Oui, les réseaux sociaux vous gâchent vraiment la vie : Libérez-vous avec la sophrologie et le coaching

Les réseaux sociaux sont devenus omniprésents, transformant notre façon de communiquer et de partager. Ils peuvent enrichir nos vies, certes, mais à quel prix ? Passer des heures à scroller ou à se comparer à des profils idéalisés épuise, sape la confiance en soi et peut même générer un véritable mal-être. Pourtant, il existe tant d’autres moyens plus constructifs de se cultiver et d’évoluer personnellement !

A mon cabinet je rencontre de plus en plus de jeunes gens (et de moins jeunes) qui ont fait de la publication sur les réseaux un véritable mode de vie. Ce que cela m’inspire ? Beaucoup ne peuvent vivre sans une forme de « validation » de leur vie et de leurs actes ! Nous sommes dans un pays où le libre-arbitre compte… Pourtant, beaucoup se l’ôtent eux-mêmes ! C’est une véritable contradiction !

Au lieu de laisser les réseaux sociaux grignoter votre énergie, pourquoi ne pas explorer la sophrologie et le coaching ? Ces approches permettent de déployer sa conscience et de découvrir ses propres ressources intérieures, sans pression extérieure. Contrairement au flot continu de contenus virtuels, la sophrologie aide à se recentrer et à retrouver une harmonie intérieure. Grâce à des techniques de relaxation dynamique et de visualisation positive, la sophrologie nous invite à lâcher prise et à renforcer la confiance en soi.

Le coaching, quant à lui, vous aide à définir vos objectifs personnels, à mettre en avant vos forces et à avancer de façon authentique et alignée. Là où les réseaux sociaux tendent à nous enfermer dans la comparaison et l’illusion, le coaching nous connecte à nos valeurs profondes, nous poussant à réaliser nos aspirations.

Alors oui, il est possible de partager et de rester connecté sans se laisser envahir. Mais si l’utilisation des réseaux vous fait souffrir, vous détourne de vous-même et de vos vraies envies, il est peut-être temps de faire le choix de la sérénité. Libérez-vous des attentes virtuelles et redécouvrez vos véritables pouvoirs avec la sophrologie et le coaching.

Voici une liste de pratiques et de passions qui font réellement grandir l’esprit et nourrissent notre épanouissement personnel :

1. La lecture enrichissante

Plonger dans des romans, des essais, ou des livres de développement personnel élargit la pensée, stimule l’imagination et ouvre l’esprit aux différentes perspectives.

2. L’apprentissage d’une nouvelle langue

Apprendre une langue étrangère n’est pas seulement un défi intellectuel ; cela nous expose à une nouvelle culture, et améliore la concentration et la mémoire.

3. La méditation et la pleine conscience

Pratiquer la méditation, la pleine conscience ou encore la sophrologie permet de développer la conscience de soi, de gérer le stress et d’améliorer la qualité de présence au quotidien.

4. Les voyages

Découvrir de nouveaux horizons, rencontrer des gens de cultures différentes, cela ouvre l’esprit et permet de voir le monde sous un autre angle, en nourrissant la curiosité et l’adaptabilité.

5. La pratique d’un art

Que ce soit la peinture, l’écriture, la danse ou la musique, l’expression artistique développe la créativité, libère les émotions et encourage une introspection profonde.

6. Le coaching personnel

S’engager dans une démarche de coaching, c’est apprendre à mieux se connaître, à définir ses objectifs et à progresser vers ses rêves avec confiance et clarté.

7. Les débats et échanges intellectuels

Participer à des discussions enrichissantes, confronter ses idées et apprendre à écouter les autres sont des exercices précieux pour élargir ses horizons.

8. La pratique de la gratitude

En cultivant la gratitude au quotidien, on développe une vision plus positive de la vie, ce qui améliore le bien-être émotionnel et renforce la résilience.

9. Les ateliers et formations

Participer à des ateliers de développement personnel ou de compétences pratiques (comme la sophrologie, le yoga, la cuisine, etc.) est une excellente manière de progresser et de rencontrer des personnes partageant les mêmes intérêts.

10. La découverte de la nature

Passer du temps dans la nature, que ce soit par la randonnée, le jardinage ou simplement une balade, apaise l’esprit, réduit le stress et nous reconnecte aux choses essentielles.

11. L’écriture d’un journal personnel

Écrire un journal permet de faire le point sur ses émotions, de prendre du recul sur sa vie et de clarifier ses pensées.

12. Le bénévolat et l’entraide

Aider les autres, participer à des actions de bénévolat ou simplement tendre la main renforce le sentiment d’accomplissement et développe la générosité, la compassion et l’humilité.

13. Apprendre de nouvelles compétences manuelles

Que ce soit la cuisine, le bricolage, la couture ou le jardinage, développer des compétences pratiques renforce l’autonomie, l’assurance et le sentiment de satisfaction.

14. Prendre soin de son corps

Le sport, le yoga, les arts martiaux ou la danse ne renforcent pas seulement le corps, mais aussi l’esprit en cultivant la persévérance, la discipline et l’écoute de soi.

15. L’introspection et la visualisation positive

Grâce à la sophrologie et d’autres techniques de relaxation, l’introspection aide à mieux se connaître et à se projeter positivement dans l’avenir.

En cultivant ces activités, on crée une vie riche et épanouie, bien loin des distractions et comparaisons stériles des réseaux sociaux

L’injonction au tout-numérique : Un fléau moderne qui isole, divise et ravage des vies

En tant que thérapeute, je vois de plus en plus de jeunes et de moins jeunes entrer dans mon cabinet, désabusés par un monde qui les pousse sans répit vers le numérique. Qu’il s’agisse de gestion de location sur des plateformes, de démarches administratives, ou même de simples actes quotidiens comme acheter un billet de train, tout semble passer par un écran. Or, cette hyper-dépendance technologique n’est pas sans conséquences profondes, tant sur le plan psychologique que social. Le numérique, loin d’être un outil neutre, ravage des vies et voile des existences…

Bien-entendu les sociétés qui en tirent leurs revenus vous diront le contraire : que l’évolution technologique est positive et inévitable. Je ne parle même pas ici de l’IA, simplement de cette injonction à être connecté en permanence. Pour exemple : je reçois il y a quelques mois, par courrier, une relance d’impayé pour une nouvelle taxe imposée aux autoentrepreneurs. Je suis étonnée car je n’ai pas reçu la première facture. Je téléphone donc à l’organisme concerné : « Madame, la première facture est dans votre espace en ligne ! Vous ne l’avez pas vu ? » « Non puisque je n’ai pas activé cet espace. Je ne veux pas perdre de temps avec ça ! » « Alors, Madame, vous êtes en tort ! C’est obligatoire de se connecter à cet espace !  » « Alors comment font les gens qui n’ont pas d’ordinateur ou dont l’ordinateur est en panne ? » « Madame, à l’heure actuelle tout le monde doit posséder un ordinateur ! » No comment…

Le calvaire des personnes âgées : l’exclusion par le numérique

Il suffit d’observer une gare pour comprendre l’ampleur du problème. Des personnes âgées, souvent seules, se retrouvent confrontées à des bornes automatisées pour acheter un billet de train. Elles luttent, stressées, face à des machines qui ne sont pas conçues pour elles. Ce stress, que je constate souvent dans mon cabinet, ne se limite pas aux gares. En France, on demande à des personnes isolées de plus de 90 ans de gérer leurs factures, de renouveler leurs papiers d’identité ou de déclarer leurs impôts en ligne, alors même qu’elles n’ont jamais possédé de smartphone. C’est une absurdité cruelle et déshumanisante qui les plonge dans une profonde frustration. Vu récemment : une personne âgée arrive pliée en deux pour un examen du dos, apparemment en grande souffrance puisqu’elle crie à chaque pas, et arrivée à l’accueil on lui demande « gentiment » d’aller scanner elle-même son ordonnance, sa carte vitale et ses résultats de précédents examens « à la borne » ! Donc nous avons ici 3 secrétaires qui encaissent les paiements mais envoient les patients « à la borne » pour tout le reste ! Cela vous paraît logique de n’être présent pour le patient uniquement au moment de faire rentrer l’argent ? Avec eux, vraiment, le client est roi !

Les services publics eux-mêmes ne sont pas épargnés. Les sites gouvernementaux, souvent mal conçus ou dysfonctionnels, sont un véritable cauchemar pour ceux qui n’ont pas grandi avec la technologie. Il n’est plus rare de voir des personnes âgées, autrefois autonomes, se sentir impuissantes face à une dématérialisation excessive. La société a abandonné ces générations à une solitude technologique qui ne cesse de croître… Autour de moi je ne cesse de recueillir des récits de déboires concernant les services publiques et leur passage au « tout-technologique » et croyez-moi ils vous feraient regretter les années 70 !

Les jeunes :souvent ultra connectés mais déconnectés du monde réel

Paradoxalement, les jeunes, eux, bien que plongés dans le numérique depuis leur naissance, souffrent aussi de cette tyrannie. mais de façon toute inconsciente ! Ils ne savent réellement pas ce qu’ils y perdent ! La connexion permanente ne les rapproche pas, bien au contraire. Le tout-numérique engendre un isolement social subtil. Les interactions sont virtuelles, souvent superficielles, et le véritable lien social, celui qui se tisse dans la rencontre humaine, est en péril. De nombreux jeunes que je rencontre sont démunis face à des situations simples de communication en face à face. Leurs compétences sociales régressent tandis que leur dépendance aux écrans explose. Il n’est pas rare de rencontrer des jeunes ne sachant pas exprimer ni leurs émotions, ni leurs sentiments, sensations ou une simple idée. La construction de phrases logiques ne coule pas de source. La sélection du mot adéquat non plus. Ici nous réapprenons à prendre notre temps pour communiquer clairement. Peu importe si le procédé prend du temps. Il faut pousser l’esprit à clarifier la situation expérimentée par des questions basiques : qui, pourquoi, où, comment ? Puis réflechir aux variantes qui existent pour une émotion, une sensation. « Etre en colère » n’est pas comme « Ressentir une injustice » ni comme « Se sentir trahi », par exemple. C’est bien de la simple capacité à réfléchir et à raisonner dont il s’agit car souvent on se rend compte dans les cours de communication verbale ou d’éloquence, que c’est elle qui est atteinte.

Pire encore, l’éducation en France en pâtit. Les résultats scolaires sont catastrophiques : le niveau de français et de mathématiques est en chute libre. Je reçois régulièrement des étudiants qui font des fautes à chaque mot, des jeunes qui peinent à structurer une pensée cohérente. Le numérique, censé faciliter l’accès à l’information et à la connaissance, semble finalement détruire les fondamentaux de l’apprentissage. Il faut dire que le temps passé sur les écrans est davantage investi sur des réseaux addictifs qu’à visionner des documentaires…

L’uniformisation numérique dans les zones rurales

La campagne, autrefois sanctuaire de la déconnexion, n’est pas épargnée par ce fléau. Même dans les zones rurales, où l’on pourrait espérer échapper au tout-numérique, la dématérialisation gagne du terrain. On demande désormais aux agriculteurs de remplir leurs déclarations en ligne, aux villageois de consulter les annonces locales sur des applications, et aux familles de gérer leur vie quotidienne par des écrans.

Cette numérisation massive impose un rythme déshumanisant, où même les moments de calme et de contemplation, jadis inhérents à la vie rurale, sont parasités par la technologie. La promesse d’une vie plus simple à la campagne s’effondre sous le poids de la dépendance aux écrans.

La nécessité d’une révolution humaine : se reconnecter à la vraie vie

Nous sommes arrivés à un point où il devient urgent de remettre en question cette obsession du tout-numérique. Il est impératif de recréer des espaces de déconnexion, de réapprendre à vivre sans écran, de renouer avec la véritable vie. Une révolution humaine doit émerger, non pas contre la technologie en tant que telle, mais contre son omniprésence tyrannique.

Pour les enfants, l’enjeu est crucial. Comment les éduquer avec lucidité dans un monde où tout les pousse vers l’écran ? Il est important de leur expliquer ce qu’était notre vie dans les années 80 et 90, une époque où le lien social était réel et tangible. À cette époque, les rencontres se faisaient dans la rue, à la bibliothèque du coin, ou au centre commercial, les discussions autour d’une table, et les loisirs s’inscrivaient dans des activités partagées. Les enfants jouaient dehors, développaient des relations humaines profondes et apprenaient à s’ennuyer, ce qui est crucial pour la créativité et le développement personnel.

Éduquer nos enfants à une autre réalité

Pour éduquer nos enfants dans une forme de lucidité face à cette ère numérique, nous devons nous-mêmes être des modèles de déconnexion. Limiter l’usage des écrans, privilégier les moments en famille, encourager les activités manuelles et physiques, et surtout, leur apprendre la patience et l’ennui. Ce sont des compétences qui se perdent, mais qui sont essentielles pour grandir sainement.

Il est également possible de faire du blogging non pas un grand n’importe quoi mais bien une source de savoir, d’apprentissages partagés. Tenir un blog sur la littérature du 19eme siècle est autre chose que de passer son temps livre sur TikTok…

Expliquez-leur que, dans les années 80 et 90, on attendait parfois des jours pour recevoir une lettre, et cela avait du charme. On s’organisait pour se rencontrer à une heure précise, sans être constamment localisé par un téléphone. On se rappelait les numéros de téléphone par cœur, on feuilletait des livres pour trouver une information, et cela participait à construire une mémoire, une attention, et une patience que le numérique a érodées.

Pour une réconciliation avec le réel

Le tout-numérique n’est pas une fatalité. Si nous, en tant que parents, enseignants, et citoyens, prenons conscience des ravages qu’il peut causer, nous pouvons réorienter le cours des choses. La révolution ne viendra pas d’une rupture totale avec la technologie, mais d’un rééquilibrage. Il est temps de redonner à la vie déconnectée une place légitime, pour que les jeunes générations puissent grandir en harmonie avec elles-mêmes et avec les autres.

Le numérique doit rester un outil, une valeur ajoutée, et non devenir un mode de vie sous injonctions. C’est à nous d’agir, d’éduquer, et de faire en sorte que la vie réelle, celle qui se construit dans le partage, le silence, et l’attention aux autres, retrouve la place qu’elle n’aurait jamais dû perdre.

Pourquoi on se sent naturellement mieux en lâchant les poids toxiques de notre vie

Dans notre quête du bien-être, il est parfois nécessaire de faire face à une réalité souvent négligée : certaines personnes, situations ou lieux agissent comme de véritables poids émotionnels et psychologiques. Ils nous « bouffent », nous « usent », nous rendent préoccupés et sérieux… Ils nous ôtent toute envie de légèreté, de bonheur… Oui, ces « fardeaux » peuvent être des relations toxiques, des environnements oppressants ou des expériences qui nous dévalorisent. Lâcher ces poids, bien que difficile, nous permet souvent de retrouver une liberté intérieure et un mieux-être global. Il est primordial de comprendre que nous sommes faits pour expérimenter une forme de bonheur complet, et que l’univers nous guide naturellement vers notre véritable chemin lorsque nous faisons le choix de nous détacher de ce qui nous retient en arrière.

Se libérer des fardeaux pour retrouver son alignement

Wayne Dyer, psychologue et auteur spirituel, disait souvent : « Change the way you look at things and the things you look at change. » En d’autres termes, lorsque nous modifions notre perception et abandonnons les influences négatives, nous ouvrons la porte à des changements positifs. Dyer croyait fermement que la clé de l’épanouissement réside dans notre capacité à nous libérer des pensées et des relations limitantes qui bloquent notre plein potentiel.

Ce processus de libération s’applique également aux situations toxiques et aux lieux chargés émotionnellement. Comme l’explique Jiddu Krishnamurti, philosophe indien, « la vérité est un pays sans chemin », ce qui signifie que chacun doit trouver sa propre voie sans être entravé par des influences extérieures négatives. Cela implique parfois de couper les liens avec certaines personnes ou de quitter des environnements qui ne nous servent plus.

Deepak Chopra, autre grande figure du développement personnel, affirme que lorsque nous lâchons ce qui est toxique, nous permettons à l’univers de manifester ce qui est en accord avec notre véritable essence. Cela résonne profondément avec la sophrologie, qui nous invite à cultiver une présence consciente et à retrouver l’harmonie entre le corps et l’esprit.

Quand persister et quand lâcher prise ?

Dans la vie, il existe des épreuves qu’il est nécessaire de résoudre, des leçons à apprendre pour grandir. Mais il existe aussi des moments où persister dans une situation ou une relation devient contre-productif. C’est là qu’intervient l’art du lâcher-prise. Abandonner n’est pas un acte de faiblesse, mais un acte de sagesse. Freud, le père de la psychanalyse, affirmait que l’un des secrets du bonheur est la capacité à renoncer à certains désirs non-réalistes ou destructeurs. Il disait que « la décision de lâcher est souvent la première étape pour libérer son esprit ».

Einstein, dans sa sagesse pratique, ajoutait que « la folie est de faire toujours la même chose et d’attendre un résultat différent ». Cette citation est un rappel fort qu’à un certain point, il faut faire le choix de changer de direction, surtout lorsqu’une situation n’apporte que du stress, de la frustration ou du mal-être.

Le bonheur, un état naturel

En réalité, le bonheur n’est pas quelque chose que nous devons constamment chercher à atteindre à l’extérieur. Il s’agit d’un état naturel qui se manifeste lorsque nous sommes en alignement avec notre véritable nature. La sophrologie, en tant que méthode psycho-corporelle, nous aide à retrouver cette connexion en harmonisant nos pensées, nos émotions et notre corps. L’abandon des poids toxiques est essentiel pour permettre cette harmonie de s’installer durablement.

Les études en psychologie positive démontrent que les relations sociales positives, un environnement de vie sain et des pensées constructives sont les fondations d’un bien-être durable. Lorsque nous nous libérons des influences toxiques, nous favorisons ces aspects, et l’univers répond en nous offrant de nouvelles opportunités et en nous mettant sur la voie de ce qui nous correspond vraiment.

Comment identifier ce qui doit être lâché ?

La première étape vers la libération consiste à identifier ce qui dans votre vie vous retient en arrière. Il peut s’agir de :

  • Personnes toxiques : celles qui vous manipulent, vous dévalorisent ou vous épuisent émotionnellement.
  • Environnements négatifs : qu’il s’agisse de lieux physiques ou virtuels qui drainent votre énergie, comme des emplois sans sens ou des maisons où règne une énergie lourde.
  • Pensées limitantes : ces croyances que nous avons sur nous-mêmes, souvent influencées par des expériences passées ou des paroles extérieures, qui nous empêchent de progresser.

Les effets positifs du lâcher-prise

Lorsque vous décidez consciemment de couper ces liens, vous pouvez ressentir une légèreté quasi immédiate. Vous reprenez le contrôle de votre vie, et de nouvelles énergies, plus positives, commencent à circuler. La sérénité, la créativité et la joie émergent naturellement lorsque nous nous débarrassons de ce qui était devenu un poids inutile.

En sophrologie, cette libération est accompagnée d’un ancrage dans le moment présent. Les techniques de respiration, de relaxation et de visualisation vous aident à renforcer cette sensation de paix intérieure, même face aux défis.

Choisir le bonheur

En fin de compte, la vie est une question de choix. Nous avons le pouvoir de choisir notre bonheur en lâchant ce qui est trop lourd à porter. Lorsque nous décidons de couper les liens avec des personnes, des situations ou des lieux toxiques, nous envoyons un message à l’univers : nous sommes prêts à recevoir ce qui est bon pour nous. Et l’univers répond toujours à cet appel. Comme le disait Einstein, « la vie est comme une bicyclette, pour garder l’équilibre, vous devez continuer à avancer ». En lâchant les poids inutiles, nous nous remettons en mouvement vers notre véritable chemin.


Cet article se veut une invitation à la réflexion pour vous accompagner sur le chemin du bien-être, en accord avec les principes de la sophrologie et de la psychologie positive. Lâchez ce qui ne vous sert plus, et laissez l’univers vous montrer ce que vous méritez réellement.

L’approche de la cinquantaine pour les mamans accomplies ou pas : Changez vos habitudes pour aller vers l’harmonie du corps et de l’esprit !

À l’approche de la cinquantaine, que vous vous sentiez accomplie ou non, c’est le moment idéal pour réévaluer vos habitudes de vie. En tant que maman, il est crucial de prendre soin de votre corps et de votre esprit afin d’affronter les années à venir avec sérénité et épanouissement. Voici quelques idées pour atteindre cette harmonie tant recherchée.

1. Dormir plus et mieux

Un sommeil de qualité est la clé d’une bonne santé. Dormir plus, mais surtout mieux, vous permettra de recharger vos batteries et de mieux gérer les défis du quotidien. Il est important de respecter son rythme naturel de sommeil et d’éviter les écrans avant le coucher pour améliorer la qualité de vos nuits.

2. Adopter la sieste de 20 minutes

Les bienfaits d’une sieste courte, d’environ 20 minutes, sont nombreux. Elle vous aide à rebooster votre énergie et à améliorer votre concentration pour le reste de la journée. Prenez l’habitude de vous accorder ce moment de pause, surtout lors des journées particulièrement chargées.

3. Découvrir le Yoga Nidra

Le Yoga Nidra, ou « sommeil yogique », est une pratique de relaxation profonde qui aide à calmer l’esprit et à relâcher les tensions du corps. Des sessions merveilleuses existent en ligne, et je vous recommande particulièrement [insérer lien ou recommandation]. C’est un excellent moyen de prendre soin de soi sans effort physique intense.

4. Ne négligez pas votre vie sexuelle

Que vous soyez dans une relation amoureuse ou non, il est important de maintenir une vie sexuelle active. Une célèbre blogueuse a partagé son expérience de la « règle des 3 orgasmes par jour pendant 30 jours », et elle a raconté à quel point cela avait transformé sa vie et sa vision d’elle-même. Se recentrer sur son corps et laisser tomber les conventions et le stress liés à la réussite professionnelle peuvent attirer des énergies positives dans votre vie.

5. Revoyez votre alimentation

À l’approche de la ménopause, il est essentiel d’adopter une alimentation plus légère et plus saine. Favorisez des aliments riches en nutriments qui vous aideront à maintenir votre équilibre hormonal, tout en évitant les kilos qui s’accumulent plus facilement à cet âge. Intégrez des amandes, des demi-bananes, des kiwis et de l’avocat dans vos repas. Optez pour une soupe le soir et buvez du thé matcha, connu pour ses propriétés antioxydantes et apaisantes.

6. Voyagez seule une fois par an

Il est important de s’accorder des moments pour soi. Chaque année, partez seule une semaine pour vous ressourcer. Il y a deux ans, j’ai visité le Grand Ouest américain ; l’an dernier, j’ai passé une semaine à Lanzarote, et cette année, mon voyage est prévu pour le Rajasthan. Ces moments d’isolement vous permettent de vous reconnecter à vous-même, de vous détendre, et de redécouvrir votre corps. Prenez le temps de bronzer, de vous relaxer dans les services de l’hôtel comme la piscine ou le hammam, et de vous nourrir d’expériences enrichissantes.

7. Lisez des biographies inspirantes

Lire des biographies de grandes figures historiques peut vous inspirer et stimuler votre esprit. Je vous recommande vivement les biographies de Gandhi et de Churchill, deux personnalités qui ont su surmonter d’énormes obstacles tout en restant fidèles à leurs principes.

8. Stimulez votre cerveau avec un cours en ligne

L’apprentissage continu est essentiel pour maintenir un esprit vif. Inscrivez-vous à un cours en ligne sur un sujet qui vous passionne, qu’il s’agisse de développement personnel, de psychologie ou d’une compétence nouvelle. Garder vos neurones actifs vous aidera à rester dynamique et curieuse.

9. Optimisez votre organisation familiale

Si certaines choses ne fonctionnent pas bien dans votre gestion du quotidien avec les enfants, c’est le moment de prendre des décisions fermes pour réorganiser les choses. Une structure familiale bien huilée contribue à votre tranquillité d’esprit.

10. Adaptez votre alimentation pendant la préménopause

Pendant cette phase de la vie, veillez à consommer des aliments qui soutiennent votre métabolisme sans encourager la prise de poids. Les amandes, la demi-banane, le kiwi, et l’avocat sont de bons alliés pour le déjeuner, tandis qu’une soupe légère le soir peut aider à garder un équilibre. Le thé matcha est excellent pour freiner les maladies dégénératives et calmer l’esprit. L’objectif est d’être la meilleure version de vous-même, en harmonie avec votre corps.


50 ans, Ça y est, j’ai décidé de m’alléger la vie !

Le cap des 50 ans est souvent perçu comme un moment charnière dans la vie, marqué par une réflexion profonde sur le chemin parcouru et celui qui reste à explorer. C’est un moment propice pour décider de s’alléger la vie, de mettre de côté le superflu pour se concentrer sur l’Essentiel. Voici quelques pistes pour vivre pleinement cette nouvelle décennie.

Temps pour Soi, physique, et mental

Il est temps de reconnaître que prendre soin de soi n’est pas un luxe, mais une nécessité. Accordez-vous du temps pour pratiquer une activité physique régulière qui vous fait du bien et nourrissez votre esprit avec des activités qui stimulent votre créativité et votre curiosité. Dormez lorsque vous êtes fatigué et accordez-vous deux fois par an une semaine « off » en formule all inclusive (rien à faire !) Une fois par an je pars toute seule au bout du monde. Je laisse mon mari gérer les enfants et je profite d’une semaine avec excursions. J’en profite pour manger sain et léger, pour faire du sport, nager, marcher, me dépenser et ne plus penser à rien ! Il y a deux ans j’ai fait le Grand Ouest américain et l’été dernier les Canaries. L’an prochain je pars en Inde. Ces moments de reconnexion sont essentiels pour une vie de femme épanouie et pour entretenir les liens avec son conjoint et ses enfants qui réalisent alors tout ce que nous faisons le reste de l’année !

Voyages sans attente

Ne remettez pas les voyages à plus tard, à la retraite. Car à la retraite on est souvent beaucoup moins en forme ! Demain peut également ne jamais venir ! Profitez de l’instant présent qui est le seul temps tangible ! Chaque weekend peut devenir une opportunité de découvrir des villages dans votre région ou des lieux inconnus. Explorez de nouvelles cultures, goûtez des saveurs inédites, et enrichissez votre vie de ces expériences uniques. Partez ailleurs le samedi ou le dimanche pour éviter de tomber dans une routine déprimante. Vivant proche du Puy de Dôme il m’est facile de parcourir 50 ou 60 km en famille pour aller voir de petits villages perchés. Lorsque je vivais en Champagne-Ardenne, je faisais de même avec beaucoup moins de possibilités touristiques cependant. Mais ces moments m’ont permis de découvrir des endroits hors du temps.

Thérapie de Bien-Être

Investissez dans votre bien-être mental. Commencez une thérapie de gestion des émotions ou explorez la sophrologie pour vous connecter à votre moi intérieur. Ces pratiques peuvent être des outils puissants pour maintenir un équilibre mental, surtout à un moment de transition comme la cinquantaine. Personnellement je pratique la sophrologie qui est mon métier mais également la Technique Nadeau et la Méditation Tantra.

Libération des liens toxiques

N’hésitez pas à vous libérer de liens toxiques, même s’ils sont familiaux. La cinquantaine est le moment idéal pour prendre conscience de ce qui vous tire vers le bas et prendre des mesures pour vous protéger émotionnellement. 50 ans c’est aussi la période où il devient évident que la vie est courte et que chaque minute compte trop pour la gâcher avec des êtres négatifs ou méprisants.

Valorisation Personnelle

Faites briller vos réalisations sans hésitation. Créez votre propre citation positive qui résume vos succès et partagez-la fièrement. La cinquantaine est un âge où l’expérience et la sagesse accumulées méritent d’être mises en avant. « Puisque tu es un aigle, ne tente plus de prendre ton envol avec des poules ! »

Valeurs fortes et ancrages

Identifiez vos valeurs fortes et tenez-vous-y. Ces valeurs sont vos ancres, vous guidant dans la prise de décisions et vous préservant des influences négatives extérieures. Prônez-les et illustrez-les dans votre vie quotidienne autant que possible.

Foyer, havre de paix

Transformez votre domicile en un havre de paix. Entourez-vous uniquement de ce que vous aimez et de ce dont vous avez besoin. Débarrassez-vous du superflu pour créer un espace qui respire la tranquillité et le bonheur.

En résumé, la cinquantaine est un moment privilégié pour alléger sa vie des poids inutiles, se concentrer sur l’essentiel, et embrasser pleinement ce que la vie a à offrir. C’est le moment de créer un équilibre entre le bien-être physique, mental et émotionnel, de valoriser vos accomplissements, de vivre en accord avec vos valeurs et de faire de votre chez-vous un refuge de paix. Alors, n’attendez pas, commencez dès maintenant à vivre pleinement cette nouvelle décennie !