Ces personnes qui vous induisent en erreur et influencent négativement votre vie

Il nous arrive à tous d’écouter des conseils de vie, de suivre une recommandation émanant d’un proche ou de faire confiance à une personne dont les intentions paraissaient bienveillantes. Pourtant, ces voix extérieures peuvent parfois nous égarer et nous faire perdre ce qui compte le plus : notre énergie, notre confiance, notre stabilité.
Dans cet article, je vous propose d’explorer trois situations concrètes et de voir comment la sophrologie peut nous aider à revenir vers l’écoute de Soi, à retrouver notre autonomie intérieure et à avancer avec plus de clarté.

S’écouter soi-même ne veut, bien entendu, par dire « répéter des schémas bien ancrés » qui détériorent la qualité de vie. Si mon inconscient me souffle de fuir systématiquement face à une relation qui promet d’être stable, par exemple, il faut pouvoir faire la part des choses. Je parle davantage ici de décisions éclairées et saines que vous souhaitez prendre mais auxquelles vous finissez par renoncer « sous influence ».

Trois situations fréquentes

1. La perte professionnelle

Vous aviez un poste qui vous convenait, mais quelqu’un vous a convaincu de changer, de « viser plus haut » ou de « prendre un risque ». Vous avez suivi ce conseil en croyant bien faire, et vous vous retrouvez aujourd’hui dans un travail qui ne vous correspond pas, ou même sans emploi. Derrière cette perte, c’est parfois un sentiment d’échec et de déstabilisation qui s’installe. Cela peut se vérifier aussi lors des études. Un autre étudiant vous raconte qu’il va abandonner cette filière qui « ne vaut rien ». Cela vous démotive, vous abandonnez aussi mais voilà l’autre, en fait, continue et bientôt vous « surpasse ». C’est une situation courante, oui, liée notamment à des filières ultra-compétitives comme les études de médecine oud ‘ingénieur.

2. La perte d’argent

Un proche vous a assuré qu’un investissement était « sûr » ou qu’une opportunité financière était à saisir immédiatement. Par peur de manquer une chance ou par confiance, vous vous êtes engagé·e… et l’argent s’est envolé. Cette expérience laisse un goût amer, non seulement à cause de la perte matérielle, mais aussi parce qu’elle ébranle la confiance dans votre discernement. Parfois un proche a bénéficié d’une aide de l’état quelconque pour changer de voiture ou pour des travaux et il en est ravi. Il veut donc absolument que vous suiviez le même chemin que lui, sauf que pour vous les coûts engendrés sont plus importants ou que le processus n’arrive pas à son terme. Parfois un proche peut se sortir d’une situation sans embûches mais ce n’est pas le cas pour tout le monde, et, vous y perdez.

3. La perte de confiance en soi

Certains conseils répétés, même avec de bonnes intentions, peuvent miner notre estime. « Tu n’y arriveras pas », « ce n’est pas pour toi », « ce n’est pas réaliste »… Ces petites phrases s’impriment en nous, jusqu’à parfois nous couper de nos propres envies, de nos élans et de notre créativité. Pendant mes études, j’avais un job étudiant à l’IFOP. J’effectuais donc des sondages. Une de mes amies qui manquait cruellement de confiance en elle, à cause de son physique (elle était en surpoids important et cela lui empoisonnait la vie) a commencé à me prendre pour un « faire valoir » lorsqu’elle a su que je faisais de ssondages le weekend. Ce type de poste était selon elle, même en emploi étudiant, « dévalorisant ». Elle y vit donc une occasion de « redorer » son blason à mes dépends. Je savais pour ma part que ce job n’était qu’un petit emploi étudiant qui me permettait une autonomie financière, je n’en faisais pas des montagnes. Quinze ans plus tard je recroise cette amie alors que je suis en compagnie d’une « célébrité » avec qui je travaille. Elle me prend à partie, presque les larmes aux yeux, et me dit froidement : « Comment peux-tu avoir un tel emploi ? Tu faisais des sondages ! » Cet exemple démontre comment certaines personnes choisissent un élément biographique vous concernant et en font une « vérité » absolue. Dans sa tête, j’avais passé les 20 dernières années à « faire des sondages ». On devine déjà comment une telle personne doit traiter ses proches et à quel point elle doit agir sur leur estime de soi !

Comment écouter notre adulte intérieur ?

L’« adulte intérieur » est cette part de nous qui sait discerner, qui observe les situations avec recul et qui prend ses décisions en conscience. Dans l’exemple ci-dessus, même à 20 ans, j’écoutais cet adulte intérieur me soufflant que cet emploi était alimentaire et provisoire. Mais l’autre, elle, écoutait son adolescente intérieure qui la faisait perpétuer une image ancienne et obsolète de l’autre…


Apprendre à l’écouter, c’est :

  • Prendre un temps de pause avant de dire « oui » à un conseil ou une proposition.
  • Se demander : Est-ce que cela résonne avec mes valeurs ? Avec ce que je veux vraiment ?
  • Se rappeler que personne ne vit notre vie à notre place.

Développer l’écoute de soi grâce à la sophrologie

La sophrologie propose des exercices simples pour renforcer cette capacité d’écoute intérieure :

  • La respiration consciente : revenir à soi par quelques respirations profondes permet de calmer l’émotionnel et de retrouver une clarté mentale avant toute décision.
  • La visualisation positive : se projeter dans la situation future, comme si vous aviez déjà dit « oui » ou « non », permet de ressentir dans le corps ce qui est juste pour vous.
  • Le recentrage corporel : se connecter à ses sensations physiques aide à distinguer une intuition vraie (souvent légère, fluide) d’une influence extérieure (souvent lourde, crispée).

Conclusion

Écouter les conseils peut être enrichissant, mais il est essentiel de garder le gouvernail de sa vie entre ses mains.
En renforçant l’écoute de votre adulte intérieur et en cultivant une présence consciente grâce à la sophrologie, vous développez un discernement qui vous protège des influences négatives.
C’est ainsi que chaque choix devient une occasion de grandir en confiance, en autonomie et en sérénité.

COURRIER DES LECTEURS – Développement personnel & Familles toxiques. Rubrique : « Une vie à soi »


« Enfin une comédienne dans la famille » – Quand la jalousie et le mépris prennent le masque de l’indifférence
Par Emilie, 40 ans, comédienne


Bonjour,

Je m’appelle Émilie, j’ai 40 ans. Je suis comédienne. Pas célèbre, pas millionnaire, pas en couverture de Paris Match — mais je vis de mon métier. J’ai joué dans des pièces, des scènes télé, j’ai présenté des projets à la radio. Tous les soirs depuis cinq ans, je monte sur scène dans un théâtre au cœur de Paris. Et pourtant, dans ma propre famille, je suis l’échec.

Pas un mot de reconnaissance, pas un mot d’encouragement. Mon travail, mes efforts, mon parcours atypique mais solide sont systématiquement ignorés, moqués ou méprisés. Et la cerise sur le gâteau ? Récemment, l’un de mes cousins a commencé à sortir avec une fille qui fait du théâtre amateur en marge d’un poste de secrétaire. Rien de mal à ça — mais soudain, la famille s’exclame : « Enfin une comédienne dans la famille ». Et là, tout s’est figé.


La jalousie familiale : un poison sournois

Ce que raconte Émilie, c’est une dynamique malheureusement très répandue : la jalousie passive-agressive au sein des familles. Là où les amis et les inconnus te soutiennent, ou les gens que tu croises à l’étranger, lors de réprésentations, les proches biologiques deviennent parfois les plus virulents des détracteurs. Pourquoi ? Parce que ta réussite, surtout lorsqu’elle sort des normes qu’ils ont érigées en dogmes (CDI, enfants, pavillon, mutuelle), leur renvoie à leur propre renoncement. Et ça, c’est insupportable pour eux ! Tu comprends, avec toi ils ne sont plus au centre. Ils ne sont plus au centre de l’intérêt des « moutons de Panurge ». Ils se ressentent « dans ton ombre ». Qui voudrait, à part des célébrités repenties, une vie dans l’ombre d’une seule ? Car ce qu’ils ressentent envers toi est du pur fantasme… Ils ne voient que le côté « paillettes », ignorant le travail, la comptabilité, les heures de formation, tous ces livres que tu lis pour jouer toujours mieux, les formations etc. Pour eux c’est clair : tu t’amuses depuis 20 ans !

Par ailleurs, tu incarnes l’audace qu’ils n’ont jamais eue. Tu as bravé les cases, tu as dit non à la peur, tu as choisi un métier de passion, un chemin de traverses. Et tu tiens. Tu tiens depuis des années. Pas en spectatrice — sur scène. En première ligne.

Et eux ? Ils ricanent. Parce que leur mépris est un camouflage. Parce qu’au fond, ils savent. Ils savent que tu as eu le courage de faire ce qu’eux n’ont jamais osé faire : suivre une véritable vocation.


Le mépris des parents : quand l’amour devient conditionnel

Tu dis que tes parents ne t’ont jamais défendue. C’est plus qu’une négligence : c’est une trahison affective. L’amour parental ne devrait jamais dépendre de la conformité sociale d’un parcours. Tu n’es pas un CV. Tu n’es pas un bulletin de paie. Tu es leur fille. Et ils ont choisi de s’aligner sur l’opinion du clan, plutôt que de protéger et valoriser leur propre enfant. C’est brutal, mais c’est une forme d’abandon émotionnel.

Et c’est là que ton intuition est juste : il faut cesser de chercher la validation là où elle ne viendra jamais.


La coupure : un acte de survie, pas de haine

Beaucoup culpabilisent de couper les ponts avec leur famille. Pourtant, dans certains cas, c’est non seulement légitime, mais nécessaire. Tu n’as pas à continuer de te blesser à essayer d’être entendue par des gens sourds à ton identité.

Cesser de partager ta vie avec eux, ce n’est pas une vengeance. C’est un mécanisme de préservation psychique. C’est poser une frontière nette : vous ne m’atteindrez plus. Le Canada ? Va-y. Pas pour les punir. Pour toi. Parce que tu mérites d’évoluer dans un environnement où l’on célèbre ce que tu es, pas où l’on l’ignore ou le nie.


Message aux lecteurs : vous n’êtes pas seuls

Si vous lisez ce témoignage et que vous vous y reconnaissez, sachez ceci : la famille n’est pas toujours un havre de paix. Parfois, c’est une fabrique à complexes, une matrice d’humiliations. On peut aimer sans respecter, on peut être lié sans être loyal. Et on a le droit de dire stop. Le droit de s’éloigner et de ne plus rien communiquer de ses projets !

Construisez votre famille choisie. Amis, compagnons, sœurs de cœur, mentors — entourez-vous de ceux qui voient votre lumière. Ceux qui vous félicitent non pas quand vous atteignez leurs standards, mais quand vous vous rapprochez de votre vérité.

Pour tes parents, ils comprendront leur erreur et l’emprise qu’ils subissent plus tard. Lorsqu’eux ressentiront, par ton absence, ce qu’ils t’ont imposé ces 20 dernières années.


Emilie, tu es comédienne. Tu es courageuse. Tu es légitime.
Et si ta famille n’est pas capable de le voir, ce n’est pas toi qui es en faute.

La copine de ton cousin n’y est plus rien : ils l’utilisent comme un simple outil pour se venger de toi et t’atteindre. Ils finiront par se lasser lorsqu’elle prendra, à force de compliments, la grosse tête… Là ils ne supporteront plus qu’elle prenne, une fois que tu seras silencieuse, toute la lumière…


Vous souhaitez partager votre expérience sur les relations toxiques en famille ou recevoir un avis bienveillant mais sans complaisance ? Écrivez-nous.

📌 Rubrique « Une vie à soi » – tous les lundis

Libérez-vous pour de bon : pourquoi l’oubli est votre meilleure arme de paix intérieure

Il ou elle vous a pourri la vie. Par des mots, des actes, des silences, des manipulations ou simplement par sa présence toxique. Vous avez peut-être tout essayé : la discussion, la compréhension, le pardon, la colère, les mises au point. Et pourtant, malgré vos efforts, cette personne continue de vous hanter, de vous voler votre paix, même en son absence.

Mais aujourd’hui, une autre voie s’offre à vous. Non pas celle de la revanche, ni même de la justice ou de la rédemption. Une voie plus simple, plus puissante et infiniment plus libératrice : l’oubli délibéré.

Pourquoi cesser d’y penser est un acte énergétique fort

En sophrologie, comme dans bien d’autres pratiques énergétiques, on apprend que l’attention est de l’énergie. Ce à quoi vous pensez, vous le nourrissez. Ce que vous ressassez, vous renforcez. Et les personnes qui vous ont fait du mal n’ont besoin de rien d’autre pour continuer à vous atteindre : il leur suffit d’exister dans votre esprit.

En choisissant de ne plus penser à elles, vous retirez littéralement la prise. Vous coupez le fil. Vous fermez la porte énergétique. Et c’est là que commence votre vraie guérison.

Le silence et le mépris : non pas par vengeance, mais pour votre équilibre

Il ne s’agit pas de punir, mais de vous protéger. Le silence, c’est la paix. Le mépris, c’est l’indifférence qui libère. Vous ne devez rien à cette personne, pas même votre colère. Cessez de parler d’elle, de rejouer les scènes dans votre tête, d’analyser. C’est un poison lent. Et la vie est trop courte pour se l’auto-administrer chaque jour.

Le simple fait de détourner votre attention crée un espace. Un vide que vous pouvez remplir de vous-même, de vos projets, de vos rêves. L’équilibre mental se reconstruit dès lors que l’on cesse de se battre contre le passé.

Il fut un temps, bien avant de croiser le chemin de l’homme qui est aujourd’hui mon mari, où je fréquentais un homme dont le sourire en public masquait mal la noirceur intérieure.
Derrière une apparente jovialité, il cachait une amertume tenace, une insatisfaction chronique. Rien ne trouvait grâce à ses yeux : ni mes vêtements, ni la couleur de mes cheveux, ni même mon appartement. Il critiquait avec la même aigreur mes choix esthétiques que mes amies, qu’il tournait en dérision selon leur style ou ce qu’elles avaient dans leur assiette lors de dîners pourtant anodins.

Peu à peu, cette relation, bien qu’à distance – chacun vivant chez soi –, empoisonna mon quotidien. L’atmosphère était devenue pesante, chaque échange devenant un terrain miné. Jusqu’au jour où, excédée par une énième joute verbale, je lâchai une vérité simple : qu’il serait bon, avant de chercher la perfection chez les autres, de commencer par balayer devant sa propre porte.

Ce fut l’ultime échange. Je décidai de rompre tout lien. Il me répondit par un long email, dans lequel il me livra une réflexion à son image : « Mouais… c’est vrai, tu es plutôt naturelle, simple, pas matérialiste… mais ça ne fait pas de toi quelqu’un d’intelligent. Aujourd’hui, ce qui compte, c’est de posséder. Toi, tu es beaucoup trop spirituelle. »

Je n’ai pas répondu. Je l’ai simplement effacé de ma vie. Blacklisté, bloqué, rayé.

Des amis communs, surpris de mon détachement, me contactèrent peu après : « Tu vas bien ? Tu ne dis rien, tu es déjà passée à autre chose ? »
À vrai dire, oui. À cette époque, je travaillais à la fois comme coach et comme journaliste, et l’on m’avait envoyée en reportage à Athènes, en pleine période d’émeutes. Une fois arrivée dans ce pays que je considère comme mon second foyer, je me suis offerte un luxe inestimable : celui de ne plus penser à lui du tout.

Certains s’en étonnèrent, voire me le reprochèrent : « Ah oui, avec elle, quand c’est fini… c’est fini. » Et ils avaient raison. J’avais pris une décision ferme : ne plus jamais parler de lui, ni avec qui que ce soit, ni même avec moi-même. Il finit ainsi par s’effacer naturellement de mon esprit, comme un nuage dissipé par le vent.

Quelques mois plus tard, le destin me faisait rencontrer celui qui allait devenir mon mari. Cela fait aujourd’hui dix-neuf ans.

Depuis, je m’impose une règle simple mais puissante : ne jamais me renseigner sur les personnes que j’ai choisies de laisser derrière moi. Pas par rancune, mais par respect pour mon énergie. Car offrir ne serait-ce qu’une pensée à quelqu’un qui ne la mérite pas, c’est lui donner un pouvoir qu’il n’a plus à avoir.

Cela peut sembler difficile, mais c’est en réalité très simple : il suffit de savoir ce qu’on veut vraiment. Se préserver… ou continuer à dilapider son énergie pour des gens qui n’en valent pas la peine.


Les gens les plus heureux tournent vite la page

Il y a un trait commun chez les personnes qui respirent la joie de vivre : elles ne s’accrochent pas au drame. Elles apprennent, elles digèrent, elles avancent. Elles transforment les « enquiquineurs » en leçons de vie, point barre. Pas besoin de détester, de ruminer ou d’attendre une reconnaissance qui ne viendra jamais.

Ces personnes savent que leur temps est sacré, leur énergie précieuse, et leur destin trop vaste pour être ralenti par les fantômes du passé.

Une pratique simple à adopter

Chaque fois que cette personne traverse votre esprit, respirez profondément, expirez, et dites intérieurement : « Je choisis d’avancer. Ceci ne mérite plus mon énergie. » Répétez si nécessaire. C’est une discipline, comme un entraînement. Mais à chaque instant, vous regagnez du terrain sur votre paix intérieure.


En conclusion : oubliez pour mieux exister.

Ce n’est pas de la fuite, c’est de l’amour-propre. Vous ne niez pas ce qui a été, vous choisissez simplement de ne plus en faire le centre de votre présent. Car c’est là que se trouve votre pouvoir : dans le choix conscient de ne plus nourrir ce qui vous détruit.


Ces gens qui ne respectent pas qui vous êtes : pourquoi il faut les fuir sans hésiter

Dans la vie, on croise toutes sortes de personnes. Certaines vous élèvent, vous inspirent, vous encouragent à briller. Et puis, il y a les autres. Ceux qui refusent d’admettre vos réussites, votre bonheur, votre statut, vos choix ou votre évolution. Qu’ils soient proches, amis, collègues ou même de simples connaissances, ces gens-là sont toxiques. Pourquoi ? Parce qu’ils n’acceptent pas ce que vous incarnez. Pire, ils vous en veulent d’exister pleinement dans une version de vous-même qu’eux n’ont pas le courage ou la capacité d’atteindre.

Quand vos réussites sont insupportables pour eux !

Prenons l’exemple de Sarah, artiste peintre, qui décroche enfin une exposition dans une galerie reconnue. Au lieu de recevoir des félicitations sincères, sa cousine lâche :
« Oh, tu sais aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, tout le monde peut exposer… ».

Traduction : « Ton succès me dérange, donc je le dévalue pour me rassurer. »

Même schéma pour Justine, qui a intégré la SACEM après des années de travail acharné. Son oncle, qui gratte sa guitare dans le garage depuis 30 ans sans jamais oser postuler, ricane :
« La SACEM, c’est plus ce que c’était… ».

Face à ce type de comportement, inutile de chercher à convaincre ou à vous justifier. Ces gens-là ne cherchent pas la vérité, ils veulent juste vous ramener à une taille qui les arrange : une taille qui ne les dérange pas.


Quand votre bonheur personnel les dérange profondément

Mais ce n’est pas tout. Il y a aussi ceux qui ne supportent pas que vous soyez heureux, surtout en amour. Vous êtes mariée depuis 20 ans avec un homme génial, fidèle et présent ? Vous êtes la cible idéale pour les femmes divorcées aigries qui répandent leur venin comme une vérité universelle :
« De toute façon, le mariage finit toujours mal. Tu verras, tu divorceras comme nous toutes. »

Ou encore cette « amie » jalouse qui vous glisse à chaque apéro :
« Franchement, tous les hommes trompent, t’es juste pas au courant. »

Ces discours ne relèvent pas de la sagesse ou de l’expérience de vie, mais de la projection pure. Elles ne parlent pas de vous. Elles parlent de leurs blessures, de leurs échecs et de leur incapacité à croire qu’une autre réalité est possible. Le problème, c’est que leur amertume dégouline sur vous comme un poison lent. À force, vous finissez par vous demander si elles n’ont pas raison. Spoiler : elles ont tort. Leur vérité n’est pas la vôtre.


Quand vos choix matériels et sociaux deviennent une offense !

Vos choix de vie dérangent aussi. Vous avez acheté plusieurs biens immobiliers grâce à votre travail ? Une amie qui peine à joindre les deux bouts vous balance :
« C’est indécent d’avoir autant quand d’autres galèrent. Franchement, t’aurais pas honte, à ta place ? ».

Vous êtes heureuse dans un couple solide et épanoui ? Un collègue ou une cliente joue au sourd chaque fois que vous mentionnez votre mari, comme si ce bonheur conjugal n’avait aucune légitimité. Il vous parle comme à une célibataire en attente de séduction.


Pourquoi il faut les fuir — et vite

Ces comportements sont toxiques parce qu’ils sont délibérés. Ce ne sont pas des maladresses, mais des stratégies inconscientes pour vous faire douter de ce que vous avez construit. Derrière chaque pique, chaque remarque sournoise, il y a un message caché :
« Ce que tu es, ce que tu as, ce que tu représentes, je refuse de l’admettre parce que ça me confronte à mon propre mal-être. »

Ces gens ne vous veulent pas du bien. Ils veulent juste que vous rétrécissiez pour qu’eux se sentent moins petits. Ils refusent de vous voir telle que vous êtes parce que votre réussite, votre bonheur ou même votre stabilité les renvoient à leurs propres frustrations.


Fuir n’est pas de l’arrogance, c’est de la santé mentale !

Couper les ponts ou mettre une distance claire avec ce type de profil, ce n’est pas être égoïste. C’est un réflexe de survie psychique. Vous n’avez pas à vous excuser de réussir, d’être heureuse, d’avoir trouvé l’amour ou d’avoir bâti une vie qui vous ressemble. Vous n’avez pas à vous cacher pour rassurer ceux qui ne savent pas gérer leur propre insatisfaction.

Entourez-vous de ceux qui célèbrent vos victoires, qui respectent vos choix, même s’ils sont différents des leurs. Soyez avec des gens qui vous voient telle que vous êtes, sans filtre déformant. Car c’est auprès d’eux que vous pourrez grandir encore, au lieu de vous rabougrir pour rassurer les autres.


En résumé : assumez votre lumière — et laissez les ombres derrière !

Que vous soyez mariée ou célibataire, diplômée ou autodidacte, artiste ou chef d’entreprise, propriétaire ou locataire, vous avez le droit d’exister pleinement. Ceux qui vous aiment vraiment respectent vos choix et vos différences. Les autres ? Dehors.

Votre vie n’a pas à devenir le terrain de jeu de leurs insécurités mal digérées.

Vous souhaitez apprendre à recadrer les gens sans pâtir personnellement d’avoir à dire enfin « non ! » aux comportements toxiques ? N’hésitez pas à me consulter dans le cadre du Coaching de vie !

Faut-il tolérer indéfiniment des amis d’enfance toxiques ?

Les amis d’enfance occupent souvent une place spéciale dans nos vies. On les imagine tels des soutiens inconditionnels, de ces compagnons qui demeurent à nos côtés malgré les aléas de l’existence…

Pourtant, cette vision peut se heurter à une réalité bien moins reluisante. Aujourd’hui, je souhaite aborder la question de ces amis qui, au lieu de nous soutenir, cherchent à nous contrôler.

Ces individus adoptent une attitude paternaliste, convaincus que leur manière de vivre est la seule valable. En psychologie, on sait que juger les autres à travers le prisme de ses propres expériences révèle souvent une immaturité marquée et une incapacité à apprécier la diversité des parcours.

Ces comportements contrôlants ne sont pas le fruit du hasard. Ils s’ancrent dans leurs insécurités personnelles et leur besoin permanent de validation. Leur recette de vie, qu’ils érigent en modèle universel, reflète un manque d’ouverture d’esprit, et leurs critiques envers ceux qui empruntent des chemins différents trahissent leur peur de l’inconnu.

Dans ce contexte, il est souvent difficile de reconnaître la toxicité de ces amis de longue date. Après tout, leur présence constitue un point de repère dans une vie en perpétuel mouvement. Mais que se passe-t-il lorsque ce « repère » devient une véritable entrave ? Voici mon histoire, celle d’un ami d’adolescence dont la relation est devenue si pesante qu’il a fallu couper les ponts pour préserver ma sérénité ! En arriver là semble extrême et pourtant… tout le justifier ! Cette relation cochait toutes les cases pour être « éliminée » au plus vite !


Une amitié qui avait tout pour réussir

X et moi nous sommes rencontrés au lycée, à une époque où je traversais des moments difficiles. Après une année marquée par le harcèlement scolaire lié à ma différence (style vestimentaire unique, activités artistiques hors norme, visions de la vie atypiques), je commençais enfin à m’affirmer. J’avais opéré une véritable transformation personnelle : nouvelle apparence, confiance renouvelée, et une détermination à ne plus me laisser écraser par les critiques. X, timide et réservé, semblait partager ma sensibilité. Nous passions des heures à discuter de musique, fascinés par des groupes comme The Cure et Joy Division.

Pourtant, dès la fin du lycée, des fissures sont apparues. Tandis que je poursuivais mes études à l’université, X, qui avait échoué à ses examens, semblait de plus en plus distant. Peu à peu, des comportements problématiques ont émergé : petits mensonges, jalousies mal dissimulées, et tentatives de minimiser mes réussites. J’ignorais alors les avertissements de proches qui voyaient clair dans son jeu. L’un d’eux me dit même : « Ce type est une plaie ! Il a un ego surdimensionné ! Il te gâchera toujours la vie ! Tiens-toi éloignée de lui, crois-moi c’est un bon conseil ! » Des années plus tard je devais constater que cet ami-ci avait lourdement raison ! Par exemple, dès que la situation devenait tendue avec moi ou que je n’étais pas d’accord avec son point de vue, il constituait rapidement une « cellule de crise » autour de lui, s’entourant exclusivement, le temps que la tempête passe, d’amis « tout à fait d’accord avec lui »… Les autres, ceux qui rejoignaient mon point de vue étaient toujours momentanément écartés… Il y avait derrière ses « suiveurs », quelques conflirs d’intérêts : il invitait en vacances à tout va, payait des tournées, mettait sans cesse la main au portefeuille pour s’assurer certaines amitiés : il avait une peur de l’abandon incroyable !


Le contrôle masqué derrière l’amitié

En grandissant, nos trajectoires se sont davantage éloignées. Alors que je construisais ma vie, X s’enlisait dans des choix douteux, souvent sous l’influence de son goût prononcé pour la fête. Il n’hésitait pas à me rabaisser subtilement, critiquant mes choix de vie, mes relations ou même mon apparence. Derrière ses « blagues », il y avait une constante dévalorisation de mes efforts et de mes succès. Malgré cela, je continuais à lui accorder le bénéfice du doute, me raccrochant à l’idée que cette amitié avait traversé tant d’épreuves qu’elle méritait d’être sauvée.


L’éloignement décisif : Dire stop au poison !

Tout a changé lorsque X a tenté de revenir dans ma vie via les réseaux sociaux. Sous des airs amicaux, il s’est mis à critiquer ouvertement mes publications, à nier l’existence de mon mari et de mes enfants, et à se positionner comme un « ami d’enfance » incontournable. Le summum fut atteint lorsqu’il proposa des « massages » à un moment où je traversais un deuil, ignorant complètement le soutien inestimable que mon mari et mes proches m’offraient. Comme toujours seul son « rôle » a lui comptait… Il ne voyait la vie des autres que par le prisme de son propre ego !

Cette accumulation m’a poussée à prendre une décision radicale : rompre définitivement. Après en avoir discuté avec mes proches, j’ai procédé méthodiquement. J’ai supprimé X de ma vie, virtuellement et réellement. J’ai également pris soin de couper les ponts avec son entourage direct. Cette démarche, bien que difficile, m’a apporté une paix profonde et immédiate qui perdure. Aujourd’hui je me demande même comment j’ai pu être assez faible pour endurer sa présence dans ma vie toutes ces années ! Il y avait une forme de culpabilité chez moi à « couper net » avec un ami d’enfance. En faisant les choses dans l’ordre, cela m’a été très bénéfique. Certaines clientes, par la suite, ont pris une décision similaire et en ont ressenti les mêmes effets bénéfiques.


Ce que j’ai appris en m’éloignant d’un ami toxique

Deux ans après cette « rupture », le constat est clair : ma vie est bien plus apaisée sans lui. Prendre ses distances avec une personne toxique, même si elle fait partie de votre passé, est une preuve de respect envers soi-même. Cela permet de se recentrer sur des relations saines et constructives, et de se libérer de l’emprise des critiques incessantes. Cette démarche demande du courage, mais elle ouvre la voie à un bien-être durable.

À l’aube de la cinquantaine, je crois fermement qu’il est essentiel de s’entourer de personnes qui respectent notre singularité. Les véritables amis sont ceux qui célèbrent nos différences, pas ceux qui tentent de les effacer. Aujourd’hui, je savoure une vie libre de toute emprise, entourée de gens qui m’inspirent et m’encouragent. C’est vraiment la liberté qui a marqué ce process. Je ressens particulièrement cela lorsque je pars à l’étranger ou que je me lance dans des domaines qu’il aurait fortement critiqués comme toujours !


Un message pour Vous : Reprenez votre Pouvoir !

Si vous aussi êtes confronté(e) à des relations toxiques, sachez qu’il n’est jamais trop tard pour agir. Vous méritez des relations qui vous élèvent et non qui vous tirent vers le bas. Prenez le temps d’évaluer vos liens et osez couper les ponts avec ceux qui empoisonnent votre bonheur. La sérénité et l’épanouissement vous attendent de l’autre côté. Cultivez votre différence et cherchez ces rares âmes qui vous encourageront à être pleinement vous-même. Vous le valez bien !

Pourquoi on se sent naturellement mieux en lâchant les poids toxiques de notre vie

Dans notre quête du bien-être, il est parfois nécessaire de faire face à une réalité souvent négligée : certaines personnes, situations ou lieux agissent comme de véritables poids émotionnels et psychologiques. Ils nous « bouffent », nous « usent », nous rendent préoccupés et sérieux… Ils nous ôtent toute envie de légèreté, de bonheur… Oui, ces « fardeaux » peuvent être des relations toxiques, des environnements oppressants ou des expériences qui nous dévalorisent. Lâcher ces poids, bien que difficile, nous permet souvent de retrouver une liberté intérieure et un mieux-être global. Il est primordial de comprendre que nous sommes faits pour expérimenter une forme de bonheur complet, et que l’univers nous guide naturellement vers notre véritable chemin lorsque nous faisons le choix de nous détacher de ce qui nous retient en arrière.

Se libérer des fardeaux pour retrouver son alignement

Wayne Dyer, psychologue et auteur spirituel, disait souvent : « Change the way you look at things and the things you look at change. » En d’autres termes, lorsque nous modifions notre perception et abandonnons les influences négatives, nous ouvrons la porte à des changements positifs. Dyer croyait fermement que la clé de l’épanouissement réside dans notre capacité à nous libérer des pensées et des relations limitantes qui bloquent notre plein potentiel.

Ce processus de libération s’applique également aux situations toxiques et aux lieux chargés émotionnellement. Comme l’explique Jiddu Krishnamurti, philosophe indien, « la vérité est un pays sans chemin », ce qui signifie que chacun doit trouver sa propre voie sans être entravé par des influences extérieures négatives. Cela implique parfois de couper les liens avec certaines personnes ou de quitter des environnements qui ne nous servent plus.

Deepak Chopra, autre grande figure du développement personnel, affirme que lorsque nous lâchons ce qui est toxique, nous permettons à l’univers de manifester ce qui est en accord avec notre véritable essence. Cela résonne profondément avec la sophrologie, qui nous invite à cultiver une présence consciente et à retrouver l’harmonie entre le corps et l’esprit.

Quand persister et quand lâcher prise ?

Dans la vie, il existe des épreuves qu’il est nécessaire de résoudre, des leçons à apprendre pour grandir. Mais il existe aussi des moments où persister dans une situation ou une relation devient contre-productif. C’est là qu’intervient l’art du lâcher-prise. Abandonner n’est pas un acte de faiblesse, mais un acte de sagesse. Freud, le père de la psychanalyse, affirmait que l’un des secrets du bonheur est la capacité à renoncer à certains désirs non-réalistes ou destructeurs. Il disait que « la décision de lâcher est souvent la première étape pour libérer son esprit ».

Einstein, dans sa sagesse pratique, ajoutait que « la folie est de faire toujours la même chose et d’attendre un résultat différent ». Cette citation est un rappel fort qu’à un certain point, il faut faire le choix de changer de direction, surtout lorsqu’une situation n’apporte que du stress, de la frustration ou du mal-être.

Le bonheur, un état naturel

En réalité, le bonheur n’est pas quelque chose que nous devons constamment chercher à atteindre à l’extérieur. Il s’agit d’un état naturel qui se manifeste lorsque nous sommes en alignement avec notre véritable nature. La sophrologie, en tant que méthode psycho-corporelle, nous aide à retrouver cette connexion en harmonisant nos pensées, nos émotions et notre corps. L’abandon des poids toxiques est essentiel pour permettre cette harmonie de s’installer durablement.

Les études en psychologie positive démontrent que les relations sociales positives, un environnement de vie sain et des pensées constructives sont les fondations d’un bien-être durable. Lorsque nous nous libérons des influences toxiques, nous favorisons ces aspects, et l’univers répond en nous offrant de nouvelles opportunités et en nous mettant sur la voie de ce qui nous correspond vraiment.

Comment identifier ce qui doit être lâché ?

La première étape vers la libération consiste à identifier ce qui dans votre vie vous retient en arrière. Il peut s’agir de :

  • Personnes toxiques : celles qui vous manipulent, vous dévalorisent ou vous épuisent émotionnellement.
  • Environnements négatifs : qu’il s’agisse de lieux physiques ou virtuels qui drainent votre énergie, comme des emplois sans sens ou des maisons où règne une énergie lourde.
  • Pensées limitantes : ces croyances que nous avons sur nous-mêmes, souvent influencées par des expériences passées ou des paroles extérieures, qui nous empêchent de progresser.

Les effets positifs du lâcher-prise

Lorsque vous décidez consciemment de couper ces liens, vous pouvez ressentir une légèreté quasi immédiate. Vous reprenez le contrôle de votre vie, et de nouvelles énergies, plus positives, commencent à circuler. La sérénité, la créativité et la joie émergent naturellement lorsque nous nous débarrassons de ce qui était devenu un poids inutile.

En sophrologie, cette libération est accompagnée d’un ancrage dans le moment présent. Les techniques de respiration, de relaxation et de visualisation vous aident à renforcer cette sensation de paix intérieure, même face aux défis.

Choisir le bonheur

En fin de compte, la vie est une question de choix. Nous avons le pouvoir de choisir notre bonheur en lâchant ce qui est trop lourd à porter. Lorsque nous décidons de couper les liens avec des personnes, des situations ou des lieux toxiques, nous envoyons un message à l’univers : nous sommes prêts à recevoir ce qui est bon pour nous. Et l’univers répond toujours à cet appel. Comme le disait Einstein, « la vie est comme une bicyclette, pour garder l’équilibre, vous devez continuer à avancer ». En lâchant les poids inutiles, nous nous remettons en mouvement vers notre véritable chemin.


Cet article se veut une invitation à la réflexion pour vous accompagner sur le chemin du bien-être, en accord avec les principes de la sophrologie et de la psychologie positive. Lâchez ce qui ne vous sert plus, et laissez l’univers vous montrer ce que vous méritez réellement.

48 ans, maman et Thérapeute : Métamorphose d’une vision (et d’un style) de vie à l’aube de la cinquantaine

Révélations à travers le monde et en Inde ; Quand la Paix Intérieure s’impose d’elle-même…

À l’approche de mes 49 ans, mon récent périple en Inde s’est révélé être une expérience d’une profondeur inattendue. Face au tumulte, à la misère et à la splendeur coexistant harmonieusement dans ce pays étrange et attachant, j’ai finalement concrétisé la paix intérieure qui m’envahissait depuis ma rencontre avec les Navajos, dans le Grand Ouest américain il y a quelques années. Et depuis l’écriture de mon livre « Voyage en Self-Love »… Comme quoi les « indiens » qu’ils soient d’Asie ou d’Amérique m’ont toujours parlé ! Cette introspection m’a permis non seulement de faire la paix avec mon parcours atypique, passant de spécialiste de la presse et de la communication relationnelle à thérapeute indépendante en 2010, mais aussi de ressentir une fierté authentique pour chaque étape de ma vie, pour tout ce que chacune a constitué. Il ne s’agit pas d’amour-propre ce qui est un peu différent mais vraiment d’être en capacité de se bénir soi-même à chaque période de sa vie. Oui ce voyage à parcourir les lieux les plus sacrés du Rajasthan et de l’Uttar Pradesh, et, de nouveau, les nombreuses discussions que j’ai pu avoir avec des indiens, notamment sur l’hindouisme, les leçons de vie de la Bagavad et d’autres écrits sacrés, les mariages arrangés, le mode de vie etc. ont bouleversé la vision que j’avais du monde. Cela faisait déjà un an que je m’étais allégé la vie, notamment en ignorant totalement, comme s’ils étaient devenus invisibles, les quelques « toxiques » qui ponctuaient encore, de temps à autre, mon chemin, et ce voyage aux sources de la spiritualité m’a donné l’impulsion suivante : ne plus du tout se gâcher la vie ni l’existence avec des gens ou des choses que l’on ne désire absolument pas ! J’ai également continué de progresser vers la Simplicité de vie (élimination de nombreuses possessions, temps de ressourcement démultiplié etc.) et vers mon style de vie de toujours : Less is more. Je comprends que la course à l’argent et à la carrière puisse intéresser les jeunes gens mais je sais qu’à partir de 40 ans il est bon de profiter de tout ce qui a déjà été acquis plutôt que d’en vouloir toujours plus. Vivons le Suffisamment bien plutôt que le Jamais assez ! Cette année, autour de moi, plusieurs personnes vont fêter leurs quarante ans. Je leur souhaite de connaître ce déclic et d’arriver enfin à s’aimer telles qu’elles sont plutôt que dans une course au nouvel appartement ou à la maison  » de plus »… A l’inverse : je trie, je vide, je donne encore et encore ! La satisfaction est bien plus vaste !

Priorisation et Gestion du Temps :

De retour de ce voyage introspectif, j’ai décidé de réévaluer mes relations personnelles donc. Une décision ferme a émergé : cesser d’accorder du temps à des individus qui ne méritent pas cet investissement. La maladie de certains proches a accentué la compréhension de la valeur inestimable du temps. Désormais, je considère le temps comme ma richesse la plus précieuse, optant pour des investissements temporels judicieux.

Redéfinition des Priorités :

L’éclaircissement intérieur a confirmé mes choix de vie. L’argent, bien que nécessaire, ne constitue plus la seule mesure de succès à mes yeux. La santé et la gestion autonome du temps s’avèrent tout aussi cruciales, voire plus. La liberté de contrôler mon temps est désormais une richesse non négociable.

Lâcher Prise et Acceptation :

À travers les années, j’ai appris à lâcher prise, particulièrement en ce qui concerne mes enfants. Reconnaissant que c’est leur vie à vivre, j’ai abandonné le besoin de dicter, préférant les laisser expérimenter et apprendre par eux-mêmes. Cette perspective nouvelle a apporté une paix supplémentaire à ma vie quotidienne. Je considère offrir à mes enfants bien mieux qu’une éducation « au top »… J’organise mon temps pour les cultiver, leur raconter mes réussites, mes échecs, ce que j’ai ressenti lors des périodes fastes ou au contraire dans des périodes de mépris de la part de certains proches. Ils connaissent toute la palette des sentiments et des émotions et savent comment y répondre. C’est bien davantage que donner l’amour en héritage, c’est donner un « mode d’emploi » tout en laissant la liberté de l’appliquer ou pas.

Avec les étudiantes de la « Ville Bleue »

Simplification de la Vie :

La cinquantaine m’a également incitée à simplifier ma vie quotidienne. J’ai identifié ce qui compte réellement pour moi : prendre soin de ma famille, s’occuper de mes clients, entretenir ma maison, créer, lire sur des sujets qui m’intéressent et voyager. Les futilités physiques comme le maquillage ont cédé la place à la praticité d’un dressing uniforme, économisant ainsi du temps précieux chaque matin.

Conseils aux Autres :

Fortifiée par mon expérience, j’encourage vivement mes clients à éloigner les personnes toxiques de leur vie. Mon apprentissage de l’hypnose a également révélé la facilité de se libérer de relations et d’époques de sa vie qui ne contribuent pas à une vision gratifiante de soi. J’ai constaté avec quelle rapidité il m’a été permis de me défaire de quelques schémas obsolètes (3 semaines). J’espère vous en faire profiter prochainement à mon cabinet.

À l’approche de la cinquantaine, ma vie de maman et de thérapeute a évolué vers une compréhension plus profonde de moi-même, des autres et de la vie en général. Ces transformations ont apporté une sérénité et une acceptation qui éclairent, pour ma part, le chemin à venir. Un voyage au bout du monde sans autre volonté que le Voyage ou le Shopping… ne changera jamais une vie. Par contre partir sans rien attendre, avec la volonté d’apprendre et de communiquer, d’être au contact du peuple, peut, au fil des années et des récidives, dessiner un chemin de paix intérieure, une guidance pour votre propre vie. Il ne faut pas confondre Tourisme et Voyage intérieur, bien entendu !

Le Pouvoir du ‘No Eyes Contact’: Maîtrise cette stratégie relationnelle pour déjouer l’Intrusion des toxiques

En 1997, Carolyn Bessette Kennedy, femme d’une grande classe, épouse de feu JFK Junior, fit une entrée marquante aux obsèques très médiatisées de Gianni Versace. Face à l’incessant harcèlement de la presse depuis le début de sa relation avec JFK Junior, elle initia une stratégie remarquable : le ‘No Eyes Contact’. Dans un geste inédit depuis son intégration dans le cercle Kennedy, elle déjoua habilement les journalistes et photographes en évitant tout contact visuel, optant pour un silence absolu. Ce message silencieux proclamait sa présence uniquement pour rendre hommage à l’amitié avec le défunt et pour respecter ses obligations. Cette attitude symbolique rompit définitivement les liens avec la presse, définissant ainsi un nouveau chapitre dans sa stratégie relationnelle avec autrui. Désormais elle choisirait elle-même l’engagement ou non envers autrui de sa simple présence.

Le ‘No Eyes Contact’ représente bien plus qu’une simple tactique d’évitement. C’est une stratégie délibérée, une arme subtile mais puissante contre les intrusions médiatiques et les relations toxiques imposées. Cette approche, basée sur l’absence de contact visuel et le silence choisi, transcende les mots pour exprimer un refus tacite de participer à un jeu médiatique nuisible.

Pourquoi donc cette stratégie demeure-t-elle le choix optimal pour se libérer d’une relation toxique sans pour autant tomber dans le piège tendu par ses rouages ? Le ‘No Eyes Contact’ offre une échappatoire en imposant des limites claires sans nécessiter d’explications verbales. Il ne se laisse pas entraîner dans des confrontations verbales, mais plutôt dans une communication non-verbale qui parle plus fort que tout discours.

Cette stratégie puise sa force dans le contrôle de soi et la préservation de son intégrité. Elle dépeint un message clair et sans équivoque : l’autonomie et la résilience face aux attaques médiatiques ou aux relations néfastes. En refusant le contact visuel et en choisissant le silence, on se soustrait habilement à l’emprise de l’adversité tout en conservant sa dignité.

Le ‘No Eyes Contact’ n’est pas un acte de faiblesse, mais une démonstration de force intérieure et de maîtrise de soi. C’est une réponse stratégique à des situations intrusives, offrant une liberté par le silence et une résistance calme mais inébranlable.

En somme, adopter le ‘No Eyes Contact’ représente bien plus qu’une simple tactique de défense ; c’est une affirmation de dignité, une déclaration silencieuse de ses limites et un moyen de se libérer des relations toxiques sans compromettre son intégrité.

A notre niveau également le « no Eyes Contact » peut aussi faire des miracles.
Clara, 45 ans explique : « J’ai une belle-famille épouvantable. Mon mari
le sait, il le constate chaque jour… Ma belle-mère était
particulièrement virulente à mon égard, me critiquant et me rabaissant à
tout va. Avec la bénédiction de mon mari, j’ai décidé de couper les
ponts. Mais elle revenait sans cesse, non pas pour s’excuser ou faire la
paix mais parce qu’elle n’avait plus personne à critiquer ! Du coup
j’ai adopté premièrement une attitude nonchalante consistant à faire
comme si elle n’était pas dans le décor. Mais elle vint alors me secouer
le bras pour me communiquer ses idées dévalorisantes à mon sujet, au
sujet de mes enfants ou de ma carrière. J’ai adopté, sur conseil de ma
thérapeute, cette stratégie du No Eyes Contact. En plus de ne plus
répondre, je formulais l’intention de ne plus jamais croiser son regard.
Elle vint chez moi plusieurs fois. Même en lui ouvrant la porte je
portais mon regard sur un détail du mur à ma gauche… Elle s’énerva,
pesta puis finit par rentrer chez elle. Elle revint une fois et je lui
servais le même scénario. Aujourd’hui elle a cessé de venir
m’importuner. Nous avons retrouvé une véritable paix à la maison ! »

Effectivement, regarder l’autre dans les yeux signifie toujours
l’engagement. Ne plus le regarder du tout signifie donc un désengagement
total qui, de plus, n’est pas mal poli puisque rien n’est dit autrement
que par l’attitude. Vous pourrez éventuellement passer pour un grand
rêveur aux yeux des autres, quelqu’un qui n’écoute jamais. Le principal
étant de l’appliquer en gardant le message à l’esprit. Bientôt c’est
l’autre qui se détournera par lui-même en évitant crises et scandales.

Comprendre la malveillance de certains, quelques exemples

Nous connaissons tous des personnes malveillantes et toxiques qui influencent parfois notre comportement. Le véritable souci : peut-être mettez-vous alors vos projets en « stand by » ou vous-empêchez vous de mener à bien certaines décisions ou certains actes ? Ces personnes savent vous culpabiliser ou vous pousser à vous déconcentrer de vos objectifs !

Dans cette vidéo spontanée je vous explique, par l’exemple, comment comprendre la malveillance de certains. Comprendre leur fonctionnement c’est déjà se couper des personnes toxiques !

Dans cette vidéo spontanée je vous explique pourquoi et comment il faut couper les liens avec les personnes toxiques et malveillantes.