Ne plus se laisser faire : le vrai réveil des femmes sensibles !

Il y a des femmes qui donnent tout. Elles écoutent, comprennent, s’adaptent, apaisent. Encore et encore. Elles portent le monde sur leurs épaules — le couple, la famille, les collègues, les amis, les ennemis (sans même s’en rendre compte…) — sans jamais oser dire que, parfois, elles sont fatiguées. Elles ont le cœur grand ouvert, mais elles le paient cher. On les interrompt, on leur parle mal, on profite de leur douceur, on dépasse leurs limites. Et elles, souvent, se taisent. Par peur du conflit. Par peur de décevoir. Par peur d’être “trop”. Et par peur de ne pas être « complète » sans ce sacrifice de soi absolu…

À mon cabinet, je constate souvent ce même scénario débridé, décliné en mille nuances : des femmes brillantes, aimantes, sensibles… mais qui ne se sentent nullement respectées. Elles m’expliquent qu’elles font tout pour les autres, qu’elles ne veulent pas passer pour égoïstes, qu’elles savent qu’elles devraient dire non mais qu’elles n’y arrivent pas. Derrière ces mots, il y a toujours la même blessure : celle de ne pas oser exister pleinement. Le souci de ne pas s’opposer. On leur a inculqué qu’elles n’étaient pas faites pour briller ni pour être satisfaites en totalité et, même si leurs parents ont disparu, elles perpétuent une forme de loyauté familiale à travers ce manège dévalorisant.

Être gentille, ce n’est pas le problème. C’est même une qualité précieuse. Mais quand la gentillesse devient une stratégie de survie, quand elle cache la peur du rejet ou du conflit, alors elle finit par faire souffrir. La vraie bonté ne consiste pas à tout accepter, mais à savoir dire “non” sans culpabilité. Le respect de soi n’enlève rien à la douceur, il la rend plus juste.

Je vois trop souvent des femmes qui se jugent “faibles” ou “trop sensibles”, alors qu’en réalité elles ont simplement développé une grande empathie. Elles sentent tout, devinent tout, anticipent tout. Mais cette empathie, si elle n’est pas accompagnée de limites, devient un piège : elle les vide de leur énergie essentielle !

Ce comportement ne vient pas de nulle part. Souvent, il s’est construit très tôt, dans l’enfance. On a appris à plaire, à être sage, à éviter les disputes, à ne pas faire de vagues. Et adulte, on continue à s’effacer pour maintenir la paix. Ce mode de fonctionnement devient automatique : on se tait, on s’adapte, on encaisse. Psychologiquement, cela s’appelle le manque d’affirmation de soi. C’est la difficulté à dire ce qu’on pense, ce qu’on veut, ce qu’on ressent.

Les conséquences sont nombreuses : relations déséquilibrées, sentiment d’être invisible, épuisement émotionnel, perte d’estime de soi. On vit avec une tension intérieure constante : vouloir plaire tout en rêvant d’être soi. Certaines finissent par exploser, d’autres par s’éteindre.

Mais quand une femme commence à s’affirmer, tout change. Au début, il y a la peur : “Si je dis non, on ne m’aimera plus.” Puis vient la surprise : “En fait, on me respecte davantage.” Et enfin, la libération : “Je me sens enfin moi.”

À mon cabinet, j’observe des transformations chaque semaine. Des femmes qui reprennent le contrôle de leur vie simplement parce qu’elles apprennent à se choisir. Elles cessent de demander la permission d’exister. Elles osent poser leurs limites, sans agressivité, mais avec calme et assurance. Et paradoxalement, leurs relations s’améliorent. On ne respecte jamais autant une personne que lorsqu’elle se respecte elle-même.

Apprendre à dire non, ce n’est pas blesser l’autre. C’est honorer sa propre vérité. C’est refuser ce qui épuise, pour mieux accueillir ce qui nourrit. Quand on se laisse tout faire, on s’efface peu à peu. Quand on commence à se respecter, on retrouve son énergie, sa clarté, sa joie de vivre. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de la santé psychologique.

Arrive un moment où la douleur de se nier devient plus forte que la peur de changer. C’est le moment du sursaut. Celui où l’on se dit : “Je ne veux plus subir. Je veux vivre. Pour de vrai.” C’est souvent à ce moment-là que les femmes viennent me voir. Elles ne veulent plus “juste aller mieux”. Elles veulent se transformer.

C’est précisément pour elles que j’ai créé le programme “Ne vous laissez plus faire !”, un accompagnement en profondeur que je propose à mon cabinet de sophrologie à Vichy. Ce programme est né d’une constatation : certaines femmes ont besoin d’un espace où elles peuvent enfin désapprendre la soumission, déconstruire leurs automatismes, retrouver leur voix intérieure. Pendant dix séances individuelles d’une heure trente, nous travaillons à trois niveaux : le mental, pour identifier les croyances qui maintiennent la peur de déplaire ; l’émotionnel, pour libérer la colère, la culpabilité et la honte d’avoir trop donné ; et le corps, pour se reconnecter à ses sensations, à son souffle et à sa puissance tranquille.

Ce parcours n’est pas confortable au sens où il bouscule. Mais il se fait sans violence, dans la bienveillance et la clarté. Il vous amène à vous regarder en face, à vous repositionner, à choisir enfin vous-même. Et quand cela arrive, tout change. Les femmes que j’accompagne me disent souvent : “Je ne pensais pas que j’avais ce courage en moi.”, “Je suis plus calme, mais plus ferme.”, “Je me sens libre.”

Ne plus se laisser faire, c’est une révolution intérieure. Pas spectaculaire, mais profonde. C’est le moment où l’on arrête d’attendre que les autres nous comprennent, parce qu’on se comprend enfin soi-même. Si ces mots résonnent, c’est que quelque chose en vous est prêt à changer. Vous savez déjà, au fond, que vous ne voulez plus de demi-mesure, plus de compromis qui vous abîment.

Alors si vous sentez cet élan, ce besoin de reprendre votre place, je vous invite à découvrir le programme que j’ai conçu pour vous : Ne vous laissez plus faire !

Le stress après un nouveau départ : Pourquoi nous rattrape-t-il toujours ?

Nous avons tous connu ce désir de nouveau départ, cette envie de tout changer pour échapper au stress et retrouver la sérénité. Beaucoup optent pour un déménagement, une reconversion professionnelle, ou un mode de vie plus proche de la nature. Et ça marche… temporairement. Malgré l’apaisement initial, il arrive que le stress refasse surface, peu importe où l’on se trouve. Pourquoi ce retour du stress après des changements aussi profonds ? Explorons ensemble ce phénomène et comment la sophrologie peut aider à cultiver un vrai apaisement, cette fois-ci durable.

Nouveau départ et sérénité retrouvée… pour un temps

Prenons l’exemple de Sarah, 35 ans. Elle vit à Paris depuis plusieurs années, avec un quotidien rythmé par le bruit, la pollution et la pression professionnelle. Un jour, épuisée par ce rythme de vie effréné, elle décide de tout quitter pour s’installer dans un village calme de Seine-et-Marne. Travaillant désormais à distance, elle profite des paysages apaisants de la campagne, du silence et d’une qualité de vie qu’elle n’avait pas en ville. Pendant les premières années, Sarah se sent véritablement apaisée. Mais au fil du temps, les symptômes de stress réapparaissent. Elle déménage encore, cette fois dans une petite ville plus agréable. Encore une fois, le stress diminue… mais finit par revenir. Cette fois-ci 3 ans auront suffit pour qu’elle se sente de nouveau stressée et anxieuse.

Ou encore, Emma, 28 ans, une perfectionniste dans l’âme. Elle veut tellement bien faire qu’elle se met constamment la pression. Tous les deux ans, elle consulte un sophrologue pour lâcher prise, retrouver le calme et l’énergie positive. Après chaque séance, elle se sent mieux, légère, libérée. Mais invariablement, les vieux schémas de perfectionnisme et de stress finissent par revenir.

Ces exemples démontrent que même éloigné des facteurs de stress externes, celui-ci peut ressurgir. Pourquoi cela ?

Le stress nous suit… même à distance !

Le stress n’est pas uniquement lié à notre environnement ou aux situations extérieures. Bien sûr, le bruit, les longues journées de travail, ou une vie citadine intense contribuent aux tensions, mais notre perception et notre rapport aux événements jouent un rôle majeur. Ce que nous vivons extérieurement est souvent amplifié par notre monde intérieur.

Dans le cas de Sarah, le stress n’est pas seulement lié à la ville ou au travail ; il fait partie de ses habitudes de penser et de réagir. Elle a quitté un environnement stressant, mais sans travailler sur ses schémas internes, ce qui finit par la ramener aux mêmes sensations de tension et d’anxiété. Quant à Emma, son besoin de perfection et d’accomplissement alimente en permanence son stress, indépendamment de son environnement ou des circonstances extérieures.

En sophrologie, nous travaillons souvent sur le rapport que chacun entretient avec lui-même et sur les mécanismes de pensée qui génèrent le stress. C’est une transformation intérieure qui permet de se libérer durablement, bien plus qu’un simple changement extérieur.

Comprendre la source du stress pour agir en profondeur

L’apparition récurrente du stress s’explique par ce que l’on appelle les « schémas de pensée » ou « empreintes émotionnelles ». Ces schémas se construisent dans notre enfance et au fil de notre parcours, influençant notre manière d’appréhender les défis de la vie. En réaction à des situations similaires, notre esprit reprend ses automatismes, ce qui réveille les mêmes tensions.

Pour Sarah et Emma, la solution n’est pas seulement de changer de lieu ou de routine. Elles doivent travailler sur elles-mêmes, redéfinir leur relation au stress et changer leur perception des événements.

La sophrologie : un chemin de transformation intérieure

La sophrologie propose des outils et des pratiques qui aident chacun à transformer ses réactions et perceptions internes. Grâce à des exercices de relaxation dynamique, de respiration et de visualisation positive, la sophrologie agit directement sur les pensées et les émotions, permettant de développer une sérénité durable. À Vichy, où de nombreux sophrologues accompagnent les personnes dans ce travail intérieur, les techniques de sophrologie permettent de :

  • Prendre conscience de ses schémas : En identifiant les habitudes de pensée, chacun peut mieux comprendre ses réactions et agir sur elles.
  • Cultiver un état de détente profonde : Par la respiration et la relaxation, la sophrologie aide à réduire le stress à sa source.
  • Développer le lâcher-prise : En prenant de la distance face aux pensées perfectionnistes ou aux pressions, on laisse place à une tranquillité intérieure plus stable.
  • Réinitialiser les automatismes de stress : Par des exercices réguliers, on remplace progressivement les anciennes réactions par des réponses plus apaisantes et positives.

Se libérer du stress par un changement intérieur

Pour celles et ceux qui, comme Sarah et Emma, ressentent l’appel du changement pour alléger leur stress, il est essentiel d’envisager ce changement comme un processus intérieur, en profondeur. Au-delà d’un déménagement ou d’un changement de situation professionnelle, la transformation commence par la capacité à se libérer des pensées automatiques et des réactions conditionnées qui alimentent le stress.

Grâce à la sophrologie, nous prenons le chemin d’une sérénité véritable et durable, bien ancrée en nous. Ce travail personnel nous rend plus résistants aux aléas de la vie et nous permet de trouver une paix intérieure, quelle que soit notre situation extérieure.

La sophrologie nous rappelle ainsi que la clé de l’apaisement se trouve en nous, à condition d’y accorder attention, patience et persévérance. Vous êtes prêts à explorer ce chemin vers la sérénité ?

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Si nous avions de vrais cours de Gestion des émotions dès notre jeune âge, notre société se porterait mieux !

Dans un monde où le stress, la dépression et le suicide atteignent des niveaux alarmants, la question de la Gestion des émotions est plus cruciale que jamais. La société moderne nous confronte à une surcharge d’informations, à une multiplication des écrans et à une accélération du rythme de vie. Face à ces pressions, peu d’entre nous disposent des outils nécessaires pour comprendre, réguler et exprimer nos émotions de manière saine. Si nous avions appris, dès notre plus jeune âge, à gérer nos émotions, il est probable que notre société serait plus résiliente, moins sujette aux troubles mentaux et plus équilibrée.

Le stress : un fléau silencieux mais omniprésent

Le stress est devenu l’un des principaux maux de notre époque. En France, près d’une personne sur deux (49%) se déclare stressée au quotidien, selon une étude de l’Observatoire de la Santé en 2020. Ce stress chronique a des conséquences directes sur la santé mentale et physique. Il est à l’origine de nombreuses maladies cardiovasculaires, d’hypertension et d’autres troubles liés à l’anxiété.

Le stress commence souvent dès l’enfance, particulièrement à l’école. La pression des examens, la compétition, l’angoisse de l’échec et le manque de repos contribuent à installer un terrain propice aux troubles émotionnels. Pourtant, dans le cadre scolaire, peu d’initiatives sont prises pour enseigner aux jeunes comment gérer ces émotions négatives. Une éducation émotionnelle dès le plus jeune âge permettrait de donner aux enfants les clés pour comprendre leur propre fonctionnement émotionnel et pour mieux y faire face. Par ailleurs aucun rappel des vrais de la Vie : évoluer, rire et aimer, comme peuvent nous le confirmer toutes les personnes dans les services de soins palliatifs dans lesquels j’ai travaillé 6 ans durant. Pourquoi ce silence sur le véritable sens de la vie ? Peut-être pour formater des salariés qui demain ne rêveront plus…

La dépression : une épidémie mondiale

La dépression est devenue l’un des troubles les plus fréquents dans le monde. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus de 280 millions de personnes souffrent de dépression à travers le globe. En France, environ 3 millions de personnes en souffrent chaque année, avec une prévalence particulière chez les jeunes adultes.

Ce trouble est souvent lié à une mauvaise gestion des émotions, à une incapacité à exprimer des sentiments tels que la tristesse, la colère ou la frustration de manière saine. L’absence d’une éducation émotionnelle dès le plus jeune âge laisse les individus démunis face à leurs émotions, les plongeant parfois dans des cycles dépressifs prolongés.

En parallèle, la surcharge informationnelle, la pression sociale et la multiplicité des écrans contribuent à ce mal-être. Les réseaux sociaux, en particulier, accentuent ce phénomène. Des études montrent que l’utilisation excessive des réseaux peut entraîner des sentiments d’isolement, d’anxiété et de dépression, notamment chez les jeunes. Le bombardement constant d’informations et d’images crée une surcharge émotionnelle que peu de personnes savent gérer efficacement.

Le suicide : une tragédie évitable

Le suicide est l’une des conséquences les plus tragiques d’une mauvaise gestion des émotions. En France, on estime que 9 000 personnes se suicident chaque année, soit un suicide toutes les heures. C’est l’une des premières causes de décès chez les jeunes de 15 à 29 ans. Derrière chaque suicide se cache souvent une dépression non traitée, une souffrance émotionnelle non exprimée ou une incapacité à trouver des solutions à des problèmes personnels.

Si l’éducation émotionnelle était enseignée dès l’enfance, il est probable que de nombreux cas de suicide pourraient être évités. Les enfants, en apprenant à identifier leurs émotions, à en parler et à les réguler, seraient mieux armés pour affronter les défis de la vie adulte. Ils apprendraient à gérer le stress, à demander de l’aide quand ils en ont besoin et à trouver des stratégies pour faire face aux situations difficiles.

La multiplication des écrans : une surcharge cognitive et émotionnelle

Nous vivons à l’ère des écrans. En 2021, une étude de l’Agence nationale des fréquences (ANFR) a révélé que les Français passent en moyenne 4 heures par jour devant un écran, un chiffre qui grimpe à 6 heures pour les 15-24 ans. Ce temps d’écran ne concerne pas seulement le divertissement, mais aussi le travail et la gestion quotidienne de la vie.

Cette surconsommation des écrans a un impact direct sur notre capacité à gérer nos émotions. Tout d’abord, les informations que nous absorbons – souvent de manière passive – sont nombreuses et variées. Nous passons sans transition d’une information sur une catastrophe naturelle à une publicité joyeuse, puis à un débat politique houleux. Ce flux continu d’émotions sollicite intensément notre cerveau, qui peine à faire la distinction entre l’important et l’accessoire.

Ensuite, les écrans ont également un effet sur la qualité de notre sommeil, perturbant ainsi notre régulation émotionnelle. Une étude menée par l’INSERM a montré qu’une utilisation excessive des écrans avant le coucher entraîne des troubles du sommeil chez 40% des adolescents, aggravant les risques d’anxiété et de dépression.

L’importance de l’éducation émotionnelle

L’éducation émotionnelle, qui inclut la gestion des émotions, la régulation des sentiments et la conscience de soi, est encore absente de la plupart des programmes scolaires. Pourtant, de nombreuses études démontrent que l’apprentissage de ces compétences améliore non seulement la santé mentale des élèves, mais aussi leurs résultats scolaires et leurs relations sociales.

Dans les pays nordiques, où des cours d’empathie et de gestion des émotions sont intégrés au programme scolaire, on observe une réduction significative des comportements agressifs et une meilleure qualité de vie chez les enfants. Les enfants apprennent à identifier leurs émotions, à comprendre celles des autres, et à adopter des stratégies pour gérer les situations difficiles.

Comment la gestion des émotions pourrait-elle changer la société ?

Si nous introduisions des cours de gestion des émotions dès l’enfance, les bénéfices pour la société seraient nombreux :

  1. Réduction du stress et de l’anxiété : Les enfants et adolescents, mieux équipés pour gérer leurs émotions, seraient moins enclins à développer des troubles anxieux ou dépressifs à l’âge adulte. Cela permettrait de diminuer les coûts associés à la prise en charge des troubles mentaux, qui coûtent chaque année 109 milliards d’euros à la France.
  2. Amélioration des relations sociales : Une meilleure gestion des émotions favoriserait la communication et l’empathie entre les individus, réduisant ainsi les conflits interpersonnels et professionnels.
  3. Prévention du suicide : En apprenant à reconnaître leurs émotions et à en parler, les jeunes seraient moins susceptibles de sombrer dans des états de détresse émotionnelle non résolus, contribuant ainsi à une baisse du taux de suicide.
  4. Réduction de la consommation excessive d’écrans : Une éducation émotionnelle inciterait à un usage plus raisonné des écrans, en apprenant aux enfants et aux adultes à s’ancrer dans le moment présent et à gérer l’angoisse provoquée par le flux constant d’informations.

Les solutions : intégrer la gestion des émotions à l’éducation

Pour que notre société se porte mieux, il est indispensable d’intégrer la gestion des émotions dans les cursus scolaires. Cela devrait inclure :

  • Des cours réguliers sur la régulation émotionnelle : Enseigner aux élèves comment identifier leurs émotions, les comprendre et les réguler de manière constructive.
  • Des exercices de pleine conscience : Les techniques de méditation et de pleine conscience permettent de mieux gérer le stress et d’apprendre à vivre le moment présent.
  • La création d’espaces d’échange émotionnel : Donner aux jeunes l’opportunité de s’exprimer librement sur leurs émotions dans un cadre sécurisé et bienveillant

Chaque année je forme des adolescents et des adultes à la Gestion des émotions, dans mon cabinet de Vichy mais aussi au sein des établissements scolaires ou de l’université. Pour toute demande, n’hésitez pas à me contacter.

Céline Baron

Tél. 06 56 77 02 11 (cette ligne n’accepte pas les sms)

Rentrée 2023-2024 : Découvrez la Technique Nadeau en Cours Particuliers à Vichy

La rentrée est le moment propice pour explorer de nouvelles voies vers le bien-être et la santé. Pour ceux qui résident à Vichy et ses environs, l’opportunité d’apprendre la Technique Nadeau en cours particuliers pour la saison 2023-2024 s’avère des plus séduisantes. Cette méthode thérapeutique exceptionnelle venue du Canada offre une panoplie d’avantages et vous permet de cultiver votre bien-être physique et mental. Dans cet article, nous plongerons au cœur de la Technique Nadeau, ses origines, ses exercices fondamentaux, ainsi que les multiples bénéfices que vous pourrez en retirer en optant pour des cours particuliers à Vichy !

La Technique Nadeau en bref

La Technique Nadeau représente un remarquable outil de relaxation qui propose trois exercices pointus à apprendre et à pratiquer dans le confort de votre domicile, au travail, ou en tout lieu propice à votre bien-être. Ces exercices stimulent l’ensemble de vos organes, vous conférant une sensation de vitalité, un teint radieux, des membres plus toniques, et ce, en seulement 20 minutes par jour, une fois que vous aurez achevé votre apprentissage. Pour mieux comprendre la Technique Nadeau, faisons un bref détour par son histoire et son fondateur.

Henri Nadeau : L’Origine de la Technique

Henri Nadeau, alors âgé de 59 ans, était un homme d’affaires terre à terre et dynamique mais en proie à un stress considérable qui l’accompagnait au travail, où il se sentait de moins en moins bien. Malheureusement, cette pression excessive eut des conséquences graves, conduisant à une thrombose et à un infarctus qui le laissèrent paralysé. L’ex-chef d’entreprise se trouva alors contraint d’abandonner son activité et de prendre pas moins de 21 pilules par jour, soit 600 par mois, pour tenter de recouvrer la santé ! C’est alors qu’il élabora une méthode d’exercices inspirée par la fluidité et la souplesse des danseuses orientales. Ainsi naquit la Technique Nadeau…

Les trois mouvements clés de la Technique Nadeau

La Technique Nadeau repose sur trois mouvements fondamentaux :

  1. La Rotation du Bassin : Le bassin décrit un cercle tout en inclinant le corps successivement vers la gauche, l’avant, la droite, avant de se redresser pour enchaîner sur le cercle suivant.
  2. La Vague Complète : Ce mouvement ondulatoire de la colonne vertébrale mobilise l’ensemble de la colonne et, par extension, tous les nerfs.
  3. La Natation : Les bras s’articulent alternativement en arrière et en avant, tandis que les jambes effectuent un mouvement de marche. Tout le corps est sollicité de la tête aux pieds.

Les Bienfaits des 3 Mouvements de la Technique Nadeau

La pratique des trois mouvements de la Technique Nadeau procure une série de bienfaits importants :

  • La Rotation du Bassin :
    • Masse les organes abdominaux
    • Favorise la mobilité de la colonne vertébrale
    • Masse le plexus solaire
    • Favorise la circulation sanguine
  • La Vague Complète :
    • Masse le cœur et les poumons
    • Augmente la capacité respiratoire
    • Masse les organes de l’abdomen
    • Apporte souplesse et mobilité à la colonne
    • Favorise la circulation de l’énergie dans tout l’organisme
  • La Natation :
    • Renforce l’ensemble de la musculature
    • Assouplit toutes les articulations
    • Favorise la mobilité du bassin

Grâce à ces mouvements enseignés par un Professeur de Technique Nadeau diplômé, vous réduirez le stress et développerez votre souplesse. Ces mouvements ont pour effet de détendre vos articulations, de rendre votre colonne vertébrale plus souple, d’accroître l’apport sanguin dans tous les organes, de favoriser la circulation de l’énergie, de tonifier votre musculature, et d’adapter votre respiration aux mouvements.

L’Apprentissage de la Technique Nadeau

L’apprentissage de la Technique Nadeau nécessite seulement 10 heures. Une fois la formation achevée, vous repartirez avec un CD de Cadence qui vous permettra de pratiquer en toute autonomie chez vous, et ce, à vie. L’autonomie est l’objectif, et conformément à cette règle, la formation ne dure pas plus de 10 heures.

Tarifs et Flexibilité

Les tarifs pour l’apprentissage de la Technique Nadeau, au cabinet de Vichy (cabinet Céline Baron, 48 rue de Cronstadt 03200 Vichy) sont les suivants :

  • 350 euros pour une personne (10 heures au total)
  • 300 euros par personne pour un couple (ou deux ami(e)s)
  • 290 euros par personne à partir de 3 participants.

Les polycopiés des cours et le CD sont disponibles en sus, au prix de 20 euros. La formation peut être répartie en 10 séances d’une heure chacune ou en deux sessions de 5 heures (avec des pauses).

L’enseignante se montre adaptable à vos contraintes familiales et professionnelles, n’hésitez pas à explorer les différents forfaits pour la répartition des heures d’apprentissage qui correspondent le mieux à vos besoins.

La Technique Nadeau vous offre la possibilité de libérer le stress, d’accroître votre souplesse, et de cultiver votre bien-être. Elle représente une méthode simple et efficace pour prendre soin de vous, tout en vous octroyant l’autonomie nécessaire pour pratiquer à vie. Pour la rentrée 2023-2024, pourquoi ne pas choisir cette voie vers une meilleure santé et un bien-être durable ?

Vous souhaitez apprendre cette technique incroyable ? Contactez-moi rapidement pour organiser votre programme !

Céline Baron, Professeur officiel de Technique Nadeau sur Vichy, 48 rue de Cronstadt 03200 Vichy

Anxiété due au contexte actuel : Comment la contrer ?

Nous vivons des temps tourmentés. L’épidémie de Covid a chamboulé nos repères et nous a forcé à revoir notre mode de fonctionnement, la façon dont nous travaillons mais aussi notre rapport aux autres. Depuis un mois nous entendons beaucoup parler de la guerre en Ukraine et le mot « troisième guerre mondiale » a même émergé aux informations et sur la toile.

Les faits les plus négatifs sont médiatisés

Une telle médiatisation est inconséquente. Des personnes déjà anxieuses sont, à l’heure actuelle, davantage accablées. Depuis le début de la guerre en Ukraine et la reprise du Covid, j’enregistre de nouveaux rendez-vous d’adolescents et d’enfants que ce contexte inquiète. Même si leurs parents ne parlent ni de Covid, ni de guerre à la maison, les enfants en parlent entre eux dans les cours de récréation. Les plus jeunes sont livrés à eux-mêmes dans la gestion d’un flot d’informations importants, pas toujours vérifié…

Les notions d’espoir et de positivisme entamées…

Chez les adultes les plus sensibles, le contexte a entamé la notion d’espoir et le positivisme. J’ai reçu plusieurs personnes sujettes à une anxiété avec crises de larmes le soir qui se disent incapables de réagir positivement face au contexte actuel et ont du mal à ne pas imaginer une issue encore plus négative à tout cela. Dès qu’on « officialise » et qu’on propage la peur sur les réseaux, la personnalité sensible y voit une façon de légitimer ses craintes.

Maux de ventre, gorge serrée et inconfort permanent

Comment se traduit l’anxiété excessive ? Par un mal-être général qui cède souvent au sommeil de la nuit ou à la sieste bénéfique mais revient. Par des idées négatives et des ruminations incessantes. En général le cerveau n’arrive plus à se mettre « au repos ». L’anxiété forte et bien ancrée provoque une fatigue intense, présente dès le réveil. La personne souffrant d’anxiété peut présenter les mêmes symptômes qu’une personne endeuillée à savoir de se faire la réflexion le matin « Je n’y arriverai jamais » ou encore « Je suis tellement épuisée, tout est vain… » La sensation d’évanouissement permanente peut être présente ainsi que des palpitations, un inconfort abdominal, une gorge serrée etc.

La sophrologie : Vers l’apaisement…

Ce sentiment d’inquiétude peut cependant être apaisé.

La sophrologie est d’une grande aide mais il ne s’agit pas alors de venir simplement suivre une séance de relaxologie mais plutôt d’en apprendre les bases à travers des exercices dédiés à la situation évoquée par le client.

Apprendre à respirer

Apprendre à respirer efficacement c’est relâcher le corps et l’esprit. Différentes respirations existent. En maîtriser 3 ou 4 différentes et les appliquer dans une situation précise paraît pertinent. On peut classer ces respirations en fonction de leur apport, du plus léger au plus puissant.

Apprendre différents styles d’ancrages

L’ancrage c’est ramener l’esprit dans le corps et prendre conscience de son corps et de son psychisme dans un cadre donné et dans un espace donné. S’ancrer c’est éliminer les pensées parasites qui nous fatiguent et agissent sur notre moral.

Au cabinet je propose d’apprendre différents types d’ancrage. C’est un apprentissage par la démonstration et la pratique.

Apprendre à relaxer les tensions du corps

Ici aussi des exercices sont proposés. Ils mettent en jeu le corps et le souffle.

Apprendre à discipliner son esprit

Tout en se relaxant il est possible de donner la voie à suivre à son esprit afin de diminuer l’anxiété. Les visualisations positives mais aussi les méditations guidées peuvent aider à exercer sa créativité dans le bon sens.

Se couper des déclencheurs

Un travail sur les déclencheurs avec tenue d’un cahier des émotions est proposé lorsque l’anxiété est vraiment forte et solide. Connaître ses déclencheurs c’est désamorcer l’anxiété.

Modérer sa consommation d’informations et de réseaux sociaux

Nous ne nous rendons pas compte à quel point les réseaux et le flot d’informations constant que nous subissons ont dégradé notre vie, comparé, par exemple aux années 90. Lorsque nous avions une nouvelle bonne ou mauvaise à apprendre nous l’apprenions le soir sur un téléphone fixe. Nous n’étions pas dérangés n’importe où, n’importe quand par le téléphone. A l’heure actuelle certains patrons exigeants que leurs employés soient joignables par portable même à leur pause déjeuner ! J’ai reçu plusieurs clients se plaignant de cette situation !

Il existe de nombreuses autres voies pour calmer son anxiété dont celle de la création d’une bulle de confort ou d’une bulle protectrice agissant sur notre énergie.

N’hésitez pas à me contacter pour obtenir plus d’informations sur les séances de sophrologie et de psychopratique que je propose.

Dénouer une situation de stress extrême

Vous vivez un stress professionnel et vous vous sentez à la limite du burn-out ? Vous êtes insupporté par certaines situations ou personnes ? Il vous semble traverser une véritable « loi des séries » ? Dans cette vidéo je vous livre quelques pistes pour faire face à un stress extrême ou à une situation très stressante et usante.

Dans toute situation de stress extrême n’oubliez pas de vous tourner en premier lieu vers votre médecin traitant. Il pourra valider avec vous le fait de débuter des séances de sophrologie ou vous indiquer un spécialiste.

Je suis Céline Baron, je travaille dans la communication relationnelle depuis 1999. Je suis également sophrologue certifiée et psychopraticienne certifiée. J’ai suivi de nombreuses formations sur le stress et la gestion des émotions. En sophrologie mes spécialités sont la Communication, le Sommeil, la Confiance en soi et la Gestion du Deuil. J’exerce sur Vichy dans l’Allier.

Pour toute question, merci d’utiliser le formulaire de ce site.

Sophrologie : Éveiller ces ressources enfouies en vous

Prendre conscience de son potentiel

Beaucoup de gens envisagent la sophrologie comme un temps de relaxation uniquement. Ce temps de relaxation agirait sur le mental et sur le corps pour générer un bien-être optimal. Or, la sophrologie, de par les exercices sur plusieurs degrés qu’elle propose, vise à l’ouverture de conscience et du potentiel. Prendre conscience de ses capacités en étant guidé par un thérapeute (qui a lui-même une forte conscience de son corps, de sa présence et du lien indissociable corps-esprit) représente un temps de relaxation et d’expression, certes, mais surtout le moyen de constater comment notre cerveau fonctionne en fonction d’un stimuli ou d’un message reçu. Comment je décide d’y répondre émotionnellement, par bon sens, ou en suivant une « intention » donnée.

Changer le message erroné ou obsolète

En sophrologie et en thérapies cognitives il s’agit bien souvent pour le thérapeute de « changer » un message erroné ou de remplacer un message par un autre plus utile. Vous le savez il est impossible de « semer » une graine dans le cerveau et de changer les choses d’un coup de baguette magique. C’est pourquoi répéter de la mauvaise façon ne sert à rien. Ce qu’il faut c’est faire comprendre à la personne stressée ou qui vient avec un objectif que tout est déjà en elle pour « changer le message ». C’est cependant un travail long qui ne peut s’effectuer en quelques séances (bien que les résultats soient parfois étonnants après deux ou trois séances, particulièrement concernant des clients qui n’ont jamais travaillé sur eux-mêmes en guidance même légère).

Une réalité parallèle porteuse d’enseignements

Dès qu’il s’agit de changer le message pour obtenir un comportement plus sain ou plus efficient, plus congruent parfois, il faut définir avec le client le point à changer puis créer une réalité parallèle que ce dernier puisse apprendre à connaître et à apprécier de « fond en comble » si je puis dire. Prenons l’exemple de la visualisation positive : voir et revoir une scène, la préparer afin de se sentir plus confiant avec soi-même, peut devenir une routine agréable. Mais le jour où la visualisation ne procure plus de plaisir sur les sens à son créateur, le jour où elle n’est plus que redondance, on peut considérer qu’elle est assimilée et la ranger aux « affaires classées ».

Une réflexion sur le corps, par les 5 sens

Lors de la séance de sophrologie classique, un dialogue pré-sophronique intervient avant de passer à des exercices de relaxation dynamique pendant lesquels on mettra conjointement en oeuvre la respiration, le corps et le mental. Ces exercices appellent une réflexion sur le corps et les sensations mais aussi sur la façon dont on voit les choses et dont on a donc expérimenté l’exercice. Ainsi le client peut se rendre compte avec surprise que ce qu’il pensait difficile à effectuer est facile et inversement. Il apprend au fil de ces exercices son « mode de fonctionnement » émotionnel mais aussi stratégique.

Le cerveau et sa boite à outils personnelle

Imaginons que je me trouve face à un miroir et que je doive m’observer dans le miroir. La chose peut paraître simple. Pourtant au début il est plus facile pour le cerveau d’aller rechercher l’image qu’on a de soi le matin dans la salle de bain. Le cerveau a sa boite à outils personnelle pour résoudre l’exercice qui lui est demandé. En prendre conscience revient à accepter que nous sommes tous dotés, une fois la pression mentale et la tension physique retombées, de cette boite à outils qui ne saurait fonctionner dans une situation de panique.

Aussi atteindre un niveau de stress acceptable (le stress léger nécessaire à la vigilance personnelle que demande le quotidien) est un défi pour se diriger vers cette « boite à outils » nées de nos expériences mais aussi de la capacité à faire fonctionner correctement notre cerveau.

Cette pensée qui m’appartient et toutes celles qui ne m’appartiennent pas vraiment…

Il devient alors plus facile de comprendre que dans la vie certaines pensées ne sont pas nôtres et ne nous appartiennent pas. Si je suis, par exemple, stressée car une personne de mon entourage m’envie ou me fait des réflexions « malaisantes », en étant relaxée mentalement et physiquement et en questionnant correctement mes sens et en adaptant un exercice de relaxation dynamique à ma situation il devient évident pour moi que cette jalousie et les réflexions qu’elle génère ne m’appartiennent pas. Choisir de ne pas les relever et de continuer mon chemin de paix intérieur sera probablement plus sain pour moi que d’entrer dans une discussion sans fin que rien ne justifie puisque « ceci ne m’appartient pas ».

« Not my circus… »

Dans un milieu professionnel complexe une capacité à comprendre comment naissent les émotions frustrantes et blessantes revient à les désamorcer. Ce qui est fort utile. Si l’émotion générée « sur le coup » est désamorcée, on ne risque pas de stresser pour peu de choses. En séance j’aime résumer ceci par cette petite réflexion anglaise : « Not my circus, not my monkeys !  » littéralement « Pas mon cirque, pas mes singes », autrement dit si je ressens que ceci ne m’appartient pas je ne vais pas perdre du temps et de l’énergie à m’en occuper ! Imaginez une seconde l’énergie qu’il faut pour s’occuper d’un cirque, de singes, de tous les autres animaux sans parler du chapiteau, des camions, du personnel etc… Quand on a conscience de ne pas être le propriétaire légal du cirque on gagne énormément de temps ! Tout ceci est imagé mais fort instructif. S’occuper du cirque alors qu’il ne nous appartient pas c’est courir droit au fameux « burn out »… ce mal de notre temps…

Dégager ses propres schémas mentaux

Lors de la relaxation dynamique, le client est amené à se concentrer sur son ressenti dans le corps et dans l’esprit ce qui lui permettra, par la suite, de repenser à ses propres schémas mentaux, notamment quand une situation le nécessite. Il fera naturellement, au fil du temps, le lien entre la situation vécue et l’exercice appelant des ressentis et une visualisation.

La sophrologie est une méthode infinie qui permet de créer un terrain stable émotionnellement et qui génère une meilleure gestion du stress. N’hésitez pas à me contacter pour en savoir plus si vous vous trouvez sur Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset ou aux alentours.

Ces distorsions cognitives qui limitent votre confiance en vous

Avoir une vision plus optimiste de votre vie

La façon dont on s’envisage, dont on envisage sa vie, son entourage et son avenir est très variable d’un individu à l’autre. Certains présentent des complexes d’infériorité, d’autres de supériorité, certains sont « egoless » quand d’autres affichent un ego démesuré. La façon dont on se voit et la confiance que nous nous accordons à nous-mêmes va influencer les évènements que nous vivons, nous ouvrir ou nous fermer des portes… une bonne connaissance de nos distorsions constitue un pas en avant sur le chemin de notre développement personnel.

Mais savez-vous quelles sont les principales distorsions qui nous affectent ?

Si vous êtes trop catégorique

La distorsion dichotomique, par exemple, consiste à voir les choses de façon ultra-contrastée… Si vous souffrez de ce type de distorsion il se peut que vous trouviez les autres soit absolument géniaux, soit absolument pitoyables… Il peut vous arriver de penser que vous êtes soit extrêmement inclus dans un groupe soit absolument exclus. Les choses sont pour vous toutes noires ou toutes blanches. La sophrologie peut alors vous aider à développer une vision plus modérée des choses en recherchant une certaine « neutralité » dans les évènements qui vous arrivent. Au cabinet de sophrologie nous abordons des visualisations qui valorisent une certaine neutralité des choses : un évènement est ce qu’on décide d’en faire, soit une opportunité d’évoluer et d’apprendre encore, soit un écueil…

Se sentir mal à l’aise face aux autres…

La distorsion « de la voyante » consiste à lire dans les pensées de vos interlocuteurs. Vous vous mettez à tort à la place de l’autre en imaginant ce qu’il peut bien penser de vous. Quatre fois sur cinq l’autre est là pour accomplir une tache ou pour avancer dans sa propre vie et justement ne pense rien de vous ! Mais si vous pensez « Il me trouve certainement trop timide » ou « trop excessif » etc. vous vous mettez dans une situation mentale, dans une « posture » morale peu confortable. La sophrologie peut vous aider à révéler vos ressources cachées pour vous sentir plus confiant. Lorsqu’on a confiance en soi, on ne lit pas dans les pensées de ses interlocuteurs.

Amplifier le détail négatif

La distorsion par « abstraction sélective » va, quant à elle, entraîner une vision négative des choses : au lieu de vous concentrer sur l’aspect positif d’une situation vous allez amplifier le petit détail négatif. Bientôt il prendra toute la place jusqu’à vous gâcher le plaisir d’un travail en majeure partie réussi. En sophrologie un script de visualisation « sur-mesure » vous permettra de dépasser ce goût du détail dérangeant… Par exemple en vous axant sur l’harmonie d’un paysage ou quelques feuilles mortes viennent ajouter une touche de couleur plutôt que de gâcher l’ensemble.

Il existe bien d’autres distorsions qui peuvent affecter un individu. Des tests très simples permettent de les découvrir, de les comprendre et donc de les repérer lorsqu’elles apparaissent dans votre vie. Les repérer c’est déjà les maîtriser et les minorer.

Sophrologie et psychopratique sur Vichy

Si vous souhaitez engager un travail de sophrologie ou de psychopratique (libération par la parole et thérapie cognitive) sur Vichy, Bellerive-sur-Allier ou Cusset, n’hésitez pas à me contacter. Je suis sophrologue mais je travaille aussi dans la communication relationnelle depuis 1999. J’accompagne de nombreux particuliers et chefs d’entreprise mais aussi des artistes dans la gestion des émotions et dans la prise de parole en public. Je suis à votre disposition pour aborder les questions sur la sophrologie, l’hypnothérapie légère, la visualisation créatrice positive, le coaching « Un sens à ma vie » ou le Coaching de vie.

Thérapie cognitive sur Vichy

Pour les chefs d’entreprise ou les futurs chefs d’entreprise un coaching entrepreneurial est également possible incluant de grands principes de thérapie cognitive. Nous vivons une période compliquée où ce sont ceux qui réagissent assez tôt qui arriveront le mieux à atteindre leurs objectifs personnels ou professionnels. En cas de mal-être n’hésitez pas à vous diriger vers votre médecin traitant puis à consulter un thérapeute. La sophrologie et la relaxologie peuvent également vous permettre d’avancer sereinement dans cette période complexe.

Comprendre la différence entre le stress et l’anxiété généralisée

Beaucoup de gens se présentent au cabinet de sophrologie pour une cause liée au stress. Rapidement on se rend compte que ce qu’ils nomment « le stress » relève plutôt de l’anxiété installée. Alors comment faire la différence entre le stress et l’anxiété qui a tendance à devenir chronique ? A l’école de sophrologie les sophrologues, spécialistes de la relaxation physique et mentale et de la respiration apaisante apprennent à distinguer les deux. Sans entrer dans de grandes et complexes explications (ce qui n’est pas la vocation de ce blog qui se veut seulement être un « aide-mémoire » pour mes clients) nous pouvons dire ceci :

Le stress en question

  • Le stress est un élément dont nous avons tous besoin pour être « alerte », pour compléter un objectif à court ou à moyen-terme, pour se « booster ». Mais lorsqu’il est trop puissant, trop souvent présent alors ce « booster » fait l’effet inverse : il nous mine, nous fatigue et déforme notre vision des choses et des évènements. La limite est mince et fine entre le Stress et l’Anxiété. Les deux sont des réponses émotionnelles à un état mais le stress est plus exclusivement généré par un facteur extérieur à nous-mêmes (passer un examen, subir une opération, vivre un changement ou une séparation, vivre un évènement dont l’issue pour nous doit vraiment être positive… faire quelque chose qu’on ne connait pas ou se rendre dans un lieu où nous attend une situation peu familière comme la prise de parole en public par exemple… côtoyer même pour un court laps de temps une personne peu bienveillante ou un jury… etc.) Une fois l’objectif passé le stress va retomber. Une fois qu’on a passé un examen, par exemple, on est libre de reprendre ses activités habituelles avec moins d’intensité. On peut « laisser couler » ce qui n’est pas le cas avec l’anxiété surtout lorsqu’elle est généralisée.

L’anxiété, ce problème de fond …

  • L’anxiété est un problème de fond, elle n’est pas « temporaire ». C’est un facteur persistant qui s’installe parfois sur le long terme… Elle ne disparaît pas lorsque le « stresseur » est parti. Imaginez une personne anxieuse, qui manque de confiance en elle, qui doit passer un examen et qui se mine depuis des semaines. L’évènement passé elle se sentira un peu mieux mais gardera son anxiété qu’elle reportera sur un nouvel obstacle ou un nouveau « stresseur ». Finalement le stresseur augmente une anxiété déjà présente. L’anxiété affecte toute l’humeur et tout le comportement. C’est donc un état à combattre pour aller mieux.

Sophrologie basique ou avancée

Dans les 2 cas, la sophrologie est une aide précieuse. Des séances de sophrologie basique permettent d’apprendre à mieux gérer son stress, ses angoisses et ses émotions. Des séances de sophrologie poussées permettront, quant à elles, d’aller plus loin dans la gestion des émotions et de débuter un travail sur le remplacement de l’angoisse. On viendra substituer un élément plus positif à l’angoisse : par exemple se dire « Quand je suis contrarié(e) j’ai tendance à m’endormir » est bien plus positif pour le corps et l’esprit que de répondre au message : « Quand je suis contrarié(e) je stress un maximum !  » Changer le message n’est cependant pas « magique », c’est tout un chemin mental qui est à défricher avant de l’emprunter de façon automatique face à une situation stressante.

Stress et Covid

Les enfants, les adolescents, les adultes comme les seniors sont la proie du stress et de l’angoisse. En ces temps de Covid, complexes, il convient de ne pas laisser une situation de stress ou d’angoisse nouvelle s’installer et de désamorcer au plus vite un stress qui a tendance à augmenter.

Le sophrologue possède de nombreux outils pour apprendre à ses clients à gérer leur stress, leur angoisse et leurs émotions. Cependant il n’est pas « voyant » et n’a pas de « baguette magique » non plus ! S’il fait ce métier c’est qu’il est souvent très sensible aux états de l’autre et qu’au fil du temps il a appris à « ressentir » ses clients dans la résonance. Il est donc intuitif. Plus un cas de stress ou d’anxiété est pris tôt, plus les résultats sont probants.

Trouver un thérapeute en résonance

Vous êtes nombreux à me téléphoner au cabinet de Vichy pour avoir des renseignements sur la gestion du stress. Le seul conseil que je puisse donner est le suivant : il ne faut pas laisser le stress, l’angoisse, la fatigue ou un éventuel burn-out s’installer trop longtemps avant de venir au cabinet de sophrologie. Il faut également trouver un thérapeute avec qui vous vous sentiez en résonance. Si vous n’aimez pas les personnes extraverties et originales, ne choisissez pas un sophrologue de ce type. Si vous ne vous sentez pas d’affinités avec un thérapeute, changez-en ! Je suis la première à refuser de travailler sur des objectifs à long terme avec des personnes « non investies » ou tout simplement qui ne « résonnent » pas avec mes techniques. Le principal est de ne pas rester seul avec ses angoisses mais de consulter. Vous venez souvent suite à un bilan avec le médecin traitant ce qui est une bonne chose. Des séances de sophrologie ne peuvent absolument pas se substituer à un avis médical !

Quelles approches pour quelles techniques ?

Pour résumer le choix du thérapeute est important. Parfois je reçois de futurs sophrologues en séances qui souhaitent voir « comment je travaille ». Après avoir fait le tour de plusieurs cabinets ils constatent qu’aucun sophrologue n’a la même approche de l’humain, le même décor ni les mêmes techniques. L’humain est un métier dans lequel il faut faire avec sa personnalité avant tout. Lors de ma formation de sophrologie et lors de ma supervision on m’a appris à « cadrer » mes séances, à ne pas être trop familière avec le client. Cinq ans plus tard la formation que je suis actuellement en « Stress Post Traumatique Complexe et Techniques de relaxation » apprend au thérapeute bien au contraire à « donner énormément » en nous disant que seul l’affection pour le client est valable pour le mener vers le bien-être. Cela prouve que le bagage et la personnalité du sophrologue comptent énormément et ce au-delà des techniques.

De l’enfant au chef d’entreprise en passant par la maman stressée

Ayant été formée à différentes disciplines bien-être Outre-Manche et Outre-Atlantique, j’ai mon propre panel d’exercices et de méthodes (et notamment pour le coaching). Avant de devenir thérapeute il y a 11 ans en commençant à enseigner des techniques de relaxation ainsi que la Technique Nadeau venue du Canada, j’ai travaillé dans le monde de la communication écrite, verbale puis relationnelle. J’ai donc l’habitude de recevoir des chefs d’entreprise mais ayant aussi travaillé en complément pour des structures Enfance (en hôpital mais aussi dans l’associatif) et étant maman je comprends tout aussi bien les enfants qui viennent passer un moment de détente au cabinet de Vichy.

Une sensibilité artistique, musicale ou autre est un plus

Ma sensibilité pour la musique (je compose, j’écris, je joue du piano et de la harpe et j’ai animé des ateliers autour du sujet), la danse et le théâtre (je suis certifiée en Drama-Thérapie) me permet de proposer des séances plutôt « créatives » qui sont en principe très appréciées par les gens qui, en plus de la sophrologie, recherchent de l’évasion. Je me forme également pour proposer des séances de musico-thérapie (à partir de septembre 2021). Chaque thérapeute a sa sensibilité mais il faut qu’elle VOUS convienne.

Encore une fois : prendre en main son stress tôt et trouver le bon interlocuteur et les bonnes méthodes est primordial ! N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations sur la sophrologie.

Céline BARON, sophrologue et psychopraticienne sur Vichy (Allier) : 06 56 77 02 11

baronsophrologie arobase gmail.com

Les procédés utilisés en sophrologie au cabinet de Vichy


La sophrologie permet de pallier à une situation d’inconfort ou à un ressenti négatif en travaillant avec le client sur certaines techniques permettant de toucher l’inconscient et de le reprogrammer. Ces techniques allient une position particulière à une relaxation profonde menée grâce à la « sophronisation ». Bien-entendu on n’applique pas « toutes les techniques » en une seule séance ! De même si certains clients attendent une profusion de techniques complexes alors la sophrologie ne leur conviendra probablement pas. Certaines techniques peuvent être plus complexes que d’autres à manier pour le sophrologue (selon son dégrés d’expérience) mais elles demeurent des méthodes relativement claires et simples.


Ces méthodes relèvent de la personnalisation de la séance et n’occupent qu’un tiers de la séance (20 minutes maximum). Le reste de la séance étant consacrée au dialogue pré-sophronique et post-sophronique ainsi qu’à la relaxation et à l’ancrage corporel à proprement parlé. La technique est choisie est adaptée par le sophrologue en fonction des objectifs de son client.


Les techniques de présentation
Il s’agit pour le sophrologue de ramener le client à l’état présent et à la conscience immédiate. Pour cela il travaillera sur la concentration par l’usage d’exercices de respiration associés parfois à une image positive, une odeur, une perception, une sensation etc. Une relaxation dynamique peut tout à fait se substituer à ces exercices. Ici au cabinet nous travaillons parfois également sur une vision concrète : la flamme d’une bougie, la sensation d’un glaçon sur le dessus de la main, la respiration d’un parfum de lavande par exemple. La technique de présentification peut ramener à une technique de prétérisation si l’odeur de la lavande évoque chez le client un moment agréable de l’enfance ou des vacances. Selon son objectif le client aura besoin de s’ancrer dans le moment présent ou au contraire d’entrevoir l’avenir pour lui ôter des craintes.


Les techniques de futurisation
Comme leur nom l’indique elles sont axées vers le futur et ses possibilités positives. On prépare avec son client un évènement anxiogène pour lui. Ex: le client a peur de prendre l’avion, il a peur de rater un examen écrit ou oral, une prise de parole le paralyse etc. Le sophrologue va alors lui demander d’imaginer que la situation se déroule au mieux (voir l’article sur le script de la Peur de l’avion où le client est amené à prévisualiser le vol depuis l’arrivée à l’aéroport jusqu’à l’atterrissage sur son lieu de destination. Ici on insiste notamment sur les capacités du pilote à mener les gens « à bon port »).


Les techniques dites de prétérisation
Le prétérit évoque le passé on le sait. Ici le sophrologue va ramener son client à un événement qui s’est déjà déroulé. Il va l’amener à assimiler ou à se réapproprier les sensations heureuses et positives le composant. Le sophrologue amènera son client à penser sur les sens : comment était le lieu, quels vêtements portait-il, quelle était l’ambiance sonore, que voyait-il, quels sentiments étaient présents ? etc. Le vue, l’ouîe, l’odorat, le toucher sont sollicités pour recréer cet évènement agréable et en dégager le potentiel positif. Un raccourci mental symbolisé par un mot, un lieu, une position du corps ou un parfum, une mélodie, une note etc.) est crée pour que le client puisse revenir puiser dans ce bagage multisensoriel positif.


Les techniques de combinaison passé / présent / futur
: la totalisation
Ces techniques sont donc « tridimensionnelles », elles se composent de 3 dimensions. Le sophrologue choisit un thème ou un axe « parlant » particulièrement à son client, une composante importante de sa vie qui puisse lui offrir confiance, espoir et calme. Il s’agit par exemple de booster la confiance en soi dans le présent en évoquant une réussite passée qui amènera probablement une réussite future. On peut également emprunter l’image d’un mentor, d’un professeur ou de toute personne qui a su épanouir le client et y apporter des symboles de confiance, d’espoir et de calme. Les 3 temps peuvent alors interagir dans un lieu thérapeutique que le client ressent comme sécurisé et libre.


Le temps de la séance consiste à apprendre à freiner et à ramener le stress général à un niveau bas ou du moins plus acceptable pour le client.
Notez que vous arrivez parfois au cabinet dans un état de stress et d’angoisse palpable mais que vous considérez « ne pas être stressé ». C’est le côté dévastateur du stress qui est en quelque sorte « agglutinant » et insidieux. Sa présence est parfois devenue tellement concrète dans votre vie qu’elle s’y intègre jusqu’à disparaître consciemment. D’où de nombreuses dépressions, burn-out et épisodes de fatigue extrême.