Coaching Suppression des croyances limitantes, sur Vichy, quelle méthode ?

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Repérer les croyances limitantes et les comportements qu’elles entraînent

La plupart des thérapies cognitives établissent, à la base, et lors de la première séance, un bilan qui permet au praticien de comprendre quelle vision porte sur lui-même, sur les autres et sur le monde en général son client.

Les thérapies cognitives ont également pour but (et c’est le cas avec l’hypnose et la sophrologie) de modifier ou de supprimer, voire de remplacer, certains comportements négatifs et limitants, comportements nés de pensées erronées.

Le sujet du coaching en Suppression des croyances limitantes n’échappe pas à cette règle.

Un bilan poussé est nécessaire

Lors de la première séance et d’une longue discussion (anamnèse), le coach pose des questions à son client afin de cerner sa personnalité et d’estimer son niveau d’estime de soi et de confiance en soi. Il pourra également le questionner sur ses craintes, ses peurs, ses désirs, ses rêves, ses regrets etc.

A l’issue de la première séance le coach possède ainsi un portrait psychologique et comportemental de son client. Il comprend quelles croyances limitantes prédominantes viennent interférer avec le bien-être, le projet personnel ou professionnel de son client et à quels écueils récurrents ce dernier se heurte.

Quel est l’impact de vos croyances sur votre quotidien ?

Le travail du coach en suppression des croyances limitantes est d’amener son client à réfléchir par lui-même à ses propres croyances, à leurs origines et à leur impact sur le quotidien mais aussi sur l’avenir. Définir la notion de croyance comme « neutre » (ni bonne, ni mauvaise, tant qu’elle n’est pas exacerbée donc handicapante) est l’une des grandes bases du travail du coach car une fonction, un élément ou un événement vu dans sa neutralité générale n’a plus le même impact sur l’émotionnel.

Exemple de l’événement Prise de parole

Prenons un exemple tout simple : Une femme change de poste dans son entreprise et l’une de ses nouvelles responsabilités consiste à prendre la parole en public, chaque vendredi après-midi, pour le bilan hebdomadaire. Elle est terrorisée à l’idée de monter sur scène. Déjà, à cet instant, elle ressent le poids des regards sur elle, sur son corps, sa coiffure, sa tenue, les tressaillements dans ses pas, son déplacement etc. Ensuite, près du micro, elle rougit, bafouille et a énormément de mal à parler clairement. Chaque semaine elle se torture mentalement en évitant l’événement. Elle finit par « perdre sa voix ». Ainsi on la remplace. Sa remplaçante est si douée à cet exercice qu’on lui « ôte » donc cette responsabilité. Elle se sent en même temps gagnante et perdante. Elle est soulagée mais se sent « coupable » de ne pas y être arrivée… Dès lors elle se dira « Nulle à la prise de parole », « Piètre oratrice » ou « Pas faite pour le podium »… Des années après elle se refuse même à prononcer un discours lors du mariage de l’un de ses enfants, toujours certaine qu’elle « gâchera » de sa voix peu assurée et par sa « malaisance », cet instant mémorable… Les collègues ne sont plus là, l’entreprise non plus. Lui reste dès lors ce ue l’on nomme une Mémoire limitante. C’est en lui proposant de travailler sur cette mémoire, de l’apaiser puis de la supprimer par certaines techniques cognitives que le coach arrivera à ôter à sa cliente l’angoisse liée à la prise de parole. Pour aller plus loin il proposera, si possible, à sa cliente une expérience « corrective » en s’assurant qu’elle réussisse. Pour résumé ce cas nous pourrons dire que la croyance serait amplifiée et davantage ancrée si une nouvelle tentative s’avérait négative mais relativisée puis oubliée suite à plusieurs tentatives fructueuses. La simple pensée qu’une intervention sur podium ou qu’une prise de parole sur scène est « neutre » (ni bonne, ni mauvaise) permettrait également à la cliente de relativiser son vécu…

Exemple de la jeune fille assurée de sa beauté physique

A l’inverse une jeune fille est adulée par ses camarades lors de ses années-lycée pour son physique agréable, sa grâce, sa posture etc. A la trentaine, elle prend 15 kilos, coupe ses cheveux, n’est plus aussi « soigneuse » dans son apparence ou son style mais pourtant affiche absolument la même confiance en elle. Sa confiance en soi et son estime de soi sont restées élevées et stables. La croyance portante « Tu es vraiment une belle fille, une fille méritant d’être adulée » a été plus forte que l’image renvoyée par le miroir, ce qui est bien entendu absolument positif quand on sait que le physique est toujours, plus ou moins, fluctuant au fil des ans et qu’on ne construit pas son bonheur sur du pur physique. Esprit et corps sont indissociables.

Le tri de nos croyances

Ensuite et selon des objectifs bien précis (détaillés dans un document nommé Entente qui résume les droits et les devoirs des deux parties et fixe le contenu détaillé des séances), un travail de repérage des croyances limitantes est mené par le client, chez lui puis en cabinet, le rôle du coach étant de faire émerger de façon directe et indirecte les croyances les plus tenaces. Bien-entendu, un grand tri doit ensuite s’opérer car toutes nos croyances limitantes n’ont pas un impact « gênant » sur notre vie quotidienne. Ce sont les croyances que nous possédons sur nous-mêmes qui s’avèrent les plus limitantes (celles qui génèrent de l’autosabotage ou une peur de la réussite) qu’il nous faudra éliminer en premier lieu. Un profond travail de relaxation sur son client (quand les tensions s’en vont, les émotions vraies émergent) permettra au coach de faire émerger chez son client les croyances très ancrées et absolument inconscientes.

Plusieurs cahiers (dont un cahier de rêves) permettent au coaché de résumer, séance après séance, son évolution et d’estimer à quel point le travail sur lui-même porte ses fruits.

Dès lors que les séances ont révélé des croyances limitantes, le coach encouragera un travail sur les croyances « portantes », les croyances les plus positives (celles qui portent le client vers la confiance).

A la fin du coaching les croyances limitantes auront été éliminées, parfois remplacées par de plus positives et les croyances portantes revalorisées et prêtes à servir de tremplin à l’épanouissement personnel.

Différentes techniques, toutes complémentaires

Durant ce coaching en suppression des croyances limitantes (qui est entièrement basé sur la parole libre, la relaxation, la respiration, la visualisation, des exercices cognitifs, des objectifs à atteindre et des debriefings) une méthodologie de suppression des croyances erronées et d’augmentation des croyances positives sera donnée au client. Il repartira avec des méthodes concrètes pour agir à la fois sur ses croyances mais aussi sur ses pensées et ses pensées parasites.

Le but du coach est que son client reparte reboosté en confiance en soi avec une vision très positive de la vie et de ses événements. Le client aura repris le pouvoir sur certaines pensées ou craintes qui le paralysaient peut-être jusque là et inscrira ses actions et ses prises de décisions dans une dynamique nouvelle, davantage axée sur une co-création de sa vie avec le monde qui l’entoure, avec les autres, avec ses collègues de travail peut-être ou plus simplement avec sa famille.

Les noeuds psychologiques déliés il sera prêt à devenir « la meilleure version de lui-même ».

Pour en savoir plus ou pour entreprendre ce coaching cliquez ici

Fin de vie et Sophrologie

La fin de vie, les soins palliatifs, un sujet qu’on préférerait ignorer …

Période profondément complexe pour tous ceux qui l’expérimentent, la fin de vie est un sujet dont on évite de parler, qu’on aimerait repousser tant que possible, et cela est bien légitime. La fin de vie est encore un « tabou » auquel tout un chacun préférerait ne jamais être confronté…

Pallier aux angoisses de la fin de vie par la sophrologie

Utilisée en soins palliatifs, en institutions, ou à domicile, la sophrologie est un outil précieux pour apaiser l’esprit ainsi que certaines douleurs. La fin de vie est une période qui requiert énormément de calme et d’acceptation de la part du malade mais aussi de ses proches et de ses aidants. Ce qui caractérise la fin de vie est l’anxiété et la peur de l’inconnu (« Qu’est-ce qui m’attends après, dans l’au-delà ? » « Que vont devenir mes proches ? »).

Un suivi court et régulier par un sophrologue au fait des questions de la fin de vie et des problématiques de Perte et Deuil est alors conseillé.

Rompre l’isolement, apaiser et diminuer les douleurs par des procédés de visualisation et la création d’un environnement calme et privilégié, apparaît comme une alternative au soutien moral déjà apporté par les proches. La sophrologie est aussi une solution complémentaire valable aux antalgiques et aux calmants.

Amélioration du sommeil, meilleure gestion de la douleur

Améliorant à la fois le sommeil et la gestion de la douleur, la sophrologie permet de mieux gérer ses angoisses et de trouver une écoute « différente », peut-être plus apaisante que les autres. Dans les situations familiales complexes, à fort affect, l’introduction d’un tiers professionnel est souvent salvateur.

En utilisant des procédés de visualisation permettant au sujet d’entendre le respect et la dignité qui lui sont dues, le Sophrologue insuffle chez son client en fin de vie une valorisation nouvelle.

Le vécu, le passé, mieux valorisés

Un travail sur le vécu peut être engagé, selon la réponse du client aux différents aspects énergétiques générés par la sophrologie. Le développement d’un imaginaire adéquat et adapté au client et à son « bagage », son vécu, est profitable dans le sens où il lui permettra d’exprimer ses craintes et de se libérer par la parole ou par le corps. C’est le médecin traitant qui propose des séances de Sophrologie en complément du traitement et qui suggère au praticien un axe de travail thérapeutique.

Une sophrologue formée aux problématiques de la perte et du deuil

Ayant travaillé en service de fin de vie pendant 5 ans (AP-HP) comme animatrice, étant sophrologue certifiée, psychopraticienne certifiée et formée aux problématiques du deuil par l’institut Oplex Careers (« Conseil en Deuil et Perte »,  cursus international accrédité par le CDP), je propose des séances de sophrologie sur Vichy, Cusset et Bellerive-sur-Allier pour les personnes en fin de vie / soins palliatifs à domicile ou en institution.

 

 

 

Mémoire ou Inspiration ?

En cette rentrée les projets et objectifs à atteindre font de nouveau partie de la vie de tout un chacun. On aborde souvent la rentrée scolaire (même si nous adultes n’allons plus à l’école depuis fort longtemps, la retour des plus jeunes à l’école demeure un « repère » temporel précieux) avec une dose nouvelle de motivation. La plupart d’entre nous fait du tri dans ses placards, un grand ménage de rentrée à la maison, rédige ses bonnes résolutions, s’achète un nouvel agenda peut-être et tente de « mettre toutes les chances de son côté » en devenant plus « inspirant » ( passage chez le coiffeur, achat de tenues pour l’automne qui arrive…) et plus « inspiré » (inscription à des cours, au sport etc., à l’Université de tous les savoirs etc.) Pourtant avez-vous remarqué combien toute cette motivation et cette persévérance a une fâcheuse tendance à retomber vers la fin octobre ? Avec des journées plus courtes, moins ensoleillées et la routine qui reprend sa place il est difficile de rester l’homme ou la femme aux idées fraîches qui était de retour de vacances il y a quelques semaines… Difficile de maintenir la motivation au top et de voir le verre plutôt « à moitié plein » qu’à « moitié vide »… surtout lorsqu’on se lève tôt le matin, qu’il fait encore noir et qu’une petite dépression circadienne s’installe…

Où sont passés les bons moments de l’été ? La motivation de la rentrée ? Ne remarquez-vous pas que, dans la vie il y a des périodes où l’on se sent « béni des Dieux » (de l’Univers, de la vie etc.) et d’autres où tout semble aller de travers ?

Il n’y a aucun hasard là-dedans.

Nous dépendons de deux énergies-phares, de deux émotions majeures :

  • La Mémoire
  • L’Inspiration

Dans nos grands moments d’inspiration, parfois le soir, le weekend ou en vacances, dès que nous posons le pied dans un lieu aux bonnes vibrations, nous dépendons de L’Espace Zéro. L’Espace Zéro est un moment qui n’est pollué ni par l’avis des autres à l’égard de nous-mêmes ou de nos projets, ni pas nos propres croyances erronées à notre sujet. C’est ici que réside et se propage l’Inspiration. L’Inspiration de développer un nouveau projet, celle d’entreprendre un voyage ou un changement, celle de s’inscrire à un cours du soir de développement personnel par exemple. Dans l’Espace Zéro il n’y a aucune mauvaise vibration, aucun souvenir blessant pour nous empêcher d’avancer. C’est l’état du bébé qui vient au monde et qui a tout à découvrir, qui croit que tout est possible (« Réparer les gens », « Ramener les disparus », « Aller sur la lune en voiture » etc. Il n’y a qu’à écouter parler un petit enfant pour constater cela). C’est pourquoi dans cet Espace Zéro (comprenez sans pollution mentale) il est si facile d’imaginer, de visualiser le meilleur.

A l’inverse la Mémoire est un double mouvement, une énergie double inscrite en nous. Double parce qu’elle regroupe les mémoires de nos ancêtres (dont nous héritons à la naissance) et l’inconscient collectif (mémoires transmises) et nos propres mémoires douloureuses et erronées (échecs, réflexions, critiques, mauvaises expériences) qui sont, elles, acquises.

Dès lors qu’un événement, une personne, un acte, un lieu, nous fait penser à un autre et rebondir sur des idées, des souvenirs, encore et encore, nous nous situons en dehors de l’Espace Zéro ! Nous sommes dans l’Espace Mémoire. L’Espace Mémoire est limitant car les bons souvenirs sont, eux, nés de l’Inspiration créent l’Espace Zéro.

Imaginez que vous puissiez avancer au jour le jour dans tous vos projets qu’ils soient personnels, sentimentaux ou professionnels, sans jamais être dérangé par ces mémoires limitantes ? Imaginez que votre esprit, face à un nouveau challenge, soit vierge de toute mémoire limitante. Votre état serait celui où aucun auto-sabotage n’est possible !

En cette rentrée je vous propose un coaching en 12 séances qui vous permettra de mettre en lumière toutes vos mémoires et croyances limitantes. A l’aide de la psychopratique, de la sophrologie et d’autres techniques comme la réécriture du scénario de vie ou le « tapping », venez « nettoyer » votre Soi de toutes ces limitations qui vous empêchent de devenir la Meilleure version de vous même !

C’est un parcours passionnant qui s’offre ici à vous en même temps qu’une expérience de travail sur soi intense qui portera ses fruits à tous les niveaux !

Des livres pour évoluer : rentrée septembre 2019

De quoi sera faite votre rentrée 2019 ? Quel sera votre programme ? Que la vie vous-réserve-t-elle en cette rentrée, scolaire, certes, mais aussi en cette reprise qui débouchera prochainement sur une saison flamboyante, l’automne ?

Nous avons tous le choix, chaque matin, jour après jour, de « subir » les événements ou de les accepter comme de multiples sources d’apprentissage et de savoir : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends ! »

Bien souvent, nous attirons à nous ce à quoi nous pensons et lorsque nous nous sentons mal nous récupérons encore plus de mal-être… à moins de « débrancher », d’enclencher notre interrupteur mental sur « off » et de comprendre que nous sommes déjà des êtres complets et parfaits, portant en eux toutes les ressources nécessaires face aux problèmes qui peuvent se présenter.

Quelques livres pour comprendre comment un mode de pensée plus positif peut nous permettre de nous sentir mieux au quotidien, de nous accomplir dans ce pour quoi nous sommes réellement faits et de cheminer vers nous. Vous trouverez tous les renseignements nécessaires sur ces livres de développement personnel en suivant ces liens* :

Le Pouvoir de l’Intention

Le millionnaire éveillé

Techniques de visualisation créatrice

Trouver sa voie, saisir l’appel de sa vie

La voie la plus facile

Zéro limites

Ces livres constituent de bonnes lectures pour se remotiver à la rentrée ou pour envisager un mode de vie différent, plus sain, plus positif, davantage porté sur la « complétude » qui est déjà en nous que sur le désir de tout !

 

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Se faire coacher pour supprimer ses croyances limitantes

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Envie de progresser vs Manque de vision et de technique

Dans mon activité de thérapeute, je reçois parfois des clients qui sont « remontés » à fond par des lectures de développement personnel mais qui désespèrent de ne pas voir les manifestations positives tant attendues arriver dans leur vie. Qui incriminer dès lors? Peut-on dire qu’ils lisent des livres axés Psycho et Développement personnel juste pour « s’occuper » en attendant un miracle et sans vraiment pratiquer les techniques apprises ? Peut-on dire que « dans le fond ils ne veulent pas réussir » ou se sortir de la situation dont ils se plaignent ? Ou que le fait de lire des ouvrages de Développement personnel n’est qu’une façon de « déculpabiliser » lorsqu’ils ne sont pas arrivés à atteindre leurs buts ou à concrétiser leurs rêves ? Ou cela leur fait-il simplement du « bien » de croire que le changement demeure possible ?

En fait, aucune de ces hypothèses n’est la CAUSE du problème.  La cause du problème la voici : Dans la plupart des cas, il est très difficile de se mettre à penser positif du jour au lendemain lorsque des schémas anciens très néfastes à notre épanouissement sont profondément (et inconsciemment) ancrés en nous.

Une solution existe donc pour avancer rapidement et entreprendre un travail sur soi concret et efficace : Le coaching en Suppression des croyances limitantes.

Bien plus efficace qu’un coaching classique car bien plus précis et abordant les schémas inconscients les plus tenaces, il demeure la solution ultime pour débloquer bien des situations.

Thérapeute et travaillant sur moi depuis 15 ans, ma formation de Coach en Suppression des croyances limitantes m’a fait remplir … 2 cahiers format A4 de croyances en tout genre que je « trimbalais » depuis ma petite enfance ! Le second cahier, heureusement, concernait mes croyances positives (celles qui nous portent et nous permettent de nous dépasser) ! A l’heure actuelle dès qu’une pensée « dissonante » me vient, je sais exactement à quelle croyance l’attribuer et donc elle n’a plus aucune prise sur moi ! Et cela peut être la même chose pour vous. Monter une entreprise ? Changer de vie ? Vous concentrer sur un projet donné ? Venir à bout de vos freins mentaux ? Tout cela est possible.

Nos croyances erronées, la base de nos souffrances !

Le coaching en Suppression des croyances limitantes s’attaque directement à la « racine du mal » : nos croyances erronées.

Nous possédons tous des croyances sur nous-mêmes, sur le monde, sur les autres. Et ce sont ces croyances (dictées par l’Inconscient) qui nous dirigent. Dans 90% des cas nos soi-disant « lacunes » ou « expériences répétitives (« Je ne suis pas doué pour les maths », « Je ne sais pas gérer mon argent », « J’ai toujours la poisse », « Mes proches me jalousent tous »…) sont fausses. Elles n’existent en nous que par leur sévère et solide implantation dans l’inconscient. Face aux faits réels, elles ne tiennent pas la route. C’est une bonne nouvelle… Cependant cela est souvent difficile à voir et encore plus à accepter. OUI il est difficile de renier ces croyances limitantes MÊME si elles nous font, chaque jour, du tort ! Le travail de suppression est quasi-impossible à engager seul, sans l’aide d’un coach spécialisé.

Comment s’implante la croyance limitante ?

Comment les fausses croyances (limitantes) s’implantent et grandissent dans notre inconscient ? Par le biais d’expériences passées vécues, par le biais de critiques parfois, de réflexions, par des « on dit que » auxquels nous avons accordé, sur le moment, une attention même légère. Prenons l’exemple de l’argent. Avez-vous compris, dans l’enfance, que « les gens riches sont forcément suspects » ? L’exemple de la santé : Avez-vous débuté votre grossesse certaine que vous auriez « les mêmes problèmes que votre mère » ? L’exemple de la carrière : Avez-vous hésité à monter votre entreprise parce que vous avez compris petit que dans votre famille on était « pas doué pour le commerce » ? Ces croyances sont basiques et faciles à analyser en discutant avec le client. Mais d’autres sont beaucoup plus insidieuses et difficiles à définir et à mettre à mal par la suite…

Comment les fausses croyances qui nous limitent peuvent-elles être « supprimées », effacées, oubliées, mises à mal une bonne fois pour toutes ?

Des techniques de « nettoyage » existent. Et elles n’ont rien de « sorcier » ni de « surnaturel », encore moins d’ésotérique ! Elles prennent en compte votre histoire, votre façon de la raconter, vos souvenirs, votre vécu, votre expérience en entreprise, la relation à vos amis et à votre famille, votre vision du monde et des autres etc. Des tests très simples permettent, en outre, d’analyser le regard que vous portez sur vous-même.

Je propose un coaching en 12 séances, au cabinet, pour éliminer ces croyances limitantes qui vous empêchent d’accomplir certains de vos rêves, vos objectifs professionnels ou qui vous confinent éternellement dans une posture d’échec ou d’autosabotage.

Pour cela, après une longue anamnèse qui a lieu lors de notre première séance, je vous encourage à effectuer un travail « guidé » sur les croyances qui rythment votre vie depuis la toute petite enfance. Des techniques de relaxation profonde, de psychopratique (thérapie cognitive) et de gestion et relâchement du stress et des tensions mentales et physiques vous permettront de mettre à plat la plupart des grandes croyances limitantes qui vous empêchent de vivre dans un sentiment de « complétude » et d’harmonie (avec vous-même, le monde et les autres).

C’est une étude et une démonstration des différents stades qu’un client peut expérimenter (de la victimisation à l’éveil personnel total) qui vous permettra de comprendre pourquoi et comment venir à bout de vos croyances limitantes.

Des techniques bien concrètes (exercices) vous seront dévoilées afin de créer une brèche dans ces croyances et de les sortir, au quotidien, de votre vie.

Dans le même temps vous apprendrez à gérer au quotidien vos pensées culpabilisantes ou dérangeantes et parasites afin de garder le focus sur vos objectifs.

Vivre la transformation personnelle

Guidé, au fil des 12 séances nécessaires à compléter ce coaching, vous entrerez dans un modèle nouveau de pensée et d’action. Vous ressentirez beaucoup de bien-être, une confiance en vous nouvelle et expérimenterez une transformation personnelle profonde. Profonde car basée sur l’estime de soi, l’équilibre entre le mental et le physique, l’instant présent et le développement de vos capacités, qualités et dons.

Libérer son potentiel insoupçonné

Grâce à ce coaching inédit et très complet, vous libérerez tout votre potentiel.

Il est possible d’attirer dans votre décor, avec sérénité et confiance, des relations plus bienveillantes, davantage de réussite personnelle et financière aussi, plus de positivisme et d’enthousiasme. Aller au bout de ses projets devient plus facile en étant coaché ! Et surtout en apprenant à penser en harmonie globale avec le monde et les autres.

Parce qu’une fois vos croyances limitantes cernées vous ne reviendrez plus jamais dessus, parce qu’une fois vos croyances positives éclairées vous en créerez de nouvelles, plus chaleureuses et bienfaisantes, il vous paraîtra infiniment plus facile d’avancer dans la félicité et la confiance.

Votre réussite, c’est vous qui la menez !

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Votre coach, Céline, formée, entre autre, par Joe Vitale et Steve G. Jones

Au programme de ce coaching inédit : des techniques de relaxation, des techniques de « nettoyage » des « zones erronées » de l’Inconscient, des techniques de gratitude et pardon profondes et efficaces, une initiation à l’autohypnose …

Contactez-moi pour en savoir plus, seulement si vous avez décidé de vous épanouir et d’avancer réellement dans vos objectifs. Le coach ouvre des possibilités, des voies nouvelles, dans un cadre sécurisant et empathique. Mais le travail c’est vous seul qui l’initiez en vous !

Sophrologie au collège

La sophrologie au collège et en établissements scolaires publics ou privés ou privés sous contrat avec l’état, sur Vichy, Cusset et Bellerive-sur-Allier

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Les séances de SOPHROLOGIE ADAPTEE AU COLLEGE que je propose durent 50 mn maximum et sont suivies d’un temps de debriefing oral. Chaque élève est libre d’exprimer son ressenti sur la séance avec ses mots, ce qui peut influer sur le déroulement des visualisations suivantes, les modeler au fil du temps. La séance n’est donc pas figée, l’élève apprend la souplesse, la flexibilité et l’acceptation du changement.

L’obtention du premier diplôme officiel que constitue le Brevet des Collèges peut créer un stress chez les adolescents notamment à l’approche des révisions et des épreuves. Des angoisses liées à l’idée d’un échec ou d’un résultat faible peuvent amoindrir les capacités de mémorisation et même entraîner une perte des moyens ou de confiance en soir chez l’élève. Pourtant ces « zones erronées » mentales peuvent être rapidement et efficacement dépassées grâce à la sophrologie. Il ne s’agit pas d’élever cette technique en tant que « recette miracle » bien-entendu mais plutôt d’apprendre aux élèves à bien respirer, à maîtriser leurs pensées, à développer un mental plus positif et à préparer le terrain pour une confiance en soi plus stable, moins friable.

Avec les collégiens, la séance débute par quelques exercices de respiration. Ces exercices, uniques et efficaces, sont toujours menés dans le grand calme, sur fond musical léger jouant sur les vibrations idéales. Nous réalisons quelques postures à travers lesquelles la maîtrise de la respiration peut facilement s’illustrer. Ensuite un travail sur le schéma corporel s’effectue : l’élève est amené à prendre conscience de son corps dans le volume de la pièce puis sur l’espace du tapis. Il apprend à utiliser un système de schéma fléché en « méditation » légère.

« Je ne perds jamais : soit je gagne, soit j’apprends ! »

Après une relaxation mentale allant de la tête aux pieds, un scénario de réussite avec visualisation du succès à venir, du travail mené à bien, est mis en place. On peut visualiser le déroulement des épreuves écrites ou orales, apprendre à ne pas craindre l’examinateur mais à le voir comme un appui bienfaisant comme une guidance. Aucun jugement, aucune évaluation n’intervient dans les séances, toujours menées dans l’empathie et la découverte de la richesse de l’autre (chaque événement nous apprend, chaque rencontre est l’occasion d’évoluer personnellement : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends »)

Au final, les élèves sont plus détendus et apprennent à mieux gérer leurs pensées et leur respiration ainsi que leur stress. Ils apprennent à se projeter positivement pour se mettre en condition de réussite.

Le programme officiel prévoit un moment de relaxation et cette séance est un bon moyen de l’utiliser. Pour cette prestation je demande une prise en charge minimum de 80 euros, permettant de couvrir le temps passé à la préparation, la réalisation de la séance et mon déplacement. Un forfait peut-être envisagé car il est souhaitable que cette séance se renouvelle chaque semaine ou au moins tous les 15 jours.

Ces séances nécessitent simplement un espace dégagé de tout mobilier, des tapis de sol et des coussins. Un gymnase ou une salle de danse sont parfaits.

Dans l’idéal, la séance se décompose de la sorte :

Respiration et détente musculaire : 20 mn

Schéma corporel et scénario positif : 20 mn

Expression du ressenti : 10 mn

Sophrologie « ludique » pour les petits

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Image non contractuelle

Séances de sophrologie « ludique » pour les petits enfants, les enfants, en établissements scolaires ou structures éducationnelles, associations etc. sur Vichy, Bellerive-sur-Allier, Cusset et environs. De la détente, de la relaxation, des techniques de respiration pour les enfants.

Les séances de SOPHROLOGIE « LUDIQUE » que je propose durent 30 mn maximum et sont suivies d’un temps de debriefing par le dessin et l’expression orale. Pour mener la séance avec les enfants, j’utilise de petits instruments de musique atypiques comme la senza ou l’autoharp (qu’on peut solliciter avec une simple petite cuillère pour varier les sons). Cet instrument intéresse en général beaucoup les enfants.

La séance débute par une prise de conscience de la respiration ainsi que par un travail léger sur le schéma corporel. La relaxation peut être menée dans le cadre d’un projet élaboré avec l’enseignant. La sophrologie peut aider les enfants à accroître leur concentration, leur persévérance mais aussi leur patience. Sans être une « solution miracle », elle peut aider ceux qui ont du mal à respecter les règles de vie. Elle permet aux enfants fatigués ou « fatigables » de récupérer et de repartir plus en forme.

Pour les enfants et en cadre scolaire, la sophronisation de base est toujours adaptée. On renforce les éléments positifs de la vie de classe. On libère l’imaginaire. On travaille véritablement sur le schéma corporel. La phénodescription sert de debriefing et pose les bases d’une prochaine séance, selon le ressenti des enfants.

J’aime travailler sur les moments clés de la journée lors de la mentalisation positive : le lever par exemple, l’arrivée à l’école, le repas à la cantine, le retour du soir, la vigilance dans la rue. On travaille sur comment prendre son temps pour faire les choses. On travaille également sur la notion de groupe. Chacun vient construire le groupe de ses différences, de ses dons, de ses talents, de sa personnalité propre. La cohésion en est renforcée.

Le programme officiel prévoit un moment de relaxation et cette séance est un bon moyen de l’utiliser à bon escient.

Ces séances nécessitent simplement un espace libre qui soit dégagé de tout mobilier, des tapis de sol et des coussins.

Dans l’idéal, ma séance se décompose de la sorte :

Détente et relaxation musicale : 20 mn environ

Scénario et schéma corporel : 10 mn environ

Dessin  et expression du ressenti : 20 mn environ. 

L’enfant exprime son ressenti verbal tout en dessinant. Parfois je propose aussi un debriefing et une expression du ressenti avec la pâte à modeler.

Pour cette prestation je demande une prise en charge minimum de 80 euros, permettant de couvrir le temps passé à la préparation, la réalisation de la séance et mon déplacement. Un forfait peut-être envisagé car il est souhaitable que cette séance se renouvelle chaque semaine ou au moins tous les 15 jours.

N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez une intervention de sophrologie pour les petits, pour les tout-petits, enfants sur Vichy, Bellerive-sur-Allier ou Cusset.

Les apports de la psychogénéalogie

Le poids de l’héritage familial

La psychogénéalogie est une théorie qui puise ses racines dans l’observation du transgénérationnel. Le transgénérationnel désigne le bagage transmis d’une génération à l’autre. Ce bagage contient l’histoire de la famille, d’une même lignée, mais aussi les traumatismes de ses membres, qui au fil du temps s’intègrent aux descendants, de façon inconsciente. Le transgénérationnel est donc, en ce sens, un véritable héritage familial historique, émotionnel, psychologique et comportemental. Il peut avoir des répercussions sur plusieurs générations même très éloignées.

Le cordon ombilical : le lien premier

Le cordon ombilical est le lien premier à la mère mais bien plus encore : à toute une lignée construite comme un corps, avec des membres entretenant des peurs, des craintes, ayant assumé et résolu ou non des traumatismes et des deuils variés. Quelle est alors la place de l’autonomie lorsqu’on sait que nous sommes tous naturellement enclins à prolonger (via le cordon) l’histoire familiale ? Certains dysfonctionnements, certaines maladies, angoisses ou phobies paraissant « sans origine » peuvent, en fait, être directement imputés (après présentation spontanée de l’arbre généalogique tel qu’on le connait par les dires et les « traces » de nos aïeux) à notre héritage familial.

Comment s’effectue la transmission ?

Cette transmission est absolument invisible. Elle est silencieuse et non directive. Elle n’est jamais formulée par quiconque. Cependant les éléments occultés par la famille « passent » tout de même d’une génération à l’autre par le biais du cordon et de la filiation. Les deuils non résolus et les situations de « dettes » vont alors s’exprimer chez les membres d’une descendance par des maux (répétitions, phobies, craintes, empêchements…) et par des processus distincts : la date anniversaire, la loyauté familiale invisible, la tache inachevée (effet Zeigarnik)

Des souffrances qui ne nous appartiennent pas

Lorsqu’on arrive à mettre en évidence un événement traumatisant ainsi que d’éventuelles répétitions de l’événement ou la récurrence de dates charnières d’une génération à l’autre alors le client se libère du poids de son héritage familial. Il peut faire le deuil de certains de ces événements notables, décider de conserver le côté le plus positif de son histoire et s’acheminer vers la guérison psychologique. Il comprend que les souffrances, les douleurs, les peurs de ses ancêtres ne lui appartiennent pas. Plutôt que de renouveler l’histoire familiale, il est désormais libre d’organiser sa propre histoire, de se concentrer sur son propre vécu.

Autonomie et nouveau soi

Les liens fusionnels avec les parents, les grands-parents, les arrières grands-parents et les histoires et événements transmis peuvent alors être coupés. Il n’y a plus, pour le client, aucune raison de perpétuer les comportements de ses ancêtres. Il n’y a plus non plus besoin de s’efforcer d’être soi-même en allant systématiquement à contresens de cette histoire familiale. L’autonomie et le cheminement vers soi en sont favorisés. La psychogénéalogie est une approche passionnante pour tous ceux qui portent le poids de leur cercle familial sur les épaules ou qui se sentent « bloqués » dans des automatismes qui ne leur appartiennent pas.

Comment procède le psychopraticien ?

Après discussion avec son client, il initie la réalisation d’un génogramme. Il s’agit du graphique d’un arbre généalogique sur 3 générations ou plus, qui mentionne des informations sur les membres. Ces informations sont celles que le client connait instinctivement ou par dires familiaux. Il est complété par la mise en avant des liens affectifs entre membres et les éléments marquants de l’existence (séparations, divorces, liens d’amour, d’amitié, conflits, suicides, dépressions, avortements etc.). Le script de vie du client peut ensuite être, avec le psychopraticien, modifié. D’autres outils peuvent intervenir dans la résolution à l’instar du psychodrame, très utile pour rejouer et se défaire d’une situation répétitive. Le psychopraticien jouera alors le rôle de l’animateur, du metteur en scène et du leader, tour à tour, en restant neutre, discret, en retrait et en prodiguant une écoute ultra-active. Il mène ainsi les participants à exprimer leurs ressentis et à cheminer vers une réponse personnelle à leurs maux.

 

La valeur de nos ressentis face à la thérapie cognitive

Nos ressentis face à la thérapie cognitive

La thérapie cognitive est une méthode que j’affectionne particulièrement car elle est, selon moi, très ancrée dans le quotidien, dans la réalité et répond particulièrement bien aux problématiques professionnelles. Elle peut-être utilisée avec succès dès que le client rencontre des conflits au travail, est confronté à des luttes de pouvoir ou subit de plein fouet les foudres d’un supérieur alors qu’il est considéré par le reste son équipe comme ultra-compétent. Mais elle répond aussi très bien aux angoisses que le client peut rencontrer dans sa vie personnelle : peurs, phobies, réticences injustifiées à l’égard d’un projet etc.

Quelle interprétation pour quelle situation ?

Pour résumer, la thérapie cognitive considère que le sens que nous attribuons aux choses, aux événements quotidiens, à un événement-charnière ou à un conflit va influencer notre comportement mais aussi notre ressenti. Le sens influence le comportement qui influence le ressenti mais cette triade fonctionne également dans un autre ordre : ainsi le ressenti influence aussi le comportement qui influence le sens attribué aux choses et vice-versa. Lorsque nous sommes incapables de voir le bon dans une situation ou que nous exagérons son impact sur nos vies, dans l’esprit, alors nous expérimentons un panel de sensations qui ne correspond pas à la réalité. Nous fournissons une mauvaise interprétation d’une situation. Cela nous rend pessimiste et triste sans raison valable.

Ces distorsions qui gâchent la vie

La thérapie cognitive mesure la nature et l’ampleur de ces « distorsions » de notre pensée. Les distorsions concourent au maintien et à l’amplification de troubles émotionnelles et de troubles psychologiques. Le psychopraticien utilise des outils très simples (un simple tableau à colonnes dans lequel il note les ressentis de son client et les distorsions qu’ils mettent en exergue) afin de rétablir un discours intérieur et un dialogue plus positif visant à se rapprocher davantage de la réalité.

Prenons l’exemple d’une personne qui veut maigrir, qui sait que son surpoids nuit à sa santé mais aussi à sa vie professionnelle dans un métier où le physique est important, et qui, envisageant une perte de poids, dit : « Tout ça est très bien mais ce n’est pas pour moi. Je sais à l’avance que ça échouera comme les autres fois ». En affirmant ceci elle se décourage encore plus. Elle se rend elle-même triste. La négativité l’emporte sur la combativité. Imaginons maintenant que la personne, sans se positionner dans une pensée positive trop accentuée, dise juste : « C’est intéressant. C’est ce qu’il me faudrait. Cette fois c’est la bonne » elle se sentira plus optimiste et plus valorisée, moins stigmatisée.

Le ressenti ne découle pas uniquement de l’acte !

La thérapie cognitive nous démontre que notre ressenti émotionnel n’est pas uniquement la conséquence d’une situation concrète mais d’une multitude de pensées non réfléchies et parasites, qui viennent influencer négativement notre comportement et perturbent notre moral, notre humeur, notre personnalité… Ces pensées brèves et automatiques gagnent à être ré-évaluées et corrigées pour se rapprocher de la réalité. Le psychopraticien accompagne ce travail de changement mental par des séances dans un cadre sécurisant et privé.

Lecture : »L’Empreinte du corps familial, mémoire des cicatrices »

Je viens de terminer la lecture du livre de la psychanalyste Danièle Brun intitulé « L’Empreinte du corps familial, mémoire des cicatrices » sorti le 20 mars 2019 aux éditions Odile Jacob.

Contrairement à pléthore d’ouvrages traitant des liens familiaux et des blessures émotionnelles, il aborde le sujet des cicatrices bien physiques, de leur impact sur notre personnalité et de leur histoire. Oui, les cicatrices que nous portons sur le corps, qu’on les oublie ou qu’on ait du mal à les investir, qu’elles soient fiertés ou créatrices de complexes, nous content, du fond de leurs sillons, les événements charnières familiaux. Elles acquièrent au fil du temps une fonction de mémorial et constituent un trait d’union entre notre présent et les événements impactants de notre enfance.

Et si ces cicatrices nous permettaient tout simplement d’accéder, encore aujourd’hui, à notre histoire familiale, et mieux au « corps familial » entier, cette toile tissée de liens organisée comme un corps physique doté de membres ?

A travers nos cicatrices, il nous est possible d’entrevoir l’histoire inconsciente de notre famille, ces événements issus du désir familial, de la filiation, de l’amour ou du rejet, comme une « charpente » soutenant nos réseaux inconscients…

Un livre passionnant pour tous ceux qui veulent comprendre comment des événements familiaux à priori anodins ou révolus continuent de nous façonner au quotidien nous hantant de leurs « traces ».