Les Thérapies Cognitivo-Comportementales (TCC) : Une exploration approfondie

Les Thérapies Cognitivo-Comportementales (TCC) sont un ensemble de méthodes de psychopratique qui se concentrent sur les interactions entre pensées, émotions et comportements. Elles sont particulièrement efficaces pour traiter divers troubles psychologiques tels que l’anxiété, la dépression, les troubles obsessionnels-compulsifs (TOC), et les phobies. Cet article explore en profondeur les principes des TCC, leur fonctionnement et propose un exemple concret de séances pour un problème d’anxiété.

Intégration des TCC dans la Pratique Sophrologique

Pour qu’un sophrologue utilise des techniques de TCC, il est crucial qu’il possède une formation adéquate en TCC. J’ai été formée en TCC en Angleterre, certificat reconnu Compliance. Cela garantit à mes clients que j’utilise ces techniques de manière appropriée et efficace, en respectant les principes éthiques et méthodologiques des TCC.

Exemples de Techniques TCC Utilisables par un Sophrologue

  1. Restructuration Cognitive :
    • Exemple : Pendant une séance de sophrologie, après une relaxation profonde, le sophrologue peut guider le client à identifier une pensée négative récurrente et à la remplacer par une pensée plus positive et réaliste.
  2. Techniques de Relaxation :
    • Exemple : La sophrologie utilise déjà des techniques de relaxation similaires à celles des TCC, comme la relaxation musculaire progressive, qui peut être intégrée naturellement dans une séance.
  3. Visualisation Positive :
    • Exemple : Utiliser des scénarios de visualisation pour aider le client à imaginer des situations stressantes de manière positive, une technique couramment utilisée dans les deux approches.
  4. Exposition Graduée :
    • Exemple : Dans le cadre de la sophrologie, le sophrologue peut aider le client à se préparer mentalement à affronter des situations anxiogènes progressivement, en utilisant la visualisation et la relaxation pour réduire l’anxiété.

Les Principes des TCC

Les TCC reposent sur l’idée que nos pensées (cognitions), nos émotions et nos comportements sont interconnectés et qu’en modifiant les pensées dysfonctionnelles, on peut induire des changements positifs dans les émotions et les comportements.

Les Cinq Principes Fondamentaux des TCC

  1. Basée sur des concepts scientifiques : Les TCC sont fondées sur des théories psychologiques éprouvées par des recherches scientifiques rigoureuses.
  2. Orientée vers le présent : Bien que les expériences passées puissent être discutées, l’accent est principalement mis sur le présent et sur la résolution des problèmes actuels.
  3. Collaborative : Le thérapeute et le patient travaillent ensemble pour identifier les problèmes et développer des stratégies pour les surmonter.
  4. Centrée sur des objectifs précis : Les TCC visent à définir des objectifs clairs et mesurables pour le traitement.
  5. Structurée et directive : Les séances de TCC suivent un format structuré et le thérapeute guide activement le processus de thérapie.

Les Techniques Utilisées en TCC

Les TCC utilisent une variété de techniques pour aider les patients à modifier leurs pensées et comportements dysfonctionnels. Parmi celles-ci, on trouve :

  • La restructuration cognitive : Identifier et modifier les pensées négatives automatiques et les croyances irrationnelles.
  • L’exposition : Confronter progressivement les patients à leurs peurs dans un environnement contrôlé pour réduire l’évitement et l’anxiété.
  • L’entraînement aux compétences sociales : Développer des compétences pour améliorer les interactions sociales et réduire l’anxiété sociale.
  • La relaxation : Techniques de relaxation comme la respiration profonde et la relaxation musculaire progressive pour réduire les symptômes physiques de l’anxiété.

Exemple de Séances de TCC pour un Problème d’Anxiété

Étude de Cas : Marie, 30 ans, souffre d’anxiété généralisée

Séance 1 : Évaluation et Établissement des Objectifs

  • Anamnèse : Le thérapeute recueille des informations sur l’histoire personnelle de Marie, ses symptômes d’anxiété, et l’impact de l’anxiété sur sa vie quotidienne.
  • Établissement des objectifs : Marie et le thérapeute définissent des objectifs clairs, tels que réduire la fréquence des crises d’anxiété et améliorer la gestion du stress.

Séance 2 : Introduction à la Restructuration Cognitive

  • Éducation sur le modèle cognitif : Expliquer à Marie comment ses pensées influencent ses émotions et comportements.
  • Identification des pensées automatiques : Marie apprend à reconnaître ses pensées négatives automatiques, telles que « Je ne vais jamais réussir » ou « Tout le monde me juge ».
  • Début de la restructuration cognitive : Le thérapeute aide Marie à remplacer ces pensées par des pensées plus réalistes et positives.

Séance 3 : Techniques de Relaxation et Gestion du Stress

  • Enseignement de la respiration diaphragmatique : Marie apprend des techniques de respiration profonde pour aider à calmer son système nerveux.
  • Relaxation musculaire progressive : Le thérapeute guide Marie à travers une série d’exercices de relaxation musculaire pour réduire la tension physique associée à l’anxiété.

Séance 4 : Exposition Graduée

  • Hiérarchisation des situations anxiogènes : Marie et le thérapeute créent une liste de situations qui provoquent de l’anxiété, classées par ordre de difficulté.
  • Début de l’exposition in vivo : Marie commence à affronter progressivement ses peurs, en commençant par les situations les moins anxiogènes, avec le soutien du thérapeute.

Séance 5 : Développement de Compétences en Gestion des Problèmes

  • Enseignement des techniques de résolution de problèmes : Marie apprend à aborder les situations stressantes de manière méthodique et constructive.
  • Mise en pratique : Marie applique ces techniques à des problèmes spécifiques de sa vie quotidienne, avec l’aide du thérapeute.

Séances Suivantes : Révision et Consolidation des Acquis

  • Révision des progrès : Le thérapeute et Marie passent en revue les progrès réalisés par rapport aux objectifs établis.
  • Consolidation des techniques apprises : Marie continue de pratiquer les techniques de restructuration cognitive, de relaxation et d’exposition.
  • Prévention des rechutes : Le thérapeute enseigne à Marie des stratégies pour maintenir ses progrès et gérer les éventuelles rechutes d’anxiété.

Conclusion

Les Thérapies Cognitivo-Comportementales offrent un cadre efficace et structuré pour traiter divers troubles psychologiques, notamment l’anxiété. Grâce à des techniques basées sur des preuves scientifiques, les TCC permettent aux patients de modifier leurs pensées et comportements dysfonctionnels, d’améliorer leur qualité de vie et de retrouver un sentiment de contrôle sur leur bien-être émotionnel. Par le biais d’exemples concrets de séances, on peut voir comment les TCC sont appliquées de manière pratique pour aider les individus à surmonter leurs problèmes d’anxiété et à développer des stratégies durables pour gérer le stress et l’anxiété dans leur vie quotidienne.

Céline Baron, Sophrologue certifiée. Coach en Suppression des Croyances limitantes certifiée. Psychopraticienne certifiée. Formée aux TCC.

48 rue de Cronstadt – O3200 Vichy

La puissance transformatrice des Thérapies Cognitives : Comprendre et appliquer

Les Thérapies Cognitives (TCC) représentent un ensemble de techniques psychothérapeutiques visant à identifier et à modifier les schémas de pensée et de comportement qui causent des problèmes émotionnels ou comportementaux chez les individus. Les Thérapies Cognitives (TCC) reposent sur l’idée que nos pensées influencent nos émotions et nos actions, et en modifiant ces schémas de pensée négatifs ou déformés, on peut influencer positivement nos émotions et nos comportements. Les TCC s’appuient sur des protocoles structurés, impliquant souvent des exercices pratiques, des devoirs entre les sessions et une collaboration active entre le thérapeute et le patient.

TCC : Une Approche polyvalente

Les TCC englobent une variété de techniques, y compris la thérapie cognitivo-comportementale traditionnelle, la thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT), la thérapie dialectique comportementale (TDC), et bien d’autres. Elles sont utilisées pour traiter une gamme diversifiée de problèmes tels que l’anxiété, la dépression, les troubles alimentaires, les phobies, les troubles obsessionnels-compulsifs (TOC) et même les troubles de la personnalité.

Différence entre les TCC et la Thérapie Cognitive de Beck

La Thérapie Cognitive de Beck (TCB), développée par le Dr Aaron T. Beck, est une forme spécifique de TCC. Elle met l’accent sur l’identification et la modification des pensées automatiques négatives ou des schémas de pensée dysfonctionnels chez les individus souffrant de troubles émotionnels. Contrairement aux TCC qui englobent diverses approches, la TCB est plus spécifique dans sa méthodologie, se concentrant sur la thérapie centrée sur les pensées.

La Thérapie Cognitive de Beck et ses Associations

Ce qui distingue la Thérapie Cognitive de Beck des autres formes de TCC, c’est son orientation précise vers les schémas de pensée. Cependant, elle peut aussi s’associer à d’autres disciplines pour offrir une approche plus holistique. Par exemple, en combinant la TCB avec la sophrologie, les patients peuvent bénéficier d’une meilleure conscience corporelle et d’une gestion améliorée du stress. De même, l’ajout du coaching peut renforcer l’application pratique des apprentissages cognitifs dans la vie quotidienne, offrant un soutien supplémentaire pour la mise en œuvre des changements comportementaux.

Conclusion

Les Thérapies Cognitives, notamment la Thérapie Cognitive de Beck, offrent des outils efficaces pour aborder une variété de problèmes psychologiques en se concentrant sur les schémas de pensée et les comportements. Leur polyvalence et leur capacité à s’associer à d’autres disciplines comme la sophrologie et le coaching témoignent de leur adaptabilité et de leur volonté d’offrir des approches plus complètes pour le bien-être mental et émotionnel des individus.

Confinement et Guérison intérieure (2)

Comme vu dans l’article précédent (Confinement et Guérison intérieure 1), le temps du confinement est propice à la cogitation personnelle, au bilan de vie mais aussi à engager un pas vers la Guérison intérieure. Nous avons défini ce qu’est un « homme guéri » même si cette conception est personnelle à chacun, en fonction de sa vision et de son vécu…

La notion de nouveauté

La guérison intérieure doit entraîner un état d’esprit nouveau par rapport à son vécu, à soi-même, aux autres, au monde qui nous entoure et à l’avenir. Mais la notion de nouveauté ne peut s’appliquer si de grands changements n’ont pas déjà eu lieu. Beaucoup de femmes, par exemple, souhaitent, à un tournant de leur vie, changer de style, changer de « look ». Il n’est pas rare qu’on leur conseille de déjà changer leur routine de santé, d’alimentation, de faire du sport, de perdre quelques kilos et de travailler leur confiance en elles avant de sauter le pas. Nous pouvons dire qu’il en va de même pour le mental. Il serait absolument contre-productif d’appliquer des conseils « bateaux » de changement sur un terrain infertile, inchangé. Sans entrer dans les détails et les tréfonds de notre passé comme l’exigerait une psychanalyse en bonne et due forme, revoir son passé de manière plus positive est une étape intéressante. Une fois le passé accepté, connu et revisité, il est plus simple et plus justifié de repartir sur des nouvelles bases, d’autoriser une véritable nouveauté à entrer dans nos vies.

Croire en la Guérison intérieure

Hélas pour changer et guérir intérieurement il faut CROIRE que la guérison peut se produire chez nous. Savez-vous pourquoi toutes les psychothérapies de la plus classique à la plus innovante, ne porteront pas toujours leurs fruits ? Parce qu’à la base il y a une résistance, résistance qui fait dire au client qu’il lui est possible d’entreprendre une thérapie mais certainement pas de « guérir ». Se plier au changement et à la nouveauté, c’est comme plier un bâton, plus le bâton est souple, plus la mesure est facile. Le relâchement de la bonne volonté à « céder », à plier, à accepter la réalité telle qu’elle est peut se traduire par un grand rejet (le bâton, à l’instar d’un arc, se déplie brutalement, ce rebond est peu contrôlable par celui qui n’en a pas la force). Croire qu’il est possible de changer, de guérir tout simplement parce que « d’autres bien moins souples y sont arrivés » est un bon début mais ne fait pas tout. Chacun est unique… La résonance avec le thérapeute est primordiale.

La peur de l’échec

A la base du manque de confiance de certains clients en la thérapie (sophrologie, psychopratique, coaching) il y a une crainte : la peur de l’échec. Quand on démarre un nouveau projet en se donnant une possibilité d’échouer il y a déjà un dysfonctionnement à la base. Dire « Je peux éventuellement réussir » plutôt que « Je suis la réussite » est révélateur d’une résistance…

Les souvenirs frustrants : ces bombes prêtes à exploser

Dans le coaching, plutôt que de parler de son passé, le client est amené à lister ses souvenirs frustrants, limitants, douloureux. En sophrologie si le client les a abordé naturellement (ou s’ils sont la raison d’une consultation) il est facile de les désamorcer. En coaching comme en psychopratique, le client désamorce ces « petites bombes » du passé seul, bénéficiant d’une guidance légère et d’un cadre sécurisant. Une fois désamorcés ces souvenirs douloureux, ces bombes prêtes à exploser lors d’éventuelles réminiscences ou lors de la reproduction d’événements similaires, sont toujours présentes. Elles existent en tant que pensées et événements passés mais ne sont plus dangereuses. Un terrain bien déminé est propice au changement. Le confinement est l’occasion de songer à soi, à son parcours plus positivement, de déminer. Il est simple durant ce confinement d’être un héros en ne faisant rien d’autre que de rester chez soi et d’essayer de s’améliorer. Pour ceux qui ne savent « accepter » ce confinement, celui-ci générera de nouvelles « bombes ». Dans 1 an, 3 ans, 10 ans on les entendra peut-être évoquer le confinement comme cause de certains de leurs problèmes…

Guérir c’est accepter d’avoir été blessé

Pas de nouveauté sans acceptation de son statut de « blessé par la vie ». Entrer en guérison, c’est toujours accepter d’avoir été blessé. Il y a celui qui sera un éternel blessé (ex: un homme qui rejettera toutes les femmes après une rupture douloureuse) et celui qui admettra qu’il a de la chance d’avoir été guéri. La différence est immense, entre les deux états il y a un monde ! J’ai omis de parler de ceux que la vie a blessé encore et encore mais qui n’ont jamais souhaité s’arrêter sur leurs blessures de guerre et on continué, jour après jour, d’embrasser une vie dynamique, intéressante, positive, qui a du sens… Une forme de résilience. Un challenge dans l’adversité.

La mémoire comme un placard…

La mémoire est un vaste dressing, placard ou grenier qu’il convient de ranger. Posséder un intérieur splendide et bien rangé mais savoir qu’il y a « là-haut » une pièce comparable à un véritable débarras dérange l’esprit. Faire le ménage chez soi et dans l’inconscient est primordial à celui qui veut guérir. Ce confinement se mue chez beaucoup en immense chantier de tri, en un véritable nettoyage de printemps. Libéré de la pression, du regard des autres, il devient plus facile de déterminer ce qui compte et ce qui n’a aucun intérêt pour nous. Chez les asiatiques, posséder peu, c’est posséder mieux. C’est aussi développer un lien spécial à ce « peu » d’affaires personnelles, leur donner une valeur qui se sent et se ressent. Tout est énergie… Les bons objets sont ceux qui nous rappellent des moments heureux, des moments de gloire parfois. Les autres ne sont donc pas utiles. Trier le « début de son histoire » et la ré-ordonner est une bonne chose.

Si vous souhaitez engager votre guérison intérieure, revoir le sens de votre vie, donner un sens à votre vie et rebooster votre personnalité et votre confiance en vous, consultez la page « Coaching : Un Sens à ma Vie ».

 

La première séance de Psychopratique

La Psychopratique

Psychopraticien « tout court » n’est pas un « titre » mais désigne simplement celui ou celle qui exerce la « psychopratique », c’est à dire l’accompagnement de personnes en souffrance morale. Cet accompagnement s’effectue à l’aide d’outils préalablement définis (dans mon cas la libération émotionnelle par la parole, la libération émotionnelle par le jeu de rôle et la gestuelle, la thérapie cognitive). Le psychopraticien, s’il doit expliquer à son client de quelle façon va se dérouler l’accompagnement, possède souvent un bagage de formations bien fourni, en plus des techniques qu’il a choisi. Il s’installe souvent à un moment de sa vie où lui-même a suffisamment expérimenté la psychothérapie et où il lui semble avoir acquis une expérience poussée de l’humain. Pour exemple j’ai décidé de m’installer en tant que thérapeute il y a 10 ans après avoir longtemps géré de « l’humain » au travail (management dans la presse, la communication et l’édition) et avoir monté des ateliers de sophrologie et de relaxation en hôpital et pour des structures associatives.

Des méthodes et une expérience de l’humain avant tout

Même si j’accompagne la transition personnelle, professionnelle, sentimentale, familiale etc. par les 3 méthodes précitées, je suis également formée à La Dramatherapy, à l’accompagnement du stress post traumatique et du deuil compliqué, à la Sophrologie (avec la Psychopratique il s’agit de mon cursus « initial » de reconversion), à la psychologie du leadership, à l’alliance thérapeutique, à la psychologie transpersonnelle et à des méthodes de régénération de l’énergie… Ces méthodes « apportent » à ma vision et à mon travail au cabinet, me permettant de comprendre certains aspects de la psychologie humaines et des comportements humains mais aussi de trouver les bons outils de gestion du stress, par exemple, pour mes clients. La psychopratique c’est une rencontre avant tout. Le client et le thérapeute apprennent l’un de l’autre.

Des questions oui mais dans l’empathie et la chaleur

Certains clients redoutent la première séance de psychopratique (anamnèse) mais d’autres participent très activement et ont hâte de « savoir » comment nous allons travailler ensemble à leur problématique. La première séance, comme toutes les autres, est menée dans la confidentialité, dans un cadre sécurisé où l’alliance thérapeutique peut se développer au mieux, dans le calme et dans l’empathie. Il n’y a donc absolument aucune raison de stresser en y pensant.

Quantifier le bien-être 

J’ai tendance à dire que la thérapie commence, en fait, à partir du moment où le client me téléphone. A cet instant il est déjà apaisé et le travail sur soi commence vraiment ! Son bien-être est mesurable. A la question « A combien estimeriez-vous votre bien-être moral avant votre coup de fil ? » puis « A combien l’estimeriez-vous sur une échelle de 0 à 10, après » on constate que le niveau de bien-être a gagné entre 1 à 3 échelons. Pourtant rien ne s’est encore réellement passé.

Pas de sujets tabous et une libération par la parole

La première séance aborde votre problématique. Il n’y a aucun tabou. Tous les sujets peuvent être abordés sans crainte. Je suis tenue au secret professionnel et rien ne sort de mon bureau. En plus de votre problématique, la prise de contact s’effectue par une longue discussion chaleureuse rythmée par des questions classiques (comment évaluez-vous votre bien-être à la maison, en famille, au travail, quelles sont vos habitudes alimentaires, comment aimez-vous vous détendre, quelles sont vos qualités premières et les écueils que vous pouvez rencontrer etc.)

Formuler des objectifs dans une guidance bienveillante

A l’issue de ce premier entretien, je vous fais part de ce que j’ai pu ressentir et distinguer de votre personnalité et je vous offre des pistes pour solutionner votre problématique. Il ne s’agit pas pour moi d’évoquer simplement des « solutions » mais plutôt de vous proposer un programme personnalisé afin d’atteindre vos objectifs. Jamais je ne décide dans quel sens vous orienter. C’est vous seul qui prenez les décisions car oui vous en avez la capacité. Je ne pense pas non plus « à votre place ». Mon intervention n’est qu’une guidance bienveillante.

Ce programme qui vous est proposé peut inclure des exercices de communication, d’expression, des jeux de rôles, de la relaxation etc. en psychopratique il s’agit surtout de vous aider à prendre conscience de vos ressources intérieures, celles auxquelles vous n’avez peut-être pas pensé. Il est possible également de vous accompagner sur l’analyse et la suppression de vos croyances limitantes.

Un passage …

On n’est pas « lié » à vie à son psychopraticien ou à sa psychopraticienne. L’éthique veut que le thérapeute sache mettre fin à la thérapie au bon moment, celui où le client a atteint l’harmonie et l’équilibre moral escomptés, le moment où il est prêt. Je considère que je ne suis qu’une « passeuse » qui accompagne la transition. Ma présence n’est nécessaire qu’un temps: celui de progresser dans un deuil, de « digérer » une rupture, de prendre la bonne décision, de trouver sa « mission de vie » ou de prendre ses marques dans un environnement nouveau… Ainsi je suis amenée à rencontrer de nombreux clients et à gérer de nombreuses problématiques extrêmement variées. Pourtant, aucune de ces expériences ne peut être comparée à une autre. Aucune n’est semblable. Toutes sont absolument différentes même si certaines techniques d’apaisement (du stress, de la douleur morale etc.) s’avèrent efficaces sur certaines personnes.

De nouveaux objectifs tout le long du chemin

Parfois on se quitte « pour de bon ». D’autres fois le client revient quelques mois plus tard avec un objectif nouveau à atteindre. Certains utilisent mon expertise « étape par étape » : obtenir une vie sentimentale harmonieuse puis œuvrer pour une évolution professionnelle, asseoir leur confiance en eux etc. accompagner le changement de métier, de ville, de partenaire, de mission de vie…  Le principal étant que les séances soient « aidantes » et le client apaisé, satisfait, qu’il prenne conscience de ses capacités et de ressources intérieures.