Ne plus se laisser faire : le vrai réveil des femmes sensibles !

Il y a des femmes qui donnent tout. Elles écoutent, comprennent, s’adaptent, apaisent. Encore et encore. Elles portent le monde sur leurs épaules — le couple, la famille, les collègues, les amis, les ennemis (sans même s’en rendre compte…) — sans jamais oser dire que, parfois, elles sont fatiguées. Elles ont le cœur grand ouvert, mais elles le paient cher. On les interrompt, on leur parle mal, on profite de leur douceur, on dépasse leurs limites. Et elles, souvent, se taisent. Par peur du conflit. Par peur de décevoir. Par peur d’être “trop”. Et par peur de ne pas être « complète » sans ce sacrifice de soi absolu…

À mon cabinet, je constate souvent ce même scénario débridé, décliné en mille nuances : des femmes brillantes, aimantes, sensibles… mais qui ne se sentent nullement respectées. Elles m’expliquent qu’elles font tout pour les autres, qu’elles ne veulent pas passer pour égoïstes, qu’elles savent qu’elles devraient dire non mais qu’elles n’y arrivent pas. Derrière ces mots, il y a toujours la même blessure : celle de ne pas oser exister pleinement. Le souci de ne pas s’opposer. On leur a inculqué qu’elles n’étaient pas faites pour briller ni pour être satisfaites en totalité et, même si leurs parents ont disparu, elles perpétuent une forme de loyauté familiale à travers ce manège dévalorisant.

Être gentille, ce n’est pas le problème. C’est même une qualité précieuse. Mais quand la gentillesse devient une stratégie de survie, quand elle cache la peur du rejet ou du conflit, alors elle finit par faire souffrir. La vraie bonté ne consiste pas à tout accepter, mais à savoir dire “non” sans culpabilité. Le respect de soi n’enlève rien à la douceur, il la rend plus juste.

Je vois trop souvent des femmes qui se jugent “faibles” ou “trop sensibles”, alors qu’en réalité elles ont simplement développé une grande empathie. Elles sentent tout, devinent tout, anticipent tout. Mais cette empathie, si elle n’est pas accompagnée de limites, devient un piège : elle les vide de leur énergie essentielle !

Ce comportement ne vient pas de nulle part. Souvent, il s’est construit très tôt, dans l’enfance. On a appris à plaire, à être sage, à éviter les disputes, à ne pas faire de vagues. Et adulte, on continue à s’effacer pour maintenir la paix. Ce mode de fonctionnement devient automatique : on se tait, on s’adapte, on encaisse. Psychologiquement, cela s’appelle le manque d’affirmation de soi. C’est la difficulté à dire ce qu’on pense, ce qu’on veut, ce qu’on ressent.

Les conséquences sont nombreuses : relations déséquilibrées, sentiment d’être invisible, épuisement émotionnel, perte d’estime de soi. On vit avec une tension intérieure constante : vouloir plaire tout en rêvant d’être soi. Certaines finissent par exploser, d’autres par s’éteindre.

Mais quand une femme commence à s’affirmer, tout change. Au début, il y a la peur : “Si je dis non, on ne m’aimera plus.” Puis vient la surprise : “En fait, on me respecte davantage.” Et enfin, la libération : “Je me sens enfin moi.”

À mon cabinet, j’observe des transformations chaque semaine. Des femmes qui reprennent le contrôle de leur vie simplement parce qu’elles apprennent à se choisir. Elles cessent de demander la permission d’exister. Elles osent poser leurs limites, sans agressivité, mais avec calme et assurance. Et paradoxalement, leurs relations s’améliorent. On ne respecte jamais autant une personne que lorsqu’elle se respecte elle-même.

Apprendre à dire non, ce n’est pas blesser l’autre. C’est honorer sa propre vérité. C’est refuser ce qui épuise, pour mieux accueillir ce qui nourrit. Quand on se laisse tout faire, on s’efface peu à peu. Quand on commence à se respecter, on retrouve son énergie, sa clarté, sa joie de vivre. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de la santé psychologique.

Arrive un moment où la douleur de se nier devient plus forte que la peur de changer. C’est le moment du sursaut. Celui où l’on se dit : “Je ne veux plus subir. Je veux vivre. Pour de vrai.” C’est souvent à ce moment-là que les femmes viennent me voir. Elles ne veulent plus “juste aller mieux”. Elles veulent se transformer.

C’est précisément pour elles que j’ai créé le programme “Ne vous laissez plus faire !”, un accompagnement en profondeur que je propose à mon cabinet de sophrologie à Vichy. Ce programme est né d’une constatation : certaines femmes ont besoin d’un espace où elles peuvent enfin désapprendre la soumission, déconstruire leurs automatismes, retrouver leur voix intérieure. Pendant dix séances individuelles d’une heure trente, nous travaillons à trois niveaux : le mental, pour identifier les croyances qui maintiennent la peur de déplaire ; l’émotionnel, pour libérer la colère, la culpabilité et la honte d’avoir trop donné ; et le corps, pour se reconnecter à ses sensations, à son souffle et à sa puissance tranquille.

Ce parcours n’est pas confortable au sens où il bouscule. Mais il se fait sans violence, dans la bienveillance et la clarté. Il vous amène à vous regarder en face, à vous repositionner, à choisir enfin vous-même. Et quand cela arrive, tout change. Les femmes que j’accompagne me disent souvent : “Je ne pensais pas que j’avais ce courage en moi.”, “Je suis plus calme, mais plus ferme.”, “Je me sens libre.”

Ne plus se laisser faire, c’est une révolution intérieure. Pas spectaculaire, mais profonde. C’est le moment où l’on arrête d’attendre que les autres nous comprennent, parce qu’on se comprend enfin soi-même. Si ces mots résonnent, c’est que quelque chose en vous est prêt à changer. Vous savez déjà, au fond, que vous ne voulez plus de demi-mesure, plus de compromis qui vous abîment.

Alors si vous sentez cet élan, ce besoin de reprendre votre place, je vous invite à découvrir le programme que j’ai conçu pour vous : Ne vous laissez plus faire !

Quand l’intrusion commence : reconnaître, comprendre et agir face aux personnes intrusives

Il y a quelques jours, j’ai vécu une scène qui m’a laissée perplexe. J’avais ouvert ma porte – et donc une part de mon intimité – à une personne que je connaissais à peine. Une femme plus âgée que moi, croisée il y a quelques années lors d’une formation. Elle m’avait semblé équilibrée, sympathique, du genre de rencontres agréables qu’on garde dans un coin de sa mémoire.

Elle passait dans mon quartier, aperçoit ma plaque et se dit : « Tiens, si je sonnais, juste pour voir ? » Coup de hasard : j’étais chez moi. Je l’invite à prendre un thé au jardin, quelques biscuits, une conversation légère. Et puis… le ton change.

Très vite, ses yeux se posent sur ma maison : « Elle est grande, tu l’as héritée ? Tes parents font quoi dans la vie ? » Puis, soudain, cette phrase, lâchée comme une gifle :
« Tu devrais vendre tout ça, la propriété ne sert à rien ! »

Un malaise monte. Derrière ses questions, j’entends un jugement, derrière ses sourires, une pointe de jalousie. Et là, une pensée m’a traversée : vous connaissez cette légende ? « Si vous invitez un vampire chez vous, il franchit le seuil et prend place dans votre espace… » Eh bien, c’était exactement cette sensation !

Elle commence à me raconter sa vie, dans les moindres détails. De son enfance à aujourd’hui. Son parcours est intéressant, je dois le reconnaître : des années passées dans l’évènementiel, à travailler pour des agences de voyages, à parcourir le monde. Je l’écoute, curieuse.

Quand vient mon tour, je partage un souvenir d’enfance : mes nombreux étés passés aux États-Unis, grâce à un ami proche de mes parents installé à Charlotte. Je lui raconte les routes traversées, les paysages gravés en mémoire : la Californie, l’Utah, le Nevada, l’Arizona, les deux Caroline, le Mississippi, la Nouvelle-Orléans, le Tennessee… Une mosaïque de voyages, de rencontres, d’émotions.

Mais là, elle soupire. Son visage se crispe, comme si mon récit l’avait dérangée. Elle me coupe : « Ah non, moi ce n’était pas du tout ce genre de voyages… Moi, c’était le luxe, uniquement le luxe. »

Puis, brusquement, elle change de sujet. Elle me demande des détails sur mon mari. Comme je reste volontairement évasive, elle assène, presque avec jubilation :
« De toute façon, tous les mariages terminent par un divorce, non ? »
Je la regarde, stupéfaite. Non, je ne me sens pas concernée.

Et ce n’est pas fini. Elle s’en prend à mon fils aîné, qu’elle n’a jamais rencontré : « Il t’exploite, il te manipule, c’est évident ! » Sa véhémence me glace. Comment peut-elle juger ainsi, à l’aveugle ?

Alors la coupe est pleine. Je lui réponds fermement que je suis mère depuis vingt ans, que j’ai deux enfants, et que je me débrouille très bien sans ses conseils. Elle me fixe, avec un sourire dur :
« Ah oui, bien sûr… toi, avec ton certificat d’Harvard ! »

À cet instant, je me lève. Je lui annonce que je dois aller chercher mon fils à la gare, justement, et je la raccompagne vers la sortie. La porte se referme derrière elle.

Mais moi, je reste avec cette tension dans le corps. Une colère sourde, une énergie empoisonnée qui me poursuit toute la soirée. Comme si, en l’invitant chez moi, j’avais laissé entrer une tempête. Pour me détendre je médite pendant une heure puis je passe de la sauge (purement placebo, rires) là où elle est passée.

Ce type de rencontre illustre parfaitement le mécanisme de l’intrusion psychique : l’autre ne se contente pas de partager, il envahit. Derrière des questions ou des jugements apparemment anodins se cache une volonté d’imposer son cadre de référence, d’ébranler l’équilibre de l’autre pour se sentir supérieur. On parle ici d’une relation asymétrique, où l’espace vital et émotionnel n’est plus respecté. En sophrologie, on dirait que le schéma corporel est perturbé : le corps se crispe, la respiration se bloque, signe que la frontière intime a été franchie. Ces interactions laissent une empreinte négative durable, une “charge émotionnelle” qui continue de tourner en nous bien après le départ de la personne. C’est pour cela que reconnaître l’intrusion, puis réaffirmer sa limite, devient un acte de protection psychique indispensable.

Il existe une frontière subtile mais essentielle entre l’attention bienveillante et l’intrusion. Lorsqu’on se retrouve face à une personne intrusive, cette frontière est franchie dès que l’autre ne respecte plus notre espace psychique, émotionnel ou relationnel. L’intrusion ne se limite pas à poser trop de questions ; elle réside surtout dans une volonté implicite d’influencer, de contrôler ou de s’immiscer là où l’on n’a pas donné notre accord.

Pourquoi n’ose-t-on souvent rien dire ?

La psychologie sociale nous éclaire : nous avons un besoin profond d’appartenance et de reconnaissance. Refuser une intrusion peut être perçu (par soi-même) comme un rejet, une agression ou une perte potentielle de lien. En sophrologie, on dirait que notre schéma corporel est alors parasité par une tension contradictoire : nous sentons le malaise, mais nous restons figés par la peur du conflit, de la culpabilité ou de l’exclusion.

Le masque du sauveur et la légitimité sociale

Beaucoup de personnes intrusives avancent masquées. Elles se présentent comme des sauveurs :

  • La mère sacrificielle, qui justifie son intrusion par tout ce qu’elle a “donné” à ses enfants.
  • La personne âgée, dont le statut social protège de toute remise en question.
  • L’ami(e) qui se sacrifie pour les autres, et qui, par ce rôle, s’autorise à franchir les limites.
  • La mère célibataire courageuse, dont les difficultés deviennent parfois un “passe-droit” relationnel.

Sous couvert de bonté, de fragilité ou de générosité, ces figures justifient leurs excès et inversent la culpabilité : si vous les repoussez, c’est vous qui êtes perçu comme dur, ingrat ou insensible. Mais derrière ce masque se cache une réalité : l’intrusion est une prise de pouvoir déguisée.

Quand la limite ultime est franchie

La frontière la plus dangereuse est atteinte quand l’intrusion vise votre cercle intime : votre couple, vos enfants, vos amitiés profondes.
Là, l’équilibre systémique est menacé. En psychologie familiale, on parle d’une rupture des frontières du système : l’intrus tente d’influencer les liens fondateurs de votre identité et de votre sécurité affective.
En sophrologie, cela correspond à une atteinte directe au paysage intérieur : cet espace intime qui doit rester inviolable pour garantir votre stabilité émotionnelle.

Pourquoi la relation ne peut pas coller

Une relation intrusive est, par essence, asymétrique. Elle se nourrit d’une dynamique où l’un prend et l’autre subit. Tant que l’autre ne reconnaît pas vos limites, il n’y a pas d’espace possible pour une relation saine. Repousser l’inévitable séparation, c’est prolonger un déséquilibre permanent. Comme en sophrologie, où l’on préfère une respiration complète et libératrice plutôt qu’un souffle retenu, il vaut mieux couper net que de s’épuiser dans une lutte progressive.

Que faire : couper vite et bien

  1. Nommer clairement la limite : “Je ne souhaite pas parler de ce sujet” ou “Je préfère garder cela pour moi.”
  2. Utiliser l’ancrage corporel : avant la confrontation, pratiquer une respiration profonde, poser les pieds au sol, ressentir son axe intérieur. Cela donne de la force pour rester aligné.
  3. Ne pas négocier l’inacceptable : face à une intrusion répétée, inutile de multiplier les explications. Plus on justifie, plus on ouvre la porte à l’emprise.
  4. Choisir la coupure sans culpabilité : il ne s’agit pas de rejet cruel, mais d’un acte de protection psychique. En sophrologie, on parlerait d’un geste de recentrage : revenir à soi, préserver son espace vital.

Conclusion : L’intrusion commence là où votre espace intérieur est violé, là où votre respiration se contracte. Ne pas oser dire non, c’est laisser l’autre installer un rapport de pouvoir. Les personnes intrusives, même sous un masque de sauveur ou protégées par leur statut, s’inscrivent dans une dynamique malsaine. Et quand elles cherchent à influencer vos relations les plus proches, la seule issue saine est la coupure claire, rapide et assumée.

Ne plus se laisser faire et recadrer s’apprend. Parfois on n’imagine même pas, comme c’était le cas dans mon exemple, qu’une sympathique mamy puisse être intrusive tant elle semble se soucier sincèrement de vous. Mais avec de l’entraînement à l’intelligence émotionnelle, votre corps vous parlera vite. Et vous indiquera la marche à suivre pour vous sentir mieux (pour moi ça a été de la pousser vers la sortie !)

S’il vous semble difficile de vous faire respecté(e) et de recadrer les toxiques, nous pouvons travailler cela, en quelques séances, à mon cabinet vichyssois, grâce à la sophrologie.

L’art-thérapie par le modelage : entre expression et transformation au cœur de Vichy

Dans notre monde moderne, où le stress et les troubles émotionnels prennent une place croissante, l’art-thérapie peut tout à fait s’imposer comme une voie apaisante et créative afin de retrouver un équilibre profond. Parmi les nombreuses techniques utilisées en art-thérapie, le modelage de la terre tient une place particulière. Cette pratique, au carrefour de l’art et de la psychologie, invite les participants à façonner leurs émotions et leurs expériences intérieures pour les transformer en créations concrètes et tangibles.

Dans mon cabinet à Vichy, où je propose des séances d’art-thérapie adaptées à chacun, j’ai la chance de disposer d’un grand four professionnel pour cuire les créations de mes clients. Ils peuvent ainsi les ramener à la maison sans casse mais surtout plusieurs étapes différentes interviennent : le modelage, l’émaillage, la cuisson et la présentation personnelle écrite ou parlée de leurs oeuvres. Cette dimension supplémentaire de l’expérience permet d’ancrer encore plus profondément le processus thérapeutique : le passage de l’éphémère à l’intemporel, de l’idée à l’œuvre durable et reconnue.

L’art-thérapie : des bases solides pour des bénéfices multiples

L’art-thérapie repose sur l’idée que l’acte de créer favorise l’expression de soi, l’exploration personnelle et la gestion des émotions. En permettant aux individus d’externaliser leurs pensées et leurs sentiments à travers des moyens artistiques, cette approche ouvre un espace de transformation et de réconciliation avec soi-même. Parfois le processus dévoile des dons, révèle les potentiels cachés ou ignorés jusque-là !

Le modelage, en particulier, offre une connexion unique entre le corps et l’esprit. Le toucher de la terre agit comme un médiateur apaisant, stimulant à la fois la créativité et la relaxation. Le processus de façonnage sollicite des compétences motrices fines et mobilise une concentration active, tout en procurant un plaisir sensoriel immédiat. En travaillant la matière, les participants explorent symboliquement les thématiques du contrôle, du lâcher-prise et de la reconstruction.

Un accompagnement adapté à chacun, y compris aux adultes autistes

Certifiée en Autisme par AMA Campus et par l’université américaine Harvard, j’accorde une attention particulière aux adultes autistes dans mes accompagnements. L’art-thérapie, et plus spécifiquement le modelage, leur offre un espace où ils peuvent s’exprimer en dehors des limites imposées par les mots. La texture et la malléabilité de la terre deviennent des outils pour explorer leurs émotions et leur perception du monde, à leur propre rythme.

Chaque séance est adaptée aux besoins uniques de mes clients, avec pour objectif de créer un cadre sécurisant et stimulant. Dans ce contexte, le fait de cuire leurs créations leur permet de voir leurs idées et leurs efforts prendre forme de manière durable, renforçant ainsi leur confiance en eux et leur sentiment d’accomplissement.

Mon parcours : une expertise au service de votre bien-être

Avant de m’installer comme sophrologue et art-thérapeute à Vichy, j’ai eu l’occasion d’explorer les vertus de la céramique dans un cadre professionnel. Mon expérience comme intervenante en art à l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) m’a permis de mesurer l’impact profond de la création sur des publics variés, qu’il s’agisse de patients ou d’usagers en quête de mieux-être. Cette expertise vient enrichir mon approche thérapeutique, que je complète par des compétences en coaching et en sophrologie.

Les bienfaits du modelage dans une démarche thérapeutique

La pratique régulière de l’art-thérapie par le modelage offre de nombreux bénéfices :

  • Réduction du stress et de l’anxiété : Le contact avec la terre apaise le système nerveux et invite au calme.
  • Renforcement de la confiance en soi : Transformer une idée en une création tangible est une expérience valorisante.
  • Amélioration de la communication : Pour ceux qui ont des difficultés à s’exprimer verbalement, le modelage devient un langage alternatif.
  • Stimulation de la créativité : Explorer différentes formes et textures libère l’imagination.

Pourquoi choisir mon cabinet à Vichy ?

En tant que sophrologue, coach et art-thérapeute à Vichy, je vous accompagne dans un cadre bienveillant et personnalisé. Mon cabinet est équipé pour offrir une expérience complète, du modelage à la cuisson des œuvres. Je m’engage à mettre mon expertise au service de votre mieux-être, avec une approche alliant savoir-faire artistique, certifications reconnues et écoute attentive.

N’hésitez pas à me contacter pour découvrir comment l’art-thérapie peut transformer votre quotidien. Ensemble, nous façonnerons un chemin vers l’épanouissement et la sérénité.

Coaching : Les influences de l’enfance

Ces influences venues d’ailleurs …

Bon nombre de gens pensent agir au jour le jour, sur le moyen ou le long terme en fonction de « leur personnalité, de « leurs envies », de « leurs rêves » ou de « leurs objectifs ». Pourtant vient un temps où une sorte de désillusion s’empare de ces personnes qui jusqu’ici étaient si certains de la validité de leur rôle dans la société et de leur « mission »…

Cette prise de conscience et ce questionnement intérieur (« Aurais-je finalement raté ma vie » ; « Aurais-je dévié de mes désirs profonds ? » ; « Aurais-je changé sans m’en rendre compte au point de m’être perdu, de ne plus me reconnaître ? » etc.) arrive souvent à des tournants : 30 ans, 40 ans, 50 ans, parfois bien avant chez de jeunes gens possédant une grande maturité, souvent des anciens « enfants précoces »…

S’arrêter lorsqu’on est perdu plutôt que de errer …

Il y a quelques années je rencontrais, dans l’un des cours que j’animais, une jeune fille de 21 ans qui avait choisi de « prendre une année sabbatique » (pas de travail, plus d’études) afin de comprendre ce qu’elle avait envie de devenir. Elle ne se sentait plus à l’aise dans ses valeurs familiales, dans son petit emploi d’étudiante et encore moins à la fac. J’ai salué cette preuve de maturité énorme qui consiste, lorsqu’on se sent perdu(e), à s’arrêter plutôt qu’à errer sans fin sans savoir vers quel chemin se tourner.

Cette jeune fille qui se retrouvait à l’un de mes cours de relaxologie, avait essayé maintes activités : la danse butoh, le théâtre, des actions militantes pour l’environnement. Elle en était rendue au point où elle réalisait de plein fouet l’impact de toutes les influences qu’elle avait subie depuis sa naissance jusqu’à ses 21 ans. Elle ne souhaitait plus que ses actions soient tributaires des désirs, envies, motivations des autres mais elle peinait à trouver SON appel…

Le Grand mensonge …

Pourquoi ? Parce que dans notre société une forte croyance commune est répandue. Il s’agit d’un « grand mensonge » : cette idée même que la société et l’éducation reçue dans l’enfance, les conseils reçus à l’adolescence et encore dans la jeunesse n’influenceraient pas ce que nous sommes profondément. Il n’y a rien de plus faux !

La plupart des gens que je coache expliquent, à un moment donné du processus, avoir pensé que l’effet de ces influences était minimal. Ainsi beaucoup ne voulaient, avant l’issue favorable du coaching, croire qu’ils étaient (ou admettre qu’ils étaient) le fruit de croyances formées par d’autres personnes. Il est difficile de comprendre que certains rêves et souvenirs ne nous appartiennent pas…

La personnalité vraie

Penser que nous possédons, à la vingtaine, notre propre, notre vraie personnalité et qu’on ne peut rien y changer est une grossière erreur. Si nous prenons, comme la jeune fille citée précédemment, le temps de nous pencher sur ce que nous pensons réellement de nos actions passées, si nous abandonnons ce qui nous vient des autres (notamment les rêves que nous pensons nôtres mais qui ne le sont pas), alors nous nous sentons libérés de poids. Nous sommes plus aptes à nous diriger vers des actions congruentes, vers des choix de vie qui sont alignés avec notre personnalité vraie.

Ces strates de croyances non authentiques

Nous sommes composés de strates de croyances non authentiques et de rôles qui nous viennent des autres. Le travail du Coach  » Un sens à ma vie » est d’amener son clients à nettoyer ces strates inauthentiques, d’éliminer les rôles qu’il ne souhaite pas ou plus endosser. Éliminer ces strates de rôles est inconfortable. Inconfortable car au final ces routines et ces croyances sur nous-mêmes sont rassurantes. Si je pense que je n’ai jamais été doué(e) en maths, alors je m’autorise à confier la comptabilité à un autre. Accepter, après avoir repris quelques cours, que je suis doué(e) en mathématiques c’est reprendre le rôle de comptable occasionnel, c’est savoir que la responsabilité repose désormais sur moi. Ce n’est qu’un exemple bien-sûr…

Avoir une image forte et détaillée de ce qu’on souhaite devenir est la clé. C’est en créant une réalité différente que nous apprenons, tout au long du coaching, à cheminer vers ce que nous sommes profondément et à nous affranchir des influences de l’enfance.

La première séance de Psychopratique

La Psychopratique

Psychopraticien « tout court » n’est pas un « titre » mais désigne simplement celui ou celle qui exerce la « psychopratique », c’est à dire l’accompagnement de personnes en souffrance morale. Cet accompagnement s’effectue à l’aide d’outils préalablement définis (dans mon cas la libération émotionnelle par la parole, la libération émotionnelle par le jeu de rôle et la gestuelle, la thérapie cognitive). Le psychopraticien, s’il doit expliquer à son client de quelle façon va se dérouler l’accompagnement, possède souvent un bagage de formations bien fourni, en plus des techniques qu’il a choisi. Il s’installe souvent à un moment de sa vie où lui-même a suffisamment expérimenté la psychothérapie et où il lui semble avoir acquis une expérience poussée de l’humain. Pour exemple j’ai décidé de m’installer en tant que thérapeute il y a 10 ans après avoir longtemps géré de « l’humain » au travail (management dans la presse, la communication et l’édition) et avoir monté des ateliers de sophrologie et de relaxation en hôpital et pour des structures associatives.

Des méthodes et une expérience de l’humain avant tout

Même si j’accompagne la transition personnelle, professionnelle, sentimentale, familiale etc. par les 3 méthodes précitées, je suis également formée à La Dramatherapy, à l’accompagnement du stress post traumatique et du deuil compliqué, à la Sophrologie (avec la Psychopratique il s’agit de mon cursus « initial » de reconversion), à la psychologie du leadership, à l’alliance thérapeutique, à la psychologie transpersonnelle et à des méthodes de régénération de l’énergie… Ces méthodes « apportent » à ma vision et à mon travail au cabinet, me permettant de comprendre certains aspects de la psychologie humaines et des comportements humains mais aussi de trouver les bons outils de gestion du stress, par exemple, pour mes clients. La psychopratique c’est une rencontre avant tout. Le client et le thérapeute apprennent l’un de l’autre.

Des questions oui mais dans l’empathie et la chaleur

Certains clients redoutent la première séance de psychopratique (anamnèse) mais d’autres participent très activement et ont hâte de « savoir » comment nous allons travailler ensemble à leur problématique. La première séance, comme toutes les autres, est menée dans la confidentialité, dans un cadre sécurisé où l’alliance thérapeutique peut se développer au mieux, dans le calme et dans l’empathie. Il n’y a donc absolument aucune raison de stresser en y pensant.

Quantifier le bien-être 

J’ai tendance à dire que la thérapie commence, en fait, à partir du moment où le client me téléphone. A cet instant il est déjà apaisé et le travail sur soi commence vraiment ! Son bien-être est mesurable. A la question « A combien estimeriez-vous votre bien-être moral avant votre coup de fil ? » puis « A combien l’estimeriez-vous sur une échelle de 0 à 10, après » on constate que le niveau de bien-être a gagné entre 1 à 3 échelons. Pourtant rien ne s’est encore réellement passé.

Pas de sujets tabous et une libération par la parole

La première séance aborde votre problématique. Il n’y a aucun tabou. Tous les sujets peuvent être abordés sans crainte. Je suis tenue au secret professionnel et rien ne sort de mon bureau. En plus de votre problématique, la prise de contact s’effectue par une longue discussion chaleureuse rythmée par des questions classiques (comment évaluez-vous votre bien-être à la maison, en famille, au travail, quelles sont vos habitudes alimentaires, comment aimez-vous vous détendre, quelles sont vos qualités premières et les écueils que vous pouvez rencontrer etc.)

Formuler des objectifs dans une guidance bienveillante

A l’issue de ce premier entretien, je vous fais part de ce que j’ai pu ressentir et distinguer de votre personnalité et je vous offre des pistes pour solutionner votre problématique. Il ne s’agit pas pour moi d’évoquer simplement des « solutions » mais plutôt de vous proposer un programme personnalisé afin d’atteindre vos objectifs. Jamais je ne décide dans quel sens vous orienter. C’est vous seul qui prenez les décisions car oui vous en avez la capacité. Je ne pense pas non plus « à votre place ». Mon intervention n’est qu’une guidance bienveillante.

Ce programme qui vous est proposé peut inclure des exercices de communication, d’expression, des jeux de rôles, de la relaxation etc. en psychopratique il s’agit surtout de vous aider à prendre conscience de vos ressources intérieures, celles auxquelles vous n’avez peut-être pas pensé. Il est possible également de vous accompagner sur l’analyse et la suppression de vos croyances limitantes.

Un passage …

On n’est pas « lié » à vie à son psychopraticien ou à sa psychopraticienne. L’éthique veut que le thérapeute sache mettre fin à la thérapie au bon moment, celui où le client a atteint l’harmonie et l’équilibre moral escomptés, le moment où il est prêt. Je considère que je ne suis qu’une « passeuse » qui accompagne la transition. Ma présence n’est nécessaire qu’un temps: celui de progresser dans un deuil, de « digérer » une rupture, de prendre la bonne décision, de trouver sa « mission de vie » ou de prendre ses marques dans un environnement nouveau… Ainsi je suis amenée à rencontrer de nombreux clients et à gérer de nombreuses problématiques extrêmement variées. Pourtant, aucune de ces expériences ne peut être comparée à une autre. Aucune n’est semblable. Toutes sont absolument différentes même si certaines techniques d’apaisement (du stress, de la douleur morale etc.) s’avèrent efficaces sur certaines personnes.

De nouveaux objectifs tout le long du chemin

Parfois on se quitte « pour de bon ». D’autres fois le client revient quelques mois plus tard avec un objectif nouveau à atteindre. Certains utilisent mon expertise « étape par étape » : obtenir une vie sentimentale harmonieuse puis œuvrer pour une évolution professionnelle, asseoir leur confiance en eux etc. accompagner le changement de métier, de ville, de partenaire, de mission de vie…  Le principal étant que les séances soient « aidantes » et le client apaisé, satisfait, qu’il prenne conscience de ses capacités et de ressources intérieures.

Pourquoi devient-on thérapeute ?

Le chemin vers la thérapie comme profession s’impose rarement au futur thérapeute dans sa prime jeunesse

Le chemin vers la thérapie comme profession s’impose rarement au futur thérapeute dans sa prime jeunesse. Devenir « thérapeute » et aider les autres à s’accomplir ou tout simplement à « mieux vivre » leur quotidien coule rarement de source…

J’ai connu des étudiants en psychologie qui ont, après leurs études, décidé de faire toute  autre chose (commercial, designer et même éleveur de chevaux !) mais aussi beaucoup de personnes issues d’études commerciales ou de l’ingénierie qui, la pression de leur métier aidant, se sont reconverties dans le Bien-être puis dans la Thérapie à la quarantaine voire à la cinquantaine. Ce sont en général des individus fortement influencés par les techniques du Développement personnel et son univers (participation à de nombreux séminaires de motivation, apprentissage de techniques de régénération douces, reconnexion à la Nature, expérimentation du « Voyage intérieur » etc.) souvent par les techniques du coaching managérial.

Le bagage de vie est déterminant

J’ai envie de dire que – même si les études sont primordiales – c’est le vécu, ce que je nomme le « bagage » de vie qui façonne le thérapeute en devenir (celui qui prend le temps de faire un travail sur lui-même puis d’explorer différentes techniques jusqu’au coup de cœur crucial pour une ou deux méthodes en résonance avec sa personnalité).

Pour ma part, le choix de devenir thérapeute s’est imposé par étapes, mon cursus initial étant la Communication et le Management. J’ai, tour à tour, été gérante d’une agence conseil en communication, rédactrice en chef d’une publication nationale et éditrice. Mais après la naissance de mon premier enfant et un accouchement traumatisant (forte toxémie gravidique suivie de complications et d’une hémorragie qui a failli m’être fatale), ma vision de la vie et de ma « mission de vie » ont été chamboulées.

Je me suis rapprochée de l’univers de la santé et de la psychologie en devenant assistante de psychologues dans une association puis animatrice à l’hôpital Vaugirard, en service de fin de vie. Dirigée par une art-thérapeute j’ai pu y mettre en place mes premières séances de détente et de relaxation mais aussi de bien-être par les arts plastiques.

Après quelques années, un déménagement à la campagne m’a imposé de trouver un nouvel emploi. Je me suis formée, près de Montpellier, à la fabuleuse Technique Nadeau auprès de sa pionnière en France, Monique Filleau. L’envie de transmettre cette méthode douce de régénération a été à la base de ma création d’entreprise. J’ai enseigné (et je continue de le faire) la Technique Nadeau dans le 51, le 77 et le 03 à des particuliers mais aussi à des groupes associatifs.

Aller à la rencontre de problématiques en accord avec vos cursus et votre vécu

La naissance de mon second enfant a été un déclic. J’ai successivement suivi un cursus de Sophrologue-Relaxologue avant de m’engager dans une série de formation sur le Syndrome de Stress Post Traumatique (que j’avais moi-même subi pendant 7 ans environ suite à mon accouchement à haut risque), sur le Deuil et le Deuil compliqué. J’ai passé les 3 niveaux de certification, en juillet 2016, juillet 2017 et août 2018. J’ai été par la suite formée à la Dramatherapy (formation longue dont j’ai présenté le final assessment en anglais) et à la Thérapie cognitive.

Après un an et demi d’exercice dans la Marne, j’ai ouvert mon cabinet de Sophrologie à Vichy en juin 2018 avec une clientèle bien plus variée avec des problématiques collant davantage à mes formations (deuils, angoisses, fatigue, traumatismes…) J’ai parallèlement terminé ma formation continue de Psychopraticien avant d’être certifiée, en mars 2019. Titulaire d’un MBA « Outils de succès » et d’un certificat de « Psychologie du leadership », je suis allée aussi assez naturellement vers le Coaching Carrière.

Malgré une mère formée à la psychanalyse et un père fan de développement personnel, des parents psychanalysés dans les années 70 par un célèbre couple de thérapeutes exerçant à Paris, c’est absolument mon vécu et les rencontres que j’ai pu faire lors de mes voyages (Grèce, USA, Scandinavie) qui ont forgé mon goût pour la relation d’aide.

7 raisons pour lesquelles on se dirige vers la pratique d’une thérapie

1/ Parce qu’on réalise que beaucoup d’individus n’ont personne pour les conseiller ou vers qui se tourner lors de périodes de grande détresse ou d’angoisses majeures.

2/ Parce qu’il est intéressant de pouvoir aider quelqu’un à s’accomplir et qu’on apprend aussi de ses clients. La relation permet aux deux parties de grandir au fil du temps.

3/ Parce qu’on peut aider quelqu’un à réaliser ses projets et à répondre à son véritable appel.

4/ Parce que la sophrologie et la psychopratique sont des outils pour aider l’autre à se découvrir et à s’aimer tel qu’il est, à être en paix intérieure avec lui-même dans ses choix de vie et ses évolutions.

5/ En aidant une personne c’est toute une famille et un cercle de proches que l’on aide parfois par prolongation. Il est intéressant d’avoir un métier qui soit également « impactant » pour les autres et qui transmette des valeurs sociales riches, tout en favorisant des échanges « frais » et un dialogue sans cesse renouvelé.

6/ Lorsqu’on est soi-même passé par une situation compliquée et qu’on a su « dealer » avec cette dernière, c’est motivant de pouvoir éclairer son client et lui permettre de « sauter » les étapes pénibles et non nécessaires à son épanouissement. Faire profiter l’autre de son vécu, sans le lui imposer, en lui laissant le choix de prendre ou de laisser certains conseils contribue à une pratique valorisante.

7/ Avant tout parce qu’on se sent, grâce ou à cause de son parcours personnel, particulièrement empathique.

Que dire d’autre si ce n’est qu’on ne naît pas « thérapeute » mais qu’on le devient !