Ces petites ou grandes blessures qui gâchent la vie …
Beaucoup d’entre nous « portent » en eux des blessures qui leur gâchent la vie. En fait, c’est fort dommage car, bien souvent, après une séance de sophrologie ou de psychopratique qui aura permis au concerné ou à la concernée d’exprimer ses sentiments, ses ressentis et ses souffrances, on se rend compte qu’il a suffit d’évoquer ce qui fait mal pour aller mieux. L’aborder, oui mais avec un tiers afin de prendre du recul sur la situation vécue. Donner un angle nouveau à la situation peut même susciter de l’intérêt plus que du rejet. Bien-entendu la blessure demeure et demeurera pendant un temps mais une nouvelle dimension lui aura été donnée.
Changer sa vision des autres
Certaines personnes peuvent, par exemple, exprimer une colère envers un membre de leur famille, le critiquer, souhaiter qu’il soit « autrement ». Et pourtant, en travaillant un peu la notion d’Attente (ce qu’on attend de l’autre), on se rend compte que nous ne sommes pas non plus exactement comme l’autre souhaiterait qu’on soit… Ce simple raisonnement, mis en valeur à travers un exercice de visualisation sur le pouvoir de la tolérance, peut casser d’un seul coup les résistances au pardon. Ce n’est qu’un exemple. Pour le client avancer dans le pardon et la « bénédiction » de l’autre quels que soient ses travers plutôt que d’avancer dans l’adversité peut être un fort vecteur de motivation.
Se confier plutôt (et plus tôt) à un tiers professionnel
Une dispute qui « fait mal », une comparaison malheureuse, un « cœur » momentanément brisé, une nouvelle « difficile à digérer », une pression mal vécue au travail, une séparation… voici autant de situations qui viennent plomber des semaines, des mois ou des années de Confiance en soi. Pourtant parler, prendre du recul est une chose simple à faire lorsqu’on le fait avec un tiers bienveillant davantage qu’avec un proche. La non-implication du thérapeute dans la situation vécue, son regard détaché au bon sens du terme, permet d’apaiser les tensions morales et corporelles et d’aplanir le terrain pour un nouveau départ. Le thérapeute a appris à se distancier tout en demeurant dans l’empathie, ce qui n’est pas le cas des proches, souvent impliqués dans l’écueil rencontré…
Dire Stop ! aux cogitations
J’ai remarqué que mes clients qui atteignent le plus facilement leurs objectifs sont ceux qui me « délèguent » pleinement leurs écueils. Ils prennent l’habitude de venir non pas dès que quelque chose les tracassent mais à chaque fois qu’ils ont « trop cogité » seuls à une situation et qu’ils comprennent que le discours intérieur devient stérile. Pour eux, c’est comme « recharger ses batteries » avant de repartir pour 3 mois, 6 mois, 1 an. Il n’y a pas de réel « contrat » entre nous. Ceux-ci viennent lorsqu’ils en ressentent le besoin et parfois davantage pour des Techniques de Communication d’ailleurs que de la sophrologie.
A chacun sa méthode privilégiée…
Si vous souhaitez faire avancer une situation, n’hésitez pas à visiter les différentes possibilités offertes par ce site : sophrologie, relaxation, psychopratique, coaching et techniques de communication (parcours entreprise, parcours couple etc.)