L’importance d’avancer dans la confiance

Griller les étapes…

Beaucoup de personnes sont pressées (d’atteindre leurs objectifs, de finaliser leurs projets, d’évoluer, de se construire une vie idéale, de rencontrer l’âme-soeur etc.) et avancent donc dans la vie avec une bonne dose de stress, de pression et d’angoisse. Cette façon d’avancer vers son destin, si elle présente certains avantages (aller très vite en tout, « griller » des étapes) n’est pas la meilleure qu’il soit.

Perte du rythme personnel

En effet, en allant très vite, on avance bien souvent dans une forme d’incertitude angoissante et dans une posture incertaine. Bien-entendu à notre époque tout semble s’accélérer et il devient complexe de « garder son propre rythme »… Les réseaux sociaux, le web, ont des avantages mais viennent cristalliser ce manque de temps (voir cette vidéo). Plus on se perd sur la toile, plus le temps file et moins on est connecté à la réalité.

Reconnexion à la mission de vie

Si « grimper les échelons à toute vitesse » est tendance, c’est aussi un fort moyen de se déraciner de ce que nous sommes réellement : des êtres spirituels dans des corps humains pour qui trouver leur appel, leur « mission de vie » et prendre le temps d’en profiter, dans l’épanouissement personnel, est impératif. Chose que beaucoup zappent, désireux d’aller plus vite vers un but paraissant à première vue gratifiant : plus d’argent, plus de temps, plus de voyages etc.

Ces gens « perdus »…

Au cabinet, je reçois souvent des personnes en souffrance morale car déconnectées depuis leur premier emploi de ce qu’elles sont réellement. Ces personnes se disent « perdues », elles ne savent plus réellement ni ce qui les anime, ni ce qu’elles sont profondément. Elles avancent donc dans la crainte de l’avenir, la gorge serrée, la peur au ventre, pressées de toutes parts d’aller plus vite, d’en faire plus etc. Ces personnes-là n’ont que peu de conscience du fait que d’avancer vite c’est aussi vieillir vite, ne pas profiter de l’instant présent.

Quels sont vos vrais rêves ?

En sophrologie comme en psychopratique, j’apprends à mes clients à atteindre leurs objectifs plus lentement mais plus profondément afin d’en tirer une réelle satisfaction. Je leur apprends aussi à renouer avec leur vraie personnalité profonde et à se remémorer leurs rêves, les vrais (ex: « devenir comptable comme mon père » n’est pas un rêve à proprement dit… par contre dire qu’on a toujours rêvé de visiter Lake Louise au Canada mais qu’on ne s’est jamais accordé le droit de concrétiser cette envie bien ancrée depuis la jeunesse est un point à considérer, ce n’est qu’un exemple parmi d’autres bien-sûr).

La Confiance en général

Partout où l’homme est malheureux de ne pas vraiment « vivre » ses rêves les plus profonds et anciens, on remarque une véritable déconnexion de la Confiance en général. Je ne parle pas uniquement de « confiance en soi » (qui se travaille assez facilement en Coaching en suppression des croyances limitantes) mais bien de la Confiance en ce monde qui nous entoure et dont nous faisons partie.

La Confiance, cet émulateur de succès

Cultiver le sens de la Confiance est un émulateur de succès, de réussite. Reconnaître que nous ne sommes ni ce que nous possédons, ni ce que nous faisons permet d’avancer de plus en plus sereinement vers nos objectifs qu’ils soient personnels ou professionnels.

La sophrologie est un outil formidable et efficace pour apprendre à « penser en confiance « et à aller sereinement vers ce qui nous attend, non pas « au tournant » mais sur le chemin de la vie, de notre vie.

Qu’est ce qu’un psychopraticien ?

Depuis la réglementation du métier de Psychothérapeute est apparu un nouveau terme, celui de Psychopraticien / Psychopraticienne (certaines écoles qui forment au métier écrivent aussi « Praticien en psychothérapies » ou « Praticien de psychothérapies ». Pourtant beaucoup de clients se posent la question de savoir ce qu’est concrètement un Psychopraticien.

Accompagner la souffrance morale

Le psychopraticien n’est absolument pas un psychologue (qui est D.E c’est à dire Diplômé d’Etat) ni un psychothérapeute. C’est tout simplement un professionnel installé (avec un numéro de SIRET) qui a souhaité (ou non) rejoindre une Chambre ou un Syndicat quelconque, et qui exerce la Psychopratique. La psychopratique est l’accompagnement d’une personne en souffrance (morale) ou en état de mal-être moral. La souffrance morale s’accompagne par diverses méthodes.

Aider à aller vers l’harmonie intérieure

Je suis avant tout Sophrologue, c’est vraiment ma formation initiale, celle sur laquelle j’ai beaucoup capitalisé avec des échanges, une supervision, des conférences, des formations certifiantes, des ateliers etc. et je suis également Psychopraticienne puisque c’est une demande qui m’était souvent faite et que la parole prenait beaucoup de place après les séances de sophrologie. Je me suis donc formée auprès d’un organisme de formation dit « international ». Il faut savoir qu’en France ces certificats s’ils attestent d’une formation (un volume horaire est souvent fourni) ne sont absolument pas reconnus. C’est pourquoi le psychopraticien, à moins d’être affilié à certaines organisations, exerce « hors cadre réglementé ». Si cette mention peut repousser certains clients, elles peut aussi en attirer d’autres. C’est donc au final l’efficacité fournie par ce professionnel qui compte pour le client. Et bien-entendu le fait que la relation fonctionne ou pas.

Concrètement le psychopraticien aide les personnes en détresse morale à être et à avancer dans la sérénité et la paix avec leur propre « intériorité ».

Le psychopraticien se forme souvent selon ses attirances initiales où lorsqu’il juge une méthode (ex: la thérapie cognitive) efficace ou lorsqu’il se sent « en affinité » avec elle.

Un vécu qui compte

La formation est un atout supplémentaire mais bien-entendu c’est le bagage de vie, le vécu, du thérapeute qui lui permet de dire, à un moment de sa vie, qu’il a suffisamment travaillé sur lui (même s’il continue constamment ou en tout cas qu’il devrait le faire) pour proposer son aide à des particuliers. Parfois son travail précédent ou son parcours lui ont permis d’acquérir le sens de l’écoute active, une empathie sérieuse, des capacités pour mener un dialogue cadré en utilisant des outils précis. Il a appris à cadrer ses communications verbales. Savoir instaurer un espace thérapeutique sécurisé, se remettre en question, aller consulter un superviseur lorsque cela lui paraît nécessaire sont autant d’opportunités lui permettant de comprendre ses clients tout en apprenant d’eux. C’est un double mouvement et une rencontre avant tout.

Une vision « à filtres »

C’est souvent à un « tournant » de vie qu’on s’installe, après un travail profond sur soi accompagné mais aussi personnel. La propre progression du thérapeute lui permet d’engager son client sur la voie d’un développement de personnalité. Les épreuves de la vie ont permis au psychopraticien d’ajouter des filtres à sa vision. S’il a expérimenté lui-même le deuil compliqué ou le stress post traumatique il lui sera plus aisé de comprendre le client qui passe actuellement par ce chemin. S’il vient, par exemple, du milieu artistique, il sera capable de bien comprendre des artistes qui traversent une crise personnelle ou professionnelle.

Des méthodes définies

Le psychopraticien propose des méthodes clairement définies qui ne peuvent se situer « à mi-chemin » entre deux puisqu’il doit les nommer et expliquer à son client en quoi elles consistent et en quoi elles pourront l’aider. Le choix de ces méthodes s’avère cependant très personnel. En fonction des épreuves par lequel il est lui-même passé, le psychopraticien a pu se sentir en accord avec une méthode, l’étudier, la comprendre jusqu’à la pratiquer amplement à son avantage dans sa propre vie personnelle, à travers les propres écueils qu’il peut lui-même rencontrer (être thérapeute ne signifie pas qu’on a aucun problème mais plutôt que l’on a appris à réagir, face à eux, de façon adéquate et avec recul).

Une nécessaire résonance

C’est donc la relation de confiance que le psychopraticien saura instaurer avec son client qui servira de support à l’évolution de ce denier. La résonance entre eux deux doit être présente ou intervenir assez rapidement. Le client expérimentera ainsi une relation collaborative et corrective aidante. Le client, par ailleurs, dès la première séance dévoile souvent un « échantillon » de ses comportements habituels. C’est au psychopraticien de les entendre.

Choisir son thérapeute c’est aussi faire confiance à son ressenti. D’autre part le thérapeute doit pouvoir considérer son client dans son vécu et son entièreté. Chaque client est unique. Chaque client est un être précieux qui possède en lui un potentiel dont il peut tirer partie. Sa force et ses ressources sont intérieures, ancrées en lui, le psychopraticien va les réveiller, les nommer, leur donner du sens en guidant son client pas à pas vers de nécessaires et sains changements.

Développer le potentiel par des méthodes-outils

Au cabinet, en psychopratique, j’allie un travail sur l’Inconscient et un travail sur les Croyances dysfonctionnelles. Afin d’éveiller et de développer le potentiel unique de chaque client j’ai choisi d’utiliser l’une de ces méthodes :

  • La Thérapie par la parole
  • La Thérapie cognitive, par laquelle le client pourra acquérir la faculté de se décentrer puis de se dissocier de ses pensées automatiques
  • La libération émotionnelle par le jeu de rôle et la gestuelle

Ayant travaillé sur une méthode d’expression gestuelle unique avec des danseurs de tout âge (de 3 ans à 40 ans et plus) pendant plusieurs années, la gestuelle est l’une des méthodes qui s’est imposée à moi. J’ai aussi obtenu en Angleterre un certifiat de « Dramatherapy ». Cependant j’ai, dès le début de ma formation de psychopraticienne, développé une attirance pour la thérapie par la parole ainsi que la thérapie cognitive. C’est pourquoi je propose aujourd’hui ces trois méthodes à mes clients, en accord mutuel.

Je vous invite à me contacter directement pour en savoir plus.

La thérapie comportementale : qu’est-ce que c’est ? Comment ça fonctionne ?

La thérapie comportementale est née en réaction à la psychanalyse. Elle se veut ancrée sur le terrain et le concret dans son mode de fonctionnement. Les thérapies comportementales recouvrent différentes méthodes visant à modifier de façon directe les facteurs à l’origine des troubles comportementaux. Elles s’attachent à modifier ou à changer les points qui agissent négativement sur le mental du client.

Dans une approche comportementale, le thérapeute est plus directif puisqu’il propose à son client un panel d’exercices visant à apporter une correction à certains comportements dysfonctionnels comme c’est le cas dans le Coaching en Suppression des croyances limitantes.

La psychanalyse, pour simple exemple, utilisera la parole pour cibler l’origine inconsciente d’un problème évoqué par le client. Au contraire la thérapie comportementale n’utilisera la parole que comme source complémentaire de connaissance et de savoir sur l’expérience négative (ou traumatisante) qui a engendré des maux comportementaux chez le client.

La thérapie comportementale considère que puisque le problème rencontré par le client se situe dans le quotidien, c’est aussi là que le changement devra opérer.

Le postulat d’origine de la thérapie cognitive est le suivant : on considère que « Tout comportement a une fonction ». Oui un comportement dysfonctionnel a sa légitimité. Il y a une raison au fait qu’il prenne place dans le quotidien du client.

Le thérapeute va « donner du sens » à un comportement problématique en vue de le remplacer ou de l’éliminer. Le plus souvent lorsque le client est éclairé sur le pourquoi d’un comportement problématique, il reprend le contrôle sur la réponse à lui apporter.

Si l’évitement de facteurs déclenchant un comportement problématique peut soulager momentanément le client, l’angoisse peut aussi en être renforcée. Par contre, l’explication claire de la genèse d’un comportement problématique permet vraiment de diminuer la culpabilité et d’avancer plus sereinement dans l’avenir.

Le comportement est toujours le fruit d’un apprentissage (association de stimuli) c’est pourquoi le thérapeute, dans la thérapie comportementale, travaillera à la mise en place d’associations nouvelles chez son client.

La thérapie comportementale repose, après évaluation, sur la mise en place d’objectifs raisonnables, spécifiques, atteignables et nécessairement mesurables. Le thérapeute confie à son client un travail, une tâche à réaliser en pensant fermement qu’elle peut être une réussite qui apportera une correction (ex : quelqu’un qui panique lorsqu’il doit prendre la parole sur scène sera encouragé à le faire au début avec un auditoire restreint, dans un lieu sécurisant et avec un public plutôt bienveillant. Si l’expérience est réussie elle viendra corriger légèrement la peur liée à la montée sur podium et à la prise de parole. Les objectifs s’amplifieront graduellement jusqu’à ce que le client réalise par lui-même qu’il n’est pas si mauvais à ce jeu au final).

Certaines contraintes existent cependant : il faut tout d’abord que le client soit prêt à réaliser concrètement les challenges proposés par son thérapeute. En parler sans jamais les mettre en pratique ne fait que renforcer l’idée que pour le client qu’il n’est « pas capable ». Aussi le thérapeute doit-il ressentir les résistances de son client. Rappelons que beaucoup de gens vivent avec leurs problématiques dysfonctionnelles sans réellement souhaiter les éliminer. Le thérapeute engage son client sur la voie du changement mais il ne possède pas de « baguette magique ». Le travail sur soi demande un engagement du client. Sans cela la thérapie ne resterait qu’au stade de l’observation comportementale directe. Les stratégies et exercices fondés sur l’exposition au facteur problématique, par exemple, ne peuvent s’effectuer qu’avec le plein engagement et la pleine compréhension du client.

 

Les bonnes raisons que l’on se trouve pour ne pas travailler sur Soi

Vous aimeriez évoluer, changer de vie, changer de mentalité, mordre la vie à pleines dents comme le font, peut-être, certains de vos amis ? Vous admirez les gens qui ont le courage, malgré les épreuves de se rapprocher de leurs rêves et de leur style de vie idéal ? Vous savez consciemment que la concrétisation de vos rêves ou de vos objectifs majeurs passe par l’introspection, l’évolution et le travail sur Soi ? Pourtant vous n’arrivez jamais à passer à l’action ? En guise d’excuses à vous-même et parfois pour justifier ce manque d’ambition auprès de votre entourage, vous évoquez des soucis liés à : l’argent, votre âge, votre santé, le manque de temps ? Si vous vous reconnaissez dans ces formes de résistance, regardez la vidéo ci-dessous !

https://www.youtube.com/watch?v=GbYx1UnIYiI

Vidéo de présentation : Sophrologie, Psychopratique, Coaching en suppression des croyances limitantes, à Vichy

Belle année 2020 à tous !

Pour ceux qui ne me connaissent pas encore et qui ne connaissent pas non plus mes services, voici une vidéo évoquant mes différents outils de travail à savoir :

  • La Sophrologie
  • La Psychopratique
  • Le Coaching en Suppression des Croyances limitantes
  • La Technique Nadeau
  • Un soin énergétique inédit

N’hésitez pas à me téléphoner ou à m’écrire pour obtenir de plus amples informations.

Maintenir l’estime de Soi du client dans une thérapie

A travers cette courte vidéo j’aborde mes techniques de travail et les critères que je respecte lors des séances de sophrologie et de psychopratique pour maintenir et développer l’Estime de soi du client. C’est un point important qui permet notamment de développer un côté positif dans les séances et qui permet d’apaiser les tensions et les questionnements. Maintenir l’Estime de soi est, en outre, à la base de tout travail de développement personnel. Ces vidéos sont tournées spontanément sans matériel sophistiquées et sont donc bien-entendu perfectibles. Mon but ici n’est pas de perdre du temps en montage mais juste de vous permettre de mieux me connaître si vous souhaitez engager une thérapie à mon cabinet. Bon visionnage !

 

Crise du couple, choix amoureux, en parler pour mieux les comprendre

La crise du couple constitue à la fois une période et un écueil auxquels se confrontent bon nombre de couples, de tout âge. Elle peut se déclencher au bout de quelques années de vie commune, mais parfois aussi – lorsque tout est allé très vite dans les débuts – assez rapidement de l’ordre de 6 à 12 mois… Certains couples adultes peuvent ainsi expérimenter cette crise après quelques mois ou quelques années de vie commune. Elle se caractérise par un manque de communication, une routine bien installée, une baisse de l’intimité et de la libido et parfois un profond questionnement sur la suite à donner à la relation. Le couple semble « s’endormir sur ses lauriers », stagner et ne plus partager l’étincelle originelle… Voici une vidéo qui vous donnera quelques pistes pour mieux comprendre cette période délicate qui peut cependant être surmontée par la sophrologie ou des séances de psychopratique.

Psychopratique et Sophrologie, ces 6 valeurs incontournables à la réussite de la thérapie

Connaître son métier, ses valeurs, posséder ses propres techniques et savoir les appliquer au cas par cas dans un cadre donné et sécurisé c’est déjà assurer une bonne part de réussite à la thérapie. Au fil de ma pratique et des formations que j’ai pu suivre, j’ai relevé 6 valeurs incontournables à retrouver dans la thérapie pour une efficacité optimale. Je vous en parle dans cette vidéo tournée très simplement dans mon cabinet.

Astuces pour augmenter la confiance en soi

La confiance en soi se gagne et se renforce à travers nos expériences positives. A l’inverse certains événements ponctuels ou récurrents peuvent nous la faire perdre momentanément ou sur le plus long terme.

En sophrologie comme en coaching, le but est de redonner confiance au client, confiance en ses capacités, en faisant émerger sa faculté à rebondir et en lui proposant des expériences correctives aptes à remonter l’estime de soi.

En consulting Leadership, le simple fait de revaloriser un cursus, une histoire, un vécu et de chercher avec le client des passerelles lui permettant de s’épanouir en tant que travailleur inspiré et inspirant suffit souvent à restaurer une confiance en soi perdue au fil des écueils, Statut et Confiance étant liés.

Mais sans effectuer un long travail sur soi il est possible, par quelques astuces (relevant du comportemental) de booster sa confiance en soi.

La posture physique

Souvent, les personnes qui n’ont pas confiance en elles, n’emplissent pas l’espace de leur présence. Elles se sentent gênées face au regard de l’autre, s’excusant presque d’être là sans jamais oser « prendre » place. Si elles osent prendre place dans un lieu ou se mettre en avant cela leur demande beaucoup d’efforts, elles doivent « prendre sur elles » pour ne pas laisser leurs gestes et leurs émotions trahir leur inconfort.

S’habituer à marcher la tête haute, en regardant droit devant soi, sans chercher le regard ou l’approbation des autres, sans se sentir « juger », exercer son simple « droit à être là » à cet instant est une habitude à prendre. Elle se renforcera de jour en jour jusqu’à devenir naturelle.

L’apparence

La personne qui n’a pas confiance en elle n’ose souvent pas devenir la meilleure version d’elle-même. Elle peut admirer des mentors, des personnes inspirantes pour leur style, leur attitude, leur mental, leur posture, sans toutefois s’accorder de faire la même chose. Bien-entendu il ne s’agit pas de « copier » la personnalité de l’autre, mais simplement de s’autoriser soi-même à transmettre une image plus proche de ce qu’on souhaiterait vraiment être. Avoir un style propre, sobre, de qualité et se forcer à être physiquement présentable et plus si possible permet de gagner la confiance des employeurs et d’éventuels collaborateurs.

A l’inverse un style brouillon, peu étudié, un physique négligé ou des vêtements de petite qualité ou « voyants » et mal assortis peuvent classer directement dans la catégorie des personnes « peu fiables ». Montrer que l’on maîtrise son corps, son esprit, sa personnalité et qu’on est à l’aise avec soi-même démontre un certain équilibre. Et l’équilibre est une valeur très recherchée à notre époque…

Gérer la pression

Lorsqu’on agit « à chaud » et dans l’urgence, professionnellement ou personnellement parlant, on s’expose à des erreurs et à une marche de manœuvre restreinte. Même si ce ne sont que « de petites erreurs » auxquelles nous nous confrontons, elles viennent renforcer le manque de confiance en soi ou miner la confiance existant déjà. Apprendre à agir calmement, à s’isoler et à prendre du temps pour soi avant toute prise de décision aidera celui qui manque de confiance en soi à retrouver une posture positive, plus solide, dans laquelle il pourra s’appuyer sur ses valeurs et ses qualités mais aussi sur ses croyances portantes. Savoir communiquer clairement, apprendre à respirer pour éliminer les tensions nerveuses permet, entre autre, de gagner en expériences positives donc en confiance en soi. La maîtrise de soi est également une valeur recherchée sur le marché de l’emploi.

Gérer les critiques

En ce domaine, la personne qui manque de confiance en elle doit être très vigilante… Des remarques gratuites et dévalorisantes vont la conforter dans son statut de « personne qui n’a pas confiance en elle » (qui, quelque part, n’est pas « complète » donc). Une des règles de base est d’éviter les gens pessimistes et négatifs et les critiqueurs notoires (qui d’ailleurs peuvent, eux aussi, manquer de confiance). L’autre règle, difficile à suivre mais fort utile, est de prendre la critique constructive, de l’entendre, et de laisser le reste. Focaliser sur le positif et choisir de laisser ce qui nous semble « gratuit ». La méditation et la sophrologie aident à faire ceci plus aisément, avec un peu d’entraînement. Il s’agit de s’autoriser à revenir vers le « stade zéro » où tout est possible et positif. Ce concept est issu du Ho’Oponopono, une prière hawaïenne servant à se reconnecter à nos possibilités infinies et à « nettoyer » les « mémoires » blessantes. Ainsi s’adresser à soi-même des phrases réconfortantes comme : « Je suis désolé, je t’aime » permet de lâcher prise et de s’offrir un peu d’oxygène au sein d’une situation complexe.

Passer à l’action

Les personnes qui manquent de confiance en soi ont souvent peur de passer à l’action. Parfois aussi elles le font mais sans calculer les risques s’exposant ainsi à un éventuel échec qui renforcera leur idée qu’elles manquent de confiance et d’estime de soi. C’est pourquoi elles devraient se forcer à noter 5 rêves qu’elles n’ont pas réalisé ces 5 dernières années et travailler à leur concrétisation. Il ne s’agit pas de se lancer tête baissée mais d’amener une idée à maturité avant d’y aller. Aucun changement n’est possible sans travail sur soi ou passage à l’action. Pour atteindre ses rêves ou ses objectifs il faut souvent être très clair sur ses désirs réels, savoir positiver et mettre en place un « plan d’action massif » comme le recommande le super-motivateur Anthony Robbins !

Conclusion

Ce ne sont que quelques astuces que j’utilise dans le cadre du coaching de vie, du consulting en Leadership ou encore du Coaching en suppression des croyances limitantes (celles qui nous empêchent de nous accomplir pleinement). Un bilan de personnalité et comportemental en cabinet et une proposition de coaching sur-mesure vous apportera des solutions bien plus adaptées et personnelles bien-sûr.

Pour aller plus loin ?

Un coaching ça coûte cher ? Au cabinet je propose une formule de coaching de vie ainsi qu’une formule de coaching en suppression des croyances limitantes (qui est aussi un travail profond sur les capacités que nous ignorons trop souvent) dès 480 euros les 12 séances (entre 60 et 90 mn) payable en 3 à 4 fois. C’est une expérience unique et passionnante tant pour le client que pour le coach !