Comprendre les émotions post-rupture : Le rôle bienfaisant de la sophrologie dans le processus de guérison

La fin d’une relation amoureuse est souvent considérée comme l’une des expériences les plus douloureuses de la vie. Une rupture provoque un stress conséquent lié à la sensibilité respective des deux partenaires. Cependant, il peut être déconcertant de constater que même lorsqu’on est celui qui a pris la décision de mettre fin à la relation, on peut ressentir une gamme complexe d’émotions négatives. Cet article explore les raisons psychologiques derrière ces sentiments et met en lumière le rôle bénéfique de la sophrologie dans le processus de guérison post-rupture.

Pourquoi se sentir mal après avoir initié la rupture ?

  1. Perte de la routine et de la stabilité : Même si la décision de rompre était nécessaire pour le bien-être personnel, la fin d’une relation entraîne souvent la perte de la routine quotidienne et de la stabilité émotionnelle. Certains repères ordinaires disparaissent.
  2. Peur de l’inconnu : La transition vers une vie sans la présence constante d’un partenaire peut susciter la peur de l’inconnu et générer une anxiété face à l’avenir. Cela est particulièrement vrai chez les personnes souffrant d’une distorsion cognitive (Peur de l’abandon). Aaron Beck a répertorié dans sa méthode de TCC, chacune des distorsions affectant les êtres humains.
  3. Deuil de la relation : Même lorsque la décision est rationnelle, il y a un processus de deuil à vivre. On peut ressentir une perte de l’identité partagée et des projets communs. Il peut être difficile également de se projeter avec quelqu’un d’autre, à l’avenir. Chacun doit prendre le temps de vivre son deuil. Si certaines personnes ressentiront le besoin de rencontrer rapidement un nouveau partenaire, d’autres prendront leur temps et relèveront leurs critères de sélection. La rupture peut alors les aider à déterminer ce qu’elles ne veulent plus subir au sein d’une relation amoureuse.
  4. Estime de soi fragilisée : La rupture peut parfois altérer l’estime de soi, surtout si l’on ressent la nécessité de justifier la décision ou si des sentiments de culpabilité émergent. Une personne sortant d’une rupture, à moins qu’elle ne soit abonnée aux relations passagères et qu’elle accorde peu d’importance au lien créé sur quelques semaines (cela se voit) , est fragilisée ou… galvanisée ! Il y a des années une cliente m’expliqua qu’elle avait ressenti sa rupture comme une « sortie de prison ». Cette personne avait choisi une vie plus trépidante, plus proche de ses aspirations. En réalité, elle avait pris conscience que ce dont elle avait besoin n’était pas une relation mais de vivre enfin pour elle-même !

Le rôle de la sophrologie dans le processus de guérison :

La sophrologie, une méthode qui combine des techniques de relaxation, de respiration et de visualisation, offre un soutien psychologique et physique dans le processus de guérison après une rupture. Il n’y a pas deux clients identiques. Chaque protocole est adapté pour la personne qui consulte ou créé uniquement pour elle. La première séance propose déjà de la pratique mais la majeure partie est destinée à l’anamnèse (me permet de vous connaître).

  1. Gestion du stress et de l’anxiété : Les techniques de relaxation enseignées en sophrologie aident à réduire le niveau de stress et d’anxiété associé à la rupture, favorisant ainsi un état émotionnel plus équilibré.
  2. Reconnexion avec soi-même : La sophrologie encourage la connexion avec ses propres émotions et besoins, facilitant ainsi la compréhension de la décision de rompre et favorisant la reconstruction de l’estime de soi.
  3. Visualisation positive : En guidant les pratiquants à visualiser des scénarios positifs pour l’avenir, la sophrologie aide à surmonter la peur de l’inconnu en créant une vision optimiste du chemin à venir.
  4. Renforcement de la résilience : La sophrologie renforce la capacité à faire face aux difficultés en développant la résilience mentale et émotionnelle, des compétences essentielles pour surmonter une rupture.

La sophrologie se révèle être un outil précieux dans le processus de guérison post-rupture, en offrant un espace pour la compréhension, la gestion des émotions et la reconstruction personnelle. Alors que la fin d’une relation peut être une période difficile, la sophrologie offre un chemin vers le bien-être émotionnel et la redécouverte de soi. En s’appuyant sur ces techniques, il est possible de transformer une expérience douloureuse en une opportunité de croissance personnelle et de renouveau.

Principes de base pour surmonter une période éprouvante

Au cours de notre existence il est possible de connaître différentes périodes de transition, plus ou moins éprouvantes. Je pense par exemple aux déménagements, aux séparations, aux deuils, à la perte d’un emploi ou tout simplement au fait de devoir avancé « loin » des rêves que nous entretenions pour notre avenir lorsque nous étions plus jeunes. Parfois le simple décalage entre nos désirs profonds et la réalité telle que nous l’expérimentons peut déclencher chez nous une période de dépression ou une période de complexes cogitations. Si la remise en question fait partie de l’impermanence de toute existence, elle peut être compliquée à vivre… Face à ce type de période éprouvante, les gens font souvent une erreur classique, comme je l’ai expliqué dans mon livre « Voyage en Self-Love. Adopter l’Amour de Soi pour s’accomplir au quotidien ». Voyons ce qu’est cette erreur :

Première erreur que font ceux qui veulent se « soigner » eux-mêmes d’une période éprouvante : RECHERCHER LA SOLUTION A L’EXTERIEUR D’EUX-MÊMES …

C’est effectivement un grand classique : on se sent mal alors on va se payer un petit resto, allumer une cigarette, aller faire les boutiques, faire du sport ou travailler à outrance… Partir en vacances, en weekend et attendre que la magie opère… Hélas que se passe-t-il après cela ? Ce qui occupait nos pensées revient renforcé ! Une fois l’euphorie des vacances ou du petit verre de vin passée, une fois le paquet de cigarette fumée ou le dressing mieux rempli, notre problème (car c’est bien du nôtre qu’il s’agit même s’il inclus souvent une autre personne désignée comme responsable de notre malheur) revient !

Pour exemple cette cliente cherchant à fuir un manque d’amour d’elle-même qui décide de déménager sur les îles malgré les recommandations de tous les thérapeutes qu’elle a pu rencontrer (« le problème mérite d’être réglé avant de vous lancer dans une nouvelle vie ») et qui me téléphone 3 mois plus tard effondrée : le sable est trop blanc, la mer beaucoup trop turquoise et le problème, lui, demeure !

Un problème est toujours intérieur. Si vous perdez votre emploi alors bien-sûr il vous faudra en trouver un nouveau. Mais si la douleur du licenciement fait remonter à vous de petits deuils non résolus, c’est là-dessus qu’il faut travailler avant tout en donnant du sens à la perte pour s’en libérer une bonne fois pour toute !

Donc voici pour la première erreur que nous faisons presque tous face à un problème intérieur, existentiel ou moral : nous cherchons à le réparer avec un outil extérieur ! Or il faut réparer avec un outil intérieur (ancrage, méditation, thérapie, introspection).

Lorsque vous êtes confronté à un problème moral qui occupe une place importante dans votre esprit, il est essentiel de trouver des moyens de le gérer de manière saine et constructive surtout de l’intérieur ! Quelques conseils qui pourraient vous aider :

  1. Prenez du recul : Prenez le temps de vous éloigner du problème et de prendre du recul émotionnel. Cela peut vous permettre de voir la situation de manière plus objective et d’évaluer les différentes perspectives.
  2. Identifiez vos valeurs : Réfléchissez à vos valeurs fondamentales et à ce qui est important pour vous sur le plan moral. Cela vous aidera à évaluer le problème en fonction de vos propres principes et à déterminer la meilleure façon d’y faire face.
  3. Recherchez des informations et des perspectives : Faites des recherches et essayez de comprendre toutes les facettes du problème. Essayez d’obtenir différentes perspectives et opinions, ce qui peut vous aider à élargir votre compréhension et à prendre des décisions plus éclairées.
  4. Consultez des personnes de confiance : Parlez de votre problème à un thérapeute mais dans l’optique de comprendre son émotion plutôt que de l’éliminer comme on éliminerait un ennemi ! Il y a une leçon, une valeur de vie à en tirer !
  5. Évaluez les conséquences à long terme : Pensez aux conséquences à long terme de chaque option qui s’offre à vous. Considérez les impacts sur vous-même, sur les autres personnes concernées et sur votre bien-être général. Essayez de prendre une décision qui soit alignée avec vos valeurs et qui minimise les dommages potentiels.
  6. Faites preuve de compassion envers vous-même : La prise de décision morale peut être difficile et complexe. Soyez indulgent envers vous-même et comprenez que vous faites de votre mieux pour résoudre le problème de manière éthique. Acceptez que certaines situations puissent ne pas avoir de solution parfaite, mais recherchez celle qui vous semble la plus juste et éthique. Dites-vous parfois : « J’aurais pu faire mieux, mais j’aurais pu faire pire aussi ! Je ne m’en sors donc pas trop mal ! »
  7. Apprenez de l’expérience : Quelle que soit la décision que vous prenez, utilisez cette expérience comme une occasion d’apprentissage et de croissance personnelle. Réfléchissez aux leçons que vous avez tirées et utilisez-les pour guider vos actions et vos choix futurs ! Pour exemple une femme qui vit une rupture avec un homme casanier qui n’arrive plus à suivre ses activités, sorties, loisirs et ne répond pas à son envie grandissante d’évolution ne devrait se remettre en couple ensuite avec le même type d’homme mais rechercher un compagnon plus actif et prêt à participer à ses activités.

Souvenez-vous que lorsque votre Inconscient relâche un problème et lui permet de revenir vers votre conscient c’est qu’il considère que vous êtes suffisamment fort aujourd’hui pour le résoudre. Dans tous les cas, en situation de détresse, n’hésitez jamais à consulter un professionnel et à vous confier à un tiers !

Couple, recherche de l’amour ou du bon compagnon : Pourquoi cet homme ne s’engage pas ?

C’est un sujet qui relève autant de la sophrologie que de la psychopratique : tout le monde veut avoir une vie amoureuse, une vie de couple harmonieuse ! A tout âge, il peut sembler important de se mettre en quête du partenaire qui réponde à nos attentes. Pourtant, parfois, les choses ne se passent pas bien. Par exemple : l’homme qui vous plait ou que vous fréquentez ne témoigne aucune envie de s’engager sur la durée, souffle le chaud et le froid ou vous fait vivre dans l’attente constante d’un signe de sa part… Le souci, c’est que pour certaines personnes cette situation va se reproduire encore et encore tel un schéma répétitif… Elles se retrouvent toujours dans la même conjoncture : un homme, une relation qui s’installe et aucune preuve d’engagement quelconque, parfois même une rupture, un abandon apparemment non justifié. Pourquoi, comment . C’est ce que nous voyons dans cette vidéo. Si votre compagnon ne veut jamais s’engager ou si vous sentez que personne ne souhaite s’engager avec vous durablement alors visionnez cette vidéo :

Couple, amour, engagement, attentes etc. On en parle !

Sophrologie et séparation

C’est une situation assez courante : les gens viennent au cabinet de sophrologie suite à une rupture amoureuse ou ce qu’ils perçoivent comme un « échec » sentimental. C’est une bonne chose car une séparation, une rupture ou un divorce peut être « assimilé » positivement par l’esprit si on le souhaite vraiment.

Un travail en sophrologie concernant une séparation ou une rupture permet, entre autre, d’avancer plus léger et de mettre fin aux cogitations et ruminations mentales concernant cet évènement de la vie.

Un sain bilan

Lors de l’anamnèse j’apprends à comprendre mon client, à trouver des points de résonance, et à schématiser la structure de l’être qui a été atteinte par cet écueil lié à la séparation. Un bon travail sur soi évite de rester bloqué des mois, des années ou des décennies (pour les plus sensibles). Si une rupture amoureuse n’est jamais une partie de plaisir à vivre et à surmonter, elle a cependant beaucoup à nous apprendre sur nous-mêmes, sur nos idéaux et nos comportements. Le but des séances est de comprendre qu’une page a été tournée et qu’il n’est pas utile d’y revenir sans cesse mais aussi qu’une page blanche, toute neuve, est là, prête à être écrite et remplie.

Ce que l’autre m’apprend en « rompant » avec moi

Lorsqu’on est jeune le marché des célibataires est vaste et paraît illimité. C’est l’une des raisons pour lesquelles des hommes et des femmes vont choisir de ne pas s’investir dans une relation qui leur paraît bancale ou qui leur apporte trop peu. Il est tout à fait humain et légitime de faire le bilan au bout de quelques années ou quelques mois d’une relation qui ne nous apporte pas une satisfaction suffisante. C’est une liberté qui nous appartient mais qui appartient aussi à l’autre. En général replacer le libre-arbitre au centre de la relation est une chose positive. En utilisant son droit de rupture, l’autre nous dit que nous ne convenons pas à ses attentes actuelles, même si nous y avons plus ou moins bien correspondu pendant un temps. Il nous dit aussi, parfois, que le temps peut venir à bout des plus belles relations si l’engagement, le dynamisme, le romantisme viennent à s’essouffler. Oui mais… à quel point est-on réellement prêt à « recoller » ce qui a été brisé ? Si certaines personnalités développent le lien affectif sur le temps et la durée, d’autres recherchent la nouveauté permanente et préfèrent donc tourner une nouvelle page que de corriger l’ancienne (ce qui peut être épuisant si la situation est bloquée depuis longtemps). L’autre, lors d’une rupture, met en évidence mes manquements, mes travers (que j’ai tout à fait le droit de ne pas considérer. Ex: si certains considèrent que l’hyperactivité de leur compagne est un problème nuisant au couple, je peux, moi-même, considérer qu’avec moi « on ne s’ennuie jamais » et que ce trait de ma personnalité est positif !) L’autre nous dit aussi que nous devrions changer. Ici encore, aucune obligation car je peux moi-même considérer qu’un changement est compliqué et qu’avec ce partenaire-ci le jeu n’en vaut pas la chandelle.

Ce que j’apprends sur moi lors d’une rupture

Une rupture est un tsunami émotionnel. Ce chamboulement en dit long sur nos besoins. Si je suis « en manque » total de l’autre ou d’un partenaire, c’est peut-être le moment de reconsidérer ma dépendance affective et de savoir, pour une prochaine histoire, que je ne dois pas m’engager autant. Dans cette histoire je me suis peut-être laissé(e) leurrer, peut-être ai-je corrompu un équilibre en donnant trop ou pas assez.

Il se peut que je comprenne aussi que ce que j’aimais hier chez l’autre a changé. Tout a besoin d’équilibre. Si j’aime rester chez moi de temps à autre, je peux tout de même peiner avec un compagnon trop casanier ou qui n’aime pas partir en vacances par exemple.

Il se peut aussi qu’à partir d’un certain âge je comprenne que je ne recherche plus les mêmes choses dans une relation. La passion est épuisante moralement par exemple. C’est peut-être le moment de rester seul(e) et de me concentrer sur ma carrière, ma famille, un projet de voyage etc.

Et si je prenais cette rupture comme une leçon dans laquelle j’ai des choses à apprendre ? Ceci est une possibilité.

Ne pas aller dans la culpabilité

Avec la rupture, le film du passé peut ressurgir. Le passé étant derrière, la culpabilité n’aide pas à aller mieux. Comprendre que la culpabilité ne sert à rien sinon à se faire encore plus de mal est salutaire. La sophrologie permet de se reconnecter à son harmonie intérieure, à s’accepter tel qu’on est et à considérer cette rupture comme l’un des évènements de la vie.

Se recentrer sur ses besoins fondamentaux

Lors de ruptures amoureuses, je vois parfois des clients qui ne mangent plus, qui fument à outrance, qui pleurent beaucoup ou qui lâchent sur d’autres domaines (travail, famille…) Réapprendre à se détendre, à respirer, à normaliser la situation permet d’aller de l’avant. En matière de rupture, les exemples que nous en avons eus comptent. Avez-vous vu votre tante dans un état déplorable après une rupture amoureuse par exemple ? Ou est-ce que vous constatez que la rupture a permis à votre soeur de développer la meilleure version d’elle-même ? Ces évènements (qui nous arrivent à nous aussi aujourd’hui) influencent notre façon même d’envisager la rupture amoureuse ! Les exemples positifs ne manquent pas et même si chacun est unique, relativiser est une bonne chose. La reconnexion au souffle, au corps, à l’instant présent et l’ancrage sont des facilitateurs de changement et d’apaisement.

Vous vivez un divorce ou une rupture difficile et vous avez besoin d’être accompagné ? N’hésitez pas à consulter les différentes pages de ce site et à prendre rendez-vous pour une première séance.

Surmonter les petites blessures de la vie en étant aidé(e)

Ces petites ou grandes blessures qui gâchent la vie …

Beaucoup d’entre nous « portent » en eux des blessures qui leur gâchent la vie. En fait, c’est fort dommage car, bien souvent, après une séance de sophrologie ou de psychopratique qui aura permis au concerné ou à la concernée d’exprimer ses sentiments, ses ressentis et ses souffrances, on se rend compte qu’il a suffit d’évoquer ce qui fait mal pour aller mieux. L’aborder, oui mais avec un tiers afin de prendre du recul sur la situation vécue. Donner un angle nouveau à la situation peut même susciter de l’intérêt plus que du rejet. Bien-entendu la blessure demeure et demeurera pendant un temps mais une nouvelle dimension lui aura été donnée.

Changer sa vision des autres

Certaines personnes peuvent, par exemple, exprimer une colère envers un membre de leur famille, le critiquer, souhaiter qu’il soit « autrement ». Et pourtant, en travaillant un peu la notion d’Attente (ce qu’on attend de l’autre), on se rend compte que nous ne sommes pas non plus exactement comme l’autre souhaiterait qu’on soit… Ce simple raisonnement, mis en valeur à travers un exercice de visualisation sur le pouvoir de la tolérance, peut casser d’un seul coup les résistances au pardon. Ce n’est qu’un exemple. Pour le client avancer dans le pardon et la « bénédiction » de l’autre quels que soient ses travers plutôt que d’avancer dans l’adversité peut être un fort vecteur de motivation.

Se confier plutôt (et plus tôt) à un tiers professionnel

Une dispute qui « fait mal », une comparaison malheureuse, un « cœur » momentanément brisé, une nouvelle « difficile à digérer », une pression mal vécue au travail, une séparation… voici autant de situations qui viennent plomber des semaines, des mois ou des années de Confiance en soi. Pourtant parler, prendre du recul est une chose simple à faire lorsqu’on le fait avec un tiers bienveillant davantage qu’avec un proche. La non-implication du thérapeute dans la situation vécue, son regard détaché au bon sens du terme, permet d’apaiser les tensions morales et corporelles et d’aplanir le terrain pour un nouveau départ. Le thérapeute a appris à se distancier tout en demeurant dans l’empathie, ce qui n’est pas le cas des proches, souvent impliqués dans l’écueil rencontré…

Dire Stop ! aux cogitations

J’ai remarqué que mes clients qui atteignent le plus facilement leurs objectifs sont ceux qui me « délèguent » pleinement leurs écueils. Ils prennent l’habitude de venir non pas dès que quelque chose les tracassent mais à chaque fois qu’ils ont « trop cogité » seuls à une situation et qu’ils comprennent que le discours intérieur devient stérile. Pour eux, c’est comme « recharger ses batteries » avant de repartir pour 3 mois, 6 mois, 1 an. Il n’y a pas de réel « contrat » entre nous. Ceux-ci viennent lorsqu’ils en ressentent le besoin et parfois davantage pour des Techniques de Communication d’ailleurs que de la sophrologie.

A chacun sa méthode privilégiée…

Si vous souhaitez faire avancer une situation, n’hésitez pas à visiter les différentes possibilités offertes par ce site : sophrologie, relaxation, psychopratique, coaching et techniques de communication (parcours entreprise, parcours couple etc.)