Ceux qui s’en sortent le mieux dans la vie moderne ont cette qualité insoupçonnée

Vous avez sûrement remarqué ces personnes qui semblent avancer sans effort apparent dans un monde où tout va trop vite et où le stress est omniprésent… Elles réussissent non seulement professionnellement, mais elles cultivent aussi un bien-être intérieur que beaucoup envient… Qu’est-ce qui les distingue vraiment des autres ? Ce n’est ni leur intelligence brute, ni leur chance, ni même leurs diplômes.

Ce qui fait la différence, ce sont des habitudes et des attitudes souvent invisibles : écouter les autres, prendre des décisions réfléchies, agir avec constance, et surtout, créer un lien profond avec le monde qui les entoure. Psychologues et experts en développement personnel s’accordent à dire que ces qualités permettent de traverser les difficultés avec résilience et de construire une vie pleine de sens.

Tony Robbins, célèbre coach américain, ne dit pas autre chose lorsqu’il affirme que « la véritable croissance personnelle ne vient pas de ce que vous obtenez, mais de ce que vous contribuez ». Jim Rohn, son mentor légendaire, rappelle que nos résultats dépendent largement de notre entourage et de la manière dont nous interagissons avec la société. Brian Tracy, motivateur canadien, insiste aussi sur l’importance de se concentrer sur le service aux autres pour atteindre un accomplissement durable…

Alors, quelle est cette qualité insoupçonnée qui transforme la vie de ceux qui semblent réussir tout en restant épanouis ? Il s’agit du sens profond de la citoyenneté. Cette capacité à se soucier activement du bien-être collectif, à respecter des valeurs communes et à participer pleinement à la vie de sa communauté apporte un avantage considérable sur le plan personnel.

Les recherches en psychologie montrent que les personnes qui cultivent cette valeur développent plus rapidement l’empathie, la patience et la capacité à gérer des situations complexes. Elles prennent des décisions plus réfléchies, se sentent plus connectées à leur environnement et à leurs pairs, et cultivent une résilience émotionnelle qui les protège face aux épreuves. En d’autres termes, elles acquièrent non seulement le succès matériel, mais aussi une sagesse pratique qui guide toute leur vie.

En fin de compte, ceux qui possèdent cette qualité insoupçonnée semblent mieux réussir et mieux vivre. La citoyenneté active n’est pas seulement un devoir civique : c’est un moteur puissant de développement personnel et de bonheur durable.

Sagesse au quotidien : La nourriture, les addictions

Je suis une des plus grandes admiratrices de feu Docteur Wayne W. Dyer. Son livre « Le Pouvoir de l’Intention, » lu il y a une quinzaine d’années, a profondément changé ma vie tant humainement que professionnellement ou encore « physiquement ». C’est grâce à lui que j’ai pris la pleine mesure de l’importance d’un équilibre total entre Corps et Esprit, l’un et l’autre étant indissociable à notre développement personnel.

Voici une nouvelle série d’articles dans laquelle je vous propose d’explorer rapidement une citation de Wayne W. Dyer de temps à autre.

« En réalité, il est beaucoup plus facile de ne pas fumer et de ne pas manger de chocolat que de le faire. C’est votre esprit qui vous convainc du contraire »

Wayne W. Dyer

Rester « vierge » de certaines addictions

Effectivement Wayne W. Dyer est dans le juste. Lorsque nous naissons puis que nous grandissons, nous sommes vierges de nombreuses expériences. Certains voient cette « virginité » en certains domaines comme des lacunes, alors que d’autres les considèrent comme des chances. Certaines jeunes filles se mettent, par exemple, à fumer, pour « faire comme les autres ». Cela leur demande des efforts (fumer n’est pas quelque chose d’agréable du tout lorsqu’on en a pas l’habitude : goût affreux dans la bouche, maux de tête, nausées…) et de l’argent. Ces efforts et cet argent sont employés à mauvais escient dans un acte contribuant à dégrader la santé et à « cataloguer » la jeunesse d’une certaine étiquette…

Il est en effet beaucoup plus simple de ne sortir ni argent, de ne déployer aucun effort, et de ne pas fumer. Cela permet en outre de conserver une certaine beauté physique (la cigarette étant aussi un pro-vieillissant). Rester chez soi et lire un livre est plus facile que de sortir, aller acheter un paquet de cigarette, fumer etc.

Il en va de même pour le chocolat. Pour en abuser il faut déjà sortir de chez soi, tirer de l’argent, aller l’acheter, le consommer (avec une conscience en berne, ce qui peut être culpabilisant). Il y a ensuite des effets sur la digestion, la santé, le poids, la ligne…

La « virginité » en certains domaines : malbouffe, cigarette, alcool, violence verbale etc. est bien préférable et plus simple à obtenir.

Le silence est parfois préférable aux joutes verbales

Pendant longtemps, lorsque j’étais jeune, c’était bien avant de devenir manager dans la communication puis thérapeute, je pensais qu’il était bon de « dire systématiquement » ce que je pensais. J’estimais que c’était un poids à porter pour moi de ne pas dire les choses, de les garder pour moi. J’étais donc parfois en « litige » avec des collègues ou des supérieurs. Finalement j’ai compris qu’il était plus facile de manoeuvrer dans le silence, de garder une certaine part des choses pour soi. Cela demandait moins de stratégies, moins de cogitations et créait moins de stress chez moi et chez mes autres.

Penser long terme

Je rencontre à l’heure actuelle des clients qui pensent qu’il est bon de dire leurs quatre vérités aux autres, au travail par exemple. Ils ont du mal à percevoir la paix que l’on peut ressentir à ne « pas tout dire » justement. Il en va de même pour les addictions alimentaires ou le tabac : s’attacher à en rester vierge est bien plus satisfaisant SUR LE LONG TERME.

Il s’agit, en fait, de trouver CE QUI VOUS PLAIRA PLUS que de manger des sucreries, du chocolat ou de trop manger en général.

Qu’est-ce qui fait « vibrer » plus que l’addiction ?

Avec mes clientes nous travaillons sur ce qui les fait vraiment vibrer, sur ce qu’elles aimeraient davantage pour leur corps que de manger. Par exemple certaines clientes me disent : « Faire un 36 ou un 38 et m’y tenir, pouvoir mettre un maillot de bain deux pièces et être à l’aise sur la plage pour une fois, ça ça n’a pas de prix ! « . Nous travaillons alors sur le plaisir du maillot de bain de petite taille ! ça peut paraître futile mais si cela génère derrière une vraie prise de conscience de son mode d’alimentation troublé, c’est bon à prendre !

Travailler sur ce qui vous fait du bien

En sophrologie nous travaillons sur ce qui vous fait du bien. Nous travaillons sur l’image jusqu’à ce qu’elle devienne réalité, qu’elle prenne sa place dans la vie réelle !

Oui il est plus simple cependant de ne jamais tomber dans la malbouffe ou la cigarette, que d’y tomber et de déployer argent et efforts conscients pour s’en sortir ! A bon entendeur…