Quelques conseils pour ne pas angoisser pendant le confinement

Le temps du confinement peut paraître long, difficile, cruel pour certains… mais, en fait, tout dépend de « quelle façon » on prend les choses, de quelle manière cette privation de liberté transitoire et momentanée est abordée. Aujourd’hui je livre quelques conseils à ceux qui sont entièrement confinés.

Tout d’abord redisons, c’est nécessaire je pense, à quel point vous rendez service aux autres en vous distanciant physiquement, que vous soyez malades ou pas. Le fait de faire chuter le nombre de vos interactions quotidiennes (physiques) et de vos déplacements constitue la base pour écrêter le sommet de la courbe de la contagion. Rester chez vous ne veut pas dire que vous aurez la certitude à 100% de ne pas tomber malade mais en fait plus longtemps vous arrivez à rester chez vous sans sortir, plus vous offrez du temps et des lits aux soignants. C’est donc une grande oeuvre, pour une fois, que de rester chez soi ! Une oeuvre collective qui mérite d’être saluée. Cet effort témoigne aussi de votre profonde humanité.

Dans la vie tout est transitoire !

Chaque période de la vie peut être critiquée. On peut par exemple critiquer le bazar que les enfants mettent dans le salon lorsqu’ils sont petits ou les trous que le chien fait dans le jardin pour s’amuser. Pourtant dans la vie tout est transitoire. Nos grands-parents ont vécu des guerres. Et nous ont appris une chose : même les tyrannies ne sont que temporaires ! Quand les enfants seront à la fac vous regretterez probablement le temps des jouets épars dans le salon… Lorsque le chien ne sera plus là vous vous rappellerez avec nostalgie des trous dans le jardin… La tyrannie du coronavirus n’aura qu’un temps elle aussi. Tout guerrier doit prendre repos un jour. Le confinement est transitoire. L’acceptez c’est déjà le dominer…

Gardez des horaires sans vous imposer des difficultés supplémentaires

Le premier point pour éviter le « blues du confinement » est de garder des horaires de lever et de coucher à peu près normaux. Si vous vous couchez habituellement vers 22h30 ou 23h00 il n’y a pas de mal à se coucher un peu plus tard. Quand on ne travaille pas on perd un peu la notion du temps, on se décale facilement. Si au final vous vous couchez vers minuit / 01h00 ce n’est pas non plus la fin du monde. De la même façon prenez le BON SOMMEIL lorsqu’il se présente ! C’est une période compliquée qui véhicule beaucoup de mauvaises nouvelles qui – même si on ne le souhaite pas – viennent imprimer l’Inconscient… Dormir quand on est fatigué est une bonne chose mais c’est aussi parfait si vous êtes stressé(e) ou angoissée(e). Le sommeil profond vient éliminer la plupart des tensions mentales et corporelles. En confinement prenez donc le temps de bien dormir et ne vous privez pas d’une heure ou deux de sommeil en plus le matin.  La situation est exceptionnelle. Vous ne pouvez garder la même rentabilité horaire qu’en temps habituel. Si vous gardez vos enfants à plein temps avec des devoirs à rendre etc. croyez-moi les journées sont beaucoup plus fatigantes qu’à l’ordinaire. Le repos permet de booster l’immunité. Tomber malade avec une meilleure immunité et en étant relativement reposé est autre chose que de tomber malade faible et épuisé…

Mangez bien, faites vous plaisir !

Pour le temps du confinement laissez tomber les régimes ! Il ne s’agit pas de tomber dans la malbouffe ni d’apaiser ses angoisses dans la nourriture mais juste d’essayer d’avoir un apport en légumes et en fruits, des protéines (viandes, oeufs), un peu de graisse végétale, du calcium (chocolat noir) etc. Varier son alimentation permet aussi de booster l’immunité. N’hésitez pas à consommer des oranges, des kiwis, des bananes… Mais surtout faites en sorte d’avoir du plaisir à manger même si vous êtes limité par vos « réserves ».

Suivre toutes les formations en ligne qu’on vous propose n’est pas obligatoire !

Toute l’année, en tant que thérapeute, je me forme en ligne. J’aime me développer personnellement, en apprendre encore et toujours sur la sophrologie, la psychologie, les énergies, la relaxation, la respiration et la communication…. Ayant des enfants et peu de temps en dehors de mes séances de sophrologie, de psychopratique et de coaching, et aimant passer mes weekends dans la nature et visiter ma région, l’Auvergne, ce mode d’apprentissage à distance me convient parfaitement. Donc en temps de confinement je me forme également mais pas plus que d’habitude. Je consacre entre 30 mn et 60 mn chaque jour aux formations que j’ai en cours (Énergétique et aura / Intelligence sociale et Communication). Je remarque, par contre, qu’on me propose sur mon smartphone des tas de formations pour thérapeutes, pour coachs etc. Je voudrais dire que chacun se développe personnellement à son rythme et comme il le souhaite. C’est okay de ne rien apprendre pendant le confinement ! Ce n’est pas une obligation ! Donc malgré la pression marketing ne vous sentez pas obligés d’apprendre pendant le confinement. Le confinement en lui-même vous apprendra beaucoup sur vous, votre capacité de résilience, votre relation aux autres, au monde qui vous entoure et à l’Espoir. C’est déjà un beau programme si on analyse un peu sa perception des choses !

Pratiquez la méditation guidée

La méditation guidée en fonction de vos attirances personnelles, spirituelles est vraiment un outil idéal pour se détendre. Il y en a de nombreuses sur le web, sur YouTube. Elles permettent de se laisser guider, de se vider la tête et d’éliminer les pensées parasites, ce qui est très reposant. Voici l’une de mes préférées, une « hypnose » sur l’Abondance.

Prenez le soleil !

Même si vous êtes en appartement et que vous ne possédez pas de balcon, pensez à vous placer au soleil dès que vous avez la chance d’en recevoir un peu ! Découvrez vos avant-bras c’est très important. N’hésitez pas à prendre le soleil sur le visage c’est très bon pour le moral. Le soleil, c’est la vie !

Faites du sport le soir

Ce n’est pas recommandé de faire son sport le soir. Cela empêcherait de dormir… Ce conseil, je l’adresse cependant à ceux qui sont très angoissés, très stressés ou qui ressentent des effets physiques de leur anxiété (douleur au plexus solaire, douleurs intercostales, nuque tendue…). Mettez un peu de musique douce et zen et faites quelques séries de mouvements doux (vous trouverez de nombreuses méthodes et séances courtes sur YouTube). Faites travailler le cou, les bras, la taille, les jambes, les abdominaux et terminez par une bonne « planche » dont vous augmenterez la durée de jour en jour. Quelques étirements et le tour est joué. Pas besoin d’en faire des heures, 15 mn d’activité physique ciblée suffisent à éliminer les tensions et à se ressourcer.

Une de mes musiques favorites pour une petite séance de mouvements doux :

Gardez le contact avec vos proches

Téléphonez à vos proches non pas pour vous lamenter ensemble mais justement pour leur transmettre une forme de positivisme ! Le téléphone ou Skype, tout est bon pour garder le contact du moment qu’il n’est pas physique ! Si l’autre se plaint non-stop changez d’interlocuteur…

Triez et rangez !

Préparez la suite. Interrogez vous sur ce qui est vraiment nécessaire ou pas dans la maison. Faites en sorte d’avoir une maison sans « zones d’ombre » (les zones d’ombres sont ces placards dans lesquels on entasse des choses inutiles, des tiroirs non rangés etc.) Les zones d’ombres sont très culpabilisantes. Dans le fond vous savez que vous ne faites pas le « travail avec coeur » dans votre maison lorsque vous en avez ! Vous trouverez plein de conseils pour assainir la maison de ses ondes négatives sur la toile…

Respirez correctement !

Prenez 5 minutes par jour pour bien respirer, pour estimer votre capacité respiratoire. C’est important de le faire car cela augmente la volonté et la concentration !

En l’absence de votre thérapeute, continuez le travail !

Si vous suivez une thérapie avec moi (ou même avec un autre thérapeute), vous avez, au fil des séances, eu des exercices à réaliser. Ressortez ces exercices, perfectionnez vous, allez plus loin dans leur concrétisation… En bref n’arrêtez pas de travailler sur vous parce que le cabinet est fermé ! Notez aussi votre ressenti au fil des jours et pourquoi pas vos rêves, un exercice que j’encourage toujours car il est très révélateur de ce que vous vivez et désirez dans le fond.

Je vous souhaite une belle journée et restez chez vous ! Portez-vous bien !

Les effets de la Visualisation positive

Connaissez-vous des gens qui mènent tous leurs projets à bien et qui ne s’encombrent pas de regrets si toutefois certains de leurs objectifs avortent ? Avez-vous un ou une amie à qui « tout réussit » (selon vous et selon il ou elle) et qui n’hésite jamais à se lancer dans une nouvelle activité ? Qui abat le travail de façon organisée en étant toujours sûr(e) de lui/elle ?

Des capacités à relancer

Ces personnes n’ont rien d’exceptionnel dans le fond, si ce n’est 2 capacités primordiales et formidables :

  • Savoir trouver leurs dons tout au long de leur vie (les dons et les capacités en appellent de nouvelles) et les adapter aux situations vécues
  • Positiver et visualiser les événements à venir avec confiance

Bien-entendu, si vous suivez les séances de sophrologie, de coaching en suppression des croyances limitantes ou de psychopratique avec moi, vous savez déjà que visualiser ne sert à rien si vous ne le faites pas TOUS LES JOURS !

La constance est primordiale en développement personnel comme dans toutes les disciplines

La constance est primordiale… Trop souvent les gens se lancent dans une thérapie pour « déculpabiliser » de ne rien faire pour « aller mieux ». On pense que de payer un thérapeute suffira bien… L’envie réelle de changer n’est pas là et la constance non plus. Personnellement je ne travaille jamais avec des gens dont la motivation est au placard… C’est une perte de temps et pour eux et pour moi. Même lorsque je reçois des clients en relaxologie il y a de petits exercices à refaire chez soi pour prolonger le bien-être… Ne pas les faire est déjà un signe de résistance au changement. C’est très courant et ça se surmonte quand on comprend que la technique fait du bien et fonctionne. On a toujours envie d’amplifier ce qui fait du bien, non ?

Une vision à modifier

Le négativisme et le pessimisme se soignent mais il s’agit pour cela de remplacer durablement et solidement son point de vue sur 1) Vous-même 2) Les autres 3) Les situations 4) Le monde qui vous entoure 5) Votre vision de l’avenir !

Les 7 principaux freins à une visualisation efficace

C’est un travail qui peut paraître simple et basique et pourtant… dès qu’on commence à visualiser on se heurte à de nombreux écueils :

  • Le premier est de ne pas vraiment croire en la méthode …
  • Le second est de ne pas apporter de réel crédit à ce que vous visualisez. Si vous considérez vos visualisations comme des rêveries éveillées c’est certain que votre inconscient ne sera nullement imprégné de vos idées aussi positives soient-elles…
  • Le troisième est de visualiser trop vite et trop grand, en dehors de vos réels besoins (si vous avez besoin de trouver un nouveau client et que vous vous imaginez déjà riche sur une plage des Caraïbes avec des amis fortunés, l’inconscient sera dans le rejet. C’est beaucoup trop gros à « avaler » pour lui…
  • Le quatrième écueil est de ne pas être assez clair dans vos visualisations. Une visualisation efficace est le fruit d’un besoin réel et d’une clarté d’esprit maximale…
  • Le cinquième écueil est lié aux pensées parasites qui déboulent dans votre visualisation et vous déconcentrent. Il faut apprendre à les maîtriser, la méditation est excellente pour ça !
  • Le sixième écueil est de ne pas VOUS apporter de crédit : vous le faites pour essayer, pour tester la méthode et voir si ça marche… Vous demeurez au stade de « testeur » et ne passez jamais au stade de réel « receveur de bienfaits »
  • Enfin le septième et dernier écueil est la régularité de la pratique. A partir de moment où on travaille sur des énergies, il faut ouvrir son inconscient et pour cela il faut travailler TOUS LES JOURS. Si vous arrêtez dès les premiers jours car vous ne voyez aucun changement dans votre mentalité, vous ne passerez jamais le cap de l’ancrage dans l’inconscient.

Une de mes expériences : Depuis quelques mois j’arrive à distinguer l’aura des gens. Je peux ainsi voir la couleur de leur aura mais aussi l’intensité de sa vibration. Je distingue les premières strates seulement. Je n’en suis pas encore à voir les 7. Cela m’a demandé de suivre un cours spécial avec une professionnelle confirmée et surtout un travail de concentration énorme. Je me suis astreinte à me concentrer 5 puis 10 puis 15 minutes par jour. A partir du moment où je suis arrivée à distinguer l’aura très vite, presque au premier coup d’oeil (si les gens se situent sur un fond clair et pas trop bariolé), j’ai fait des progrès énormes. Pour ne pas perdre cette capacité et ne pas gâcher ces progrès je continue de pratiquer. Pour la visualisation positive c’est la même chose, il faut dépasser le stade des écueils pour passer à celui de la pratique quotidienne. 

Les bénéfices énormes de la visualisation positive

Voici les effets d’un VRAI TRAVAIL de visualisation positive quotidien :

  • Ouverture de l’Inconscient et meilleure vision des opportunités personnelles et professionnelles se présentant à vous…
  • Meilleure confiance en soi : le fait d’imaginer une issue positive à un événement permet de savoir qu’on peut le faire. De nombreux athlètes s’entraînent dans l’esprit avant de gagner sur le terrain
  • Forger sa volonté : s’astreindre à une discipline à la fois pratique et spirituelle chaque jour permet de se dépasser
  • Mieux dormir ! Il est possible de s’endormir si on visualise le soir, peu importe surtout si le sommeil est plus paisible ensuite
  • Accepter des défis de plus en plus important
  • Se sentir en congruence avec sa vraie nature (la visualisation révèle nos rêves majeurs, nos rêves enfouis ou abandonnés pour les remettre au programme)
  • Croire davantage en l’être humain (car on comprend que quelqu’un peut changer en travaillant vraiment sur soi)

La règle de base selon Neville Godard

La règle de base pour débuter, simple mais pas des moindres :

« Assume the feeling of the wish fulfilled » Neville Godard

« Assumez le sentiment du souhait déjà accompli » Neville Godard

Ce n’est pas la beauté du job ou du partenaire imaginé qui compte mais plutôt la sensation de complétude ressentie lorsqu’on sait qu’on a obtenu et que maintenant on peut expérimenter la Joie ! Le sentiment ressenti est bien plus important que les objets imaginés (même si ceux-ci plantent le décor) !

Assumer enfin !

Le mot « assumer » est important. Celui qui n’assume pas sa visualisation ne peut en ressentir les bienfaits…

A bientôt pour un nouvel article et le retour des vidéos … En attendant soyez prudents, restez chez vous, protégez les vôtres et portez vous bien !

Confinement : Un exercice de respiration / rétention pour se détendre et se recentrer

La période est très complexe, j’en conviens. Nous sommes tous des êtres entiers, uniques et différents. Face au confinement nous ne réagissons absolument pas de la même façon. Face à la propagation du coronavirus, propagation relatée heure par heure par les médias, très anxiogène, que penser ? Comment s’organiser ?

Ne pas céder à la panique intérieure…

Beaucoup cèdent à une certaine panique intérieure… Dans les esprits les possibilités les pires sont parfois évoquées, les idées parasites sont  nombreuses, légions même… Il faut dire que les films-catastrophes sur les pandémies nous les connaissons tous… Le mot « pandémie » est très angoissant en lui-même, la charge émotionnelle négative qu’il transmet est fort puissante, et utiliser le terme à tout bout de champs n’aide pas…

Certaines mamans très dynamiques et optimistes prennent les choses en main à la maison avec sourire et dédramatisation auprès de leurs enfants. Mais cette attitude combative et résiliente n’est pas possible chez tout le monde. Les mères anxieuses vivent, elles, un calvaire (calvaire qu’il faut savoir entendre et recevoir) et transmettent leurs angoisses à leurs enfants. La façon dont chacun vit ce virus, sa médiatisation, et le confinement vont profondément marquer le vécu, le « bagage émotionnel » des plus jeunes.

Respecter les consignes et garder son calme

Le principal était de rester confiné et de ne pas céder à l’instinct primaire de la fuite en avant… Beaucoup d’entre nous sont parents. Quel exemple donner à sa progéniture ? Celui du respect des consignes évidemment…

C’est pourquoi s’engouffrer dans un train, par exemple, avec toute sa famille au risque d’être contaminé et de contaminer les autres est loin d’être une solution. C’est même une réelle irresponsabilité. Selon le résultat final, cette attitude créera bien des clivages. La division donc ! Restons chez nous, confinés certes, mais avec l’esprit clair sur nos responsabilités propres et les outils dont nous disposons pour « garder la tête froide » ! Oui il est possible de se détendre au point d’apprécier ce moment de repos forcé qui nous est donné. Il est possible de tirer du positif de l’adversité.

Reposer son esprit, enfin !

Si vous êtes un anxieux ou une anxieuse de nature, un ou une hypersensible, voici quelques conseils pour mieux vivre cette période compliquée tout en REPOSANT VOTRE ESPRIT !

Car vous l’avez remarqué, bien avant le début du confinement, les esprits étaient déjà épuisés, les énergies négatives et usantes étaient, bien souvent, déjà présentes depuis un bon moment. Aujourd’hui l’arrivée du virus dans votre région ou dans votre ville vient peut-être « concrétiser » toutes les idées sombres qui vous passaient par la tête jusque là. C’est donc maintenant qu’il faut agir pour vous détendre le corps et l’esprit.

Objectifs de cette routine :

  • Eliminer les pensées parasites et les basses pensées en se concentrant sur du constructif
  • Comprendre qu’un espace de paix extérieur à soi devient rapidement un espace de paix intérieur
  • Détendre le corps
  • Exercer sa respiration
  • Effectuer un parcours corporel pour prendre conscience de son corps
  • Se concentrer sur l’instant présent plutôt qu’induire les événements à venir
  1. Il est prouvé qu’on se détend mieux dans un espace propre, non encombré, sécurisé, doté de peu d’objets mais d’objets qui font « sens » pour nous

Si vous ne possédez pas de coin de relaxation ou de petit havre de paix à la maison, il est temps de le concevoir. Dans mon précédent article je vous recommandais de « faire un grand tri », un grand nettoyage de printemps en quelque sorte chez vous (attention, en temps de confinement bien-sûr on stocke ce qu’on ne veut plus dans une pièce mais on ne le met pas dehors et on ne l’emmène ni à la déchetterie, ni à la recyclerie, ça tombe sous le sens…)

Il est bon, dans les périodes de grands changements, de transition, de se poser pour éliminer tout ce qui ne sert à rien ou qui ne nous convient plus. Les 20 paires de chaussures de marque accumulées dans le dressing n’aident pas beaucoup actuellement, non ? Ce qui aide ce sont plutôt des « valeurs » fortes et de la communication, que du matériel… Rangez, triez, projetez de donner et créez vous ce petit havre de paix dans lequel il fait bon venir méditer ou tout simplement se vider l’esprit.

Lorsqu’on jette et qu’on trie on fait de la place pour la nouveauté, pour un « vent de fraîcheur ». Avoir moins de choses stockées (je ne parle pas de nourriture !) est bon pour l’esprit. Il m’est, par exemple, très difficile d’être satisfaite de moi, de ma maison si je sais qu’il y a un placard ou une pièce « dépotoir » qui contient tout ce dont je n’ai eu ni le courage de jeter, ni le courage de ranger. C’est en fait une histoire de circulation des vibrations et d’énergie. Tout ce qui est stocké et qui ne sert pas prend de la place et développe en nous des sentiments de culpabilité (ils sont parfois carrément inconscients !) Dormir sous un grenier ultra encombré n’est pas très sain…

Dans votre « havre de paix » ou votre « antre de détente », pensez à mettre à la fois une lumière douce et apaisante (parfois un simple rideau de voile rouge ou orangé devant la fenêtre suffit) ou des bougies. La lumière c’est la vie ! Tout travail sur soi consiste à faire entrer la lumière en soi, à se dissocier de nos craintes et de nos zones d’ombres. Les thérapeutes se présentent parfois comme des « travailleurs de lumière »…

Il est très rassurant pour des personnes angoissées d’avoir autour d’elles quelques objets familiers triés sur le volet qui évoquent de bons moments ou de beaux souvenirs (le coquillage ramené de Grèce, la petite statue de l’île Maurice etc. ou pourquoi pas un jouet de votre enfance). Veillez à avoir des objets à « bonnes ondes » dans votre petit espace personnel. D’autre part un confinement est fatigant moralement (j’ai passé deux fois dans ma vie 6 mois au lit pour mes grossesses sans avoir le droit de me lever ou presque…) et une bonne organisation est vitale. Ranger, trier vous permettra aussi de penser à autre chose

2. Le meilleur des exercices de respiration/rétention pour se détendre

Quand votre petit espace personnel est arrangé, avec quelques coussins, un tapis de sol par exemple ou un divan, pensez à mettre un peu de musique de relaxation (j’aime beaucoup celle-ci qui est très puissante). Puis faites ceci :

  • Allongez-vous et faites le vide dans votre tête. Respirez profondément pendant quelques minutes
  • Lorsque vous êtes prêt, passez tous les membres de votre corps en revue en les imaginant, de la tête aux orteils, dans la douce chaleur. Vous pouvez visualiser un doux halo de lumière dorée qui envahit votre corps au fur et à mesure. Dites mentalement : « Ma tête est réchauffée, ma nuque est réchauffée etc. »
  • Lorsque vous avez terminé, reprenez l’exercice de visualisation en ajoutant la lourdeur. Imaginez toujours la douce lumière dorée s’emparant de votre corps mais venez y ajouter une sensation de pesanteur. Si vous ne le pouvez imaginez juste que vous êtes à la plage et que des enfants, pour jouer, posent des galets sur votre corps. Ressentez le poids des galets et du même coup le contact de votre corps sur le sol. Dites mentalement : « Ma tête est réchauffée et lourde, détendue. Ma nuque est réchauffée et lourde etc. »
  • Lorsque vous êtes bien détendu, commencez l’exercice de rétention d’air : inspirez lentement mais pleinement PAR LE NEZ tout en gonflant votre ventre comme un ballon, simultanément. Vous remplissez votre ventre d’air.
  • Maintenant soufflez cet air PAR LA BOUCHE comme à travers une fine paille. Ce souffle doit être précis, ciblé et long.
  • Recommencez le cycle 3 fois
  • Maintenant faites la même chose mais au lieu d’expirer gardez tout l’air en rétention dans votre ventre. Ne respirez plus et en même temps que vous coupez votre respiration et effectuez cette belle rétention d’air, contractez absolument tous vos muscles comme lorsque vous vous étirez le matin. Ici le but est de garder la tension totale des muscles et la rétention d’air en même temps, puis de relâcher et les muscles et le souffle en même temps.
  • Lorsque vous expirez, faites le lentement en contrôlant  le débit d’air. Cherchez à calmer les battements de votre cœur. Il ne faut pas expulser tout l’air d’un coup comme pour reprendre d’emblée votre respiration.
  • Maintenant forcez vous à bailler deux fois, bruyamment si possible.
  • Recommencez l’exercice entier 3 fois

Il est bon d’effectuer cet exercice 3 fois par jour, dans votre espace de paix.

Restons en contact et retrouvez ici chaque jour des astuces pour mieux gérer votre confinement !

 

 

Couple : Ces 2 critères qui font que, oui, ça fonctionne

En Sophrologie comme en Psychopratique et en Techniques de communication verbales, il est possible de travailler sur son couple et sur la façon dont on communique entre partenaires de vie. Connaître son mode de fonctionnement personnel et en couple est véritablement un atout pour réussir sa vie sentimentale.

Les goûts communs sont secondaires dans la réussite du couple !

De nombreux critères jouent en faveur de la réussite ou de l’échec d’un couple et ce ne sont pas toujours ceux qu’on pourrait croire… Spontanément lorsque la question est posée à un couple il répond que la réussite serait liée à des activités et des goûts communs (ou au contraire à des goûts très différents puisqu’il est coutume de dire que « les inverses s’attirent »…) ou au fait que les deux membres soient issus du même milieu social…Si cela peut s’avérer véridique dans des cas extrêmes, la raison de la réussite d’un couple est toute autre…

Les couples qui « roulent » : des amis avant tout !

Le principal critère qui garantit la complicité et donc la réussite d’un couple c’est bien la capacité à être amis avant tout ! Il est prouvé que le fait de fonctionner comme de très bons amis est ce qui va bâtir un couple solide et durable. Pour quelles raisons ?

  1. Les amis ont développé un esprit d’équipe qui leur permet de se soutenir dans toutes les situations et donc de survivre à tous les écueils
  2. Les amis ont des hauts et des bas mais parce qu’ils ne se situent pas entièrement dans la posture du couple-amants ou du couple-fusion ils sont davantage capable de pardonner, de témoigner une certaine forme d’empathie et de « comprendre » l’autre.

Ceux qui ont développé une capacité à être, en plus de mari et femme, de véritables amis savent d’emblée qu’ils sont Unité et qu’ils jouent pour la même équipe. La notion d’équipe est à la fois primordiale et passionnante à découvrir, étudier et développer.

Le second critère qui plaide en faveur de la réussite d’un couple : 

Savoir identifier les écueils et appliquer le compromis dans le couple

Si vous rencontrez des problèmes ou des soucis de couple et que vous n’arrivez pas à les surmonter, il est bon de se faire accompagner afin de retrouver ou de connaître tout simplement ce statut de couple-amis. Mais vous pouvez commencer le travail grâce à ces quelques astuces :

  1. Identifiez les problèmes dans votre couple. Sont-ils éternels ou solvables ? Quelles forces possédez-vous tous les deux pour les affronter ?
  2. Triez ces soucis par écrit. Certains peuvent-ils, dans une optique de résolution, être soumis à la « loi du compromis » ou est-ce impossible ? Certaines valeurs posant problèmes ne peuvent être soumises à aucun compromis; par exemple : soucis d’alcool ou de drogue, enfants en danger, violences physiques ou verbales, sérieux problèmes dans l’éducation des enfants, jalousies maladives, croyances très différentes… C’est à vous de juger ce qui est réparable et ce qui peut être résolu de ce qui ne le sera jamais (ceci en protégeant toujours les plus jeunes, les plus fragiles et la vie bien-entendu) ! Choisir un partenaire pour la vie consiste davantage à opter pour une panoplie de problèmes qu’on pourra supporter toute une vie qu’à ressentir l’amour fou (attention le cerveau ne serait vivre en permanence dans l’explosion des sens de la rencontre, du « coup de foudre », de la passion ! C’est hormonal et chimique, au bout de quelques mois l’intensité de la relation est vouée à ralentir, à s’apaiser)… Par exemple si l’autre est une personnalité « à clash » le compromis est très compliqué à appliquer…
  3. Arriver à saisir ce qui compte le plus dans une relation : comprendre les mots de l’autre, se tourner vers lui de la bonne façon en cas de stress, avoir une méthode claire pour gérer les conflits, mais avant tout AVOIR UN BUT COMMUN …

C’est un constat de nombreux chercheurs : les couples qui durent sont ceux dont les fondations sont : l’amitié ! Cette dimension permettrait de faciliter certains changements chez l’autre. C’est pourquoi lorsqu’un couple est en danger il faut savoir exactement quoi changer. Quels sont vos buts personnels mais surtout vos buts communs, savoir définir quand on est satisfait de son partenaire, savoir recadrer ensemble ce qui « pèche »…

Une grille de test efficace pour les couples en danger

En Psychopratique pour couples, une grille de tests efficace existe. Cette grille de tests pour couples porte sur comment les partenaires se perçoivent l’un l’autre sur différentes problématiques comme :

– La connaissance de l’autre

– La tendresse et admiration

– La satisfaction sur la tendresse et la dimension romantique du couple

– La satisfaction concernant la vie sexuelle etc.

Ce type de tests permet au thérapeute d’estimer l’écart entre les attentes des deux membres de « l’équipe ».

Tout au long de ce processus il est possible de distinguer les éléments majeurs qui composent la relation de couple :

  • Les forces et les faiblesses de chacun qui se répercutent sur l’union du couple
  • Les soucis solvables
  • les problèmes éternels et donc insolvables
  • les grands rêves sous-jacents de chacun mais aussi du couple
  • etc.

Qualifier et préciser les écueils mais aussi les forces du couple

Si le thérapeute permet au couple de faire le point réel sur sa situation, en qualifiant et en quantifiant les critères intervenant dans le lien affectif, en échelonnant les valeurs qui s’y rapportent, il n’y a – bien entendu – que les deux membres du couple ensemble qui puissent trouver leur mode de fonctionnement.

Trouver son mode de fonctionnement

Ce mode de fonctionnement efficace pour un couple lui appartient (impossible de copier/coller à un autre!). Sa définition et son appropriation devront être envisagées progressivement. C’est le travail commun du couple (en communication et sur le terrain) qui permettra de faire apparaître ce qui fonctionne (ce qu’il faut multiplier, donc) et ce qui ne fonctionne pas (ce qu’il est préférable d’abandonner).

Notons que parmi les problèmes éternels (ceux qui reviennent toujours même avec de la bonne volonté) il y a notamment la violence physique (il ne faut bien entendu jamais composer avec cela), la violence verbale et la manipulation mentale, la jalousie maladive, les problèmes d’addictions (drogues, alcool, sexe, jeu …) et les problèmes de totale incompatibilité de caractère.

L’incompatibilité de caractère

Comment expliquer l’incompatibilité de caractère ? Lors de la phase amoureuse, lorsque les partenaires sont engagés dans une construction romantique et affective, certains traits de personnalité peuvent être naturellement atténués ou volontairement et consciemment cachés à l’autre. Les autres phases (la construction de la Confiance puis le stade de construction de la Loyauté) – qui représentent en elles-mêmes des challenges au quotidien – peuvent dévoiler des traits de caractère éternels… L’évolution personnelle de l’un alors que l’autre reste « tel quel » (ce qui peut être perçu par l’autre comme de l’immobilisme) peut aussi venir mettre en exergue des traits de caractères éternels devenus insurmontables pour l’autre. Une histoire d’amour puis de couple est avant tout une évolution personnelle mais « côte à côte ». En l’absence de projet d’évolution commun, la plupart des couples sont voués à la frustration au fil du temps, surtout lorsque la phase de Construction amoureuse est révolue…

La Sophrologie et la Psychopratique permettent de travailler sur les écueils mais aussi les forces des deux membres du couple et sur l’émergence d’un objectif commun.

Une véritable communication : ce n’est pas parler des heures !

Le coaching en techniques de communication verbale permet de clarifier ses idées pour le couple, ses objectifs de couple et d’axer le travail du couple sur la résolution de ce qui ne fonctionne pas. Savoir communiquer (ce qui n’a rien à voir avec parler de longues heures au lit de ses soucis ou émotions…) est primordial pour le couple. La communication doit être cadrée, avoir un début, un milieu puis assez rapidement une conclusion. Une sur-communication sur des sujets mineurs ou majeurs entraîne une sorte de désinformation dans laquelle la vraie problématique a tendance à s’enfouir…

N’hésitez pas à me contacter, si vous êtes sur Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset, Gannat ou aux alentours,  pour mieux connaître les Outils relationnels pour couple qui peuvent être utilisés pour booster la communication entre conjoints et en tirer des bénéfices d’efficacité et de « fraîcheur ». Une réorganisation de son mode de communication et une redéfinition des objectifs du couple à court, moyen et long terme est souvent bénéfique et salutaire.

 

Couple : Quand la communication est défaillante

Besoin de séances en couple sur Vichy ? Lisez ce qui suit.

Parler beaucoup n’est pas Communiquer !

En psychopratique comme en sophrologie, des couples consultent pour des soucis de communication. Et ils ont raison ! Pour la plupart ils se sont rendus compte d’eux-mêmes que les vrais soucis venaient non pas de situations agaçantes récurrentes mais d’une incapacité profonde à les accepter en tant que telles ou d’un véritable manque de communication, très fréquent. Parfois les gens pensent communiquer parce qu’ils abordent les problèmes verbalement pendant des heures, encore et encore. Pourtant la véritable communication possède ses règles et ses lois fondamentales, surtout lorsqu’il s’agit du couple. Non, parler beaucoup, que ce soit en haussant le ton ou en étant « bien gentil », n’est pas synonyme de Bien communiquer !

Apprendre à communiquer réellement et selon un cadre donné : le VRAI investissement du couple !

Lors des séances de psychopratique pour couple (« Objectifs et outils relationnels pour couple »), les participants apprennent à redéfinir la Notion de couple et à ne pas lui attribuer tous leurs rêves et objectifs profonds. Ils apprennent aussi à pratiquer une écoute active et empathique envers l’autre, cette écoute n’est pas guidée uniquement par leurs désirs.

Lorsque la communication est bloquée le psychopraticien va amener les deux membres du couple à dire les choses de façon claire et concise. Même si nous sommes dans une sphère particulièrement complexe, celle du « romantisme » qui implique donc une relation romantique entre deux personnes, il est possible de clarifier sa pensée, de ne pas venir accentuer encore un problème et de faire la part des choses… Des techniques existent à cet effet. Il est bon de les connaître et de les appliquer.

Ecoute réflective et Art du compromis

Comment dire les choses, comment écouter l’autre, comment écouter en « double sens », comment pratiquer une empathie aidante lors d’un conflit ? Comment passer en écoute réflective ? Comment pratiquer l’art subtil du compromis ? Autant de notions qui sont abordées dès le début des séances en couple et qui vont rapidement rétablir un équilibre. Sur cet équilibre rétabli (en 2 à 3 séances) nous pourrons engager un travail plus profond qui apportera le changement nécessaire au meilleur fonctionnement du couple.

Un nouvel équilibre dans le couple

Cet équilibre va se solidifier au fil des apprentissages et des séances. Un couple est avant tout une équipe. La vie de couple est un navire, c’est une image, un navire qu’il faut faire naviguer dans différentes eaux : des eaux profondes, des eaux agitées par des tempêtes, des récifs, des zones à « bancs de sable ». Ensemble nous élaborons des outils sur-mesure pour faciliter la navigation de votre couple !

Sans investissement sur vos techniques de communication, le couple expérimentera l’écueil, l’échec, les périodes de détresse et de confusion.

Ensemble pour « être heureux » ?

C’est contradictoire mais l’Amour ne suffit pas à faire fonctionner un couple au quotidien. Il donne le ton, il est « guidance » mais c’est la Communication dans le couple, à tous les niveaux qui assure sa pérennité. Les gens qui se mettent ensemble « pour être heureux » sont ceux qui expérimentent le plus de problèmes « sur le terrain »… Pourquoi ? Parce qu’il est préférable de savoir être heureux et épanoui tout seul pour pouvoir l’être en couple. L’autre n’est pas là pour venir combler tous nos manques, nos rêves inavoués ni pour réparer notre passé, notre enfance, encore moins pour nous « changer » ! Par contre il est engagé dans une évolution non plus personnelle mais de couple. L’art du compromis, par exemple, apprend à deux personnes différentes à se rencontrer « au milieu » des choses. Il faut le pratiquer pour le connaître et reconnaître son utilité.

Les peurs et les grands rêves sous-jacents

Lorsque la communication est coupée dans le couple il y a souvent des peurs bien ancrées chez l’un, l’autre ou les deux. Les séances de psychopratique de couple permettent de lever ces craintes et ces blocages. Une communication coupée l’est souvent en raison de grands rêves sous-jacents qui ont été abandonnés par l’un ou l’autre. Si l’un adore voyager mais que l’autre est phobique de l’avion, il se peut que le premier se sente profondément triste, déçu et « sous-épanoui » dans la vie en général et donc aussi dans son couple…

En psychopratique lors des séances de couple nous étudions ces rêves sous-jacents et travaillons ensemble pour, encore une fois, établir un compromis, restaurer l’équilibre menacé.

Couple en danger ?

Vous sentez votre couple en danger ? Vous souhaitez en parler pour comprendre et reprendre une vie de couple harmonieuse ? N’hésitez pas à planifier votre séance sur Vichy. Les séances se déroulent dans un cadre agréable, sécurisant et convivial. La confidentialité est assurée.

Tarifs couple : première séance 90 euros pour 01h30 environ, séances suivantes 60 mn environ 70 euros.

 

Besoin d’énergie et de détente à la fois ? Découvrez La Technique Nadeau, exercice régénérateur

Vous avez besoin de régénérer vos cellules, d’être plus en forme ou de vous mettre enfin à de l’exercice léger et avec peu de contraintes ? Optez pour La Technique Nadeau, un ensemble d’exercices régénérateurs . La Technique Nadeau ne comporte que 3 mouvements qui agissent sur tout le corps et aussi sur l’esprit. C’est une méthode douce qui, en plus d’une remise en forme, aide aussi à positiver, à forger sa volonté et parfois même à structurer davantage sa personnalité…

L’apprentissage

La Technique Nadeau ne comporte que 3 exercices mais ils sont très complets et agissent sur la totalité du corps. Ils s’apprennent sous la guidance d’un professeur diplômé de l’Ecole Colette Maher. Pour trouver un professeur sur votre région, cliquez ici.

Une fois l’élève formé et autonome, il se voit confier un CD nommé « aide-cadence » lui permettant de pratiquer au rythme du « tam tam » sans avoir à compter ses mouvements. Il y a plusieurs niveaux de cadence. Il convient de prendre son temps et d’intégrer chaque étape sans fatigue avant de changer de niveau.

En 20 minutes seulement par jour (soit 1200 mouvements), La Technique Nadeau permet de retrouver un dynamisme certain et de renouer avec la vitalité. Certains médecins et pros de la santé la recommandent. Les pilotes d’avion de certaines compagnies canadiennes l’utilisent dans le cockpit car elle peut se faire assis, pour se dynamiser lors des longs vols.

Les avantages

Seulement 3 exercices connus pour la vie une fois qu’on les a ssimilés

Aucun déplacement, aucun matériel, nécessite peu d’espace

Fait travailler le corps en entier, c’est un système d’exercices très complet

Convient à tous les âges

Permet d’ôter l’anxiété

S’ajuste à la condition physique de chacun : on peut adapter les exercices en version assise ou avec des coussins pour sécuriser les points sensibles (coudes, genoux…) Les exercices sont les mêmes pour tout le monde seul le rythme diffère

C’est un véritable chasse-fatigue (pour la petite anecdote je suis arrivée une fois en cours avec un mal de dos terrible dû à plusieurs heures de travail sur écran la veille et une migraine « hormonale ». J’ai tout de même donné mon cours à mes élèves en pratiquant avec eux. Une heure plus tard j’étais parfaitement bien ! J’avais réchauffé mes muscles et mon mal de tête avait disparu alors qu’il ne cédait pas aux antalgiques depuis 48 heures ! Depuis je pratique même si j’ai la migraine)

La vue, la mémoire et l’ouïe sont régénérées

La Technique Nadeau permet d’assouplir ses articulations et de redonner une mobilité à la colonne vertébrale

Elle imprime un massage profond à l’abdomen et permet à certains maux digestifs de se dissiper

Elle améliore la circulation sanguine, fortifie le coeur et les vaisseaux et raffermit la musculature

Elle est bénéfique, simple, agréable, relaxante et universelle selon ceux qui la pratiquent TOUS LES JOURS !

Les 3 exercices

Le premier exercice se nomme la Rotation du bassin.  Le bassin décrit un cercle. Le buste se penche sur le côté gauche, vers l’avant, sur le côté droit et se redresse pour enchaîner sur le cercle suivant.

Le second exercice se nomme La vague complète et il s’agit d’un mouvement ondulatoire de la colonne. Il est excellent pour le système nerveux et pour remobiliser la colonne vertébrale.

Le troisième exercice est la natation. C’est un mouvement des bras. Ils sont ramenés alternativement vers l’arrière et l’avant, ce qui imprime une torsion à la colonne. Les jambes sont actives car elles effectuent le mouvement de la marche. Le corps s’anime alors de la tête aux pieds.

Son créateur

A l’âge de 59 ans Henri Nadeau est frappé d’un infarctus et d’une double thrombose. Après 12 jours en soins intensifs il rentre chez lui avec beaucoup de comprimés à avaler chaque jour. Son bras gauche est à moitié paralysé et il n’a plus le droit de conduire ni de monter de simples escaliers… Dans ces circonstances, il est difficile pour lui de se raccrocher à la vie. Pourtant, sa capacité de résilience le mènera à la bibliothèque régulièrement pour consulter des ouvrages de biologie et comprendre la méthode de régénération des cellules. Il comprend comment un organisme non sportif va s’encrasser au fur et à mesure et finir par céder.

Il voudrait donc oxygéner ses tissus et se débarrasser de ses toxines. Il fait de nombreux essais peu fructueux pour essayer de récupérer la mobilité de son bras et se remettre en forme mais c’est si épuisant pour lui ! Un jour c’est le « flash » il constate que les danseuses orientales sont très souples et en forme même âgées. Il commence à imiter leurs mouvements qui sont hautement régénérateurs. Nadeau se fiche du regard des autres, il pratique la danse du ventre avec succès et cela deviendra même la base de sa Technique  avec les ondulations. C’était un vrai intuitif. Son credo : 80% de pensée positive et 20% d’exercices. 12 ans plus tard, la santé retrouvée, il rencontrera Colette Maher qui tient la plus grande école de yoga du Québec. Elle l’aidera à théoriser et à structurer sa méthode. Monsieur Henri Nadeau aura ainsi prouvé au monde qu’il est possible de se remettre en forme même à 60 ans !

20 minutes pour retrouver …

Le plaisir de vivre

La forme

Un esprit plus vif

Une qualité de vie

Une vitalité

Et pour s’éloigner de la maladie !

Les contre-indications sont rares mais il convient de rencontrer votre médecin si vous souffrez de maux particuliers, avant de débuter l’apprentissage.

Si vous vivez sur Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset, Gannat … n’hésitez pas à me contacter pour réserver votre session. La Technique Nadeau s’apprend en 10 heures. Il est possible de grouper les heures ou de l’apprendre sur un week-end. 

 

 

Quand « Rien ne va » cache un réel manque de Sens …

Beaucoup de clients viennent au cabinet avec une demande à la fois précise et impérieuse et pourtant assez « générale » : donner du sens à leur vie. Le sujet peut se travailler en psychopratique par la libération émotionnelle par la parole ou la thérapie cognitive mais aussi en sophrologie où le cheminement est différent cependant. En sophrologie, je travaille souvent à revaloriser les dons et les qualités de mes clients. La plupart du temps ils sont pleins de ressources mais semblent l’ignorer. L’usure du temps, les projets qui avortent, les rêves de jeunesse non accomplis sont à la base de cette « ignorance » de leurs véritables pouvoirs et d’une frustration latente. Relancer la confiance en soi, la confiance en son propre jugement, la confiance en l’autre et en l’univers qui les entoure, autant d’étapes nécessaires à reprendre le dessus sur une situation pesante et non désirée… Parfois insuffler la motivation ne suffit pas, ne suffit plus et le « bilan de vie » s’avère nécessaire. Fort en vogue il y a 10 ans le « bilan de vie » est un concept qui tend à s’essoufler et à montrer ses limites dans un monde en pleine mouvance, un monde qui « va vite » de nature et qui laisse les moins ambitieux ou les moins dynamiques « sur le carreau »…

C’est pourquoi la première séance est décisive et permet de définir les outils à employer pour insuffler une « renaissance »… Selon les cas, si le problème est purement professionnel le client se sentira attiré par le Coaching en suppression des croyances limitantes ou vers le Consulting en Leadership, plus long, plus exigeant quand à l’engagement mais qui permettra d’obtenir une vision nouvelle de soi et de ses talents. Un « booster » de carrière non négligeable qui passe aussi par la mise en place de « success tools » personnels.

A la première séance, en sophrologie ou en psychopratique, certains clients prononcent la fameuse (et redoutable) phrase : « Rien ne va ! » ce qui est très différent de « Rien ne va plus » (qui signifie qu’on a perdu la connexion avec sa puissance intérieure et sa volonté pour un temps mais que la situation n’est, cependant, que transitoire).

En travaillant sur la classique anamnèse, j’apprends à mieux connaître mon client et à cerner ses besoins véritables qui ne sont pas toujours ceux qu’il évoque spontanément. Parfois une personne très directe, très « commerciale » dans ses objectifs peut rapidement s’avérer sensible ou ultra-sensible et déconnectée de son Soi profond. La déconnexion des rêves de jeunesse (ou d’adulte tout simplement) est un indicateur de frustration à la base d’un certain négativisme : souvent la personne manque de sens à donner à sa vie. A l’instar d’une femme d’une quarantaine d’années qui avait renoncé à ses rêves de voyages une fois maman ou de cet homme salarié depuis 20 ans qui aurait tant voulu « faire de l’humanitaire » et s’accomplir « au moins pendant ses vacances » mais qui était cloué à Paris pour des raisons toujours plus valables de mois en mois, d’années en années : l’appartement à rénover, la voisine à aider, les vacances en famille à l’île de Ré, l’avion trop dangereux et trop cher… jusqu’à ce que les séances de sophrologie le fassent voyager au point qu’il commence à réaliser ses rêves de « traveler » sur de courtes distances et de courtes périodes, au début…

On vient consulter pour arrêter de fumer avant de réaliser que le couple dans lequel on s’empêtre, par exemple, depuis des années, ne nous apporte plus grand chose ou qu’on a pas «  »digéré » d’être « mis à la retraite »… Pour ce second cas le Consulting en Leadership peut permettre de songer à une activité indépendante car non la « retraite » n’est pas une étape obligatoire pour ceux qui ne la désirent pas.

Il y a encore une vie après les projets, après les enfants partis à l’université, après la retraite, après une rupture, un divorce, après des études qui n’ont pas apporté la satisfaction escomptée ou qui ne nous ont pas fourni ce à quoi on pouvait prétendre… Une vie qui mérite d’être vécue mais « avec du sens » ou davantage de sens en tout cas.

Comment savoir que vous êtes en manque de SENS ?

Si vous pensez que certains de ces points sont vrais pour vous, vous pourriez être en manque de Sens…

  • Vous ne croyez pas posséder la force de changer votre destin. Il vous semble que vous ne contrôlez pas ce qui vous arrive
  • Vous avez tendance à rechercher l’inspiration chez les autres plutôt que chez vous-même
  • Vous vous trouvez facilement de bonnes raisons de renoncer à vos rêves
  • Vous vous dites que pour réaliser tel ou tel acte, pour compléter tel ou tel objectif il vous aurait fallu naître dans une autre famille, avoir un cursus différent, avoir plus d’argent, plus de temps, plus d’expertise dans un domaine particulier, un carnet d’adresses mieux fourni…
  • Il ne vous vient pas spontanément à l’esprit qu’il est possible de « griller » certaines étapes des process d’évolution en profitant de l’expérience des autres
  • En pensant « thérapie » vous songez : « c’est perdu d’avance, ça ne fonctionnera pas pour moi »…
  • Il vous semble que les autres (vos voisins, vos amis, vos cousins, cousines, frères et soeurs…) ont bien mieux réussi que vous et qu’ils sont plus intéressants que vous
  • Il vous arrive très régulièrement d’admirer les autres tout en sachant que ce qu’ils effectuent ne serait « pas pour vous » au final
  • Vous tombez facilement dans la routine
  • Vous revoyez souvent vos objectifs et désirs à la baisse
  • Vous restez dans votre zone de confort
  • Il vous semble que votre vie manque de piment et pourtant tout ce qui sort de l’ordinaire vous déroute !
  • L’originalité vous rebute ou il vous semble qu’elle vous est interdite depuis toujours
  • Vous êtes rassuré par les conventions et les modes de vie conventionnels
  • Vous pouvez lister vos grands regrets assez facilement sans trop « cogiter » etc…

Insuffler une dynamique nouvelle

Parfois en complétant l’anamnèse le thérapeute peut se rendre compte que beaucoup de petits éléments sont à revoir dans l’organisation générale du client. Par exemple une personne qui est free-lance ou qui se lance à son compte mais qui est incapable de planifier sa journée ou sa semaine gagnerait à le faire pour se dégager du « temps pour soi ». Souvent une véritable dynamique est absente. On fait les choses qu’on doit faire mais organiser son plaisir ou ses temps de loisirs parait trop compliqué… Pourtant réintégrer des activités à une vie trop routinière (aller à la piscine une fois par semaine par exemple et s’y tenir ou arriver à s’organiser un weekend de détente ailleurs) est bénéfique.

Souvent les gens dont la vie manque selon eux de Sens, ont tendance à fuir les relations sociales en dehors de leur travail. Pourtant c’est l’interaction et le lien social qui permettent aussi de se fixer des objectifs, de s’inspirer parfois…

Estimer le « gap » entre sa vie actuelle et celle souhaitée

Sans tomber dans le fantasme d’une vie de rêve sous les cocotiers, il est possible de se fixer des objectifs pour obtenir non pas une vie « meilleure » mais une vie en meilleure adéquation avec ses souhaits profonds. Remplir une « feuille de souhaits » – souhaits qui peuvent être modérés avec le thérapeute en fonction des outils à disposition – est déjà une façon de prendre conscience que le « jeu en vaut la chandelle ». Le travail consistera ensuite à réduire l’écart entre ce que l’on a et ce que l’on souhaite obtenir. Pour exemple : mon ancien métier (management dans la presse et l’édition) me permettait de beaucoup voyager à moindres frais. De plus j’ai énormément voyagé lorsque j’étais adolescente puisque j’ai profité des tarifs bon marché d’un C.E avantageux pour visiter de nombreux pays. Avant d’avoir mes enfants je voyageais encore beaucoup en Europe, ce qui constituait mon plus grand plaisir. A l’heure actuelle entre mes enfants, mon travail au cabinet et en entreprises, les contraintes familiales, il m’est très difficile de voyager autant. Je suis même restée sur place pendant 3 ans, ce qui était pour moi un record absolu. A l’heure actuelle je sais qu’il ne m’est pas possible de partir 3 mois en trekking aux Etats-Unis mais j’ai recommencé les courts voyages en Europe (3/4 jours sont encore conciliables avec mon activité professionnelle). J’ai donc réduit l’écart entre ce que je souhaitais et ma réalité. Ces courts voyages me permettent aussi de garder un certain niveau de relations sociales. La rencontre est importante car elle est inspirante et justement…

C’est l’Inspiration qui mène le monde !

Pas besoin cependant d’aller au bout du monde pour trouver l’Inspiration. Parfois une chaîne Youtube intéressante sur le développement personnel, les voyages, les avancées de la Science ou des TedXs bien tournés permettent de retrouver l’Inspiration nécessaire à notre épanouissement.

Lorsque « rien ne va », le thérapeute va offrir une vision nouvelle des choses et peut-être vous permettre de redonner du sens à votre vie ainsi qu’une bonne dose d’Inspiration. Les séances de sophrologie sont un excellent moyen de renouer non seulement avec soi, avec ses besoins mais aussi avec son inconscient et son intuition. Développer son intuition peut faire l’objet de séances très relaxantes et utiles à la fois.

Appel, mission de vie ou passion ?

Les trois sont nécessaires à redonner du Sens. Mais parfois il suffit de se rendre compte qu’on est déjà dans sa mission de vie. Une mission de vie n’est pas forcément de partir faire de l’humanitaire, de monter une entreprise écolo ou de recueillir des chiens errants… Etre maman et avoir conscience de ce statut privilégié que tout le monde n’a pas la chance d’avoir, écrire de la poésie et la partager, dessiner même « pour soi » ou avoir envie, dans sa vie, de répandre l’empathie sont autant de missions de vie qui offrent du sens au cheminement global de l’être.

Si ces notions vous parlent et que vous êtes curieux de voir combien votre vie pourrait changer en travaillant sur vous, n’hésitez pas à me contacter.

 

 

La première séance de Psychopratique

La Psychopratique

Psychopraticien « tout court » n’est pas un « titre » mais désigne simplement celui ou celle qui exerce la « psychopratique », c’est à dire l’accompagnement de personnes en souffrance morale. Cet accompagnement s’effectue à l’aide d’outils préalablement définis (dans mon cas la libération émotionnelle par la parole, la libération émotionnelle par le jeu de rôle et la gestuelle, la thérapie cognitive). Le psychopraticien, s’il doit expliquer à son client de quelle façon va se dérouler l’accompagnement, possède souvent un bagage de formations bien fourni, en plus des techniques qu’il a choisi. Il s’installe souvent à un moment de sa vie où lui-même a suffisamment expérimenté la psychothérapie et où il lui semble avoir acquis une expérience poussée de l’humain. Pour exemple j’ai décidé de m’installer en tant que thérapeute il y a 10 ans après avoir longtemps géré de « l’humain » au travail (management dans la presse, la communication et l’édition) et avoir monté des ateliers de sophrologie et de relaxation en hôpital et pour des structures associatives.

Des méthodes et une expérience de l’humain avant tout

Même si j’accompagne la transition personnelle, professionnelle, sentimentale, familiale etc. par les 3 méthodes précitées, je suis également formée à La Dramatherapy, à l’accompagnement du stress post traumatique et du deuil compliqué, à la Sophrologie (avec la Psychopratique il s’agit de mon cursus « initial » de reconversion), à la psychologie du leadership, à l’alliance thérapeutique, à la psychologie transpersonnelle et à des méthodes de régénération de l’énergie… Ces méthodes « apportent » à ma vision et à mon travail au cabinet, me permettant de comprendre certains aspects de la psychologie humaines et des comportements humains mais aussi de trouver les bons outils de gestion du stress, par exemple, pour mes clients. La psychopratique c’est une rencontre avant tout. Le client et le thérapeute apprennent l’un de l’autre.

Des questions oui mais dans l’empathie et la chaleur

Certains clients redoutent la première séance de psychopratique (anamnèse) mais d’autres participent très activement et ont hâte de « savoir » comment nous allons travailler ensemble à leur problématique. La première séance, comme toutes les autres, est menée dans la confidentialité, dans un cadre sécurisé où l’alliance thérapeutique peut se développer au mieux, dans le calme et dans l’empathie. Il n’y a donc absolument aucune raison de stresser en y pensant.

Quantifier le bien-être 

J’ai tendance à dire que la thérapie commence, en fait, à partir du moment où le client me téléphone. A cet instant il est déjà apaisé et le travail sur soi commence vraiment ! Son bien-être est mesurable. A la question « A combien estimeriez-vous votre bien-être moral avant votre coup de fil ? » puis « A combien l’estimeriez-vous sur une échelle de 0 à 10, après » on constate que le niveau de bien-être a gagné entre 1 à 3 échelons. Pourtant rien ne s’est encore réellement passé.

Pas de sujets tabous et une libération par la parole

La première séance aborde votre problématique. Il n’y a aucun tabou. Tous les sujets peuvent être abordés sans crainte. Je suis tenue au secret professionnel et rien ne sort de mon bureau. En plus de votre problématique, la prise de contact s’effectue par une longue discussion chaleureuse rythmée par des questions classiques (comment évaluez-vous votre bien-être à la maison, en famille, au travail, quelles sont vos habitudes alimentaires, comment aimez-vous vous détendre, quelles sont vos qualités premières et les écueils que vous pouvez rencontrer etc.)

Formuler des objectifs dans une guidance bienveillante

A l’issue de ce premier entretien, je vous fais part de ce que j’ai pu ressentir et distinguer de votre personnalité et je vous offre des pistes pour solutionner votre problématique. Il ne s’agit pas pour moi d’évoquer simplement des « solutions » mais plutôt de vous proposer un programme personnalisé afin d’atteindre vos objectifs. Jamais je ne décide dans quel sens vous orienter. C’est vous seul qui prenez les décisions car oui vous en avez la capacité. Je ne pense pas non plus « à votre place ». Mon intervention n’est qu’une guidance bienveillante.

Ce programme qui vous est proposé peut inclure des exercices de communication, d’expression, des jeux de rôles, de la relaxation etc. en psychopratique il s’agit surtout de vous aider à prendre conscience de vos ressources intérieures, celles auxquelles vous n’avez peut-être pas pensé. Il est possible également de vous accompagner sur l’analyse et la suppression de vos croyances limitantes.

Un passage …

On n’est pas « lié » à vie à son psychopraticien ou à sa psychopraticienne. L’éthique veut que le thérapeute sache mettre fin à la thérapie au bon moment, celui où le client a atteint l’harmonie et l’équilibre moral escomptés, le moment où il est prêt. Je considère que je ne suis qu’une « passeuse » qui accompagne la transition. Ma présence n’est nécessaire qu’un temps: celui de progresser dans un deuil, de « digérer » une rupture, de prendre la bonne décision, de trouver sa « mission de vie » ou de prendre ses marques dans un environnement nouveau… Ainsi je suis amenée à rencontrer de nombreux clients et à gérer de nombreuses problématiques extrêmement variées. Pourtant, aucune de ces expériences ne peut être comparée à une autre. Aucune n’est semblable. Toutes sont absolument différentes même si certaines techniques d’apaisement (du stress, de la douleur morale etc.) s’avèrent efficaces sur certaines personnes.

De nouveaux objectifs tout le long du chemin

Parfois on se quitte « pour de bon ». D’autres fois le client revient quelques mois plus tard avec un objectif nouveau à atteindre. Certains utilisent mon expertise « étape par étape » : obtenir une vie sentimentale harmonieuse puis œuvrer pour une évolution professionnelle, asseoir leur confiance en eux etc. accompagner le changement de métier, de ville, de partenaire, de mission de vie…  Le principal étant que les séances soient « aidantes » et le client apaisé, satisfait, qu’il prenne conscience de ses capacités et de ressources intérieures.