déstabilisant. Le jeu n’en vaut pas toujours la chandelle et c’est plutôt positif que de l’admettre. Explications.

De salarié à « sans filet » …

Chaque année, des milliers de personnes sautent le pas du changement de vie. Avec plus ou moins de bonheur il faut en convenir… Passant du statut très sécurisé de salarié à celui, par exemple, d’autoentrepreneur, un statut relativement « précaire » surtout dans les domaines ne touchant pas directement au commerce… Certains veulent changer de cap, d’autres expérimenter le retour à Soi ou à la nature. Hélas si ce changement n’est pas préparé avec soin, cette aventure – plutôt désirable et excitante – à la base peut virer au cauchemar… Souvent la faute à un manque de réalisme et de préparation.

Écouter et comprendre les « déçus » du grand changement …

Ainsi au cabinet, je reçois des « déçus » du grand « changement de vie » qui se sentent « leurrés » par un système médiatique qui leur a tant fait croire qu’il était « facile d’entreprendre » (en Auvergne ou ailleurs…) et que la bonne volonté suffisait bien… Pour exemple cette jeune femme pour qui la « mise à son compte » dans un local coûteux en centre-ville n’aura pas excéder 3 mois : le temps de se rendre compte qu’avec quelques ventes journalières d’objets « écolos » elle ne pourrait pas continuer de payer les 1000 euros de loyer mensuels nécessaires à offrir un « pignon sur rue » à son activité… C’est un fait : beaucoup de nouveaux entrepreneurs désireux de bien faire dépensent sans compter pour des sites web qui ne rapportent que peu de trafic et peu de clients, des cartes de visites hors de prix qui ne touchent qu’une personne sur 2000, des formations onéreuses pour « devenir autonome dans son domaine », formations vendues par des entrepreneurs qui eux-mêmes n’arrivent pas à trouver de clients … Cette mise en danger financière est très pesante et génératrice de stress… Oui notre société nous vend des success stories qui « zappent » les phases peu « glamour » du changement : la nécessaire coupure d’avec sa zone de confort, la prospection commerciale vitale, la fidélisation difficile de ses clients etc. Parfois aussi je reçois des gens avec un profil très casanier, qui se sont laissés tenter par des amis entrepreneurs dans l’âme, les prenant comme modèles… Là le projet aurait mérité d’être redéfini. Une thérapie pour gagner en confiance en soi aurait été profitable « avant »…

Aucune expérience n’est similaire …

Hélas aucune expérience d’entrepreneuriat n’est similaire. Il n’existe pas de copié/collé en ce domaine. Nous avons tous eu dans nos classes, enfants ou jeunes adultes, des gens paraissant peu enclins à la réussite ou à l’entrepreneuriat qui ont fait mentir nos prédictions défaitistes à leur égard… Il n’y a pas de loi mais il est tout de même possible de mettre des atouts de son côté lors d’un grand changement professionnel…

Après 20 ans d’entrepreneuriat dans la Communication puis la Thérapie, je suis l’une de celles qui peuvent témoigner de ce qui s’apparente à un mode de vie : on ne se fait jamais, hélas, à l’irrégularité de l’activité même si des mois sortent nettement du lot dans l’année. Il faut plus qu’une envie de « changer de vie » pour non pas « réussir » mais bien pour « durer » car là est le but ! Il n’y a rien de péjoratif dans le fait de durer. Il faut juste au préalable avoir bien défini ses objectifs… Alors le succès peut être au rendez-vous.

Quels sont vos buts premiers ?

En « changeant de vie » et en se mettant à son compte on souhaite souvent obtenir davantage de temps pour soi et pour sa famille ou se délester du poids pesant d’un patron exigeant ou en décalage avec nos valeurs profondes. On recherche de la fraîcheur, l’excitation d’être son seul patron avec la liberté que cela peut induire. Pourtant l’aventure peut tourner court. En étant entrepreneuse depuis 1999, j’ai tout de même toujours compté, en plus de mes clients particuliers, de grosses entreprises parmi ma clientèle. Certaines « sessions » de travail régulières me faisaient presque oublier parfois  que oui j’étais bien à mon compte… Il m’arrivait ainsi de demander l’autorisation à un client majeur de « poser mes congés »… Au fil du temps le stress professionnel peut revenir, se déplaçant à un niveau autre. La pression que les autres nous mettaient hier, nous pouvons très bien nous l’imposer aujourd’hui nous-mêmes !

Une offre de consulting pour se mettre à son compte

C’est pourquoi, après 20 ans d’entrepreneuriat, j’ai monté mon offre de consulting à destination de ceux qui veulent « changer de vie ». Être accompagné, développer sa posture de décideur et de leader sont des étapes plus que nécessaires, même lorsqu’on a occupé un poste à haute responsabilité (ce fut mon cas puisque je gérais des équipes de journalistes et de rédacteurs pour un groupe de presse national après avoir fondé mon agence-conseil en communication à Paris). Le consulting permet d’obtenir un regard bienveillant différent mais aussi « challengeant ».

Sept années pour gagner une expertise complète…

Travailler pour soi est si différent que cela demande, en plus de l’abnégation et du positivisme incontournables, des techniques et des pratiques (notamment de prospection et de fidélisation de la clientèle) bien rodées. Souvent le temps de les acquérir comme expertises est « trop long ». C’est quand on « ferme sa boite » pour raisons financières que cette expertise commençait à peine à poindre… D’où une certaine frustration des nouveaux arrivés en « solo ». Une expertise dans un domaine nouveau, c’est en général 7 ans de pratique intensive quel que soit le domaine, niveau Cadres.

Connaître ses croyances limitantes

C’est pourquoi le Coaching en Suppression des Croyances limitantes mené à son terme (12 séances) est si utile pour apprendre à se connaître, définir ce qui nous freine (qui ne freinera pas forcément un autre). Ce travail incontournable pour se mettre à son compte et aller en confiance et en sérénité ne se fait pas sans « inconfort ». Sortir de sa bulle de confort est nécessaire ainsi que la remise en question de ses pratiques et de ses postures. Parfois un positivisme à toute épreuve ne suffit pas ! Le sujet n’est pas là. Il est ailleurs : par exemple dans l’organisation, la capacité ou non à planifier au moins à 6 mois, la capacité ou non à oser pousser des portes… Celle à apprendre de ses échecs parfois.

Sans cadre la belle initiative tourne au vinaigre…

Comment termine un « changement de vie » non cadré pour des gens qui n’ont pas une pleine confiance en eux, une expertise incomplète de leur activité et peu d’appuis ou de réseau ? Souvent par un « jeté d’éponge » qui sera difficile à surmonter. La belle initiative de liberté et d’indépendance tourne souvent au vinaigre bâtissant de nouvelles croyances limitantes…  Alors comment savoir que vous êtes prêt à passer le cap du grand « changement de vie »  du moins professionnellement parlant ?*

Vous êtes prêt à vous lancer si …

  1. L’expérience acquise dans votre domaine est énorme. Ainsi vous connaissez votre sujet sur le bout des doigts. Il est aisni plus facile de le vendre. Cette expérience peut être acquise sur le terrain par l’expérience ou en formations. Mais les formations doivent toujours mener à une pratique réelle… Car les données sans pratique s’oublient rapidement…
  2. Vous avez suffisamment de ressources financières pour réorienter vos objectifs en cas de manque de clientèle…
  3. Vous êtes capable de définir clairement vos croyances limitantes mais aussi de faire émerger chez vous des croyances aidantes. Comment transformer les croyances portantes en « outils aidant » au grand changement ? Ce processus-ci doit être clair !
  4. Vous êtes capable d’aller vers l’autre, de demander de l’aide, de taper aux portes et si le succès ne suit pas de changer vos techniques. Lorsque quelque chose fonctionne il faut savoir ne rien changer. Par contre lorsqu’une méthode n’a pas fait ses preuves il faut pouvoir la remplacer par une plus efficace même si pour cela il vous faut tenter des pratiques que vous ne connaissez que peu…
  5. Vous êtes capable de calculer immédiatement le gain et la perte que chaque choix va entraîner sur votre activité. Comment arrive-t-on à cela ? En simulant, en comparant, en se trouvant des mentors qui sont déjà passés par là…
  6. Le projet de vie est défini parallèlement au projet professionnel mais aussi financièrement et au niveau du planning (combien d’heures au total pour quel gain?)
  7. Il est très important de définir vos objectifs et ce que signifie pour vous la réussite (survivre, vivre de votre activité, vivre confortablement, ou plutôt préserver votre calme, votre santé, vos dons, votre famille ?) La réussite ne pouvant se résumer à une histoire de chiffres…
  8. Bien entendu il faut être « dans votre  appel » car la passion et la compréhension d’un secteur particulier génèrent toujours une certaine réussite au fil du temps. Attention de ne pas vous laisser influencer par les « appels » des autres, souvent présentés comme des « voies royales » à imiter, notamment par les médias… mais aussi par les principaux intéressés qui font de la « pensée positive » à outrance devant les autres même si, dans la réalité, tout n’est pas si rose… Lorsque vous devez admirer quelqu’un pour son activité professionnelle sachez que la difficulté est deux fois plus difficile qu’il ne le dit et que ses gains sont probablement moins conséquents que ce qu’il n’affiche pour « faire bien »… On le sait il ne fait pas bon dire que son commerce « vivote »…

Vous avez un projet de « changement de vie », de vision ou de cap professionnel ? Vous souhaitez en parler avant de vous lancer ? Vous êtes décidé à vous mettre à votre compte ou à changer de voie ? Découvrez ma formule de Consulting en Leadership entrepreneurial !

Il vous permettra d’asseoir votre position de leader face à vos clients et à vos collaborateurs mais aussi d’entrer dans un process gagnant-gagnant agissant, au fil du temps, comme un cercle vertueux…