Libérez-vous pour de bon : pourquoi l’oubli est votre meilleure arme de paix intérieure

Il ou elle vous a pourri la vie. Par des mots, des actes, des silences, des manipulations ou simplement par sa présence toxique. Vous avez peut-être tout essayé : la discussion, la compréhension, le pardon, la colère, les mises au point. Et pourtant, malgré vos efforts, cette personne continue de vous hanter, de vous voler votre paix, même en son absence.

Mais aujourd’hui, une autre voie s’offre à vous. Non pas celle de la revanche, ni même de la justice ou de la rédemption. Une voie plus simple, plus puissante et infiniment plus libératrice : l’oubli délibéré.

Pourquoi cesser d’y penser est un acte énergétique fort

En sophrologie, comme dans bien d’autres pratiques énergétiques, on apprend que l’attention est de l’énergie. Ce à quoi vous pensez, vous le nourrissez. Ce que vous ressassez, vous renforcez. Et les personnes qui vous ont fait du mal n’ont besoin de rien d’autre pour continuer à vous atteindre : il leur suffit d’exister dans votre esprit.

En choisissant de ne plus penser à elles, vous retirez littéralement la prise. Vous coupez le fil. Vous fermez la porte énergétique. Et c’est là que commence votre vraie guérison.

Le silence et le mépris : non pas par vengeance, mais pour votre équilibre

Il ne s’agit pas de punir, mais de vous protéger. Le silence, c’est la paix. Le mépris, c’est l’indifférence qui libère. Vous ne devez rien à cette personne, pas même votre colère. Cessez de parler d’elle, de rejouer les scènes dans votre tête, d’analyser. C’est un poison lent. Et la vie est trop courte pour se l’auto-administrer chaque jour.

Le simple fait de détourner votre attention crée un espace. Un vide que vous pouvez remplir de vous-même, de vos projets, de vos rêves. L’équilibre mental se reconstruit dès lors que l’on cesse de se battre contre le passé.

Il fut un temps, bien avant de croiser le chemin de l’homme qui est aujourd’hui mon mari, où je fréquentais un homme dont le sourire en public masquait mal la noirceur intérieure.
Derrière une apparente jovialité, il cachait une amertume tenace, une insatisfaction chronique. Rien ne trouvait grâce à ses yeux : ni mes vêtements, ni la couleur de mes cheveux, ni même mon appartement. Il critiquait avec la même aigreur mes choix esthétiques que mes amies, qu’il tournait en dérision selon leur style ou ce qu’elles avaient dans leur assiette lors de dîners pourtant anodins.

Peu à peu, cette relation, bien qu’à distance – chacun vivant chez soi –, empoisonna mon quotidien. L’atmosphère était devenue pesante, chaque échange devenant un terrain miné. Jusqu’au jour où, excédée par une énième joute verbale, je lâchai une vérité simple : qu’il serait bon, avant de chercher la perfection chez les autres, de commencer par balayer devant sa propre porte.

Ce fut l’ultime échange. Je décidai de rompre tout lien. Il me répondit par un long email, dans lequel il me livra une réflexion à son image : « Mouais… c’est vrai, tu es plutôt naturelle, simple, pas matérialiste… mais ça ne fait pas de toi quelqu’un d’intelligent. Aujourd’hui, ce qui compte, c’est de posséder. Toi, tu es beaucoup trop spirituelle. »

Je n’ai pas répondu. Je l’ai simplement effacé de ma vie. Blacklisté, bloqué, rayé.

Des amis communs, surpris de mon détachement, me contactèrent peu après : « Tu vas bien ? Tu ne dis rien, tu es déjà passée à autre chose ? »
À vrai dire, oui. À cette époque, je travaillais à la fois comme coach et comme journaliste, et l’on m’avait envoyée en reportage à Athènes, en pleine période d’émeutes. Une fois arrivée dans ce pays que je considère comme mon second foyer, je me suis offerte un luxe inestimable : celui de ne plus penser à lui du tout.

Certains s’en étonnèrent, voire me le reprochèrent : « Ah oui, avec elle, quand c’est fini… c’est fini. » Et ils avaient raison. J’avais pris une décision ferme : ne plus jamais parler de lui, ni avec qui que ce soit, ni même avec moi-même. Il finit ainsi par s’effacer naturellement de mon esprit, comme un nuage dissipé par le vent.

Quelques mois plus tard, le destin me faisait rencontrer celui qui allait devenir mon mari. Cela fait aujourd’hui dix-neuf ans.

Depuis, je m’impose une règle simple mais puissante : ne jamais me renseigner sur les personnes que j’ai choisies de laisser derrière moi. Pas par rancune, mais par respect pour mon énergie. Car offrir ne serait-ce qu’une pensée à quelqu’un qui ne la mérite pas, c’est lui donner un pouvoir qu’il n’a plus à avoir.

Cela peut sembler difficile, mais c’est en réalité très simple : il suffit de savoir ce qu’on veut vraiment. Se préserver… ou continuer à dilapider son énergie pour des gens qui n’en valent pas la peine.


Les gens les plus heureux tournent vite la page

Il y a un trait commun chez les personnes qui respirent la joie de vivre : elles ne s’accrochent pas au drame. Elles apprennent, elles digèrent, elles avancent. Elles transforment les « enquiquineurs » en leçons de vie, point barre. Pas besoin de détester, de ruminer ou d’attendre une reconnaissance qui ne viendra jamais.

Ces personnes savent que leur temps est sacré, leur énergie précieuse, et leur destin trop vaste pour être ralenti par les fantômes du passé.

Une pratique simple à adopter

Chaque fois que cette personne traverse votre esprit, respirez profondément, expirez, et dites intérieurement : « Je choisis d’avancer. Ceci ne mérite plus mon énergie. » Répétez si nécessaire. C’est une discipline, comme un entraînement. Mais à chaque instant, vous regagnez du terrain sur votre paix intérieure.


En conclusion : oubliez pour mieux exister.

Ce n’est pas de la fuite, c’est de l’amour-propre. Vous ne niez pas ce qui a été, vous choisissez simplement de ne plus en faire le centre de votre présent. Car c’est là que se trouve votre pouvoir : dans le choix conscient de ne plus nourrir ce qui vous détruit.


Le Slow Living : quand les épreuves nous ramènent à l’essentiel

Tout le monde le sait à partir d’un certain âge : Il y a des périodes dans la vie où tout semble nous échapper. Des ruptures, des arrêts soudains, des pertes de repères, des ralentissements imposés… Ces moments que l’on appelle parfois “épreuves” arrivent sans prévenir, et viennent bousculer notre quotidien bien cadré, nos objectifs bien établis, nos rôles trop bien endossés. Ce sont des périodes compliquées à vivre, complexes à analyser, qui peuvent générer chez nous un véritable sentiment d’injustice ou de « malchance chronique » ! Qui n’a jamais entendu parler de « loi des séries » ?

Je me souviens d’une période, au début de ma vingtaine, seule dans une ville du Sud-Ouest, où tout semblait s’effondrer. La boutique où je travaillais avait fermé, et après un remplacement non payé dans une agence de pub (où plusieurs jeunes comme moi s’étaient fait avoir), je vivais avec un compagnon avare jusqu’au centime – même une baguette était partagée à l’euro près.

Quand j’ai enfin décroché une première publication pour un magazine, je perds en chemin une bague de famille précieuse. C’était trop. J’ai appelé ma mère en larmes. Elle me proposa de m’en acheter une fausse, “pour faire comme si”… Puis, le lendemain, un abcès à l’œil m’oblige à traverser la France jusqu’à Paris, dans une micheline lente comme le temps. La malchance s’enchaîne encore des mois.

Et pourtant, ce n’est que le jour où j’ai choisi de me séparer de ce compagnon sans conscience, sans vision, que tout a commencé à changer. J’ai décidé d’arrêter de me soucier de ce qu’on disait ou pensait de moi. J’ai décidé de reprendre des études difficiles (Théologie). J’ai décidé d’aller à mon rythme ! Et c’est en 1999 à 24 ans que je me suis mise à mon compte.
Ce chapitre reste pour moi le symbole d’un tournant : quand la vie te pousse à choisir entre survie et alignement.

Mais si ces interruptions étaient, en réalité, des invitations ?
Des appels à revenir à l’intérieur, à écouter ce qui, en nous, cherche depuis longtemps à respirer ?

C’est là que le slow living prend tout son sens.
Ce n’est pas simplement une tendance lifestyle ou un mode de vie “plus doux”. C’est un choix de conscience, souvent initié par une crise ou une fatigue intérieure, qui nous pousse à ralentir non pas pour abandonner, mais pour mieux vivre.


Sophrologie & Slow Living : ralentir pour ressentir

La sophrologie nous apprend à faire une chose que le monde moderne a largement oublié : habiter notre corps, notre souffle, notre ici et maintenant.

En revenant à des pratiques simples – la respiration consciente, les mouvements doux, la visualisation positive – elle nous invite à nous reconnecter à notre rythme intérieur, ce rythme souvent enseveli sous les obligations, les attentes extérieures, les automatismes.

Vivre plus lentement, ce n’est pas vivre moins.
C’est vivre mieux.
C’est apprendre à goûter pleinement ce que nous avons sous les yeux : un rayon de soleil, une tasse de thé, une marche silencieuse, une parole vraie. C’est reconnaître que le bonheur n’est pas toujours dans les grandes réussites, mais souvent dans la justesse de l’instant.

Et ce sont souvent les épreuves qui nous réapprennent cela.
Quand tout s’effondre, il ne reste que l’essentiel. Et dans cet essentiel, il y a souvent plus de paix que l’on ne l’imaginait.


Coaching : transformer l’épreuve en enseignement

Le coaching, lui, nous aide à transformer ces prises de conscience en mouvement.
Il ne s’agit pas de rebondir à tout prix, ni de « positiver » à outrance. Il s’agit de réaligner. De prendre le temps de clarifier ce que l’on veut vraiment, ce que l’on ne veut plus, ce qui mérite d’être laissé derrière, et ce qui doit enfin émerger.

Les valeurs deviennent un repère.
Les blocages sont regardés avec lucidité, et non plus évités.
Les petits pas redeviennent honorables, parce qu’ils sont ajustés à notre vraie direction.

Ce que nous apprend la lenteur, c’est la patience.
Ce que nous montre l’épreuve, c’est notre capacité à nous redéfinir.

Et dans cet espace entre les deux – entre le cœur qui écoute et l’esprit qui choisit – quelque chose de grand peut naître : un nouveau souffle de vie, plus aligné, plus libre, plus conscient.


Conclusion : Et si c’était le bon moment ?

Ce que nous possédons ne dit rien de ce que nous sommes.
Notre force apparente ne garantit pas notre alignement intérieur.
Et notre vitesse de vie ne prouve pas notre épanouissement réel.

Le vrai courage est peut-être là : dans la capacité à ralentir, à nous questionner, à accueillir les traversées de vie comme des initiations.
À faire de chaque saison un enseignement, de chaque silence un message, de chaque détour une étape vers plus de vérité.

Et si c’était maintenant, le moment de ralentir pour mieux avancer ?

Il y a quelques années, j’ai fait un choix simple mais profondément transformateur : celui de me lever bien plus tôt. Non pas pour en faire plus, mais pour vivre mieux. Pour étirer mes journées avec intention, et consacrer les premières heures à ce qui fonde mon équilibre.

Avant même l’arrivée de mes premiers clients au cabinet, j’ai déjà vécu une matinée riche de sens. Je commence par 20 minutes de Technique Nadeau, puis j’enchaîne avec 30 minutes de yoga, suivies de 30 minutes de méditation. Ce rituel, répété chaque jour, est devenu une ancre, un espace de recentrage avant d’entrer pleinement dans la journée.

J’aborde désormais les imprévus avec calme. En prenant le temps de régler les petits dysfonctionnements du quotidien – que ce soit dans la maison ou dans mon organisation – j’ai peu à peu éliminé une grande partie de mes insécurités. Ce que je gagne en sérénité se répercute naturellement sur tout le reste : les décisions sont plus claires, les relations plus fluides, le présent plus habité.

Si cette manière de vivre en conscience, en rythme, en paix résonne en vous, je vous invite à venir en parler. Le changement ne tient parfois qu’à un nouveau regard… et quelques minutes précieuses chaque matin.

Postures de Pouvoir pour Femmes Sensibles : Un Voyage vers votre Souveraineté !

Chères lectrices, chers lecteurs,

Aujourd’hui, c’est avec une immense joie et une profonde émotion que je vous présente mon nouveau livre, Postures de Pouvoir pour Femmes Sensibles : Leçons des déesses de l’Inde. Cet ouvrage est le fruit d’un cheminement personnel et thérapeutique, d’une réflexion intime sur ce que cela signifie être une femme sensible dans un monde qui exige souvent d’être forte, rigide et parfois déconnectée de soi-même.

Pourquoi ce livre ?

Depuis plusieurs années, j’accompagne des femmes qui, par leur sensibilité profonde, se retrouvent souvent dans des situations où elles se perdent. Elles se laissent envahir par des relations toxiques, des attentes dévorantes, ou bien, elles vivent sous l’influence de manipulations émotionnelles et de comportements destructeurs. Ce sont des femmes qui, malgré leur grande capacité à aimer et à comprendre, ont été déconnectées de leur propre pouvoir intérieur. Elles en oublient leur propre lumière, se laissant souvent happer par la douleur et l’isolement.

Ce livre est né de cette observation, de ce constat : il est temps de rétablir la souveraineté des femmes sensibles. Il est temps que chaque femme retrouve sa puissance originelle et cesse de se sacrifier pour les autres. Loin des rôles de souffrance et de dépendance, il est possible de retrouver sa place dans le monde et de briller de tout son être.

Une inspiration divine : les déesses de l’Inde

Pourquoi l’Inde et ses déesses ? Parce que ces figures mythologiques ont traversé les âges et incarnent des modèles de force, de sagesse, de puissance et de liberté. Durga, Kali, Lakshmi, Saraswati, Parvati… chacune d’entre elles porte un message puissant et intemporel, une sagesse qui s’adresse directement à notre époque et aux défis que rencontrent les femmes sensibles. Ces déesses ne sont pas là pour nous sauver, mais pour nous guider. Elles nous montrent le chemin vers la reconquête de notre souveraineté.

Dans mon livre, j’utilise leurs histoires et leurs enseignements pour permettre à chaque femme de se reconnecter à son essence divine et à son potentiel inexploré. Les déesses sont des modèles de femmes pleinement incarnées dans leur puissance, et elles nous invitent à faire de même. Elles nous enseignent comment affirmer nos besoins, poser des limites saines et prendre soin de nous sans culpabilité.

Le processus de guérison : transformer la souffrance en force

Ce livre n’est pas un simple guide théorique. C’est un véritable voyage spirituel, presque chamanique, où vous découvrirez des pratiques et des rituels concrets pour transformer la souffrance en force. Ces enseignements ancestraux sont des outils puissants pour éliminer les relations toxiques, guérir les blessures émotionnelles et reprendre le contrôle de sa vie.

Tout au long de ce chemin initiatique, vous apprendrez à :

  • Éliminer les relations toxiques qui drainent votre énergie et votre joie de vivre.
  • Redéfinir vos limites pour ne plus vous laisser envahir, et affirmer votre besoin d’espace et de respect.
  • Transmuter la souffrance en force, afin que chaque épreuve devienne une opportunité de croissance et de transformation.

Le processus thérapeutique que je vous propose dans ce livre est un accompagnement pour les femmes qui souhaitent sortir de l’ombre et embrasser pleinement leur lumière. Grâce à des méditations guidées, des exercices pratiques et des réflexions profondes, vous serez invitée à faire émerger la déesse qui sommeille en vous.

Une histoire de renaissance

Il y a une quinzaine d’années, j’ai moi-même traversé une période sombre où je doutais de ma propre valeur. Je m’étais perdue dans des relations qui ne nourrissaient pas mon âme et je me laissais écraser par des attentes extérieures. Mais, tout comme vous, j’ai trouvé la force de me relever. Ce fut un voyage intérieur, un retour à ma propre lumière. Et c’est ce chemin, jalonné d’épreuves et de révélations, que je vous invite à emprunter.

Les déesses de l’Inde m’ont guidée, m’ont enseigné des leçons de sagesse et m’ont permis de transformer ma propre souffrance en une force créatrice. Aujourd’hui, je souhaite transmettre à chaque femme cette même possibilité : celle de se réapproprier sa vie, de guérir ses blessures et de renaître sous une forme nouvelle, plus forte, plus libre.

Pourquoi ce livre est nécessaire ?

Dans notre société, il est trop souvent question de faire plaisir aux autres, de se sacrifier pour les besoins extérieurs. Les femmes, en particulier, ont été conditionnées à mettre les autres en priorité. Pourtant, il est impératif de comprendre que la véritable puissance réside dans l’équilibre, dans le respect de soi-même, dans l’acceptation de sa sensibilité et de sa force intérieure.

Postures de Pouvoir pour Femmes Sensibles est un appel à toutes celles qui ont trop longtemps mis leur vie entre parenthèses, pour celles qui se sont oubliées dans le tumulte des attentes extérieures. Ce livre est un manifeste pour le retour à soi, pour la réappropriation de sa souveraineté et pour la célébration de la femme dans toute sa puissance et sa sensibilité.

En conclusion

Je vous invite à plonger dans cet ouvrage, à suivre le chemin des déesses et à découvrir les rituels, les méditations et les enseignements qui vous permettront de vous reconnecter à votre lumière. Il est temps de dire « stop » à la souffrance inutile, de cesser de se perdre dans des relations qui nous diminuent et de faire briller la déesse qui est en vous. Le voyage est à la fois profond et transformateur. Alors, mesdames, il est temps de renaître. Les déesses vous attendent !

Le livre est vendu uniquement à mon cabinet. Je peux aussi vous l’envoyer. Son tarif est de 25 euros. Les frais de port sont de 6 euros en Relais Colis et de 8 euros par La Poste. Pour l’instant je prends les pré-commandes. Un premier tirage aura lieu début juillet. Si vous souhaitez le commander, merci de m’écrire à celinebaronsophrologue arobase gmail.com

Comment j’ai écrit « L’été Gigi », mon roman thérapeutique édité sur le deuil, les amours de jeunesse et les amis disparus

L’écriture de mon premier roman thérapeutique fut une véritable odyssée intime, un voyage au cœur des souvenirs et des émotions enfouies ! Ce livre est né d’un besoin viscéral de transcrire le deuil, d’explorer l’adolescence avec ses tourments et ses désirs, et surtout de rendre hommage à certains amis qui ont marqué mon existence avant de disparaître trop tôt.

Une routine d’écriture entre introspection et discipline

Débuter ce roman signifiait avant tout m’imposer une discipline rigoureuse. Avant même de poser mes idées sur le papier, il m’a été donné de tenir en main un livre sur la survivance de la conscience, édité chez Chloé des Lys. La couverture m’a interpellée. Je suis uen personne très intuitive et à cet instant, j’ai interprêté mon attirance pour cet ouvrage comme un « signe ». J’avais donc en tête de contacter cet éditeur.

Chaque matin, je me levais aux aurores, lorsque tout le monde dormait encore, pour plonger et replonger dans cet univers bucolique des années 80 à 90 qui, peu à peu, prenait vie sous mes doigts. Une tasse de thé brûlant m’accompagnait tandis que je m’isolais dans mon bureau, plongée dans une bulle créative. Dehors, l’hiver déposait parfois une fine couche de givre sur les fenêtres, et j’écrivais emmitouflée dans un plaid, les doigts légèrement engourdis par le froid. Au printemps, c’était la lumière douce du matin qui baignait mon bureau, et le chant des oiseaux qui rythmait mes pensées. J’ai lu et relu le manuscrit une dizaine de fois, longuement. J’avais déjà été publiée, mais plutôt en ouvrages collectifs et dans le domaine du Développement personnel (guides).

Avant d’écrire, je relisais quelques passages de mes carnets personnels : des bribes de souvenirs, des échanges de lettres, des fragments de journaux intimes qui nourrissaient encore mon inspiration. J’avais besoin de me reconnecter à ces émotions authentiques, de retrouver les voix de Gigi, Tristan et Emma pour leur donner une existence propre.

Le lundi matin, jour que je m’étais volontairement réservé pour écrire, j’avais un autre rituel : je m’installais dans un Coffee Shop du coin. Un grand cappuccino à mes côtés, je laissais l’agitation des passants devenir une mélodie de fond. J’observais les gens, notais des détails dans mon carnet et laissais mon esprit vagabonder avant de plonger dans mon manuscrit. Il y avait une forme de liberté à écrire dans cet espace où je n’étais pas seule, mais où chacun semblait absorbé dans sa propre histoire… Aujourd’hui me souvenir de ces instants, sans tomber dans la nostalgie, est un puissant motivateur. J’ai terminé d’écrire deux autres romans thérapeutiques depuis L’été Gigi. Je sais que l’édition est un « temps long ».

L’après-midi était consacré à la relecture et aux corrections. Les mots étaient fluides, jaillissant avec une facilité déconcertante. Je viens du milieu de la presse et de la communication mais aussi de la spiritualité (j’ai fait des études de théologie à Strasbourg) et écrire est ma seconde nature.

Parfois, j’écrivais aussi entre deux dédicaces de « Voyage en Self-Love » et « Là où, là-haut, tu m’aimes ! » Entre deux signatures, je sortais mon carnet et griffonnais quelques phrases, souvent inspirées par les discussions que j’avais eues avec les lecteurs. Chaque échange ravivait en moi l’envie d’aller plus loin, de creuser encore plus profondément dans l’histoire que je racontais.

Un voyage dans le passé pour mieux comprendre le présent

L’écriture de ce roman a été une immersion totale dans mes propres souvenirs. J’ai revisité les étés insouciants, les nuits étoilées et les promesses murmurées sur le bord d’une route de campagne. J’ai voulu retranscrire cette intensité brute des premières amitiés, où tout semble absolu, où l’on croit que rien ne pourra jamais nous séparer.

L’un de ces étés, celui que j’ai appelé « l’été Gigi », est resté gravé en moi comme une brûlure douce. Ce qui est fascinant, c’est que cette histoire a d’abord pris naissance dans un rêve. Une nuit, j’ai vu une scène, presque irréelle, baignée d’une lumière dorée, où trois âmes s’entremêlaient, insouciantes, libres, éclatantes de jeunesse. Au départ, ces personnages n’avaient pas de visages distincts, ils n’étaient que des silhouettes mouvantes dans un décor estival. Mais au fil des jours, en revivant ce rêve encore et encore, des traits familiers ont commencé à émerger. Des visages connus sont apparus, des rires ont trouvé leur écho dans ma mémoire, et j’ai compris que ce rêve n’était pas une pure invention : c’était une réminiscence, un morceau de passé qui réclamait d’être raconté.

Gigi était cette amie solaire, insaisissable, qui enflammait leurs nuits de son rire éclatant et de ses idées folles. Cet été-là, ils avaient écumé les routes de campagne en scooter, cheveux au vent, sans destination précise, juste pour le plaisir d’être ensemble. Les vendredis soirs, ils se retrouvaient sur les berges d’une rivière, partageant une bouteille de vin blanc volée à la cave d’un parent distrait, refaisant le monde sous un ciel constellé.

Gigi aimait danser pieds nus sur l’asphalte tiède, et tous l’observaient, hypnotisés par sa grâce sauvage. Tristan, avec son regard d’éternel rebelle, jouait des accords de Joy Division sur sa guitare, tandis qu’Emma fredonnait maladroitement. Ce fut un été de promesses silencieuses, de rêves d’ailleurs et d’amours naissants, un été où tous avaient la certitude que rien ne changerait jamais. C’est cette vision que j’ai retenue pour mon livre.

Mais la vie suit son cours, et le deuil vient frapper à la porte, brisant cette illusion d’immortalité. C’est là que le roman prend une dimension plus profonde : il ne s’agissait plus seulement de raconter une histoire d’amitié et d’amour adolescent, mais aussi de faire la paix avec ces absences, de transformer la douleur en force vive.

L’écriture comme catharsis

Mettre en mots la perte et la mélancolie fut une expérience libératrice. J’ai compris que chaque chapitre était une étape dans mon propre processus de deuil. À travers Gigi, Tristan et Emma, j’ai pu revisiter les non-dits, exprimer les regrets et célébrer ces moments de grâce qui, malgré tout, perdurent dans nos mémoires.

Aujourd’hui, ce roman n’est plus seulement ce rêve que j’ai fait une nuit : il appartient à ceux qui le lisent, à ceux qui y reconnaissent leurs propres blessures et leurs propres amours perdus. Il est la preuve que nos blessures d’hier peuvent devenir nos forces vives de demain. Et qu’en les partageant, nous trouvons enfin un apaisement.

Écrire ce livre a été une aventure intime et bouleversante. Une manière de réapprendre à aimer, à se souvenir sans souffrir, à chérir les absents en continuant d’avancer. Et surtout, une manière de ne jamais les oublier.

L’été Gigi sur le site de mon éditeur

Pourquoi au cabinet je vous apprends à continuer de toujours continuer dans vos projets et objectifs

En sophrologie, la persévérance et la continuité sont des éléments clés pour avancer sereinement vers ses objectifs. Mais il y a aussi une réalité à ne pas ignorer : dans les loisirs comme dans la vie personnelle, certaines personnes peuvent être jalouses de votre progression. Parfois, elles voudront votre place, et d’autres fois, elles ne la veulent même pas, mais souhaitent simplement vous voir arrêter. Je ne suis pas dupe à ce sujet, et je vous apprends à ne pas l’être non plus. Il est essentiel de reconnaître ces dynamiques pour mieux les dépasser et continuer à avancer sans se laisser freiner par des influences extérieures.

Prenons l’exemple de Clara. Brillante étudiante, passionnée par le théâtre et en couple avec un jeune homme qui la soutenait, elle semblait avoir un avenir prometteur. Pourtant, dans son entourage familial, certains ne voyaient pas d’un bon œil sa réussite. Ses cousins et cousines, moins épanouis dans leur propre vie, ont commencé à la critiquer subtilement, lui faisant douter de ses choix. « Ce n’est pas un vrai métier », « Tu perds ton temps », « Tu devrais être plus réaliste », lui répétaient-ils. Peu à peu, Clara a cédé à cette pression. Elle a abandonné ses études, mis de côté sa passion et même rompu avec son compagnon, persuadée qu’elle devait rentrer dans un moule qui ne lui convenait pas.

Ce qu’elle ne savait pas, c’est que ces critiques n’étaient pas neutres. Certains enviaient son talent, d’autres auraient voulu son énergie et son audace, et d’autres encore ne supportaient tout simplement pas qu’elle réussisse là où eux avaient échoué. Le but n’était pas forcément de prendre sa place, mais de la voir renoncer, car cela leur permettait de ne pas se confronter à leurs propres regrets.

La sophrologie : un entraînement à la régularité

Comme toute discipline, la sophrologie s’appuie sur la répétition et l’entraînement. Les exercices de respiration, de relaxation dynamique et de visualisation permettent d’ancrer progressivement des habitudes positives dans votre quotidien. C’est en pratiquant régulièrement que vous parviendrez à renforcer votre motivation et votre engagement dans vos projets.

Apprendre à dépasser les blocages

Nous sommes tous confrontés à des moments de doute ou de fatigue qui freinent notre progression. Grâce à la sophrologie, vous développez des outils concrets pour surmonter ces phases délicates :

  • La respiration contrôlée pour apaiser l’esprit et clarifier ses pensées.
  • La relaxation dynamique pour relâcher les tensions et retrouver de l’énergie.
  • La visualisation positive pour ancrer en vous l’image de votre réussite.

Ces techniques vous permettent de ne pas abandonner face aux premières difficultés et de renforcer votre résilience.

Changer son regard sur l’échec

L’échec est souvent perçu comme un frein, alors qu’il peut être un formidable moteur d’apprentissage. En sophrologie, nous travaillons à modifier cette perception. Plutôt que de voir l’échec comme une finalité, nous apprenons à l’accueillir comme une étape vers la réussite. Il devient un signal pour ajuster notre approche et non un arrêt définitif.

Inscrire la progression dans le long terme

En cabinet, je vous encourage à inscrire vos projets dans une dynamique évolutive. La persévérance ne signifie pas forcément avancer à toute vitesse, mais plutôt progresser à votre rythme, en respectant vos besoins et vos limites. La sophrologie vous aide à prendre conscience de chaque petit pas accompli et à valoriser vos avancées, aussi minimes soient-elles.

Toujours continuer : une philosophie de vie

Apprendre à « toujours continuer », c’est cultiver un état d’esprit qui favorise la résilience, l’adaptabilité et la confiance en soi. C’est refuser de laisser les obstacles dicter votre chemin et choisir de poursuivre votre route avec sérénité et détermination.

En sophrologie, je vous transmets ces outils et cette philosophie pour que vous puissiez avancer dans vos projets avec constance et conviction. Alors, prêt(e) à toujours continuer ?

Actu : Chronique vidéo de L’été Gigi

Je suis très heureuse de vous partager les actualités de mon dernier livre L’été Gigi, qui vient de paraître aux éditions Chloé des Lys.

Je serai en dédicace au Salon du Livre de Vichy « Vichy se livre », le samedi 29 mars 2025.

J’espère vous y rencontrer !

Place à la chronique de Christine :

Quand vous gagnez vos ailes, les personnes contrôlantes vous disent ces 5 phrases


Vous commencez à changer, à prendre confiance en vous, à écouter vos envies et à tracer votre propre chemin. Et là, certaines personnes autour de vous semblent perturbées. Elles froncent les sourcils, lancent des remarques déguisées, comme si votre évolution les dérangeait.

Ce n’est pas contre vous, mais contre ce que vous représentez : une preuve vivante qu’il est possible de bouger, de s’affirmer et d’évoluer. Et cela, tout le monde ne l’accepte pas facilement. Voici quelques phrases qu’on vous dira peut-être en chemin.

1. « Tu es sur la mauvaise pente… »

Sous-entendu : « Reviens vite dans la case où je t’avais rangé(e). »

Carole, votre amie de fac qui n’a jamais osé changer de travail ni exprimer ses vrais désirs, vous dit cela avec inquiétude. Mais en réalité, c’est sa propre peur qu’elle projette sur vous. Parce que vous osez faire ce qu’elle n’a jamais osé.

2. « Tu as changé. »

Comme si c’était un reproche. Heureusement que vous avez changé. Vous avez appris à dire non, à faire des choix qui vous ressemblent, à ne plus vous contenter du minimum. Et c’est une excellente chose.

Maxime, votre collègue, trouvait bien pratique que vous preniez en charge tout le travail pendant qu’il profitait de la machine à café. Il regrette surtout que l’ancienne version de vous l’arrangeait.

3. « Tu t’embourgeoises… »

Parce que vous ne voulez plus accepter n’importe quoi, que vous faites attention à votre bien-être et que vous osez vous faire plaisir.

Paul, un ami qui n’a jamais cherché à améliorer son quotidien, trouvait rassurant de vous voir galérer comme lui. Maintenant que vous vous permettez une vie plus confortable, il ne sait plus comment vous considérer.

4. « Tu fais ta crise. »

Comme si changer d’avis ou de direction était une simple lubie.

Votre tante Michelle, qui a toujours suivi le chemin tracé sans poser de questions, n’arrive pas à comprendre qu’on puisse décider de changer de vie. Elle préfère voir cela comme une « crise » passagère plutôt qu’une véritable transformation.

5. « Tu es égoïste. »

Autrement dit : « Avant, tu faisais tout pour les autres, et maintenant, tu penses à toi. »

Sandra, une amie de longue date, comptait beaucoup sur votre disponibilité et votre patience. Elle a du mal à accepter que vous posiez des limites, car cela la prive d’un confort auquel elle s’était habituée.


Moralité ? Continuez sur votre lancée

Si vous entendez ces phrases, prenez-les comme un signe que vous êtes en train d’évoluer. Certains ne le supportent pas, car cela les confronte à leurs propres blocages.

Mais ce n’est pas votre responsabilité de les rassurer ou de leur prouver quoi que ce soit. Vous ne faites que devenir la version la plus authentique de vous-même.

Alors poursuivez votre chemin, avec confiance. Ceux qui tiennent vraiment à vous respecteront votre épanouissement. Les autres ? Ils finiront par s’y habituer, ou s’éloigneront d’eux-mêmes.

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Ces gens qui ne respectent pas qui vous êtes : pourquoi il faut les fuir sans hésiter

Dans la vie, on croise toutes sortes de personnes. Certaines vous élèvent, vous inspirent, vous encouragent à briller. Et puis, il y a les autres. Ceux qui refusent d’admettre vos réussites, votre bonheur, votre statut, vos choix ou votre évolution. Qu’ils soient proches, amis, collègues ou même de simples connaissances, ces gens-là sont toxiques. Pourquoi ? Parce qu’ils n’acceptent pas ce que vous incarnez. Pire, ils vous en veulent d’exister pleinement dans une version de vous-même qu’eux n’ont pas le courage ou la capacité d’atteindre.

Quand vos réussites sont insupportables pour eux !

Prenons l’exemple de Sarah, artiste peintre, qui décroche enfin une exposition dans une galerie reconnue. Au lieu de recevoir des félicitations sincères, sa cousine lâche :
« Oh, tu sais aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, tout le monde peut exposer… ».

Traduction : « Ton succès me dérange, donc je le dévalue pour me rassurer. »

Même schéma pour Justine, qui a intégré la SACEM après des années de travail acharné. Son oncle, qui gratte sa guitare dans le garage depuis 30 ans sans jamais oser postuler, ricane :
« La SACEM, c’est plus ce que c’était… ».

Face à ce type de comportement, inutile de chercher à convaincre ou à vous justifier. Ces gens-là ne cherchent pas la vérité, ils veulent juste vous ramener à une taille qui les arrange : une taille qui ne les dérange pas.


Quand votre bonheur personnel les dérange profondément

Mais ce n’est pas tout. Il y a aussi ceux qui ne supportent pas que vous soyez heureux, surtout en amour. Vous êtes mariée depuis 20 ans avec un homme génial, fidèle et présent ? Vous êtes la cible idéale pour les femmes divorcées aigries qui répandent leur venin comme une vérité universelle :
« De toute façon, le mariage finit toujours mal. Tu verras, tu divorceras comme nous toutes. »

Ou encore cette « amie » jalouse qui vous glisse à chaque apéro :
« Franchement, tous les hommes trompent, t’es juste pas au courant. »

Ces discours ne relèvent pas de la sagesse ou de l’expérience de vie, mais de la projection pure. Elles ne parlent pas de vous. Elles parlent de leurs blessures, de leurs échecs et de leur incapacité à croire qu’une autre réalité est possible. Le problème, c’est que leur amertume dégouline sur vous comme un poison lent. À force, vous finissez par vous demander si elles n’ont pas raison. Spoiler : elles ont tort. Leur vérité n’est pas la vôtre.


Quand vos choix matériels et sociaux deviennent une offense !

Vos choix de vie dérangent aussi. Vous avez acheté plusieurs biens immobiliers grâce à votre travail ? Une amie qui peine à joindre les deux bouts vous balance :
« C’est indécent d’avoir autant quand d’autres galèrent. Franchement, t’aurais pas honte, à ta place ? ».

Vous êtes heureuse dans un couple solide et épanoui ? Un collègue ou une cliente joue au sourd chaque fois que vous mentionnez votre mari, comme si ce bonheur conjugal n’avait aucune légitimité. Il vous parle comme à une célibataire en attente de séduction.


Pourquoi il faut les fuir — et vite

Ces comportements sont toxiques parce qu’ils sont délibérés. Ce ne sont pas des maladresses, mais des stratégies inconscientes pour vous faire douter de ce que vous avez construit. Derrière chaque pique, chaque remarque sournoise, il y a un message caché :
« Ce que tu es, ce que tu as, ce que tu représentes, je refuse de l’admettre parce que ça me confronte à mon propre mal-être. »

Ces gens ne vous veulent pas du bien. Ils veulent juste que vous rétrécissiez pour qu’eux se sentent moins petits. Ils refusent de vous voir telle que vous êtes parce que votre réussite, votre bonheur ou même votre stabilité les renvoient à leurs propres frustrations.


Fuir n’est pas de l’arrogance, c’est de la santé mentale !

Couper les ponts ou mettre une distance claire avec ce type de profil, ce n’est pas être égoïste. C’est un réflexe de survie psychique. Vous n’avez pas à vous excuser de réussir, d’être heureuse, d’avoir trouvé l’amour ou d’avoir bâti une vie qui vous ressemble. Vous n’avez pas à vous cacher pour rassurer ceux qui ne savent pas gérer leur propre insatisfaction.

Entourez-vous de ceux qui célèbrent vos victoires, qui respectent vos choix, même s’ils sont différents des leurs. Soyez avec des gens qui vous voient telle que vous êtes, sans filtre déformant. Car c’est auprès d’eux que vous pourrez grandir encore, au lieu de vous rabougrir pour rassurer les autres.


En résumé : assumez votre lumière — et laissez les ombres derrière !

Que vous soyez mariée ou célibataire, diplômée ou autodidacte, artiste ou chef d’entreprise, propriétaire ou locataire, vous avez le droit d’exister pleinement. Ceux qui vous aiment vraiment respectent vos choix et vos différences. Les autres ? Dehors.

Votre vie n’a pas à devenir le terrain de jeu de leurs insécurités mal digérées.

Vous souhaitez apprendre à recadrer les gens sans pâtir personnellement d’avoir à dire enfin « non ! » aux comportements toxiques ? N’hésitez pas à me consulter dans le cadre du Coaching de vie !

Baisse de moral et de tonus : Se reconnecter à son enfant intérieur et réenchanter son avenir proche !

« Il y a un enfant dans chaque adulte, un enfant sauvage qui rêve encore de danser sous la pluie et de parler aux étoiles. Il attend juste qu’on lui tende la main. »
— Inspiration libre

Il arrive que nos corps ralentissent, que nos esprits se voilent et que nos cœurs doutent. Ces passages à vide, loin d’être des erreurs de parcours, sont souvent des appels profonds à retrouver ce qui nous anime vraiment. Et si la clé se trouvait dans la reconnexion à notre enfant intérieur — ce gardien de notre élan vital ? Sophrologie, nature et voyages intérieurs : voici quelques pistes pour rallumer la flamme.

L’enfant intérieur : ce compagnon oublié qui sait tout de nous

Sous les couches de responsabilités, d’agendas bien remplis et de raisonnable conformité, il y a cet enfant nu, libre et curieux. Celui qui courait pieds nus dans l’herbe sans penser à demain. Celui qui dansait sans se demander s’il dansait bien. Celui qui parlait aux cailloux, fabriquait des potions magiques avec trois brins d’herbe et se racontait des histoires infinies.
Cet enfant ne vous a jamais quitté. Il s’est juste endormi, fatigué d’être ignoré. Et c’est lui, souvent, qui frappe à la porte quand le moral s’effrite. Parce qu’il sait ce dont vous avez vraiment besoin : du jeu, du rêve, de l’espace pour respirer.

Il y a deux ans, pour exemple, mon enfant intérieur s’est réveillé. J’ai eu alors envie de regrouper toutes les notes et les fiches sur le Bonheur et la pensée positive que je rédigeais depuis quatre ans pour mes clients pour poser les bases de mon livre « Voyage en Self-Love ». Je suis partie, sur un coup de tête, aux USA, dans le Grand Ouest américain qui m’appelait de nouveau (les navajos et le Grand Ouest m’appelent régulièrement depuis mes dix ans période où j’y avais passé un mois ! J’y suis retournée à maintes reprises mais surtout, un long moment, à mes 20 ans…) Sur la route, parmi les paysages de terre rouge splendides, j’ai mis mes idées en place. Dès le mois d’octobre j’ai cherché un éditeur et le livre a pris forme, peu à peu. Une très belle aventure dont je ressentais le besoin. Mon enfance c’est le lac Powell et les terres du Nevada, très liées à mon enfant intérieur. J’ai visité tous les déserts rouges européens, lorsqu’il ne m’était pas possible de me reconnecter à l’américain !


Retour à la nature : le rituel des retrouvailles

On peut faire plus simple qu’un grand voyage. Quand l’énergie baisse, avant de chercher des solutions techniques, il y a un réflexe simple : aller dehors. Marcher sans but précis, écouter la rivière, toucher un arbre, s’allonger dans l’herbe humide. C’est une façon de rappeler à vos cellules que vous faites partie d’un grand tout vivant, palpitant, qui ne demande qu’à vous recharger.
En sophrologie, ces reconnexions passent souvent par des visualisations sensorielles puissantes : devenir un arbre qui s’ancre, une rivière qui coule, une montagne qui veille. Vous redevenez matière, souffle et mouvement — et ça réveille quelque chose d’ancestral en vous.


Voyage intérieur : explorer son propre sanctuaire

Mais il y a aussi une nature intérieure, tout aussi vaste. À travers des pratiques de respiration consciente, de relaxation dynamique et de visualisation positive, la sophrologie vous invite à ouvrir des portes invisibles. Celles qui mènent directement à cet enfant intérieur.
Là, dans cet espace intime, vous pouvez le rencontrer, lui parler, l’écouter rêver tout haut. Il vous racontera peut-être ce qu’il attend de vous. Un jeu abandonné, un rêve jamais osé, une liberté perdue en chemin. C’est dans cet échange que se dessine une nouvelle boussole, plus juste, plus joyeuse.


Semer des visions désirables : la puissance de la projection positive

Quand le moral baisse, c’est souvent parce que l’horizon se brouille. L’avenir paraît gris, figé, sans promesse. Il faut alors lâcher le poids du passé qui se fait encore sentir. La mémoire sert à apprendre, pas à se torturer ! En sophrologie, on apprend à cultiver une autre relation au futur : on le rêve d’abord, on le dessine en couleurs, on le fait vibrer dans le corps.
Ce n’est pas de la pensée magique, c’est de l’écologie intérieure : nourrir aujourd’hui les graines d’un demain qui donne envie de se lever. Et c’est votre enfant intérieur qui a les meilleures idées, parce qu’il sait ce qui vous met vraiment en joie. Lui, il rêve grand, il ose l’impossible, et il n’a pas peur d’aimer follement.


Sophrologie et « chamanisme » du quotidien

Finalement, pratiquer la sophrologie, c’est un peu redevenir le chaman de sa propre existence. Chaque souffle devient une offrande. Chaque pause, un autel intime. Chaque séance, une cérémonie secrète où l’on invite l’enfant, l’adulte et le sage à se parler enfin.
Dans cet espace sacré, la vie quotidienne reprend des airs de rituel, et la morosité se dissout, remplacée par une danse intérieure, plus libre, plus fluide.


Envie d’essayer ?

Si cet appel résonne en vous, si vous sentez cet enfant intérieur frapper doucement à votre porte, je vous invite à explorer la sophrologie. Ensemble, nous pourrons ouvrir ces espaces, convoquer vos souvenirs-source et semer les graines d’un avenir qui vous ressemble.

Prenons rendez-vous pour cette exploration intérieure.
Parce qu’il est temps de vous réconcilier avec votre magie.

06 56 77 02 11, sur Vichy uniquement.

Ces gens qui veulent que vous cédiez votre place

Il existe une catégorie de personnes qui, consciemment ou non, vous poussent à abandonner ce qui vous revient, ce qui fait votre particularité, votre singularité ou vos biens. Ce phénomène est particulièrement visible dans le milieu artistique, mais il se retrouve partout : en entreprise, dans le social, et même dans la sphère personnelle.

Certaines personnes veulent vous pousser à abandonner vos biens. Alors qu’il est devenu propriétaire à 30 ans, tout le monde autour d’Eric l’enjoint de revendre son bien pour redevenir locataire… « Tu es trop jeune pour t’enquiquiner avec la propriété ! » lui disent les jaloux et autres envieux. Léa, elle, affiche un look idéal : grande, mince, blonde aux cheveux très longs. Ses amies lui disent « Tu devrais couper tes cheveux, là ça ne va pas. Tu serais mieux avec les cheveux courts ». Hélas même les « amies » peuvent vous envier ! C’est une réalité. Autre cas et pas des moindres :

Béatrice, 27 ans, en a fait les frais. Fraîchement embauchée dans une structure sociale, elle entend chaque jour les mêmes plaintes : « Moi, je vais démissionner, ici c’est pourri. » Petit à petit, ces paroles s’insinuent en elle. Si tout le monde dit que c’est invivable, pourquoi rester ? Finalement, elle cède, remet son poste en question et finit par partir.

Dix ans plus tard, elle découvre avec stupeur que ceux qui se plaignaient tant sont toujours là… et ont gravi les échelons. Ce constat est amer : elle a fait un choix sur une perception biaisée.

La distorsion cognitive de Béatrice

Béatrice a été victime d’un biais bien connu : la distorsion du consensus négatif. Autrement dit, elle a pris les plaintes des autres comme une vérité absolue, sans considérer que chacun a son propre intérêt. Certains se plaignent pour se donner de l’importance, d’autres pour tester la résistance des nouveaux venus. Mais au fond, ils n’avaient pas vraiment l’intention de partir.

En cédant à ce discours toxique, Béatrice a laissé son destin être influencé par des influences extérieures au lieu de s’ancrer dans sa propre réalité.

Pourquoi il faut toujours continuer

Si un poste, une opportunité ou une place vous est donnée, c’est pour une raison. Il est essentiel de rester focalisé sur son propre chemin, sauf si une meilleure option avérée se présente. Ce n’est pas parce que d’autres doutent que vous devez douter aussi.

L’histoire de Béatrice illustre un principe clé : beaucoup de personnes critiquent leur situation, mais peu osent la quitter. Et si vous partez sur la base de leurs jugements, c’est vous qui perdez, pas eux.

La sophrologie, un outil pour la confiance en soi

Dans ce genre de situation, la sophrologie peut être d’une aide précieuse. Elle permet :

  • De prendre du recul face aux discours négatifs
  • De renforcer la confiance en soi et son intuition
  • De s’ancrer dans le moment présent pour faire des choix éclairés

Avec des exercices de respiration, de visualisation et de relaxation, on apprend à ne plus être balloté par les émotions des autres et à suivre sa propre boussole intérieure.

Rappelez-vous : votre place, c’est à vous de la défendre. Ceux qui vous disent de partir ont souvent tout intérêt à ce que vous cédiez.

A mon cabinet, j »étudie des routines personnalisées conçues spécialement pour mes clients pour les aider à forger leur volonté et à maintenir et atteindre leurs objectifs !

Alors, pourquoi leur offrir ce cadeau ?