Les fondations du Développement Personnel : Surmonter les peurs et grandir !

Le développement personnel est un voyage passionnant et continu vers l’amélioration de soi. Il s’agit d’un processus par lequel on explore, apprend et évolue pour devenir la meilleure version de soi-même. Cependant, de nombreuses personnes se retrouvent coincées, incapables de progresser, principalement en raison de leurs peurs profondément enracinées. Dans cet article, nous allons explorer les trois principales peurs qui entravent souvent notre développement personnel, ainsi que les trois stratégies fondamentales pour grandir et évoluer.

1. Surmonter les peurs : Étape essentielle du Développement Personnel

La Peur de l’Échec : L’une des peurs les plus courantes qui entravent notre développement personnel est la peur de l’échec. Elle découle souvent de l’idée que l’échec est synonyme de honte, de perte de respect ou d’incapacité. Cette peur peut provenir de notre éducation, de la pression sociale ou de nos propres expériences passées d’échecs. Pour surmonter cette peur, il est essentiel de comprendre que l’échec n’est pas une fin en soi, mais plutôt une opportunité d’apprentissage. En acceptant l’échec comme une étape nécessaire vers le succès, on peut oser prendre des risques et apprendre de nos erreurs.

La Peur de l’Humiliation : La peur de l’humiliation est étroitement liée à la peur de l’échec. Elle découle de la crainte du jugement des autres et de la honte qui en découle. Cette peur peut nous empêcher de sortir de notre zone de confort et de réaliser notre potentiel. Il est important de se rappeler que les opinions des autres ne définissent pas notre valeur. En travaillant sur la confiance en soi et en développant une attitude plus résiliente, nous pouvons réduire la peur de l’humiliation et nous ouvrir à de nouvelles expériences. Certaines personnes écoutent tout ce que pensent les autres d’eux et diluent ainsi leur pouvoir. D’autres n’y accordent aucun intérêt et savent que cela serait une perte de temps, du coup elles se sentent libres et autonomes et volent vers leur destin sans entrave !

La Peur du Rejet : La peur du rejet est une autre barrière fréquente au développement personnel. Elle provient de notre besoin inné d’appartenance et de notre aversion pour le rejet social. Cette peur peut nous empêcher de poursuivre nos rêves et nos aspirations par crainte d’être exclus ou mal acceptés. Pour surmonter cette peur, il est essentiel de se rappeler que le rejet est inévitable dans la vie, mais il ne doit pas nous définir. En développant une attitude plus détachée vis-à-vis du rejet et en se concentrant sur nos propres valeurs et objectifs, nous pouvons surmonter cette peur et avancer dans notre développement personnel. On peut parfois se sentir rejeté dans notre propre univers ou dans notre famille. « Le membre de la famille isolé est habituellement celui qui devient éveillé » a dit l’acteur Jim Carrey !

2. Les Trois Voies de la Croissance Personnelle

Le développement personnel repose sur trois stratégies fondamentales pour grandir et évoluer :

Trouver ce qui fonctionne et le multiplier : L’une des premières étapes vers le développement personnel est d’identifier les aspects de votre vie qui fonctionnent bien. Que ce soit dans votre carrière, vos relations, ou votre santé, identifiez ce qui vous rend heureux et réussi. Ensuite, concentrez-vous sur l’amplification de ces éléments positifs pour améliorer votre vie globale. Pour exemple depuis 16 ans j’ai un régime alimentaire qui me convient bien : j’ai perdu il y a 16 ans presque 10 kilos jamais repris, depuis tout ce temps je suis tellement en forme que je fais du sport, de la rando, j’ai repris les grands voyages à travers le monde, mes cheveux et mes ongles poussent très vite etc. Je l’applique donc encore et toujours. Par ailleurs même si je viens du milieu de la communication et de la thérapie, tous les 3 à 4 ans, j’effectue une formation plus commerciale. A chaque fois ma clientèle est multipliée.

Trouver ce qui ne fonctionne pas et cesser de le faire : Pour évoluer, il est tout aussi crucial de reconnaître les habitudes, les comportements ou les schémas de pensée qui entravent votre progrès. Identifiez ce qui ne fonctionne pas dans votre vie et prenez des mesures pour éliminer ou modifier ces aspects négatifs. Cela peut nécessiter des ajustements difficiles, mais c’est un élément essentiel du développement personnel. Par exemple : lorsque je vois des anciens amis qui sont devenus très « m’as-tu-vu? » sur mes réseaux cela m’agace car je sais que le mode de vie qu’ils affichent est biaisé. Ils communiquent une image de papier glacé en omettant de communiquer sur leurs dysfonctionnements. Du coup je les ai exclus de mes réseaux et je ne suis plus agacée par leur vision superficielle de la vie. Ou encore : certaines personnes dans mon entourage sont des déclencheurs d’énervement, notamment les critiqueurs notoires. Je ne les fréquente plus que le temps d’un café ainsi j’ai plus de temps pour moi je suis plus zen. Lorsqu’une relation ne fonctionne pas, couper est souvent le moyen d’obtenir plus de liberté et d’apaisement !

Essayer de nouvelles choses : Enfin, le développement personnel implique de sortir de sa zone de confort. Essayez de nouvelles expériences, apprenez de nouvelles compétences, explorez de nouvelles méthodes et techniques. N’ayez pas peur de l’échec, de l’humiliation ou du rejet, car ce sont des opportunités d’apprentissage. En expérimentant constamment, vous découvrirez ce qui fonctionne le mieux pour vous et continuerez à évoluer. Exemple : même si je ne suis pas une scientifique, je fais parfois l’effort de lire un livre sur la physique quantique ou autre… Cela m’aide à mieux raisonner et à « tuer » la croyance limitante que j’ai développé (« Je ne suis pas une scientifique »).

En conclusion, le développement personnel est un voyage qui commence par la conquête de nos peurs profondes, telles que la peur de l’échec, de l’humiliation et du rejet. Une fois ces peurs surmontées, nous pouvons nous engager activement dans notre propre croissance en identifiant ce qui fonctionne, en éliminant ce qui ne fonctionne pas et en explorant de nouvelles possibilités. C’est un voyage continu, mais il offre la possibilité de devenir la meilleure version de nous-mêmes et d’atteindre notre plein potentiel. N’ayez pas peur de commencer ce voyage passionnant vers une vie plus épanouissante et enrichissante.

Principes de base pour surmonter une période éprouvante

Au cours de notre existence il est possible de connaître différentes périodes de transition, plus ou moins éprouvantes. Je pense par exemple aux déménagements, aux séparations, aux deuils, à la perte d’un emploi ou tout simplement au fait de devoir avancé « loin » des rêves que nous entretenions pour notre avenir lorsque nous étions plus jeunes. Parfois le simple décalage entre nos désirs profonds et la réalité telle que nous l’expérimentons peut déclencher chez nous une période de dépression ou une période de complexes cogitations. Si la remise en question fait partie de l’impermanence de toute existence, elle peut être compliquée à vivre… Face à ce type de période éprouvante, les gens font souvent une erreur classique, comme je l’ai expliqué dans mon livre « Voyage en Self-Love. Adopter l’Amour de Soi pour s’accomplir au quotidien ». Voyons ce qu’est cette erreur :

Première erreur que font ceux qui veulent se « soigner » eux-mêmes d’une période éprouvante : RECHERCHER LA SOLUTION A L’EXTERIEUR D’EUX-MÊMES …

C’est effectivement un grand classique : on se sent mal alors on va se payer un petit resto, allumer une cigarette, aller faire les boutiques, faire du sport ou travailler à outrance… Partir en vacances, en weekend et attendre que la magie opère… Hélas que se passe-t-il après cela ? Ce qui occupait nos pensées revient renforcé ! Une fois l’euphorie des vacances ou du petit verre de vin passée, une fois le paquet de cigarette fumée ou le dressing mieux rempli, notre problème (car c’est bien du nôtre qu’il s’agit même s’il inclus souvent une autre personne désignée comme responsable de notre malheur) revient !

Pour exemple cette cliente cherchant à fuir un manque d’amour d’elle-même qui décide de déménager sur les îles malgré les recommandations de tous les thérapeutes qu’elle a pu rencontrer (« le problème mérite d’être réglé avant de vous lancer dans une nouvelle vie ») et qui me téléphone 3 mois plus tard effondrée : le sable est trop blanc, la mer beaucoup trop turquoise et le problème, lui, demeure !

Un problème est toujours intérieur. Si vous perdez votre emploi alors bien-sûr il vous faudra en trouver un nouveau. Mais si la douleur du licenciement fait remonter à vous de petits deuils non résolus, c’est là-dessus qu’il faut travailler avant tout en donnant du sens à la perte pour s’en libérer une bonne fois pour toute !

Donc voici pour la première erreur que nous faisons presque tous face à un problème intérieur, existentiel ou moral : nous cherchons à le réparer avec un outil extérieur ! Or il faut réparer avec un outil intérieur (ancrage, méditation, thérapie, introspection).

Lorsque vous êtes confronté à un problème moral qui occupe une place importante dans votre esprit, il est essentiel de trouver des moyens de le gérer de manière saine et constructive surtout de l’intérieur ! Quelques conseils qui pourraient vous aider :

  1. Prenez du recul : Prenez le temps de vous éloigner du problème et de prendre du recul émotionnel. Cela peut vous permettre de voir la situation de manière plus objective et d’évaluer les différentes perspectives.
  2. Identifiez vos valeurs : Réfléchissez à vos valeurs fondamentales et à ce qui est important pour vous sur le plan moral. Cela vous aidera à évaluer le problème en fonction de vos propres principes et à déterminer la meilleure façon d’y faire face.
  3. Recherchez des informations et des perspectives : Faites des recherches et essayez de comprendre toutes les facettes du problème. Essayez d’obtenir différentes perspectives et opinions, ce qui peut vous aider à élargir votre compréhension et à prendre des décisions plus éclairées.
  4. Consultez des personnes de confiance : Parlez de votre problème à un thérapeute mais dans l’optique de comprendre son émotion plutôt que de l’éliminer comme on éliminerait un ennemi ! Il y a une leçon, une valeur de vie à en tirer !
  5. Évaluez les conséquences à long terme : Pensez aux conséquences à long terme de chaque option qui s’offre à vous. Considérez les impacts sur vous-même, sur les autres personnes concernées et sur votre bien-être général. Essayez de prendre une décision qui soit alignée avec vos valeurs et qui minimise les dommages potentiels.
  6. Faites preuve de compassion envers vous-même : La prise de décision morale peut être difficile et complexe. Soyez indulgent envers vous-même et comprenez que vous faites de votre mieux pour résoudre le problème de manière éthique. Acceptez que certaines situations puissent ne pas avoir de solution parfaite, mais recherchez celle qui vous semble la plus juste et éthique. Dites-vous parfois : « J’aurais pu faire mieux, mais j’aurais pu faire pire aussi ! Je ne m’en sors donc pas trop mal ! »
  7. Apprenez de l’expérience : Quelle que soit la décision que vous prenez, utilisez cette expérience comme une occasion d’apprentissage et de croissance personnelle. Réfléchissez aux leçons que vous avez tirées et utilisez-les pour guider vos actions et vos choix futurs ! Pour exemple une femme qui vit une rupture avec un homme casanier qui n’arrive plus à suivre ses activités, sorties, loisirs et ne répond pas à son envie grandissante d’évolution ne devrait se remettre en couple ensuite avec le même type d’homme mais rechercher un compagnon plus actif et prêt à participer à ses activités.

Souvenez-vous que lorsque votre Inconscient relâche un problème et lui permet de revenir vers votre conscient c’est qu’il considère que vous êtes suffisamment fort aujourd’hui pour le résoudre. Dans tous les cas, en situation de détresse, n’hésitez jamais à consulter un professionnel et à vous confier à un tiers !

Une session de deux heures pour comprendre et maîtriser vos peurs !

Depuis décembre 2022, je propose une session de 2 heures, au cabinet de Vichy, pour explorer, comprendre et désamorcer ses peurs. Il s’agit d’un programme personnalisé rapide et à fort impact qui porte immédiatement ses fruits. Vous repartez avec des outils pour continuer de maîtriser vos peurs et vos émotions de peur en toute autonomie. Il relève des techniques de communication, de la psychologie positive et de la thérapie cognitive.

Concrètement qu’est-ce que l’émotion de Peur ?

La peur est un simple message de votre être qui vous enjoint d’être prudent ou qui vous souffle que vous n’êtes « pas assez prêt » pour effectuer une tache donnée. Pour exemple, un étudiant craindra de se rendre à un examen s’il sait qu’il n’a pas assez révisé. Par contre, une femme qui croisera le regard d’un homme étrange, au style malsain, n’hésitera pas, elle, à changer de trottoir si elle a écouté son émotion. C’est alors un message de sécurité (« Prudence est mère de sûreté » en somme) qui lui est adressé. L’homme la met mal à l’aise, elle écoute donc son intuition et c’est légitime.

Mais parfois nos peurs sont tout à fait irrationnelles ! D’ailleurs le propre de la peur est de ne pas être tangible. Nous avons souvent peur de ce que nous ne connaissons pas. C’est la peur de l’inconnu. Dès que nous sortons de notre zone de confort il se peut, dès lors, que nous l’expérimentions. Lorsque je questionne des clients sur leurs peurs les plus profondes, leurs réponses sont bien souvent les mêmes. Il s’agit de :

-La peur de mourir

-La peur de perdre ses proches ou ses amis

-La peur de ne pas être « assez »

-La peur de l’avenir en général

-La peur de l’abandon

-La peur d’échouer

-La peur du changement

-La peur de la maladie

-La peur de vieillir

-Des phobies spécifiques comme prendre l’avion, ou l’ascenseur, la peur des araignées, des souris ou de certains animaux etc.

Chez les enfants la peur est souvent liée à l’inconnu, à l’invisible, à l’intangible… On peut donc relever chez eux des peurs liées au noir, à la mort, aux fantômes, à la maladie, au Covid et même la peut de voir Dieu, des saints ou… des extraterrestres !

Certaines des peurs que nous expérimentons ne nous appartiennent pas. Notre famille, nos ancêtres nous les transmettent. Savoir reconnaître ce qui ne nous ressemble pas est déjà un pas en avant ! Les peurs sont des illusions qui, hélas, nous limitent dans de nombreux domaines. La phobie de l’avion empêche de nombreuses personnes de voyager et de quitter leur ville. La peur du déménagement en empêche d’autres de suivre leur destin. Parfois même, la peur d’une opération ou de prendre des médicaments peut nous amener à tomber très malades ou à négliger notre santé.

Il y a en général une ou plusieurs peurs bien ancrées chez nous. Elles peuvent être conscientes, semi-conscientes ou absolument inconscientes. Nous pouvons, par exemple, ressentir la peur de nous accomplir, celle d’aller vers les autres, ou même celle de gagner de l’argent et d’être autonomes financièrement ! Nos peurs sont souvent liées à nos croyances et à l’amour de soi, celui que nous nous portons ou pas. Ainsi nous pouvons avoir peur d’aller vers les autres si nous pensons ne pas être doué en relations sociales. Souvent nous nous voyons comme ce que nous ne sommes pas ; une personne peu douée dans un certain domaine, une personne ne méritant pas de « recevoir » etc. Nos peurs profondes renforcent nos croyances limitantes. C’est pourquoi il est important de les clarifier et de les apaiser.

Je vous propose une séance de deux heures pour faire le point sur vos peurs profondes et apprendre à les gérer pour les dominer. Nos pensées sont le gouvernail de notre condition actuelle. Reprendre son pouvoir sur ses peurs et ses pensées limitantes est indispensable à celui qui souhaite harmonieusement évoluer.

Session « Comprendre et vaincre vos peurs ». 2 heures en cabinet sur Vichy, 120 euros. Programme d’actions personnalisé inclus.

Réécrire un évènement passé peut-il sauver notre présent ?

La sophrologie travaille sur le passé, le présent et l’avenir

La sophrologie propose de travailler sur le passé, sur le présent et sur l’avenir. C’est un outil formidable qui permet de se recentrer, de se détendre, de réveiller son potentiel intérieur et bien souvent de revoir son mode de vision des choses.

La visualisation créatrice, en dehors de tout exercice de sophrologie, est très efficace elle aussi si on sait comment la pratiquer, autrement dit comment communiquer avec son cerveau…

Penser positif ; un mode de vie !

La pensée positive, quant à elle, est un mode de vie à part entière qu’il convient d’utiliser à bon escient et d’une manière tout de même réaliste. Elle n’est en rien une méthode miracle d’autant plus que de la pratiquer quelques mois seulement ne suffira pas à se forger un mental de champion… Ce que bon nombre de thérapeutes omettent de vous dire. La pensée positive est un « mode » de pensée continu. Penser positif de temps en temps ne vous apportera pas beaucoup de satisfaction au final. Peut-être même aurez-vous la désagréable sensation de mentir aux autres en agissant comme une personne optimiste alors que vous ne l’êtes pas vraiment. Car la pensée positive occasionnelle agit un peu comme un régime « yoyo ». Il faut changer tout son mode d’alimentation à vie pour mincir et ne pas revenir en arrière. Il en va de même pour cette technique de bien-être…

Réécrire un court passage de sa vie

Il y a un outil que je considère comme très puissant. Il s’agit de la réécriture du scénario de vie. En fait il s’agit très rarement de réécrire toute une vie mais plutôt de détecter les éléments du passé qui font encore mal à l’heure actuelle où qui agissent comme des « bloqueurs » au quotidien.

J’ai commencé à étudier la réécriture du scénario de vie lors de ma formation de Coach en suppression des croyances limitantes. Mais rapidement j’ai constaté que la méthode préconisée renvoyait bien trop le client à son passé. Il y avait une partie du vécu qui était souvent très positive car pleine d’apprentissages. Mais ceci le client en était souvent inconscient. Tout réécrire était un travail énorme voire épuisant dont on ne voyait jamais la fin. Ce travail entraînait aussi une profusion d’opinions et d’avis personnels souvent inutiles et démoralisants et nous perdions beaucoup de temps. Les résultats n’arrivaient pas avant plusieurs semaines et n’étaient pas à la hauteur de l’énergie engagée par le client et le thérapeute, une véritable équipe mais qui a ses limites.

Ce blocage qu’il faut lever

Désormais nous trouvons avec le client, lors de la première anamnèse, le blocage principal qui parfois n’est pas lié à la raison pour laquelle le client consulte. Ensuite nous étudions les possibilités qui auraient pu advenir en mettant de côté l’issue réelle de l’écueil qui parfois date de dizaines d’années. Il ne s’agit pas de refaire l’histoire « avec des si » mais d’évaluer ce qui aurait pu se produire dans une version meilleure, dans une version pire et dans une version neutre.

Un scénario plus positif basé sur une perception différente de l’évènement voit le jour. Il est validé par le client et le thérapeute conjointement. Puis des consignes très précises sont données au client afin qu’il visualise une autre version de l’évènement.

Pourquoi cela agit-t-il positivement ?

Nous sommes des êtres physiques mais pas que. Nous sommes aussi esprit et énergie. Ainsi il nous est possible de booster cette énergie en vivant de belles expériences et en nous reposant physiquement et mentalement ou de lui nuire en ruminant de sombres pensées, en n’effectuant pas assez de sport, en restant inactif etc.

L’évènement demeure mais sa perception change

Lorsqu’on a le courage d’explorer à fond un écueil passé, d’en parler, de le revivre différemment la démarche paraît négative mais elle est en fait constructive. Lorsqu’une expérience est vécue avec nos 5 sens alors le cerveau l’assimile comme une bonne, une mauvaise ou une neutre expérience. Recréer un évènement en restant sur les sens et en répétant encore et encore la visualisation va « changer le message ». Bien-entendu l’évènement qui vous a tant déplu ou blessé demeurera ce qu’il est. Par contre la perception qu’en aura votre cerveau changera. Un déblocage qui entre dans l’ordre des choses pourra alors avoir lieu.

C’est bien l’émotion qu’on répare

Il est bien possible de « réparer » l’émotion liée à une histoire nuisible afin de rejoindre le point d’évolution où on en serait si les choses s’étaient, à l’époque, passées différemment ! Il ne s’agit pas de se mentir mais bien de changer dans le cerveau l’émotion et donc la perception de cet évènement passé.

Cet exercice doit être mené dans certaines conditions invariables et jusqu’à ce que le client ne ressente plus d’animosité par rapport au dit évènement (mettons de côté les deuils et les évènements traumatisants qui ne peuvent en aucun cas entrer dans cette méthode). C’est généralement le stade auquel le client ressentira des changements dans sa vie.

Le scénario pourra alors progresser ou s’arrêter.